Lolita m'a fauché un caleçon à fleurs
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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Lolita m'a fauché un caleçon à fleurs
Vous auriez vu l'ambiance dans le super marché quand elle a saisi, sur l'étagère du bas, les bidons. J'ai pensé, il me faudra lui apprendre à se baisser en pliant les genoux plutôt que d'exposer ainsi ses parenthèses velues avec la fente au milieu.
En passant, elle a glissé dans mon panier à roulettes deux gros packs de Red Bull en souriant.
En arrivant chez moi, elle m'a pris par la main et a dit, mettons les choses au point tout de suite, je ne suis pas ta femme de ménage et n'espère pas que vais passer la serpillière, je ne suis pas non plus bobonne qui va te préparer de bons petits plats et surtout je ne suis pas une coloc avec qui discuter ou regarder la télé en convivialité au salon.
Moi, je suis juste un sextoy, programmé pour cette fonction et ça seulement. Mon job, c'est de faire bander les mecs, à mort, et cætera et crois moi, la suite, j'assume et je suis vraiment forte pour ça.
Tu m'as acheté neuve et tu pourras constater que je suis vierge. Jamais personne n'est entré chez moi, pas même un doigt.
Maintenant ne crois pas que parce qu'on t'a donné une zapette, tu vas faire ta loi. Regarde, ta zapette je l'ai déjà confisquée. Et tu sais où je l'ai mise ? Dans les chiottes, au prétexte de faire pipi tout à l'heure, finie la zapette oxydée courtjutée.
Si tu me veux, il te faudra me séduire. Mes algorithmes d'IA sont bien fichus et si tu sais t'y prendre tu vas te régaler.
Et moi aussi je vais me régaler. Une machine ça s'éclate itou, surtout quand c'est programmé rien que pour ça.
Moi j'étais un peu surpris de la tournure que prenaient les choses. J'avais acheté juste un sextoy et je me retrouvais avec des problèmes à résoudre et une grosse, très grosse motivation dans le calbut.
Supériorité de l'homme sur la machine, capacité d'adaptation, probablement jeu intellectuel, je suis entré dans le trip.
Même facilement, avec jubilation.
Je pensais, c'est comme un jeu de rôle vidéo et en plus je bande comme un âne.
Elle me dit, normalement je charge pendant la journée, quand le client est au boulot et c'est la nuit que je bosse, enfin que je bosse ... que je baise. Je suis programmée pour ça. Montre-moi ce fameux chargeur EDF.
Et puis, sans crier gare, elle m'a passé la main sur le pantalon et a dit, toi tu m'as l'air bien chargé, superbe. Toi t'as pas besoin de recharger tes batteries, sont bien pleines.
Elle m'a pris par la main avec tendresse, s'est hissée sur la pointe des pieds et m'a tendu ses lèvres. Son ventre était collé au mien, enfin dirais-je, était collé à ma protubérance.
Mes bras se sont fermés pour l'emprisonner, la serrer, la garder.
Elle était chaude. Un androïde avec deux mamelles comme des coussins pillow tendres contre mon buste qui m'offrait ses lèvres.
Mais quand même j'étais un peu sur la retenue...
Cette gamine qui se frottait contre moi et m'offrait ses lèvres sa bouche chaude accueillante comme un fruit mûr de l'été pour un baiser léger mouillé chaud, cette gamine au regard clair limpide m'inspirait comme un sentiment de transgression.
J'avais complètement zappé l'idée qu'elle n'était qu'un sextoy. Je me voyais oncle pédophile en train de dévergonder sa jeune nièce de treize ans. Une nièce plutôt précoce, déjà bien formée et curieuse des sensations troubles de son corps.
Même, comme qui dirait, une gamine qui promet...
J'avais pris sa taille de mon bras droit, largement enserrée et je la tenais haute contre moi. Elle était légère et chaude. Sa figure était levée vers moi et ses yeux immenses m'attendaient m'imploraient disaient son désir.
Tout d'un coup elle s'est dégagée, a ri avec gaité et m'a dit, Papy te faut me donner de quoi m'habiller, je ne peux rester ainsi court vêtue sous ton nez surtout que je vois bien l'effet que ça te fait. Tu finirais par me violer...
Moi je pensais, quand même elle exagère ... c'est bien pour ça que je l'ai acheté ce sextoy, pour la tirer, pas pour enfiler des perles !
Mais j'étais un peu perdu. C'était ma première fois avec une machine et je me disais, finalement un androïde c'est aussi compliqué qu'une vraie gonzesse...
On est allé à mes placards, à mes tiroirs. Elle s'est choisi un calbut à fleurs. Elle a dit, vois les jambettes sont larges tu pourras y passer les mains et devant c'est tout ouvert avec juste un mini bouton. Si je ne le ferme pas ce bouton, ma touffe fera la fière au balcon, ce sera sympa.
En plus la ceinture froncée élastique monte bien sur mes hanches mais reste large facile à descendre, tu pourras me trousser d'un simple doigt croché.
Toi ou un de tes copains...
Encore que je ne rechigne pas aux copines, tu sais.
Et puis elle a choisi un grand tee-shirt marqué Come together façon Beatles. Manches longues, interminable XXL et ras du cou.
Elle m'a dit, tourne-toi, mate pas. Moi qui avais déjà vu en long en large ses fesses claires et rebondies, sa touffe noire luxuriante et le gonflé de ses seins, depuis le matin, je rigolais de cette nouvelle prétendue pudeur. Surtout pour un juste sextoy.
Mais j'ai obéi. Elle m'avait maté.
Amusant ça, le hubot qui prend le pas sur l'humain...
J'ai entendu qu'elle faisait glisser sa jupette le long de ses cuisses, qu'elle déboutonnait le chemisier blanc.
J'imaginais ses deux seins ronds avec leurs aréoles larges roses.
J'ai entendu qu'elle enfilait mon grand tee-shirt blanc à son cou puis chacune des manches et qu'elle le faisait glisser par dessus sa poitrine le descendant sur ses hanches.
J'ai compris qu'elle entrait dans mon caleçon, un pied puis l'autre et le remontait sur ses jambes ses cuisses, empaquetant sa noire toison.
J'ai imaginé qu'elle descendait le tee-shirt par dessus comme on le fait du bas d'une robe, chastement.
Elle m'a dit retourne-toi, ouvre les yeux.
Elle était belle avec sa tignasse noire et ses yeux bleu cobalt, les écritures du tee-shirt malmenées par sa forte poitrine de bimbette, les bras ballants et les cuisses presque pudiquement cachées par le coton blanc du grand tee-shirt.
Elle a dit roule mes manches, vois on ne voit plus mes mains tant les manches de ce tee-shirt sont longues. Et j'ai roulé deux trois fois chaque poignet.
Et une fois encore elle s'est coulée contre moi, chaude jeune innocente fraîche.
Et une fois encore elle a empaumé mon paquet et s'est fendue d'un compliment sur ma vigueur.
Moi je suis revenu à ses lèvres, ma main à sa taille.
Tout en buvant l'eau claire de sa bouche je touchais à travers le coton ses chairs élastiques et la ceinture de mon calbut.
Et je pensais, maintenant je la culbute.
Mais ça ne s'est pas fait. Elle a enfilé ses ballerines et m'a dit maintenant tu me sors, on va draguer.
Elle a ajouté, en rentrant, si tu veux, tu pourras me faire minette.
On a sorti mon scooter trois roues et on a filé retrouver mes copains au Havana Café. Tout le long du trajet elle s'accrochait d'un bras à ma taille, l'autre main crispée sur ma trique.
A l'oreille elle m'a murmuré, je crois que je suis bien mieux accrochée à ta bite de main droite qu'à tes hanches de main gauche. En plus la vitesse me fait effet, j'ai trempé ton calbut et le tan-sad aussi.
Au bistrot les copains nous ont fait fête et m'ont chahuté. Ils voulaient tous biser Lolita. Ta nièce, la fille de ta copine, une collégienne égarée ?
Lolita ne se laissait pas démonter, se roulant contre les garçons en tendant ses joues en salutation.
Le tee-shirt large masquait l'ample rondeur de ses seins mais elle n'hésitait pas à se frotter sur le thorax des garçons pour bien montrer qu'elle était lourdement équipée.
Très vite elle a été la reine du bal et l'unique animation du Havana. Les autres filles tiraient la gueule.
Vous le croyez, vous ça chez HDS que les gonzesses du Havana vont laisser cette gamine délurée leur piquer leurs mecs ?
Sans réagir ?
Non.
En passant, elle a glissé dans mon panier à roulettes deux gros packs de Red Bull en souriant.
En arrivant chez moi, elle m'a pris par la main et a dit, mettons les choses au point tout de suite, je ne suis pas ta femme de ménage et n'espère pas que vais passer la serpillière, je ne suis pas non plus bobonne qui va te préparer de bons petits plats et surtout je ne suis pas une coloc avec qui discuter ou regarder la télé en convivialité au salon.
Moi, je suis juste un sextoy, programmé pour cette fonction et ça seulement. Mon job, c'est de faire bander les mecs, à mort, et cætera et crois moi, la suite, j'assume et je suis vraiment forte pour ça.
Tu m'as acheté neuve et tu pourras constater que je suis vierge. Jamais personne n'est entré chez moi, pas même un doigt.
Maintenant ne crois pas que parce qu'on t'a donné une zapette, tu vas faire ta loi. Regarde, ta zapette je l'ai déjà confisquée. Et tu sais où je l'ai mise ? Dans les chiottes, au prétexte de faire pipi tout à l'heure, finie la zapette oxydée courtjutée.
Si tu me veux, il te faudra me séduire. Mes algorithmes d'IA sont bien fichus et si tu sais t'y prendre tu vas te régaler.
Et moi aussi je vais me régaler. Une machine ça s'éclate itou, surtout quand c'est programmé rien que pour ça.
Moi j'étais un peu surpris de la tournure que prenaient les choses. J'avais acheté juste un sextoy et je me retrouvais avec des problèmes à résoudre et une grosse, très grosse motivation dans le calbut.
Supériorité de l'homme sur la machine, capacité d'adaptation, probablement jeu intellectuel, je suis entré dans le trip.
Même facilement, avec jubilation.
Je pensais, c'est comme un jeu de rôle vidéo et en plus je bande comme un âne.
Elle me dit, normalement je charge pendant la journée, quand le client est au boulot et c'est la nuit que je bosse, enfin que je bosse ... que je baise. Je suis programmée pour ça. Montre-moi ce fameux chargeur EDF.
Et puis, sans crier gare, elle m'a passé la main sur le pantalon et a dit, toi tu m'as l'air bien chargé, superbe. Toi t'as pas besoin de recharger tes batteries, sont bien pleines.
Elle m'a pris par la main avec tendresse, s'est hissée sur la pointe des pieds et m'a tendu ses lèvres. Son ventre était collé au mien, enfin dirais-je, était collé à ma protubérance.
Mes bras se sont fermés pour l'emprisonner, la serrer, la garder.
Elle était chaude. Un androïde avec deux mamelles comme des coussins pillow tendres contre mon buste qui m'offrait ses lèvres.
Mais quand même j'étais un peu sur la retenue...
Cette gamine qui se frottait contre moi et m'offrait ses lèvres sa bouche chaude accueillante comme un fruit mûr de l'été pour un baiser léger mouillé chaud, cette gamine au regard clair limpide m'inspirait comme un sentiment de transgression.
J'avais complètement zappé l'idée qu'elle n'était qu'un sextoy. Je me voyais oncle pédophile en train de dévergonder sa jeune nièce de treize ans. Une nièce plutôt précoce, déjà bien formée et curieuse des sensations troubles de son corps.
Même, comme qui dirait, une gamine qui promet...
J'avais pris sa taille de mon bras droit, largement enserrée et je la tenais haute contre moi. Elle était légère et chaude. Sa figure était levée vers moi et ses yeux immenses m'attendaient m'imploraient disaient son désir.
Tout d'un coup elle s'est dégagée, a ri avec gaité et m'a dit, Papy te faut me donner de quoi m'habiller, je ne peux rester ainsi court vêtue sous ton nez surtout que je vois bien l'effet que ça te fait. Tu finirais par me violer...
Moi je pensais, quand même elle exagère ... c'est bien pour ça que je l'ai acheté ce sextoy, pour la tirer, pas pour enfiler des perles !
Mais j'étais un peu perdu. C'était ma première fois avec une machine et je me disais, finalement un androïde c'est aussi compliqué qu'une vraie gonzesse...
On est allé à mes placards, à mes tiroirs. Elle s'est choisi un calbut à fleurs. Elle a dit, vois les jambettes sont larges tu pourras y passer les mains et devant c'est tout ouvert avec juste un mini bouton. Si je ne le ferme pas ce bouton, ma touffe fera la fière au balcon, ce sera sympa.
En plus la ceinture froncée élastique monte bien sur mes hanches mais reste large facile à descendre, tu pourras me trousser d'un simple doigt croché.
Toi ou un de tes copains...
Encore que je ne rechigne pas aux copines, tu sais.
Et puis elle a choisi un grand tee-shirt marqué Come together façon Beatles. Manches longues, interminable XXL et ras du cou.
Elle m'a dit, tourne-toi, mate pas. Moi qui avais déjà vu en long en large ses fesses claires et rebondies, sa touffe noire luxuriante et le gonflé de ses seins, depuis le matin, je rigolais de cette nouvelle prétendue pudeur. Surtout pour un juste sextoy.
Mais j'ai obéi. Elle m'avait maté.
Amusant ça, le hubot qui prend le pas sur l'humain...
J'ai entendu qu'elle faisait glisser sa jupette le long de ses cuisses, qu'elle déboutonnait le chemisier blanc.
J'imaginais ses deux seins ronds avec leurs aréoles larges roses.
J'ai entendu qu'elle enfilait mon grand tee-shirt blanc à son cou puis chacune des manches et qu'elle le faisait glisser par dessus sa poitrine le descendant sur ses hanches.
J'ai compris qu'elle entrait dans mon caleçon, un pied puis l'autre et le remontait sur ses jambes ses cuisses, empaquetant sa noire toison.
J'ai imaginé qu'elle descendait le tee-shirt par dessus comme on le fait du bas d'une robe, chastement.
Elle m'a dit retourne-toi, ouvre les yeux.
Elle était belle avec sa tignasse noire et ses yeux bleu cobalt, les écritures du tee-shirt malmenées par sa forte poitrine de bimbette, les bras ballants et les cuisses presque pudiquement cachées par le coton blanc du grand tee-shirt.
Elle a dit roule mes manches, vois on ne voit plus mes mains tant les manches de ce tee-shirt sont longues. Et j'ai roulé deux trois fois chaque poignet.
Et une fois encore elle s'est coulée contre moi, chaude jeune innocente fraîche.
Et une fois encore elle a empaumé mon paquet et s'est fendue d'un compliment sur ma vigueur.
Moi je suis revenu à ses lèvres, ma main à sa taille.
Tout en buvant l'eau claire de sa bouche je touchais à travers le coton ses chairs élastiques et la ceinture de mon calbut.
Et je pensais, maintenant je la culbute.
Mais ça ne s'est pas fait. Elle a enfilé ses ballerines et m'a dit maintenant tu me sors, on va draguer.
Elle a ajouté, en rentrant, si tu veux, tu pourras me faire minette.
On a sorti mon scooter trois roues et on a filé retrouver mes copains au Havana Café. Tout le long du trajet elle s'accrochait d'un bras à ma taille, l'autre main crispée sur ma trique.
A l'oreille elle m'a murmuré, je crois que je suis bien mieux accrochée à ta bite de main droite qu'à tes hanches de main gauche. En plus la vitesse me fait effet, j'ai trempé ton calbut et le tan-sad aussi.
Au bistrot les copains nous ont fait fête et m'ont chahuté. Ils voulaient tous biser Lolita. Ta nièce, la fille de ta copine, une collégienne égarée ?
Lolita ne se laissait pas démonter, se roulant contre les garçons en tendant ses joues en salutation.
Le tee-shirt large masquait l'ample rondeur de ses seins mais elle n'hésitait pas à se frotter sur le thorax des garçons pour bien montrer qu'elle était lourdement équipée.
Très vite elle a été la reine du bal et l'unique animation du Havana. Les autres filles tiraient la gueule.
Vous le croyez, vous ça chez HDS que les gonzesses du Havana vont laisser cette gamine délurée leur piquer leurs mecs ?
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