Lolita s'endort chastement dans mes bras
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Lolita s'endort chastement dans mes bras
Puis ses yeux bleu cobalt de hubot se sont levés vers moi. Sa frimousse n'était plus de gamine innocente mais de femelle assouvie.
Elle m'a dit, voilà, j'étais programmée pour ça mais vois-tu, c'est la première fois que je le vis en vrai. Je sens que je vais bien aimer ce rôle et la suite du job.
Allez, viens m'embrasser, ta bouche aura goût de moi.
Fort.
*************************
Elle m'a dit, tu sais, ce bureau où je suis sensée recharger mes batteries, ton bureau, ne me convient pas. Si tu es un tant soit peu bricoleur, démonte moi ce bidule de chargeur EDF et installe-le dans ta chambre, à côté de ton pieu.
Ce bureau, ce placard ne sont vraiment pas un endroit sympa pour recharger mes batteries.
Enfin, n'es-tu pas d'accord ?
Tu vois, moi ce que j'aimerais c'est recharger en dormant dans tes bras, là dans ton lit collée contre toi, emmêlée de jambes et de bras avec toi.
Mais comment aurais-je pu résister à de tels arguments de fille réellement aimante ?
On était tard le soir mais j'ai obtempéré.
Je suis redescendu au garage quérir ma boite à outils et je me suis attelé à déplacer son bloc-alim pour qu'elle puisse, dès ce soir, dès cette nuit recharger blottie dans mes bras et j'avoue ... recharger de courant électrique par la prise sur son épaule, à haute intensité, mais surtout d'amitié par ma bite droite au chaud contre ses cuisses, longue et en prétention de beaucoup donner.
Moi je me sentais bien avec cette fille-là.
Pendant que je bricolais elle est allée à mes tiroirs se choisir une vêture de nuit à son goût parmi mes propres habits.
Moi j'ai trouvé le résultat plutôt chouette.
Elle avait prit un pyjama à moi. Grande veste, boutonnée haut, de coton pilow qui cachait ses gros nibars et pantalon tout simple, plutôt pantacourt car il s'arrêtait aux genoux.
Comme tout pyjama de garçon, ce pantacourt était largement ouvert de braguette béante. Ouverte depuis loin dessous jusqu'à l'unique bouton façon ceinture. Et ce sans aucun autre bouton de fermeture, nada.
Elle a dit, vois, heureusement que j'ai touffe, aque sinon ton pantacourt de nuit serait franchement indécent.
Elle a dit, va branche moi derrière l'épaule. Et elle s'était allongée dans mon lit, couchée sur le ventre, une cuisse repliée haut, l'autre jambe allongée. La prise USB s'enfilait dans le creux de salière au bas de son cou.
Moi j'étais ému de l'avoir ainsi branchée.
Je me suis coulé sous le drap près d'elle et l'ai prise serrée dans mes bras.
Je bandais.
Vu que j'étais tout nu, je me suis roulé contre elle pour lui faire sentir et apprécier la chaleur de mon corps.
Je repensais avec émotion à la visite que j'avais faite à son fondement. Elle me dit, tu sais le cul d'un androïde n'est jamais sale. Un androïde ne mange pas, il n'a donc pas de fonction digestive. De plus, vu que cet orifice sert aux activités sexuelles et à cela seulement, il est, supériorité sur l'humain, autolubrifié. Comme le sont chez tout le monde, la bouche et la zézette.
Tu n'avais donc nul besoin d'y poser ta salive. Non plus, qu'après, de te laver longuement la main ainsi que je te l'ai vu faire.
Mais j'ai beaucoup aimé la chaleur de ta langue sur ma rondelle secrète et le mouillé de ta salive qui s'est insinuée en moi quand en réflexe au posé du glaviot, mon ventre a poussé et mon muscle s'est lègèrement entre-ouvert.
Elle était couchée sur le ventre, sa frimousse tournée vers moi, souriante et moi je m'étonnais que cette fillette sage en pyjama qui me regardait avec des yeux innocents puisse raconter ses émois intimes avec si peu de pudeur et tant de détails crus.
Sa main était douce et elle l'a posée sur ma bite, non pas pour la tripoter mais pour la protéger et la garder au chaud. Elle a dit, va éteins la lumière et endors-toi, demain c'est weekend, il te faudra m'amener à la plage.
On fera l'amour dans les dunes.
A cette idée, j'ai fermé les yeux et me suis endormi auprès de ma Lolita, mon tendre sextoy.
******************
Le lit était inondé de lumière. J'étais nu, le drap tombé froissé au sol. Lolita avait disparu. Le câble de recharge pendouillait de l'appareil mais elle n'y était plus connectée.
J'ai entendu la porte de l'appart s'ouvrir puis Lolita est entrée dans la chambre, souriante, une poche en papier à la main avec une bonne odeur de croissants.
Elle a dit, les filles sont toutes pareilles, quand elles ont pris leur pied avec un garçon, le matin, elles vont acheter des croissants.
Elle m'a dit, voilà, j'étais programmée pour ça mais vois-tu, c'est la première fois que je le vis en vrai. Je sens que je vais bien aimer ce rôle et la suite du job.
Allez, viens m'embrasser, ta bouche aura goût de moi.
Fort.
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Elle m'a dit, tu sais, ce bureau où je suis sensée recharger mes batteries, ton bureau, ne me convient pas. Si tu es un tant soit peu bricoleur, démonte moi ce bidule de chargeur EDF et installe-le dans ta chambre, à côté de ton pieu.
Ce bureau, ce placard ne sont vraiment pas un endroit sympa pour recharger mes batteries.
Enfin, n'es-tu pas d'accord ?
Tu vois, moi ce que j'aimerais c'est recharger en dormant dans tes bras, là dans ton lit collée contre toi, emmêlée de jambes et de bras avec toi.
Mais comment aurais-je pu résister à de tels arguments de fille réellement aimante ?
On était tard le soir mais j'ai obtempéré.
Je suis redescendu au garage quérir ma boite à outils et je me suis attelé à déplacer son bloc-alim pour qu'elle puisse, dès ce soir, dès cette nuit recharger blottie dans mes bras et j'avoue ... recharger de courant électrique par la prise sur son épaule, à haute intensité, mais surtout d'amitié par ma bite droite au chaud contre ses cuisses, longue et en prétention de beaucoup donner.
Moi je me sentais bien avec cette fille-là.
Pendant que je bricolais elle est allée à mes tiroirs se choisir une vêture de nuit à son goût parmi mes propres habits.
Moi j'ai trouvé le résultat plutôt chouette.
Elle avait prit un pyjama à moi. Grande veste, boutonnée haut, de coton pilow qui cachait ses gros nibars et pantalon tout simple, plutôt pantacourt car il s'arrêtait aux genoux.
Comme tout pyjama de garçon, ce pantacourt était largement ouvert de braguette béante. Ouverte depuis loin dessous jusqu'à l'unique bouton façon ceinture. Et ce sans aucun autre bouton de fermeture, nada.
Elle a dit, vois, heureusement que j'ai touffe, aque sinon ton pantacourt de nuit serait franchement indécent.
Elle a dit, va branche moi derrière l'épaule. Et elle s'était allongée dans mon lit, couchée sur le ventre, une cuisse repliée haut, l'autre jambe allongée. La prise USB s'enfilait dans le creux de salière au bas de son cou.
Moi j'étais ému de l'avoir ainsi branchée.
Je me suis coulé sous le drap près d'elle et l'ai prise serrée dans mes bras.
Je bandais.
Vu que j'étais tout nu, je me suis roulé contre elle pour lui faire sentir et apprécier la chaleur de mon corps.
Je repensais avec émotion à la visite que j'avais faite à son fondement. Elle me dit, tu sais le cul d'un androïde n'est jamais sale. Un androïde ne mange pas, il n'a donc pas de fonction digestive. De plus, vu que cet orifice sert aux activités sexuelles et à cela seulement, il est, supériorité sur l'humain, autolubrifié. Comme le sont chez tout le monde, la bouche et la zézette.
Tu n'avais donc nul besoin d'y poser ta salive. Non plus, qu'après, de te laver longuement la main ainsi que je te l'ai vu faire.
Mais j'ai beaucoup aimé la chaleur de ta langue sur ma rondelle secrète et le mouillé de ta salive qui s'est insinuée en moi quand en réflexe au posé du glaviot, mon ventre a poussé et mon muscle s'est lègèrement entre-ouvert.
Elle était couchée sur le ventre, sa frimousse tournée vers moi, souriante et moi je m'étonnais que cette fillette sage en pyjama qui me regardait avec des yeux innocents puisse raconter ses émois intimes avec si peu de pudeur et tant de détails crus.
Sa main était douce et elle l'a posée sur ma bite, non pas pour la tripoter mais pour la protéger et la garder au chaud. Elle a dit, va éteins la lumière et endors-toi, demain c'est weekend, il te faudra m'amener à la plage.
On fera l'amour dans les dunes.
A cette idée, j'ai fermé les yeux et me suis endormi auprès de ma Lolita, mon tendre sextoy.
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Le lit était inondé de lumière. J'étais nu, le drap tombé froissé au sol. Lolita avait disparu. Le câble de recharge pendouillait de l'appareil mais elle n'y était plus connectée.
J'ai entendu la porte de l'appart s'ouvrir puis Lolita est entrée dans la chambre, souriante, une poche en papier à la main avec une bonne odeur de croissants.
Elle a dit, les filles sont toutes pareilles, quand elles ont pris leur pied avec un garçon, le matin, elles vont acheter des croissants.
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