Lise & Marc (8) - Le Couple Perd le Contrôle
Récit érotique écrit par Marc_C [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Lise & Marc (8) - Le Couple Perd le Contrôle
Lise ne rentra pas ce soir-là et ne répondit à aucun de mes messages. Il fallut attendre demain en allant au boulot pour trouver Bilal en train de se venter dans notre département d’avoir « salement baisé » Lise. Tout le monde se moquait de moi. Je suis directement allé dans son bureau. Je la trouvai en train d’organiser son bureau.
- Lise, lui dis-je. C’est quoi ce bordel ? Ce n’est pas du tout comme ça que nous devions procéder.
Elle me regarda en fronçant les sourcils.
- Ah oui Marc ? Je pensais que c’était ce que tu voulais, que d’autres hommes me baisent.
Je fus stupéfait par sa froideur.
- J’étais d’accord tant que c’était une activité de couple, pour notre épanouissement personnel, mais là notre couple est en train de partir à la dérive et tu ne sembles pas t’en rendre compte.
Il se leva et vint vers moi.
- Marc, ne t’inquiètes pas, c’est toi que j’aime. Mais j’aime aussi ce nouvel épanouissement sexuel dans lequel je me trouve. Tu ne peux pas me donner ça.
Je me sentis blessé.
- Tu veux dire que tu as vécu dans la frustration avec moi pendant dix ans.
Elle soupira.
- Pas du tout, arrête avec ça. Mais je ne savais pas que de telles sensations existaient. Et puis qu’est-ce qu’on risque à bien y réfléchir ? Ce sont des rapports consentis. Ce n’est pas comme si on nous forçait à faire ça.
- Et ton amant qui s’invite chez nous pour faire comme chez lui tu trouves ça normal ?
Il me regarda en haussant les sourcils.
- Ça te plaisait bien de lui sucer la queue non ?
Je fus à nouveau blessé par sa remarque.
- Mais Lise, j’ai fait ça dans un contexte de jeu sexuel. Tu sais très bien que je ne suis pas gay.
Elle eut un sourire en coin.
- On n’aurait pas dit sur le coup mais de toutes manières, tu aurais pu arrêter les choses quand tu voulais.
- Comment ça ?
- Un mec qui vient chez toi imposer sa présence et toi qui ne fait rien, tu ne protestes pas, tu ne menace même pas d’appeler les flics. A mon sens, tu aimais ça.
Je rougis de honte, c’était vrai. Mais je ne pensais pas pouvoir faire ça sur le coup. Au moment où j’allais répondre, Bilal entra dans le bureau sans frapper.
- Regarde qui va là, dit-il en ricanant avant de venir à côté de ma femme, la prenant par la taille. Tu as demandé la permission de venir ici petite tapette ?
Je lui lançai un regard noir.
- Je n’ai pas besoin de permission pour parler à ma femme, répondis-je.
- Ta femme ?
Il ricana.
- Tu n’es le mari de personne, tu es peut-être la deuxième épouse de Yanis.
Je vis Lise rougir, gênée.
- Je voulais te demander si t’as bien aimé pomper la queue de Yanis mais j’ai préféré laisser ça pour le déjeuner pour faire profiter tout le monde.
Je sentis la colère monter en moi. Comment Lise avait-elle osé parler de ça ? Elle détourna le regard, ne voulant pas me confronter.
- Ça te dit de me sucer la mienne ? Continua Bilal. Tu pourrais faire équipe avec cette petite pute.
Ne sachant quoi répondre, je sortis du bureau, les laissant tous les deux.
Tout le reste de la journée, je dû subir les moqueries de tout le monde. Il ne fallu pas longtemps pour que tout le monde sache que non seulement j’étais le dernier des cocus mais que j’avais en plus sucé la queue de l’amant de ma femme. La situation me déprimait et paradoxalement m’excitait, je ne savais plus quoi faire pour sortir mon couple de cette spirale infernale. J’avais eu tort de choisir Yanis sans précautions, cet homme était un monstre qui n’avait aucune limite et il avait déjà ruiné nos deux réputations.
Contrairement à mes attentes, le soir, Lise rentra avec moi. Face à mes accusations, elle m’expliqua que ce n’était pas elle mais Yanis qui avait tout raconté à Bilal. Je ne décolérais pas pour autant. Le soir, nous nous sommes à peine adressé la parole à la maison. En entrant dans notre chambre, je dû quand même demander des explications :
- Lise, tu crois que nous pouvons arrêter ce cauchemar si jamais nous le voulons ?
Elle me regarda étonnée.
- Cauchemar ? Nous y trouvons tous les deux notre compte non ?
- Ce n’est pas ce que je veux dire, protestai-je, nous avons une famille, nous avons des carrières, de cette manière nous courrons droit vers notre perte. Il ne faut pas rester comme ça pour toujours.
Elle resta un moment silencieuse.
- Je dois y réfléchir.
Je sentis la colère m’envahir.
- Comment ça réfléchir ? Réfléchir à quoi ? Ce genre de choses ça ne marche que si tout le monde est concentrant, autrement dit, si je te demande d’arrêter tu devras le faire.
Pour toute réponse, elle se retourna de son côté du lit et éteint la lumière.
- Lise, lui dis-je. C’est quoi ce bordel ? Ce n’est pas du tout comme ça que nous devions procéder.
Elle me regarda en fronçant les sourcils.
- Ah oui Marc ? Je pensais que c’était ce que tu voulais, que d’autres hommes me baisent.
Je fus stupéfait par sa froideur.
- J’étais d’accord tant que c’était une activité de couple, pour notre épanouissement personnel, mais là notre couple est en train de partir à la dérive et tu ne sembles pas t’en rendre compte.
Il se leva et vint vers moi.
- Marc, ne t’inquiètes pas, c’est toi que j’aime. Mais j’aime aussi ce nouvel épanouissement sexuel dans lequel je me trouve. Tu ne peux pas me donner ça.
Je me sentis blessé.
- Tu veux dire que tu as vécu dans la frustration avec moi pendant dix ans.
Elle soupira.
- Pas du tout, arrête avec ça. Mais je ne savais pas que de telles sensations existaient. Et puis qu’est-ce qu’on risque à bien y réfléchir ? Ce sont des rapports consentis. Ce n’est pas comme si on nous forçait à faire ça.
- Et ton amant qui s’invite chez nous pour faire comme chez lui tu trouves ça normal ?
Il me regarda en haussant les sourcils.
- Ça te plaisait bien de lui sucer la queue non ?
Je fus à nouveau blessé par sa remarque.
- Mais Lise, j’ai fait ça dans un contexte de jeu sexuel. Tu sais très bien que je ne suis pas gay.
Elle eut un sourire en coin.
- On n’aurait pas dit sur le coup mais de toutes manières, tu aurais pu arrêter les choses quand tu voulais.
- Comment ça ?
- Un mec qui vient chez toi imposer sa présence et toi qui ne fait rien, tu ne protestes pas, tu ne menace même pas d’appeler les flics. A mon sens, tu aimais ça.
Je rougis de honte, c’était vrai. Mais je ne pensais pas pouvoir faire ça sur le coup. Au moment où j’allais répondre, Bilal entra dans le bureau sans frapper.
- Regarde qui va là, dit-il en ricanant avant de venir à côté de ma femme, la prenant par la taille. Tu as demandé la permission de venir ici petite tapette ?
Je lui lançai un regard noir.
- Je n’ai pas besoin de permission pour parler à ma femme, répondis-je.
- Ta femme ?
Il ricana.
- Tu n’es le mari de personne, tu es peut-être la deuxième épouse de Yanis.
Je vis Lise rougir, gênée.
- Je voulais te demander si t’as bien aimé pomper la queue de Yanis mais j’ai préféré laisser ça pour le déjeuner pour faire profiter tout le monde.
Je sentis la colère monter en moi. Comment Lise avait-elle osé parler de ça ? Elle détourna le regard, ne voulant pas me confronter.
- Ça te dit de me sucer la mienne ? Continua Bilal. Tu pourrais faire équipe avec cette petite pute.
Ne sachant quoi répondre, je sortis du bureau, les laissant tous les deux.
Tout le reste de la journée, je dû subir les moqueries de tout le monde. Il ne fallu pas longtemps pour que tout le monde sache que non seulement j’étais le dernier des cocus mais que j’avais en plus sucé la queue de l’amant de ma femme. La situation me déprimait et paradoxalement m’excitait, je ne savais plus quoi faire pour sortir mon couple de cette spirale infernale. J’avais eu tort de choisir Yanis sans précautions, cet homme était un monstre qui n’avait aucune limite et il avait déjà ruiné nos deux réputations.
Contrairement à mes attentes, le soir, Lise rentra avec moi. Face à mes accusations, elle m’expliqua que ce n’était pas elle mais Yanis qui avait tout raconté à Bilal. Je ne décolérais pas pour autant. Le soir, nous nous sommes à peine adressé la parole à la maison. En entrant dans notre chambre, je dû quand même demander des explications :
- Lise, tu crois que nous pouvons arrêter ce cauchemar si jamais nous le voulons ?
Elle me regarda étonnée.
- Cauchemar ? Nous y trouvons tous les deux notre compte non ?
- Ce n’est pas ce que je veux dire, protestai-je, nous avons une famille, nous avons des carrières, de cette manière nous courrons droit vers notre perte. Il ne faut pas rester comme ça pour toujours.
Elle resta un moment silencieuse.
- Je dois y réfléchir.
Je sentis la colère m’envahir.
- Comment ça réfléchir ? Réfléchir à quoi ? Ce genre de choses ça ne marche que si tout le monde est concentrant, autrement dit, si je te demande d’arrêter tu devras le faire.
Pour toute réponse, elle se retourna de son côté du lit et éteint la lumière.
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10 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire aberrante et absurde qui ne tient pas la route … encore un sado maso qui tente de repousser les limites …
Le plus frappant c'est lorsqu'elle lui dit l'aimer, mais ne place pas Marc au dessus mais le sexe au dessus. Et quand le mec la prend par la taille.... Il est où l'amour. Ce n'est pas que du sexe....
Là ce n’est plus 1 entreprise c’est 1 endroit à pute.
Le DRH et les autres CASOS se sont transformé en maquereau. 🤷♀️
La chipie 🤧
Le DRH et les autres CASOS se sont transformé en maquereau. 🤷♀️
La chipie 🤧
Madame la directrice se tourne, éteint la lumière et fait la gueule surement. Mais Marc a raison, il faut réagir maintenant, je serais lui dont la colère commence a monter, lorsque l'amant vient à la maison, je ferai semblant de me soumettre et au moment ou il croit avoir le pouvoir, tu sort un coupe choux et tu lui met sous les couilles. On va voir le grand costaud chialer si il tient a ses orphelines. Lise ne doit pas oublier qu"au départ c"était un fantasme consentis et qu'ils ont une petite fille.
Comme mentionne Olga cette histoire est pratiquement impossible. Comment un patron peut-il tolérer un tel bordel dans son entreprise.
Marc devrait donner un ultimatum à Lise et exiger un changement de comportement immédiat. A défaut d’un acceptation de la part de Lise ils devront voguer séparément sur l’océan des célibataires.
Il n’est jamais trop tard pour retrouver le droit chemin.
Marc devrait donner un ultimatum à Lise et exiger un changement de comportement immédiat. A défaut d’un acceptation de la part de Lise ils devront voguer séparément sur l’océan des célibataires.
Il n’est jamais trop tard pour retrouver le droit chemin.
Interesting!
Comment le patron de cette entreprise peut-il tolérer que sa boite se transforme ainsi en lupanar? Que chacun fasse ce qu'il veut dans sa vie privée, d'accord, mais sur son lieu de travail?
Chronique d'une déchéance annoncée!
Lise dit qu’elle l’aime et recherche juste un épanouissant sexuel alors pourquoi elle accepte que Bilal la prenne par la taille au bureau et insulte son mari? pour moi leur couple est terminé Marc a un seul choix se séparer de cette femme toxique et quitter l’entreprise si elle refuse d’arrêter
Marc réagit tardivement dès que yanis est rentré chez eux puis est venu tous les soirs les humiliations qu’il a reçu lise ne réagissait pas et en plus il accepte qu’elle parte passer une nuit chez bilan son couplé n’allait pas bien mais maintenant il a volen éclat lise y a trouvé son épanouissant et ne semble pas disposée à faire marche arrière toutefois le patron pourrait maître un halte là du fait des rapports entre sa directrice les employés et un client sans lui même en profiter