Lise & Marc (6) - Lise devient la trainée de l'entreprise
Récit érotique écrit par Marc_C [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Lise & Marc (6) - Lise devient la trainée de l'entreprise
Yanis resta chez nous tout le weekend, baisant ma femme à chaque fois qu’il bandait. Il me força à garder la robe tâchée de sperme tout le weekend et m’humilia comme jamais devant ma femme. Il avait un autre programme pour nous deux mais il nous réserva l’entreprise.
Lise m’appela le lendemain du boulot, désespérée. Apparemment, Yanis avait fait exprès d’envoyer quelques-unes de ses vidéos à certains employés avec qui il avait de bons rapports. Bien sûr, au bout d’une heure, toute l’entreprise était au courant de l’histoire.
- Tout le monde me regarde comme une trainée, se plaignait-t-elle au téléphone, un de mes employé m’a carrément dit que j’étais bandante.
J’étais sidéré. Outragé par ce que Yanis avait fait, mais secrètement, je ressentais une excitation encore plus dévastatrice maintenant que toute l’entreprise savait qu’elle était une salope. Je savais que nous avions dépassé les bornes mais je ne voulais pas que ça s’arrête. Cette semaine-là, Yanis ne vint pas nous voir car il était en voyage, mais toute l’entreprise se moquait de Lise. Malgré son statut de directrice, tout le monde lui lançait des regards lubriques et parfois même des propos salaces. Elle s’habitua à cette humiliation plus vite que je ne l’aurais cru. C’était tout particulièrement un jeune de vingt-trois ans dans son équipe, qui lui faisait le plus de remarques, ne ratant pas une occasion quand ils étaient en tête à tête dans son bureau.
Lise le décrivait comme un très beau jeune homme, c’était un algérien immigré qui travaillait en France. Il était sérieux, professionnellement parlant, mais il ne cachait plus son intérêt pour ma femme et lui lançait des remarques sur sa tenue, sur tout.
Ce fut le Jeudi, quand tout le monde ou presque avait quitté l’entreprise, qu’il rejoignit ma femme dans son bureau en fermant derrière lui. Elle s’étonna de le voir arriver et avant qu’elle n’ait put dire un mot. Il déboutonna son pantalon et exhiba devant un elle un grand sexe à moitié en érection.
- J’ai cru que tu aimais les grosses queues, Madame C. la mienne fait vingt centimètres, est-ce assez pour une salope comme toi ?
Elle était tellement choquée qu’elle ne put rien dire. Il avança vers elle, se pencha et l’embrassa à pleine bouche. Elle se laissa faire sans résister.
- C’est bien ce que je croyais, ricana-t-il.
Prenant la tête de ma femme entre ses mains, il enfonça sa queue dans sa bouche et se mit à faire des va-et-vient.
- Tu ne fais plus ta maline maintenant Madame la Directrice, je vais te montrer comment on traite les trainées dans ton genre ?
Excitée, elle commença à le pomper avec passion. Au bout de dix minutes, il se déversa dans sa bouche et se retira dans un grand soupir de soulagement.
- Mes amitiés à Marc, dit-il avec un sourire en partant.
Lise était en train de devenir la pute de service, plus personne ne la respectait comme autrefois. Même le Directeur Général, un homme d’un certain âge, lui proposa clairement une baise contre de l’argent mais elle l’ignora. Il le prit visiblement très mal car il m’envoya un email me sommant qu’à partir de la semaine prochaine, je devrais à nouveau travailler dans les locaux de l’entreprise.
Mon humiliation publique allait commencer.
Lise m’appela le lendemain du boulot, désespérée. Apparemment, Yanis avait fait exprès d’envoyer quelques-unes de ses vidéos à certains employés avec qui il avait de bons rapports. Bien sûr, au bout d’une heure, toute l’entreprise était au courant de l’histoire.
- Tout le monde me regarde comme une trainée, se plaignait-t-elle au téléphone, un de mes employé m’a carrément dit que j’étais bandante.
J’étais sidéré. Outragé par ce que Yanis avait fait, mais secrètement, je ressentais une excitation encore plus dévastatrice maintenant que toute l’entreprise savait qu’elle était une salope. Je savais que nous avions dépassé les bornes mais je ne voulais pas que ça s’arrête. Cette semaine-là, Yanis ne vint pas nous voir car il était en voyage, mais toute l’entreprise se moquait de Lise. Malgré son statut de directrice, tout le monde lui lançait des regards lubriques et parfois même des propos salaces. Elle s’habitua à cette humiliation plus vite que je ne l’aurais cru. C’était tout particulièrement un jeune de vingt-trois ans dans son équipe, qui lui faisait le plus de remarques, ne ratant pas une occasion quand ils étaient en tête à tête dans son bureau.
Lise le décrivait comme un très beau jeune homme, c’était un algérien immigré qui travaillait en France. Il était sérieux, professionnellement parlant, mais il ne cachait plus son intérêt pour ma femme et lui lançait des remarques sur sa tenue, sur tout.
Ce fut le Jeudi, quand tout le monde ou presque avait quitté l’entreprise, qu’il rejoignit ma femme dans son bureau en fermant derrière lui. Elle s’étonna de le voir arriver et avant qu’elle n’ait put dire un mot. Il déboutonna son pantalon et exhiba devant un elle un grand sexe à moitié en érection.
- J’ai cru que tu aimais les grosses queues, Madame C. la mienne fait vingt centimètres, est-ce assez pour une salope comme toi ?
Elle était tellement choquée qu’elle ne put rien dire. Il avança vers elle, se pencha et l’embrassa à pleine bouche. Elle se laissa faire sans résister.
- C’est bien ce que je croyais, ricana-t-il.
Prenant la tête de ma femme entre ses mains, il enfonça sa queue dans sa bouche et se mit à faire des va-et-vient.
- Tu ne fais plus ta maline maintenant Madame la Directrice, je vais te montrer comment on traite les trainées dans ton genre ?
Excitée, elle commença à le pomper avec passion. Au bout de dix minutes, il se déversa dans sa bouche et se retira dans un grand soupir de soulagement.
- Mes amitiés à Marc, dit-il avec un sourire en partant.
Lise était en train de devenir la pute de service, plus personne ne la respectait comme autrefois. Même le Directeur Général, un homme d’un certain âge, lui proposa clairement une baise contre de l’argent mais elle l’ignora. Il le prit visiblement très mal car il m’envoya un email me sommant qu’à partir de la semaine prochaine, je devrais à nouveau travailler dans les locaux de l’entreprise.
Mon humiliation publique allait commencer.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Comme vous l'écrivez, vous aviez dépassé les bornes. Jusqu'où êtes-vous allés?
Ça part en vrille votre histoire. Quand à la femme elle est assez conne pour sucer sans savoir si le mec est sain.
Quand à 1 grossesse les gamins ne sont pas des objets. Donc de là à être assez conne pour tomber enceinte et se faire traiter comme de la merde dans l’entreprise et le couple ferme sa gueule !!!
A gerber. 😡👿🤬
Quand à 1 grossesse les gamins ne sont pas des objets. Donc de là à être assez conne pour tomber enceinte et se faire traiter comme de la merde dans l’entreprise et le couple ferme sa gueule !!!
A gerber. 😡👿🤬
Le titre donne envie, mais le corps n'est malheureusement vraiment pas terrible.