Lolita veut aller à la plage
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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Lolita veut aller à la plage
Sa main était douce et elle l'a posée sur ma bite, non pas pour la tripoter mais pour la protéger et la garder au chaud. Elle a dit, va éteins la lumière et endors-toi, demain sera weekend, il te faudra m'amener à la plage, si tu veux bien.
On fera, alors peut être, tous deux, l'amour dans les dunes.
D'accord ?
A cette idée, j'ai fermé les yeux et me suis endormi, apaisé, auprès de ma Lolita, mon tendre sextoy.
Bien entendu, il faisait encore nuit noire quand je me suis vaguement réveillé. Un rêve érotique ... un serpent géant s'était faufilé entre mes cuisses. Sa peau fraîche sa langue agile sa bouche prégnante chaude aux muqueuses douces et humides et glissantes.
Sa chevelure lourde brune balayait mon pubis et le bas de mon ventre. Elle avait avalé ma tige amollie et le gland gros et tendre emballé de sa peau protectrice.
Ses lèvres ont su repousser le prépuce jusqu'au col et il y est resté coincé, roulé. Sa langue enveloppait le gland en vrappes gluantes de salive glaireuse, caressant le bourrelet circulaire qui en forme la base puis remontant au sommet, glissant sur le méat tandis que sa bouche aspirait pour annoncer le bonheur qu'elle aurait à boire, le moment venu, l'éjaculat sucré qui en jaillirait.
Moi je dormais et mon rêve construisait une histoire dont j'étais sûr de me souvenir au matin.
Si souvent on se réveille et l'on a oublié aussi sec les rêves de la nuit. Là je n'avais aucune crainte, cette pipe resterait ad eternam dans ma mémoire. Pipe d'anthologie.
J'ai pris sa tête à deux mains, les doigts plongés dans sa tignasse épaisse et chevilles croisées derrière son cou, j'ai cambré le bassin vers elle, abandonné, offert, en attente.
Je dormais, je rêvais, je me suis rendormi. J'étais bien.
******************
Matin. Le lit était inondé de lumière. J'étais nu, le drap tombé froissé au sol. Lolita avait disparu. Le câble de recharge pendouillait de l'appareil mais elle n'y était plus connectée.
Elle m'avait abandonné.
J'ai entendu la porte de l'appart s'ouvrir puis Lolita est entrée dans la chambre, toute souriante, une poche en papier à la main, tachée de gras translucide, avec une bonne odeur de croissants.
Elle a dit, les filles sont toutes pareilles, quand elles ont pris leur pied avec un garçon, le matin, elles vont acheter des croissants.
Moi, ce qui m'interpellait, c'était sa tenue !
Elle m'avait encore fauché des habits pour se vêtir... Et fallait voir comment. Je pensais, si elle est allée dans cet accoutrement circuler dans le quartier jusqu'à la boulangerie, l'a dû déclencher l'émeute en ce samedi matin d'été.
Moi-même, j'étais bandant, assis dans le lit, la couette sur les genoux levée haut par le mat dressé des matins triomphants brutalement porté au pinacle par l'apparition de ma Lolita.
Un accoutrement à faire sauter synchro tous les bouchons de champagne de l'appart, malgré les cupules et les muselets fort serrés.
Elle m'avait fauché une tenue d'athlétisme, jogging. Le short encore ça allait, bien qu'il fût deux tailles trop grand et offrit à l'œil curieux vue sur son aine et sa pilosité débordante. D'un côté, de l'autre, selon. Mais le top, c'était le débardeur façon marcel qui couvrait tout juste ses aréoles, les tétons dressés ayant pour tâche de maintenir les bretelles bien centrées sur ses nibars.
Les seins gonflés hurlaient leur bien-être et balançaient à chacun de ses mouvements, au pas cadencé.
Et tout ça avec le sourire innocent de la fillette que l'on a chargée de rapporter des croissants pour le petit déjeuner de la sainte famille.
Elle a posé le sachet de papier sur le drap sur mes genoux et est venue fureter de sa frimousse de souris sur mon ventre, à mon nombril, descendant entre mes cuisses pour frotter sa joue fraîche au pieu de chair chaude qui concentrait toute ma conscience.
Moi je revoyais mon rêve de la nuit et j'aspirais à vivre en vrai ce que j'avais alors imaginé.
Mais elle s'est relevée et m'a dit, ma bouche est trop petite pour toi, ou plutôt, tu es bien trop sévèrement monté pour mon museau de belette.
Elle a dit, debout, tu vas nous préparer le café. Merci d'utiliser l'eau déminéralisée, je ne supporte pas l'eau du robinet.
Quand j'ai été levé, ma saillie dressée devant moi, à deux mains elle a empaumé mes roupes et m'a dit, va encore un effort et elles seront prés d'éclater comme la grenouille de la fable.
Pour aller à la plage elle a voulu une robe, une jolie robe. Elle a dit je ne vais pas m'assoir dans le baquet de ta Porsche habillée d'un de tes vieux tee-shirt.
Vu que je n'avais pas ce genre d'article dans mes tiroirs, il a fallu retourner chez tam.tam, à la rue d'à coté.
Elle était connue dans ce magasin et la vendeuse l'a gentillement bisée en bienvenue. Comme je faisais la moue, la vendeuse est montée sur ses pointes de pied et m'a bisé deux fois aussi. Pour n'être pas de reste, Lolita est venue devant moi, m'a chopé à la nuque et m'a roulé un patin de princesse. Puis elle s'est tournée vers la vendeuse et elle a dit, putain ce qu'il bise bien, Papy...
La vendeuse louchait sur le débardeur qui descendait bas sur les hanches de Lolita. Enfin ce qu'elle matait, la vendeuse ce n'étaient pas les hanches de mon sextoy mais les deux seins qui menaient sarabande au balcon.
Elle a osé, cette vendeuse, lui poser une main sur la hanche, comme qui dirait pour connaître sa taille et choisir correctement la robe appropriée.
Lolita avait des idées arrêtées.
Elle voulait de fines bretelles et un empiètement bas afin de tout juste couvrir ses aréoles sans cacher le rond du haut de ses beaux seins.
Sont beaux mes nibars, non, qu'elle a dit ?
Pour le reste, tissu léger près du corps et courte, que l'on voye mes cuisses et leur galbé.
Elle a dit, on vous laisse le Marcel de papy et son short de gymnastique. Il passera les chercher semaine prochaine. D'ici-là vous pourrez les fourrer sous votre oreiller, ils puent le mâle. Ça vous fera faire de beaux rêves... Le débardeur est imprégné de bonne sueur d'efforts athlétiques quant au short il est raide de musc de couilles. Passent jamais à la machine les frusques de mon papy...
La vendeuse a voulu se rattraper de la dernière fois et nous vendre une culotte, vous ne pouvez pas rester, mademoiselle, ainsi cul nu... Voulait augmenter le chiffre d'affaire de la boutique, la vendeuse, ou alors peut être était-elle commissionnée...
Mais Lolita se sentait bien ainsi, à l'air libre, et a décliné.
Tu me mettras la main à la chatte, hein, dans ton auto ?
Je voyais bien que cette vendeuse était subjuguée par l'attitude de Lolita et ce qu'elle en déduisait de ma virilité. J'ai pensé, quand je viendrai récupérer mon débardeur, elle sera mûre, surtout si elle a passé quelques nuits à fantasmer le nez dedans, surtout le short.
Lolita voulait aller à la plage. On a filé direct sur le Bassin. Les dunes du Cap Ferret sont un vrai bonheur en ce début d'été, avant l'arrivée des touristes.
J'avais complètement oublié que cette toute jeune fille pendue à mon bras, ses ballerines à la main, sur le caillebotis à travers les dunes n'était qu'un androïde, un sextoy. J'avais ma main à sa taille et brusquement nous avons vu la mer, l'océan, immense, courbe, bleu. Elle a couru sur la pente qui menait à la plage. Au bord de l'eau elle a fait glisser les bretelles sur ses épaules, a aidé la robe à passer l'obstacle de ses seins puis a enjambé le petit tas de tissu sur le sable pour avancer nue vers les rouleaux écumants.
Moi je pensais, un androïde sait-il nager ? Me faut veiller sur elle. Sûr qu'elle est légère mais un hubot est mécanique, cela flotte-t-il ?
La plage était vide ou presque. Quelques pêcheurs avec leurs lignes au loin, deux trois couples à peine visibles allongés au soleil, un gars tout nu qui jouait avec son chien dans l'eau...
Lolita s'est retournée vers moi et m'a tendu ses bras et m'a dit, viens.
J'étais nu je lui ai pris la main et nous sommes entrés dans l'eau bouillonnante de sac et ressac.
On fera, alors peut être, tous deux, l'amour dans les dunes.
D'accord ?
A cette idée, j'ai fermé les yeux et me suis endormi, apaisé, auprès de ma Lolita, mon tendre sextoy.
Bien entendu, il faisait encore nuit noire quand je me suis vaguement réveillé. Un rêve érotique ... un serpent géant s'était faufilé entre mes cuisses. Sa peau fraîche sa langue agile sa bouche prégnante chaude aux muqueuses douces et humides et glissantes.
Sa chevelure lourde brune balayait mon pubis et le bas de mon ventre. Elle avait avalé ma tige amollie et le gland gros et tendre emballé de sa peau protectrice.
Ses lèvres ont su repousser le prépuce jusqu'au col et il y est resté coincé, roulé. Sa langue enveloppait le gland en vrappes gluantes de salive glaireuse, caressant le bourrelet circulaire qui en forme la base puis remontant au sommet, glissant sur le méat tandis que sa bouche aspirait pour annoncer le bonheur qu'elle aurait à boire, le moment venu, l'éjaculat sucré qui en jaillirait.
Moi je dormais et mon rêve construisait une histoire dont j'étais sûr de me souvenir au matin.
Si souvent on se réveille et l'on a oublié aussi sec les rêves de la nuit. Là je n'avais aucune crainte, cette pipe resterait ad eternam dans ma mémoire. Pipe d'anthologie.
J'ai pris sa tête à deux mains, les doigts plongés dans sa tignasse épaisse et chevilles croisées derrière son cou, j'ai cambré le bassin vers elle, abandonné, offert, en attente.
Je dormais, je rêvais, je me suis rendormi. J'étais bien.
******************
Matin. Le lit était inondé de lumière. J'étais nu, le drap tombé froissé au sol. Lolita avait disparu. Le câble de recharge pendouillait de l'appareil mais elle n'y était plus connectée.
Elle m'avait abandonné.
J'ai entendu la porte de l'appart s'ouvrir puis Lolita est entrée dans la chambre, toute souriante, une poche en papier à la main, tachée de gras translucide, avec une bonne odeur de croissants.
Elle a dit, les filles sont toutes pareilles, quand elles ont pris leur pied avec un garçon, le matin, elles vont acheter des croissants.
Moi, ce qui m'interpellait, c'était sa tenue !
Elle m'avait encore fauché des habits pour se vêtir... Et fallait voir comment. Je pensais, si elle est allée dans cet accoutrement circuler dans le quartier jusqu'à la boulangerie, l'a dû déclencher l'émeute en ce samedi matin d'été.
Moi-même, j'étais bandant, assis dans le lit, la couette sur les genoux levée haut par le mat dressé des matins triomphants brutalement porté au pinacle par l'apparition de ma Lolita.
Un accoutrement à faire sauter synchro tous les bouchons de champagne de l'appart, malgré les cupules et les muselets fort serrés.
Elle m'avait fauché une tenue d'athlétisme, jogging. Le short encore ça allait, bien qu'il fût deux tailles trop grand et offrit à l'œil curieux vue sur son aine et sa pilosité débordante. D'un côté, de l'autre, selon. Mais le top, c'était le débardeur façon marcel qui couvrait tout juste ses aréoles, les tétons dressés ayant pour tâche de maintenir les bretelles bien centrées sur ses nibars.
Les seins gonflés hurlaient leur bien-être et balançaient à chacun de ses mouvements, au pas cadencé.
Et tout ça avec le sourire innocent de la fillette que l'on a chargée de rapporter des croissants pour le petit déjeuner de la sainte famille.
Elle a posé le sachet de papier sur le drap sur mes genoux et est venue fureter de sa frimousse de souris sur mon ventre, à mon nombril, descendant entre mes cuisses pour frotter sa joue fraîche au pieu de chair chaude qui concentrait toute ma conscience.
Moi je revoyais mon rêve de la nuit et j'aspirais à vivre en vrai ce que j'avais alors imaginé.
Mais elle s'est relevée et m'a dit, ma bouche est trop petite pour toi, ou plutôt, tu es bien trop sévèrement monté pour mon museau de belette.
Elle a dit, debout, tu vas nous préparer le café. Merci d'utiliser l'eau déminéralisée, je ne supporte pas l'eau du robinet.
Quand j'ai été levé, ma saillie dressée devant moi, à deux mains elle a empaumé mes roupes et m'a dit, va encore un effort et elles seront prés d'éclater comme la grenouille de la fable.
Pour aller à la plage elle a voulu une robe, une jolie robe. Elle a dit je ne vais pas m'assoir dans le baquet de ta Porsche habillée d'un de tes vieux tee-shirt.
Vu que je n'avais pas ce genre d'article dans mes tiroirs, il a fallu retourner chez tam.tam, à la rue d'à coté.
Elle était connue dans ce magasin et la vendeuse l'a gentillement bisée en bienvenue. Comme je faisais la moue, la vendeuse est montée sur ses pointes de pied et m'a bisé deux fois aussi. Pour n'être pas de reste, Lolita est venue devant moi, m'a chopé à la nuque et m'a roulé un patin de princesse. Puis elle s'est tournée vers la vendeuse et elle a dit, putain ce qu'il bise bien, Papy...
La vendeuse louchait sur le débardeur qui descendait bas sur les hanches de Lolita. Enfin ce qu'elle matait, la vendeuse ce n'étaient pas les hanches de mon sextoy mais les deux seins qui menaient sarabande au balcon.
Elle a osé, cette vendeuse, lui poser une main sur la hanche, comme qui dirait pour connaître sa taille et choisir correctement la robe appropriée.
Lolita avait des idées arrêtées.
Elle voulait de fines bretelles et un empiètement bas afin de tout juste couvrir ses aréoles sans cacher le rond du haut de ses beaux seins.
Sont beaux mes nibars, non, qu'elle a dit ?
Pour le reste, tissu léger près du corps et courte, que l'on voye mes cuisses et leur galbé.
Elle a dit, on vous laisse le Marcel de papy et son short de gymnastique. Il passera les chercher semaine prochaine. D'ici-là vous pourrez les fourrer sous votre oreiller, ils puent le mâle. Ça vous fera faire de beaux rêves... Le débardeur est imprégné de bonne sueur d'efforts athlétiques quant au short il est raide de musc de couilles. Passent jamais à la machine les frusques de mon papy...
La vendeuse a voulu se rattraper de la dernière fois et nous vendre une culotte, vous ne pouvez pas rester, mademoiselle, ainsi cul nu... Voulait augmenter le chiffre d'affaire de la boutique, la vendeuse, ou alors peut être était-elle commissionnée...
Mais Lolita se sentait bien ainsi, à l'air libre, et a décliné.
Tu me mettras la main à la chatte, hein, dans ton auto ?
Je voyais bien que cette vendeuse était subjuguée par l'attitude de Lolita et ce qu'elle en déduisait de ma virilité. J'ai pensé, quand je viendrai récupérer mon débardeur, elle sera mûre, surtout si elle a passé quelques nuits à fantasmer le nez dedans, surtout le short.
Lolita voulait aller à la plage. On a filé direct sur le Bassin. Les dunes du Cap Ferret sont un vrai bonheur en ce début d'été, avant l'arrivée des touristes.
J'avais complètement oublié que cette toute jeune fille pendue à mon bras, ses ballerines à la main, sur le caillebotis à travers les dunes n'était qu'un androïde, un sextoy. J'avais ma main à sa taille et brusquement nous avons vu la mer, l'océan, immense, courbe, bleu. Elle a couru sur la pente qui menait à la plage. Au bord de l'eau elle a fait glisser les bretelles sur ses épaules, a aidé la robe à passer l'obstacle de ses seins puis a enjambé le petit tas de tissu sur le sable pour avancer nue vers les rouleaux écumants.
Moi je pensais, un androïde sait-il nager ? Me faut veiller sur elle. Sûr qu'elle est légère mais un hubot est mécanique, cela flotte-t-il ?
La plage était vide ou presque. Quelques pêcheurs avec leurs lignes au loin, deux trois couples à peine visibles allongés au soleil, un gars tout nu qui jouait avec son chien dans l'eau...
Lolita s'est retournée vers moi et m'a tendu ses bras et m'a dit, viens.
J'étais nu je lui ai pris la main et nous sommes entrés dans l'eau bouillonnante de sac et ressac.
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