Lise soumise

- Par l'auteur HDS RenaudetLise -
Auteur couple.
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Récit libertin : Lise soumise Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Lise soumise
Lise soumise
Lise est ma maîtresse et je suis son amant. Egalement son soumis, et cocu en plus. Ce qu’il y a de terrible dans tout cela c’est que j’adore ma situation, elle est complètement acceptée pour le plaisir de tous les deux.
J’organise des rencontres pour Lise, avec d’autres hommes qui la baisent et la font jouir comme une folle en ma présence. Lise m’avoue que ça décuple son plaisir, me sachant voyeur de sa débauche coquine.

Quelques temps après ses ébats torrides avec Ahmed, notre jardinier, elle manifeste l’envie de retourner au sex-shop, témoin de son premier gloryhole qui fut une belle réussite. Elle voudrait se procurer quelques tenues sexy pour ses futures aventures. Nous avions bien sympathisé avec le patron d’ailleurs.

Nous voilà dans la place, Lise, comme à son habitude, farfouille à droite et à gauche. Le patron nous a accueilli chaleureusement, d’ailleurs j’ai la nette impression que Lise lui plaît et que c’est réciproque. Il l’a bien scrutée, de haut en bas. Il est vrai qu’avec une jupe longue tendue et son chemisier très fin, ses formes étaient bien visible, mollets galbés, cuisses fermes, ventre un peu rond et surtout seins gonflés en forme de poire.

C’est un bel homme, vers la cinquantaine je pense, tempes grisonnante, le regard gris vert.
Il est charmant, chemise bleu ciel ouverte sur une jolie toison, bien conservé le bonhomme.
Il s’enquiert près de nous, demandant si tout va bien, etc… Il montre des belles petites nuisettes à Lise, des robes moulantes en cuir, notamment une combinaison pour dominatrice, cuir et qui s’ouvre aux endroits stratégiques. Elle est ravie, papote avec lui, il la guide vers d’autres rayons qui présentent menottes, lanières, cravaches. Lise se montre intéressée et impressionnée.

D’autres clients arrivent, le patron nous délaisse, nous continuons nos investigations. La belle tombe sur des objets qui la fascinent, des coques en forme de pénis, avec des anneaux, un cadenas.
« Ce sont des cages de chasteté, madame ». Nous ne l’avions pas vue s’approcher, c’est une jolie femme, la cinquantaine, moulée dans un tailleur noir, chaussures à talon avec une blouse blanche qui laisse entrevoir la naissance de deux seins dressés, agressifs. Je crois qu’il n’y a pas de soutien gorge.
Je ne peux m’empêcher de comparer, : les seins de ma Lise sont lourds, en forme de poires, des jolis mamelons appétissants. Ceux de la femme sont plus petits, dressés, des pointes noires laissent deviner de longs tétons bien durs.
C’est une dominatrice aussi, je pense, elle m’effraie un peu. Je préfère ma Lise, ses beaux seins accueillants, la chaleur de son corps.
Elle poursuit : « Des cages de chasteté, elles servent à bien dominer nos hommes, on enferme l’oiseau et madame conserve la clé du cadenas. Les hommes deviennent bien dociles au bout de quelques jours, si vous voyez ce que je veux dire. » Je pense qu’elle nous a bien jaugés, Lise dominatrice du couple et moi son soumis.

En fait c’est la femme du patron. Comme Lise est très intéressée, elle nous propose un essayage, dans une petite pièce du fond. Lise, la coquine, fait celle qui n’y connaît rien et demande à la patronne si elle veut bien nous accompagner. Mince, elles vont me mettre en cage, mon cœur s’affole mais au fond, je sais que je vais y passer et que je vais adorer.
Nous voici dans la pièce, moi debout, les deux femmes assises devant moi, à la bonne hauteur. Lise claque des doigts : « Descends ton fute ! ». Rougissant je m’exécute, les femmes attendent, un sourire moqueur aux lèvres, je déballe ma queue tendue, évidemment. « Mais ça ne va pas du tout », fait la patronne, on ne pourra pas lui mettre il bande trop fort. On attend quelques minutes, la situation est telle que, rien à faire, je ne débande pas, impossible dans ce contexte.

Au bout d’un moment la patronne suggère carrément de me branler pour régler le problème. Lise saisit ma verge et commence une masturbation méthodique, j’ai honte et en même temps je suis excité comme jamais avec une spectatrice qui me regarde. Je tends mon bassin, ma queue à ces deux belles femelles. Bientôt la patronne prend le relais, elle me saisit les couilles dans une main et de l’autre elle m’astique à toute vitesse. Elles se relaient les deux garces et très vite l’orgasme me prend. De longs jets de sperme partent au-dessus des épaules des femmes, elles évitent les giclées de justesse, je reconnais que je suis fier. Ma queue devient flasque et propice aux essayages.
Après quelques ajustements ma bite molle se retrouve encagée dans une coque en silicone noir, Lise y pose le cadenas et met la clé dans son sac à main.

La patronne lui explique que la cage est prévue pour uriner assis, elle permet de se doucher, et qu’on peut la garder le temps que la maîtresse décide.
Elles discutent encore un moment et j’apprends que son mari est un « maître », un homme qui sait dominer et que si Lise est tentée elle sera convoquée avec moi, son soumis, pour une séance mémorable.
A ma grande surprise Lise donne son consentement, elle sera contactée par mail pour sa prochaine convocation. Cette dernière arrive rapidement, une semaine plus tard.

Ca y est, nous sommes dans le sex-shop, à l’étage. Le patron, le maître va nous recevoir. Sa femme nous guide vers l’escalier de l’arrière-boutique.
Pour la circonstance Lise a reçu les consignes vestimentaires. Pas de sous-vêtements, elle est nue sous une robe-blouse vaporeuse, large, transparente, ses gros seins ballottent délicieusement au rythme de ses pas. Cette robe mi longue gris clair, fendue sur l’avant, laissant voir ses belles jambes, elle n’a pas de culotte.
Le maître nous accueille en haut de l’escalier, pieds nus, pantalon cuir, t-shirt blanc moulant, belle musculature, il dévisage Lise, la prend par la main et lui chuchote à l’oreille, assez fort pour que j’entende : « Le gars que tu as sucé l’autre fois, et bien c’était moi, ma belle. Aujourd’hui on va remettre ça et même encore plus, à genoux ! »Abasourdie un peu, il faut bien le dire, Lise s’exécute. Le patron ouvre sa braguette, déballe son sexe lourd, bien bandé déjà. Bizarrement je reconnais bien la queue du gloryhole.

« Suce ! », l’ordre est tombé. Curieusement Lise se met à l’ouvrage, elle prend la bite gonflée entre ses doigts et l’absorbe entre ses belles lèvres. Je suis à côté et j’accepte la situation. Lise fait coulisser cette queue tendue entre ses lèvres, le maître grogne de contentement : « Vas-y, salope, prends la bien au fond, toi le cocu mets-toi à poil ! ». Subjugué, je m’exécute, j’ai oublié de dire que la consigne était de porter ma cage de chasteté. Cela fait une semaine que je l’ai, mes seuls plaisirs ont été de lécher Lise et de l’amener au plaisir, pour moi frustration complète, mais j’aime cela.

Lise s’active, elle pompe ce dard puissant qui lui baise la bouche, le gars lui a saisi la tête, une main sous le menton et l’autre derrière et il pousse sa verge au fond de la gorge de ma Lise. Elle a eu l’ordre de mettre ses mains dans le dos. Elle me jette des regards appuyés et elle semble apprécier le traitement. L’autre l’encourage sans arrêt : « Suce bien fort, salope, c’est bien, super bien au fond ! Ah je te baise bien ta bouche de chienne, continue, je vais te jouir dedans ». Un râle de plaisir deux trois allers-retours puissants encore et je vois Lise qui s’étrangle. Il est venu au fond de sa gorge le salaud, elle recrache ce qu’elle peut mais comme il la maintient bien contre lui elle en avale une bonne partie. Enfin il la libère. « Alors salope, tu as aimé mon foutre ? » Lise ne sait pas quoi répondre, elle est toute chose, il l’empoigne par le bras, « Viens par ici, ça ne fait que commencer ».
Il la guide vers le fond de la pièce, il la déshabille et, nue, la plaque contre une croix de saint André. Il l’attache aux poignets, aux chevilles mais également par les cuisses. Lise est totalement immobilisée.
Je reçois l’ordre de me mettre à genoux, juste à côté. Je suis nu aussi. Mon sexe aimerait bien se tendre mais il est comprimé dans cette foutue cage, c’est atroce et délicieux en même temps. Comme c’était convenu, Lise porte la clé du cadenas, en collier, entre ses seins, le maître s’en amuse d’ailleurs. Il lui malaxe les seins, il tire sur les tétons, les tord, gifle les mamelles tendues. Les yeux de la belle soumise se révulsent, aucun danger, ils ont convenu d’un mot de sécurité que je connais aussi, si l’un de nous deux le prononce, la séance s’arrêtera aussitôt, c’est convenu ainsi. Je vois les seins grossir, les tétons gonflent sous le traitement infligé. Lise semble en extase.

Le maître m’ordonne de m’agenouiller entre les cuisses de Lise et de la lécher pendant qu’il lui maltraite les seins. Elle coule déjà abondamment et je lèche sa mouille du mieux que je peux, ça coule le long de ses cuisses, je lèche encore et encore, elle crie son plaisir, le premier orgasme la saisit violemment. Elle balbutie : « Encore, encore, je veux encore… ». Le maître rigole, « Mais tu es une vraie salope, toi, Tu vas voir ce que je vais te mettre ! ».
Il m’ordonne de lécher les pieds et surtout les orteils de la belle. Lui se munit d’une fine lanière en cuir et entreprend les seins et le ventre de Lise, des coups partent par moment entre ses cuisses et flagellent les lèvres gonflées de sa chatte luisante de mouille. Elle hurle de plaisir ou de douleur, les deux je pense. Le maître continue, inflexible, je lèche, je tète les jolis orteils de ma Lise, mon sexe commence à couler dans sa cage, c’est terrible mais je ne voudrais surtout pas que ça s’arrête.

Enfin le maître repose la lanière, Lise tremble, respire, renifle. Le gars me repousse et plaque sa main sur le sexe de ma belle. L’autre main retourne malaxer les seins, l’un après l’autre, les tétons sont pincés, tirés, Lise grogne. Il commence à frotter sa main sur les lèvres, entre les lèvres, le mouvement s’accélère, il la masturbe violemment, Lise se met à crier : « Tu vas jouir, salope ! »- Oui, maître, Lise s’agite dans tous les sens, malgré les liens, son bassin accompagne les mouvements de la main, un clapotis naît de la mouille qui s’écoule du sexe de Lise. Elle râle : « ça vient, ouiii, ouiii, encore, encore, s’il vous plaît »Le type ne s’arrête pas, il décalotte le clitoris gonflé et le masturbe de la pointe de ses doigts, sans arrêt. Lise demande grâce, rien à faire, il continue de frotter furieusement avant de s’arrêter brutalement.
« Alors, tu en veux encore ? »- Je ne sais pas, murmure Lise, complètement anéantie.
- Moi je sais, fait-il, et il enfonce deux doigts dans la chatte, commence à les remuer, accélère, les ressort pour mettre des petites claques sur le minou de la belle avant de la doigter de plus belle.
Il me fait signe d’approcher, je suis toujours à genoux, à poil, ma queue battant dans sa cage. Il sort ses doigts et m’ordonne de lécher.
« Elle mouille bien ta maîtresse !hein ». Et il replonge ses doigts au fond du vagin, Lise hurle sans fin, elle grogne, sanglote, le gars la soumet à une masturbation impitoyable, elle tremble mais ne veut pas s’arrêter, moi non plus. Un vrai délire.

Il lâche enfin Lise qui sanglote « Merci maître… » Il m’ordonne de m’agenouiller entre ses cuisses et de nettoyer, j’y vais de bon cœur, elle est trempée de son plaisir.
Je sens qu’on m’appuie la tête contre le sexe de la dame, j’y crois pas. Il s’est mis debout derrière moi et me pousse dans Lise avec son bassin, ses couilles m’appuient dans la nuque, sa queue dure vient se frotter contre ma joue.
« Allez le cocu, on s’applique, prépare la bien, je vais la baiser, la défoncer, ta maîtresse ».

Il me repousse, présente son gland bien gonflé entre les lèvres ouvertes de cette belle chatte déjà bien malmenée et pousse. Il enfile Lise sans ménagement, plante son dard bien au fond, il se tient aux montants de la croix et baise Lise. Ses coups de reins sont puissants, méthodiques, quelquefois il accélère, puis reprend la cadence. Lise s’abandonne maintenant complètement à son maître, elle a fermé les yeux, tête rejetée en arrière, résignée, et laisse le plaisir envahir tout son être. Je suis comme hypnotisé, mon visage à quelques centimètres des deux sexes imbriqués.
Le maître m’ordonne de m’asseoir entre ses jambes écartées. « Lèche moi les couilles, le cocu, pendant que je la baise ». C’est quelque chose de fou, mais je m’exécute, je vois cette tige entrer et sortir du vagin de Lise, ma langue recueille les jets de mouille et je lèche, je lèche les couilles de ce gars comme il me l’a ordonné…« C’est bon ça, tu aimes salope, dis le, regarde ton cocu comme il me lèche »- ouiii, Maître c’est bon - je vais jouir dans ton ventre, cochonne.

Encore quelques bons coups de reins, un, deux, trois et l’orgasme secoue le baiseur, il reste planté dans le ventre de Lise un bon moment, se retire enfin. Du sperme mêlé de cyprine s’écoule du vagin de Lise, je l’entends pleurer doucement, le maître m’ordonne de tout lécher, je m’exécute évidemment, je ne suis plus à ça près. Je nettoie Lise avec ma langue, le plus tendrement possible.

Le patron, le maître, curieusement aussi, caresse Lise, lui permettant de récupérer. Il la détache, l’aide à venir s’asseoir dans un canapé posé là. Il lui demande doucement si ça va, Lise remue juste la tête, je la sens anéantie mais comblée comme jamais.

Petit à petit les choses se remettent en place, le patron nous demande nos impressions, Lise avoue que ce fut une expérience incroyable, unique. Il me dit que je suis un bon soumis, bien docile, conscient de son rôle, merci !
Il nous propose un café, Lise se rhabille comme elle peut, moi de même.
Nous prenons congé, traversons le magasin sous le regard un peu étonné des quelques clients. On doit effectivement avoir une drôle d’allure, Lise à moitié à poil et moi guère mieux.
A la sortie la patronne nous rejoint et nous demande comment nous avons trouvé la séance. Elle avoue avec un sourire que certains ne reviennent jamais et d’autres souvent. Elle nous indique aussi qu’elle participe quelquefois et nous invite chaleureusement à une prochaine fois si nous en avons envie.

Sur le retour Lise s’endort à côté de moi, sa tête contre mon épaule. A la maison nous prenons une douche tous les deux, Lise m’appelle dans son lit, m’ôte enfin cette foutue cage.
Elle a bien récupéré.
« Je voudrais que tu jouisses aussi, tu l’as bien mérité. Ma chatte ne peut plus, ravagée, viens dans ma bouche, j’ai envie ».
Elle s’allonge sur le dos, m’offre sa bouche, je me mets au dessus d’elle et j’introduis ma queue enfin libérée entre ses douces lèvres.
Elle me prend affectueusement, place ses mains sur mes fesse pour donner la cadence. Je ne tiens pas longtemps, lui dis que ça vient. Elle m’attire en elle, au fond de sa gorge. Je jouis fort, elle avale ma semence, goulûment, avec un plaisir évident. Puis elle prolonge encore mon plaisir avec sa langue sur mon gland, c’est absolument fabuleux.
Elle me lâche enfin, je m’écroule, elle vient contre moi.
« Je te devais bien ça, tu ne crois pas ? »
Ma Lise a bien changé, c’est devenu une autre femme, mais je ne vais pas m’en plaindre, au contraire.

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