Lolita, tu sais, on t'a vue l'autre soir chez Hortense ; on va tout raconter
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-10-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Lolita, tu sais, on t'a vue l'autre soir chez Hortense ; on va tout raconter
Fantasmes emmêlés
Jpj, Piquey août 2015
On était tous les trois sur cette terrasse, première ligne, à la Pointe-aux-Chevaux, pour dîner. On regardait le bassin. Le soleil avait disparu et la lune, pleine lune, grande lune en périgée éclatait les eaux écharpées du descendant en reflets d'argent, éblouissants.
La discussion roulait sur ces deux filles, superbes, qui étaient venues prendre l'apéro. Jean disait, elles chaussent du E, toutes les deux, sûr. On a vu avant qu'elles remettent le teeshirt sur leur pinassotte, cet aprèm.
Gonflées les filles. Enfin modernes...
Super, quoi, qu'elles fussent venues !
Faut dire qu'on l'avait cherché. On avait, sans scrupule, hurlé à l'aide, save our souls, SOS, au secours on est perdus ... enfin en panne En panne de vent sur le 4-20.
Ça c'était vrai, mais ce qui est vrai aussi c'est qu'on n'a pas appelé à l'aide n'importe qui. On a laissé passer sans bouger le semi-rigide plein de jeunes rigolards, la barcasse bleu fané avec les deux pécheurs en marcel, le cabin-cruiser et son pilote fier debout au volant rayban sombres sous la casquette à longue visière une fille potelée allongée plus ou moins à poil sur les coussins blancs devant. Enfin, plutôt plus que moins, mais ça on s’en est aperçu trop tard.
Mais quand, loin, on a vu arriver la pinasse, on a compris que ce serait pour nous.
Les deux filles arboraient des poitrails révolutionnaires. Des filles de barricade sur une pinassotte, c'était l'ouverture d'un monde nouveau et nous étions subjugués.
Elles nous ont, sympa, tirés jusqu'à la côte et, pour remercier, on leur a dit, pour vous rendre la pareille venez donc prendre l'apéro ce soir à la maison.
On n'y croyait pas trop mais les Ferretcapiennes sont comme ça...
C'est ça qui fait le charme de la presqu'île.
Elles avaient passé des tee-shirts mais les nibars criaient quand même leur bonheur de soleil, tétons pointus dans le couchant, ici sur la terrasse.
********
Nous on se régalait des crevettes plancha et on avait oublié les deux filles et on parlait du dernier réveillon.
MC nous disait Katja ... Katja, elle est spéciale, elle veut tout manager. Normal, Katja, elle est allemande. Une belle Allemande de Bavière avec ce qu'il faut pour faire autorité et puis de l'assurance et la solide détermination de sa Kultur.
Katja, pour ce réveillon-là, avait trouvé une idée fabuleuse. Vu qu'il y avait une nouvelle, une peinturlureuse, sympa genre Kimberlain aux tétés atrophiés mais quand même bandante, elle a proposé de faire œuvre commune. Sorte de happening créatif pictural sur toile en acrylique.
Toute la clique, un peu chauds des divers breuvages ingurgités, a crié chiche, on va s'éclater et laisser trace tels les Bretons, Dali, Miro, Ernst, surréalistes. On va créer à douze mains en rêve onirique, on n'était pas à un pléonasme près ce soir-là ... on va faire un tableau tous ensemble.
C'est Jean, mon ami ici présent, qui le premier a pris le pinceau et, on pensait à l'âne Balthazar, a dessiné de deux tâches de son petit gris trempé d'épaisse peinture noire les couilles d'un taureau gigantesque, un taureau de légende, fauve sombre et taciturne, un taureau de mythologie d'entre Santorin et la Crête antique ou peut être même pire. Atlantide, qui sait ?
Mais Jean, ce soir de pleine lune, raconte. La pleine lune libère les cœurs.
Il dit, tous, quand j'ai posé ces deux tâches noires sur la toile vierge, ont hurlé, en riant, leurs propres fantasmes. Ce taureau n'était pas mien. Ce sont les autres qui y ont vu une paire de couilles...
Moi, nous dit Jean, c'est le pantalon de Katja qui dansait dans ma tête. Les deux fesses de Katja tendant le stretch du pantalon noir. Manifestement elle portait un string ou peut être même rien du tout...
Jean était ému et nous dit, tous ils ont châtré mon fantasme en y voyant les corones d'un taureau.
Moi, je vivais entre les deux tâches noires, dans le profond d'entre ces deux tâches noires, dans ce lieu dansant à chaque pas qu'elle faisait et ma peinture était étonnamment expressive et je me sentais artiste et j'y aurais presque mis la main, posé mes doigts, empaumé le charnu et me serais sans penser immiscé dans le tendre dans le chaud dans le moite.
J'étais bien avec mon dessin et voilà qu'en riant ils ont cassé ma brusque pulsion tactile en y projetant leur bête affaire de taureau !
Moi, avoua Jean, depuis le début de soirée, dès avant que nous eussions ouvert les huîtres, avant la poularde à larder, les coquilles Saint-Jacques à gratiner, depuis le début, quand j'ai mis le tablier pour, soi-disant trancher en fines lamelles les cèpes avant de les frire à l'ail, je bandais déjà devant le cul rebondi de Katja. Et ce tablier n'était qu'une excuse facile pour camoufler aux autres convives cet émoi tyrannique qui allait me tenir toute la soirée.
Alors pensez ma déconvenue quand, lieu de comprendre la signification puissante de ces deux tâches rondes de peinture acrylique noire, tous ont décrété qu'il s'agissait d'un taureau magnifique, fier et combatif.
Jean pensais sodomie sur canapé, ils ont lu estocade dans l'ombre sombre de l'arène.
Katja, drôle de nom, enfin de prénom plutôt. On voyait bien la dimension exotique, on pensait Prusse orientale, Sudètes. On voyait ces filles solides Katia et autres variantes, Europe centrale d'elfes de marais embrumés. Oder-Neisse.
*******
On est revenus sur le Bassin d'Arcachon et les troubles de Jean se sont dissipés dans le rosé très frais. La conversation roulait maintenant sur cette gamine qui avait fait le buzz l'autre soir chez Hortense.
À tout casser quatorze ans... Accompagné d'un gars de notre âge qu'elle appelait papy sans vergogne aucune. En sus ils avaient la plus belle table, juste côté bassin.
La fille avait fait attraction toute la soirée durant, ne restant pas en place, se levant, circulant entre les tables, pieds nus, à peine vêtue d'une robe claire, presque une nuisette qui détaillait ses courbes en contre-jour de couchant sur le Pyla.
Les hommes n'avaient d'yeux que pour elle et étonnamment, Bernadette, Hortense pour les touristes, lui manifestait sympathie, l'apostrophant, lui caressant l'épaule, lui pinçant la joue.
Jean nous disait, il arrive parfois que de très jeunes filles basculent dans l'âge adulte en puberté précoce. La littérature, les chansons populaires en regorgent. Ces Lolita affolent les mâles.
Tino Rossi chantait Tu n'as que seize ans mais faut voir comme, tu affoles déjà tous les hommes, est-ce ton œil si doux qui les mine, ou bien les rondeurs de ta poitrine qui les rend fous ?
Plus près de nous, Chuck Berry chantait you'r sixteen. T'as des cheveux lumineux, pleins de rubans aussi bleus que tes yeux, t'es jolie et rien qu'à moi.
Et je ne vous parle pas de Gainsbourg qui allait bien plus loin à la limite ... treize ans
En littérature on descend carrément à douze ans avec Nobokov... Mais faut reconnaître que Nobokov, c'est rudement bandant.
Enfin, chez Hortense, la Lolita avait fait lever l'enthousiasme de toute l’assemblée, mecs mais aussi dames.
Etonnant que les épouses de ces Messieurs, chevaliers d’industrie dégoulinants de réussite, attablées ici devant les moules ail-et-saucisse, aient été autant réceptives aux attraits juvéniles de cette donzelle.
Faut dire qu’elle avait des hanches, des fesses, des nibars de Grande. Et puis ce regard trouble de gamine trop tôt initiée aux plaisirs du sexe. Le sexe exhalait de tous les pores de sa peau, parfum pernicieux qui basculait en déséquilibre tous ceux qui l’avaient approchée.
Jean est toubib, prof de fac, il a longtemps fait recherche dans ce domaine des hormones, de la chimie des comportements. Il nous expliquait les processus et comment ce que nous avions vécu ce soir-là chez Hortense, à la Pointe, au bord des Quarante-quatre, était phénomène classique, connu, observé cliniquement, prévisible et apprécié des médecins comme éclipse de lune ou autre conjonction de planètes l’est des astronomes..
Ce soir-là, c’étaient deux femmes connues qui avaient chopé le pompon. Et l’on avait assisté à tout. Le jeter de la ligne, la turlutte qui coule dans les eaux sombres dévariées de varech chevelu, la proie qui mort et tire, donne secousse, le moulinet qui mouline, remonte et ramène à l’épuisette.
Le papy était complice. Il a payé l’addition, ramenant les deux femmes à leur auto pour filer sur les dunes à leur maison perchée, lui suivant derrière elles dans leur auto et la Lolita, l’appât, à ses côtés dans la sienne.
Tous, dans le resto, on avait compris que la nuit allait être torride dans la grande villa accrochée à la dune face à l’océan côté passes-nord.
Et Bernadette avait un petit sourire entendu … comme qui dirait, c’est chez moi que ça s’est passé.
Jpj, Piquey août 2015
On était tous les trois sur cette terrasse, première ligne, à la Pointe-aux-Chevaux, pour dîner. On regardait le bassin. Le soleil avait disparu et la lune, pleine lune, grande lune en périgée éclatait les eaux écharpées du descendant en reflets d'argent, éblouissants.
La discussion roulait sur ces deux filles, superbes, qui étaient venues prendre l'apéro. Jean disait, elles chaussent du E, toutes les deux, sûr. On a vu avant qu'elles remettent le teeshirt sur leur pinassotte, cet aprèm.
Gonflées les filles. Enfin modernes...
Super, quoi, qu'elles fussent venues !
Faut dire qu'on l'avait cherché. On avait, sans scrupule, hurlé à l'aide, save our souls, SOS, au secours on est perdus ... enfin en panne En panne de vent sur le 4-20.
Ça c'était vrai, mais ce qui est vrai aussi c'est qu'on n'a pas appelé à l'aide n'importe qui. On a laissé passer sans bouger le semi-rigide plein de jeunes rigolards, la barcasse bleu fané avec les deux pécheurs en marcel, le cabin-cruiser et son pilote fier debout au volant rayban sombres sous la casquette à longue visière une fille potelée allongée plus ou moins à poil sur les coussins blancs devant. Enfin, plutôt plus que moins, mais ça on s’en est aperçu trop tard.
Mais quand, loin, on a vu arriver la pinasse, on a compris que ce serait pour nous.
Les deux filles arboraient des poitrails révolutionnaires. Des filles de barricade sur une pinassotte, c'était l'ouverture d'un monde nouveau et nous étions subjugués.
Elles nous ont, sympa, tirés jusqu'à la côte et, pour remercier, on leur a dit, pour vous rendre la pareille venez donc prendre l'apéro ce soir à la maison.
On n'y croyait pas trop mais les Ferretcapiennes sont comme ça...
C'est ça qui fait le charme de la presqu'île.
Elles avaient passé des tee-shirts mais les nibars criaient quand même leur bonheur de soleil, tétons pointus dans le couchant, ici sur la terrasse.
********
Nous on se régalait des crevettes plancha et on avait oublié les deux filles et on parlait du dernier réveillon.
MC nous disait Katja ... Katja, elle est spéciale, elle veut tout manager. Normal, Katja, elle est allemande. Une belle Allemande de Bavière avec ce qu'il faut pour faire autorité et puis de l'assurance et la solide détermination de sa Kultur.
Katja, pour ce réveillon-là, avait trouvé une idée fabuleuse. Vu qu'il y avait une nouvelle, une peinturlureuse, sympa genre Kimberlain aux tétés atrophiés mais quand même bandante, elle a proposé de faire œuvre commune. Sorte de happening créatif pictural sur toile en acrylique.
Toute la clique, un peu chauds des divers breuvages ingurgités, a crié chiche, on va s'éclater et laisser trace tels les Bretons, Dali, Miro, Ernst, surréalistes. On va créer à douze mains en rêve onirique, on n'était pas à un pléonasme près ce soir-là ... on va faire un tableau tous ensemble.
C'est Jean, mon ami ici présent, qui le premier a pris le pinceau et, on pensait à l'âne Balthazar, a dessiné de deux tâches de son petit gris trempé d'épaisse peinture noire les couilles d'un taureau gigantesque, un taureau de légende, fauve sombre et taciturne, un taureau de mythologie d'entre Santorin et la Crête antique ou peut être même pire. Atlantide, qui sait ?
Mais Jean, ce soir de pleine lune, raconte. La pleine lune libère les cœurs.
Il dit, tous, quand j'ai posé ces deux tâches noires sur la toile vierge, ont hurlé, en riant, leurs propres fantasmes. Ce taureau n'était pas mien. Ce sont les autres qui y ont vu une paire de couilles...
Moi, nous dit Jean, c'est le pantalon de Katja qui dansait dans ma tête. Les deux fesses de Katja tendant le stretch du pantalon noir. Manifestement elle portait un string ou peut être même rien du tout...
Jean était ému et nous dit, tous ils ont châtré mon fantasme en y voyant les corones d'un taureau.
Moi, je vivais entre les deux tâches noires, dans le profond d'entre ces deux tâches noires, dans ce lieu dansant à chaque pas qu'elle faisait et ma peinture était étonnamment expressive et je me sentais artiste et j'y aurais presque mis la main, posé mes doigts, empaumé le charnu et me serais sans penser immiscé dans le tendre dans le chaud dans le moite.
J'étais bien avec mon dessin et voilà qu'en riant ils ont cassé ma brusque pulsion tactile en y projetant leur bête affaire de taureau !
Moi, avoua Jean, depuis le début de soirée, dès avant que nous eussions ouvert les huîtres, avant la poularde à larder, les coquilles Saint-Jacques à gratiner, depuis le début, quand j'ai mis le tablier pour, soi-disant trancher en fines lamelles les cèpes avant de les frire à l'ail, je bandais déjà devant le cul rebondi de Katja. Et ce tablier n'était qu'une excuse facile pour camoufler aux autres convives cet émoi tyrannique qui allait me tenir toute la soirée.
Alors pensez ma déconvenue quand, lieu de comprendre la signification puissante de ces deux tâches rondes de peinture acrylique noire, tous ont décrété qu'il s'agissait d'un taureau magnifique, fier et combatif.
Jean pensais sodomie sur canapé, ils ont lu estocade dans l'ombre sombre de l'arène.
Katja, drôle de nom, enfin de prénom plutôt. On voyait bien la dimension exotique, on pensait Prusse orientale, Sudètes. On voyait ces filles solides Katia et autres variantes, Europe centrale d'elfes de marais embrumés. Oder-Neisse.
*******
On est revenus sur le Bassin d'Arcachon et les troubles de Jean se sont dissipés dans le rosé très frais. La conversation roulait maintenant sur cette gamine qui avait fait le buzz l'autre soir chez Hortense.
À tout casser quatorze ans... Accompagné d'un gars de notre âge qu'elle appelait papy sans vergogne aucune. En sus ils avaient la plus belle table, juste côté bassin.
La fille avait fait attraction toute la soirée durant, ne restant pas en place, se levant, circulant entre les tables, pieds nus, à peine vêtue d'une robe claire, presque une nuisette qui détaillait ses courbes en contre-jour de couchant sur le Pyla.
Les hommes n'avaient d'yeux que pour elle et étonnamment, Bernadette, Hortense pour les touristes, lui manifestait sympathie, l'apostrophant, lui caressant l'épaule, lui pinçant la joue.
Jean nous disait, il arrive parfois que de très jeunes filles basculent dans l'âge adulte en puberté précoce. La littérature, les chansons populaires en regorgent. Ces Lolita affolent les mâles.
Tino Rossi chantait Tu n'as que seize ans mais faut voir comme, tu affoles déjà tous les hommes, est-ce ton œil si doux qui les mine, ou bien les rondeurs de ta poitrine qui les rend fous ?
Plus près de nous, Chuck Berry chantait you'r sixteen. T'as des cheveux lumineux, pleins de rubans aussi bleus que tes yeux, t'es jolie et rien qu'à moi.
Et je ne vous parle pas de Gainsbourg qui allait bien plus loin à la limite ... treize ans
En littérature on descend carrément à douze ans avec Nobokov... Mais faut reconnaître que Nobokov, c'est rudement bandant.
Enfin, chez Hortense, la Lolita avait fait lever l'enthousiasme de toute l’assemblée, mecs mais aussi dames.
Etonnant que les épouses de ces Messieurs, chevaliers d’industrie dégoulinants de réussite, attablées ici devant les moules ail-et-saucisse, aient été autant réceptives aux attraits juvéniles de cette donzelle.
Faut dire qu’elle avait des hanches, des fesses, des nibars de Grande. Et puis ce regard trouble de gamine trop tôt initiée aux plaisirs du sexe. Le sexe exhalait de tous les pores de sa peau, parfum pernicieux qui basculait en déséquilibre tous ceux qui l’avaient approchée.
Jean est toubib, prof de fac, il a longtemps fait recherche dans ce domaine des hormones, de la chimie des comportements. Il nous expliquait les processus et comment ce que nous avions vécu ce soir-là chez Hortense, à la Pointe, au bord des Quarante-quatre, était phénomène classique, connu, observé cliniquement, prévisible et apprécié des médecins comme éclipse de lune ou autre conjonction de planètes l’est des astronomes..
Ce soir-là, c’étaient deux femmes connues qui avaient chopé le pompon. Et l’on avait assisté à tout. Le jeter de la ligne, la turlutte qui coule dans les eaux sombres dévariées de varech chevelu, la proie qui mort et tire, donne secousse, le moulinet qui mouline, remonte et ramène à l’épuisette.
Le papy était complice. Il a payé l’addition, ramenant les deux femmes à leur auto pour filer sur les dunes à leur maison perchée, lui suivant derrière elles dans leur auto et la Lolita, l’appât, à ses côtés dans la sienne.
Tous, dans le resto, on avait compris que la nuit allait être torride dans la grande villa accrochée à la dune face à l’océan côté passes-nord.
Et Bernadette avait un petit sourire entendu … comme qui dirait, c’est chez moi que ça s’est passé.
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