Lise & Marc (3) - Humiliation de Marc
Récit érotique écrit par Marc_C [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 14 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Marc_C ont reçu un total de 122 602 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 8 962 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Lise & Marc (3) - Humiliation de Marc
J’étais tellement stupéfait que je ne trouvai rien à dire. Lise avait adopté un air sérieux pour la situation, Yanis me regardait étrangement en revanche.
- Je lui ai tout dit mon chéri, me dit-elle.
- Pardon ? Quoi tout ?
Yanis avança à ma rencontre en me tendant la main, je la pris. Il me la serra ensuite dit :
- Ta femme m’a dit que tu aimais la voir se faire baiser devant toi.
J’ai jeté un regard perplexe à Lise, apparemment, elle ne lui avait pas dit que c’était sa première expérience. Je ne comprenais pas du tout la situation dans laquelle nous étions, les questions se bousculaient dans mon cerveau.
- Viens ici toi, dit-il en s’adressant à Lise.
Elle vint docilement à lui.
- Montre à ton cocu ce que je t’ai fait.
Elle déboutonna son pantalon et le baissa légèrement pour laisser apparaitre sa culotte. Elle me prit la main et l’introduit dans sa chatte.
- Tu sens ? Me dit-elle avec un sourire coquin.
Sa chatte était gluante.
- Je me suis vidé les couilles dans ta pute de femme, dit Yanis en me regardant de haut. Je lui ai dis qu’à partir de maintenant elle était à moi. Tu as quelque chose à dire ?
Je nageais dans la confusion la plus totale. Mon fantasme, ou plutôt notre fantasme, venait de prendre des ampleurs qui n’étaient pas du tout attendues. Cet homme avait réussi à dresser ma femme en quelques heures au point où elle l’avait invité chez nous ? Je ne comprenais rien.
J’ai regardé timidement Yanis. Il était vraiment grand, avoisinant facilement les un mètre quatre-vingt-dix, tout en muscles, la peau bronzée. Il était un colosse comparé à moi.
- Non, répondis-je troublé.
Il sourit.
- Je ne m’attendais pas à autre chose de la part d’un cocu. Ta salope d’épouse m’a dit qu’elle t’a fait goûter mon foutre hier, tu as aimé j’espère ?
Je rougis, sans pouvoir articuler le moindre mot. Cet homme, était en train de m’humilier devant ma femme et je trouvais la situation irréelle. Je le vis se déshabiller entièrement devant moi, ordonnant à ma femme de faire pareil.
- Toi aussi, tu vas te déshabiller le cocu.
Tremblant, j’enlevai mes vêtements docilement. Excité par ce qu’il faisait, Yanis bandait déjà comme un âne. Sa queue devait facilement faire dans les 23-24 centimètres, bien épaisse, bien raide, sans imperfection. Ce n’était pas étonnant que Lise soit tombée sous le charme.
- Assis-toi toi et regarde, m’ordonna-t-il.
Je me suis assis sur le canapé et je vis Yanis mettre Lise à quatre pattes sur le canapé en face de moi.
- Je vais baiser ta femme devant toi petite merde, tu vas adorer.
Sans la ménager, il se mit à baiser Lise devant moi comme s’il avait fait ça toute sa vie. Il s’enfonçait en elle jusqu’aux couilles et ma femme couinait comme la salope qu’elle était devenue. Ce spectacle dura plusieurs minutes pendant lesquelles je me dis moi-même à bander et à me toucher, je sentais la chaleur irradier dans mon visage tellement j’étais fasciné.
Yanis, se retirant de Lise, se dirigea vers moi.
- A ton tour maintenant !
Je sentis un frisson me parcourir le corps.
- Mais… je ne suis pas gay moi.
Il éclata de rire.
- Parce que tu croyais que j’allais te baiser ? Tu es une lopette mais moi je ne m’intéresse qu’aux chattes. Par contre tu as une gueule de pute et je veux montrer à ta femme qui commande.
Je reçu l’insulte sans broncher. Il rapprocha sa queue près de mon visage.
- Tu vas prendre ma queue en main et déposer un bisou sur mon gland.
J’ai jeté un regard gêné à Lise qui ne semblait pas du tout gênée de son côté. Elle me regardait paisiblement comme si la demande de son amant était normale.
Me sentant piégé et humilié, je pris sa lourde queue en main. Elle était plus lourde que je ne le pensais et elle était visqueuse. La positionnant devant moi, j’ai déposé un bisou rapide sur son gland.
Yanis sourit, visiblement fier.
- Viens ici, dit-il à Lise.
Elle se rapprocha docilement de lui et se mit à genoux.
- Je veux que tu regarde ta lopette de mari me sucer la queue.
La nouvelle m’horrifia mais avant que je ne puisse protester, il me tint solidement par la nuque et força sa queue dans ma bouche. J’avais les larmes aux yeux. J’étais en train de me faire humilier devant la femme de ma vie, j’avais la queue d’un homme en bouche devant elle, un homme qui venait de la baiser, et en plus… je bandais.
C’était un sentiment étrange le fait d’avoir une queue en bouche. Celle de Yanis était impressionnante, mais je fus surpris par la chaleur du membre et par sa douceur. En réalité, ce n’était pas du tout désagréable. Sous le regard de ma femme, je laissai Yanis se servir de ma bouche langoureusement, sans retenue.
- Tu suces aussi bien que ta pute, petite fiote. Aide-le-toi, rugit-il en s’adressant à ma femme.
Elle se baissa et prit les testicules de Yanis en bouche alors que je continuais à le sucer. Je bandais tellement que je sentais que j’étais sur le point d’éjaculer mais ça aurait été l’humiliation de trop. Les choses s’accélèrent ensuite, ma femme et moi, instinctivement, nous nous mimes à faire équipe pour satisfaire cet homme viril qui humiliait notre couple. Un coup c’était moi qui lui suçais les boules, un coup c’était moi qui suçais et même par moment, nous lui léchions la queue ensemble.
J’étais tellement dans mon trip que je remarquais à peine quand il retira sa queue et qu’il m’envoya au visages plusieurs grosses giclées de sperme bien dense. Mon éjaculation n’était rien comparée à ça. La sensation de recevoir du sperme sur le visage était incroyablement excitante, même pour un homme hétéro comme moi, le contact du sperme chaud avec mon visage et la sensation d’être souillé comme une salope étaient enivrantes.
- Tu es une bonne salope, me dit Yanis, si tu n’étais pas tout nu je croirais que tu as une chatte.
Il se tourna ensuite vers Lise.
- Vas-y, nettoie ta fiotte de mari avec ta langue.
Lise s’approcha de moi et se mit à lécher le sperme sur mon visage. J’étais tellement excité malgré l’humiliation que je venais de subir que je finis par éjaculer.
- Regarde-moi cette petite pédale, dit Yanis après mépris. Il a adoré ça apparemment. Ça tombe bien, tu vas le revoir ma queue. Je suis tombé sur une salope, on m’en donne une autre en prime.
- Je lui ai tout dit mon chéri, me dit-elle.
- Pardon ? Quoi tout ?
Yanis avança à ma rencontre en me tendant la main, je la pris. Il me la serra ensuite dit :
- Ta femme m’a dit que tu aimais la voir se faire baiser devant toi.
J’ai jeté un regard perplexe à Lise, apparemment, elle ne lui avait pas dit que c’était sa première expérience. Je ne comprenais pas du tout la situation dans laquelle nous étions, les questions se bousculaient dans mon cerveau.
- Viens ici toi, dit-il en s’adressant à Lise.
Elle vint docilement à lui.
- Montre à ton cocu ce que je t’ai fait.
Elle déboutonna son pantalon et le baissa légèrement pour laisser apparaitre sa culotte. Elle me prit la main et l’introduit dans sa chatte.
- Tu sens ? Me dit-elle avec un sourire coquin.
Sa chatte était gluante.
- Je me suis vidé les couilles dans ta pute de femme, dit Yanis en me regardant de haut. Je lui ai dis qu’à partir de maintenant elle était à moi. Tu as quelque chose à dire ?
Je nageais dans la confusion la plus totale. Mon fantasme, ou plutôt notre fantasme, venait de prendre des ampleurs qui n’étaient pas du tout attendues. Cet homme avait réussi à dresser ma femme en quelques heures au point où elle l’avait invité chez nous ? Je ne comprenais rien.
J’ai regardé timidement Yanis. Il était vraiment grand, avoisinant facilement les un mètre quatre-vingt-dix, tout en muscles, la peau bronzée. Il était un colosse comparé à moi.
- Non, répondis-je troublé.
Il sourit.
- Je ne m’attendais pas à autre chose de la part d’un cocu. Ta salope d’épouse m’a dit qu’elle t’a fait goûter mon foutre hier, tu as aimé j’espère ?
Je rougis, sans pouvoir articuler le moindre mot. Cet homme, était en train de m’humilier devant ma femme et je trouvais la situation irréelle. Je le vis se déshabiller entièrement devant moi, ordonnant à ma femme de faire pareil.
- Toi aussi, tu vas te déshabiller le cocu.
Tremblant, j’enlevai mes vêtements docilement. Excité par ce qu’il faisait, Yanis bandait déjà comme un âne. Sa queue devait facilement faire dans les 23-24 centimètres, bien épaisse, bien raide, sans imperfection. Ce n’était pas étonnant que Lise soit tombée sous le charme.
- Assis-toi toi et regarde, m’ordonna-t-il.
Je me suis assis sur le canapé et je vis Yanis mettre Lise à quatre pattes sur le canapé en face de moi.
- Je vais baiser ta femme devant toi petite merde, tu vas adorer.
Sans la ménager, il se mit à baiser Lise devant moi comme s’il avait fait ça toute sa vie. Il s’enfonçait en elle jusqu’aux couilles et ma femme couinait comme la salope qu’elle était devenue. Ce spectacle dura plusieurs minutes pendant lesquelles je me dis moi-même à bander et à me toucher, je sentais la chaleur irradier dans mon visage tellement j’étais fasciné.
Yanis, se retirant de Lise, se dirigea vers moi.
- A ton tour maintenant !
Je sentis un frisson me parcourir le corps.
- Mais… je ne suis pas gay moi.
Il éclata de rire.
- Parce que tu croyais que j’allais te baiser ? Tu es une lopette mais moi je ne m’intéresse qu’aux chattes. Par contre tu as une gueule de pute et je veux montrer à ta femme qui commande.
Je reçu l’insulte sans broncher. Il rapprocha sa queue près de mon visage.
- Tu vas prendre ma queue en main et déposer un bisou sur mon gland.
J’ai jeté un regard gêné à Lise qui ne semblait pas du tout gênée de son côté. Elle me regardait paisiblement comme si la demande de son amant était normale.
Me sentant piégé et humilié, je pris sa lourde queue en main. Elle était plus lourde que je ne le pensais et elle était visqueuse. La positionnant devant moi, j’ai déposé un bisou rapide sur son gland.
Yanis sourit, visiblement fier.
- Viens ici, dit-il à Lise.
Elle se rapprocha docilement de lui et se mit à genoux.
- Je veux que tu regarde ta lopette de mari me sucer la queue.
La nouvelle m’horrifia mais avant que je ne puisse protester, il me tint solidement par la nuque et força sa queue dans ma bouche. J’avais les larmes aux yeux. J’étais en train de me faire humilier devant la femme de ma vie, j’avais la queue d’un homme en bouche devant elle, un homme qui venait de la baiser, et en plus… je bandais.
C’était un sentiment étrange le fait d’avoir une queue en bouche. Celle de Yanis était impressionnante, mais je fus surpris par la chaleur du membre et par sa douceur. En réalité, ce n’était pas du tout désagréable. Sous le regard de ma femme, je laissai Yanis se servir de ma bouche langoureusement, sans retenue.
- Tu suces aussi bien que ta pute, petite fiote. Aide-le-toi, rugit-il en s’adressant à ma femme.
Elle se baissa et prit les testicules de Yanis en bouche alors que je continuais à le sucer. Je bandais tellement que je sentais que j’étais sur le point d’éjaculer mais ça aurait été l’humiliation de trop. Les choses s’accélèrent ensuite, ma femme et moi, instinctivement, nous nous mimes à faire équipe pour satisfaire cet homme viril qui humiliait notre couple. Un coup c’était moi qui lui suçais les boules, un coup c’était moi qui suçais et même par moment, nous lui léchions la queue ensemble.
J’étais tellement dans mon trip que je remarquais à peine quand il retira sa queue et qu’il m’envoya au visages plusieurs grosses giclées de sperme bien dense. Mon éjaculation n’était rien comparée à ça. La sensation de recevoir du sperme sur le visage était incroyablement excitante, même pour un homme hétéro comme moi, le contact du sperme chaud avec mon visage et la sensation d’être souillé comme une salope étaient enivrantes.
- Tu es une bonne salope, me dit Yanis, si tu n’étais pas tout nu je croirais que tu as une chatte.
Il se tourna ensuite vers Lise.
- Vas-y, nettoie ta fiotte de mari avec ta langue.
Lise s’approcha de moi et se mit à lécher le sperme sur mon visage. J’étais tellement excité malgré l’humiliation que je venais de subir que je finis par éjaculer.
- Regarde-moi cette petite pédale, dit Yanis après mépris. Il a adoré ça apparemment. Ça tombe bien, tu vas le revoir ma queue. Je suis tombé sur une salope, on m’en donne une autre en prime.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Marc_C
5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
La lectrice donne son avis et le couple est tombé sur 1 prédateur qui est entrain de les faire sombrer dans 1 déchéance. 😡
Mon commentaire ne vous convient pas faites abstraction !!! 🤷♀️
La chipie
Mon commentaire ne vous convient pas faites abstraction !!! 🤷♀️
La chipie
Je ne voudrais pas montrer un caractère de suiveur mais comme Olga, je pense qu'il s'agit ici de cuckolding plusque de candaulisme !Quant à la "lectrice" je pense qu'elle ne mérite même pas un commentaire ! Didier
Ce n'est plus du candaulisme, c'est du cuckold, où le mari est humilié. Jusqu'où est allée cette dérive?
Encore 1 con de misogyne qui se prends pour 1 mâle alors que c’est 1 lopette lui aussi.
Vu qu’il critique le mec en l’insultant de PD mais en attendant il accepte de se faire sucer.
C’est du réel ou virtuel ?
Quand au couple ils sont assez couillon pour se faire écraser comme 1 vulgaire insecte sans oublier la prise de risque !!!
Encore 1 histoire ou le mec va finir la bite en cage et la femme sur le « trottoir ». 🤦♀️
Vu qu’il critique le mec en l’insultant de PD mais en attendant il accepte de se faire sucer.
C’est du réel ou virtuel ?
Quand au couple ils sont assez couillon pour se faire écraser comme 1 vulgaire insecte sans oublier la prise de risque !!!
Encore 1 histoire ou le mec va finir la bite en cage et la femme sur le « trottoir ». 🤦♀️
trop bon vivement la suite Monsieur j ai adoré