Lise & Marc (11) - La Fin du Couple - histoire érotique

- Lise il faut arrêter ça, suppliai-je ma femme.
C’était deux jours après que Lise suça tout son département.
- La situation est hors de contrôle et on va se perdre et perdre notre famille si on continue sur cette lancée.
Lise, assise au salon, ne répondait pas, le regard dans le vide. Elle portait une mini-jupe et un décolleté, elle attendait Yanis qui devait venir.
- Réponds-moi je t’en prie.
Elle tourna finalement son regard vers moi.
- Détends-toi mon chéri, quand Yanis viendra tu te sentiras plus à l’aise comme d’habitude.
Je ressentis une vague de honte m’envahir. C’était ça que j’étais devenu aux yeux de ma femme ? Un mari faible et lopette qui a lui aussi besoin de se faire baiser par l’amant de sa femme pour se sentir mieux.
- Mais je ne veux pas qu’il vienne, lui dis-je. Je veux qu’on reparte d’ici, on trouvera d’autres boulots.
- Il n’est pas question que nous partions, j’ai travaillé dur pour devenir directrice.
Je souris tristement.
- Parce que tu crois que tu es une directrice ? Tu es le vide couilles du département Lise réveille toi.
Elle me lança un regard noir.
- Peut-être que je suis le vide couilles du département parce que mon mari en a voulu ainsi.
Je me sentais de plus en plus mal.
- Je sais et je regrette, j’aurais dû être plus prudent dans la sélection de ton amant et je…
La sonnerie retentit. Lise se leva.
- C’est Yanis, dit-elle, tâche de faire meilleure figure s’il te plaît ou va t’enfermer à l’intérieur.
Elle alla ouvrir et je viens Yanis apparaître avec Omar et Bilal. Le fait de voir ces trois là en groupe m’angoissa. Yanis roula une pelle à Lise ensuite me regarda. Apparemment, il était très évident que je faisais la gueule.
- Qu’est-ce qui se passe petite merde ? C’est comme ça qu’on accueille son maître ?
Rougissant, je ne répondis pas. Je n’étais jamais capable de tenir tête à Yanis et il faisait de moi ce qu’il voulait. Il regarda ma femme :
- Qu’est-ce qu’il a ton trou-de-cul de mari ?
Lise me regardait sombrement ensuite elle dit :
- Il veut que nous arrêtions de nous voir Yanis.
Il me regarda avec de gros yeux et senti mon estomac se nouer. Lise m’avait trahi sans hésiter.
- Ah oui ? Il a dit ça ? Marmonna Yanis.
Omar et Bilal ne bougeaient pas. Yanis eut un regard méprisant.
- Lopette, tu crois vraiment pouvoir convaincre Lise de me quitter ?
Je ne répondis pas, alors il se tourna vers Lise.
- Tu as envie d’arrêter de me voir toi ?
- Non Yanis, j’ai envie de te voir.
Il me fixa.
- Viens ici toi.
Comme je ne bougeais pas, il ajouta.
- Tu as intérêt à venir sinon ça va mal se passer pour toi.
Tremblant, je me suis avancé vers lui.
- Tu vas déshabiller ta femme. Exécution.
Comme j’hésitais, il me prit par la nuque :
- Tu as intérêt à faire tout ce que je dis si tu ne veux pas que je te brise le cou ce soir.
Yanis commençait à me faire peur, mais je commençais aussi à ressentir l’excitation s’éveiller en moi. Comme un soumis, j’ai déshabillé ma femme devant les trois hommes.
Yanis demanda à ma femme :
- Tu préfères être avec ta salope de mari ou avec moi ?
- Avec toi Yanis, répondit-elle sans hésiter.
Je me sentais humilié comme jamais.
- Lopette, dit Yanis en s’adressant à moi, déshabille-toi totalement et ne m’oblige pas à me répéter.
Je me suis exécuté.
- Regardez les gars, dit Omar en rigolant, sa petite bite bande, on dirait qu’il aime cette situation.
- Je vous ai bien dit qu’il n’était qu’une salope soumise, rigola Yanis, il est plus pute que sa femme.
Les trois hommes me regardaient avec mépris.
- Ce n’est pas fini, tu vas maintenant nous déshabiller tous les trois en commençait par les autres et en me gardant en dernier.
J’étais à nouveau rentré dans le cercle vicieux de Yanis. J’étais terriblement excité en déshabillant ces mâles qui allaient défoncer ma femme et probablement défoncer moi aussi. Quand son tour arriva, il me laissa le déshabiller entièrement et quand je me suis baissé pour lui enlever son boxer, il me garda à genoux, enlevant ses sous-vêtements tout seul.
Sortant sa grosse bite devant mon visage, il me dit :
- Ouvre ta bouche de salope Marc, je vais te donner une leçon aujourd’hui. Tu as besoin qu’on te rappelle où est ta place.
Je le pris en bouche et je commençai à le sucer sous le regard narquois des autres et de Lise. Je ne pouvais rien faire, je me sentais enchaîné.
- Approche-toi, fit-il à ma femme qui vint se coller à lui alors que je le suçais.
Il me tenait la tête avec la main, guidant le mouvement.
- Cette petite tapette pense qu’elle a du pouvoir, dit-il à Lise. Je veux lui montrer une réalité qu’il ne semble pas avoir assimilé.
Il se pencha et embrassa Lise. Les deux commencèrent à s’embrasser fougueusement, avec passion.
- Lise, dit Yanis en arrêtant son baiser, tu es la femelle de qui ?
- Je suis ta femelle Yanis.
- Je fais de toi ce que je veux.
- Oui, ce que tu veux, je suis totalement à toi.
M’attrapant par les cheveux pour m’obliger à arrêter la fellation, il me força à les regarder d’en bas.
- De qui tu es amoureuse Lise ?
- De toi Yanis, je suis amoureuse de toi.
Je sentis mon cœur se briser. C’était vrai, que Lise puisse être amoureuse de Yanis ne m’avait jamais effleuré l’esprit.
- C’est bien, dit-il en lui attrapant une fesse avec la main, je fais de toi ce que je veux. Je peux même te mettre enceinte si ça me chante.
Je sentis mon cœur se glacer.
- Oui Yanis mon amour, mets moi enceinte.
J’étais toujours à genoux devant Yanis. Ma femme venait d’avouer à son amant qu’elle était amoureuse de lui, l’amant que je suçais.
- On va donner une bonne leçon à ton mari pour qu’il ne l’oublie pas alors.
Il se tourna vers moi et les deux autres le rejoignirent. Encerclés par trois queues, je savais ce qu’ils attendaient de moi. Je me mis à les sucer comme le soumis humilié que j’étais, sous le regard d’une femme qui ne voulait plus être mienne.
Pendant tout le reste de la soirée, sous mon regard lubrique et brisé, je vis ma femme se faire prendre de toutes les manières possibles par ces trois hommes virils qui voulaient autant la baiser que m’humilier. A la fin, Bilal et Omar rentrèrent et Yanis passa la nuit chez nous, dans notre lit conjugal avec Lise.
Le lendemain, la partie se terminait officiellement. Lise m’annonça au petit-déjeuner qu’elle allait déménager chez Yanis et qu’elle allait demander le divorce. Malgré mes supplications, elle s’en alla et ne revient plus jamais à la maison.
Voici comment deux mois avaient suffis pour que je perdre ma famille, à cause d’un fantasme qui me rongeait et qui me ronge encore à ce jour. Je dû bien sûr démissionner du boulot quelques semaines plus tard et rentrer chez moi pour m’occuper de ma fille.
Jusqu’à ce jour, Lise, bien que non mariée avec Yanis, continue de vivre avec lui.