LUCILLE (suite 1)
Récit érotique écrit par Alain Dex [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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LUCILLE (suite 1)
Lucille était tombée aux mains du Fauve et lui laissait se délecter de sa défaite sans plus aucune résistance ni volonté de se soustraire à toutes les conséquences de cet esclavage. Lucille se sentait embrasée par un feu intérieur d’une violence sans pardon. Une lueur qu’elle ne lui connaissait pas était apparue dans ses yeux. Une lueur de désir mâle. Elle le regarda dans les yeux et répondit ainsi à ses avances, sans avoir rien à lui dire.
Il la prit par les épaules et rapprocha son visage du sien. Elle n’eut pas le moindre geste de défense. Il l’embrassa. Sur les joues, d’abord. Puis, tandis qu’elle fermait les yeux en signe de soumission, sur les lèvres. La sensualité de ses baisers rendit folle Lucille. Elle gémit sous la tendre caresse des lèvres de l’Homme. Se rendant sans combattre, elle lui ouvrit la bouche. Durant de merveilleux instants, elle laissa l’homme introduire sa langue. Lui offrit sa bouche sans résistance. Puis, aiguillonnée par une passion qu’elle ne pouvait plus maîtriser, d’une langue alerte, elle répondit, comme plus tôt dans la soirée, fougueusement à son baiser. Elle se mit à sucer et lécher la langue de l’homme avec une gourmandise passionnée.
Dans son dos, d’une main alerte, l’homme lui dégrafait le soutien-gorge. Elle lui laissa ensuite ouvrir, de son autre main, trois boutons de son chemisier. Elle gémit quand il se mit à lui caresser les seins sans cesser de l’embrasser.
Il lui prit la main et la posa sur son pantalon. Elle sentit un renflement important. Elle caressa.
L’homme dégagea sa bouche. « Chérie, tu as des seins magnifiques. Je t'en prie, retire ton soutien » souffla-t-il.
-Si le maître d’hôtel arrivait ? questionna-t-elle, à mi-voix.
-Il verrait une poitrine splendide. Est-ce un crime ? répondit l’Homme de sa voix chaude.
Elle cessa de caresser la protubérance du pantalon et, avec grâce, retira son chemisier puis son soutien-gorge. Elle remit son chemisier mais, comme elle allait fermer les boutons, il l’interrompit de sa voix irrésistible. « Non, je t'en prie, laisse ton chemisier ouvert ». L’homme lui prit le soutien-gorge des mains et le mit en poche. Il ne détacha pas un instant son regard de ses seins. Ils étaient magnifiques, réguliers et bien fermes surtout.
-Tout ce que les hommes nous font faire…
-Tu l’as déjà fait ?
-Quoi ?
-Retirer ton soutien dans un restaurant !
-Jamais ! C’est parce que tu me l'as demandé…
-Maintenant, nous allons appeler le Maître d’Hôtel et nous faire servir…
-Je suis honteuse.
Elle feignit une certaine pudibonderie, pour faire monter les enchères.
-Pourquoi ?
-Il va voir mes seins !
-Ils sont magnifiques et il en a de la chance !
-Arrête. Ça m'excite tout ce que tu me dis. Je vais devenir une vraie cochonne et ce sera de ta faute. Tu me donnes envie de baiser, même ici en public. Du moment que c'est avec toi.
-Et ton mari ?
-Il n'a qu'à s'adapter et puis, je le soignerai à ma façon... si c'est nécessaire... s'il a de gros états d'âme.
-On ne s'ennuie pas avec toi, trésor !
Lui-même avait l’air d’apprécier le spectacle des seins bien fermes de Lucille. Il lorgnait dans l'entrebâillement honteusement indiscret du chemisier ouvert sans plus chercher à cacher son excitation grandissante.
-Ça te plait, dirait-on ?
-Oui... oui... tu m'excites... tu m'excites terriblement.
Il la prit par les cheveux, écrasa son visage contre le sien et l’embrassa fougueusement. Avec sa langue, il caressa l’intérieur de la bouche de Lucille. Elle tourna sa langue autour de celle de son tourmenteur. Il toucha un sein et le caressa de la paume de la main.
L’Homme, qui caressait voluptueusement les seins de Lucille, en pinça violemment un bout avec force. Lucille gémit, soumise.
Lucille sentit l’Homme lui poser la main sur le genou. Il se mit à lui caresser la jambe. Elle ferma les yeux. La caresse était d’abord douce, furtive, tendre. Lucille attendit. La caresse devint plus pressante, plus insistante, plus précise. La main remontait, de plus en plus haut, sous la jupe, à l’intérieur des cuisses, là où les femmes deviennent très sensibles et leur peau très douce. Lucille écarta les jambes. Elle mit la main sur le pantalon de l’Homme, à l’endroit où elle sentait une protubérance devenir de plus en plus volumineuse. Elle voulait qu’il sache qu’elle était à sa disposition. Que son plaisir à elle, c’était son plaisir à lui. Et en tout ce qu’il voudrait. La main de l’Homme était montée à l’intérieur des cuisses jusqu’à son entrejambe. Il lui caressait la vulve par-dessus le tissu de la petite culotte. Lucille n’en pouvait plus.
Lucille avait senti qu’elle basculait dans le plus obscur des Désirs. Et qu’elle ne pouvait résister.
Elle avait toujours la main posée sur le pantalon de l’Homme.
-Sors-le.
Elle ouvrit la fermeture éclair et glissant la main dans le slip, elle extirpa le sexe de l’Homme. Il était énorme. Le gland, tout sorti, était luisant d’excitation.
-Suce.
Elle se pencha. L’Homme la saisit par les cheveux pour la maintenir.
-Je vais appeler le Maître d’Hôtel. Continue. Je veux qu’il voie.
Le Maître d’Hôtel se présenta. Lucille était penchée sur le bas-ventre de l’Homme et s’appliquait.
Lucille se redressa. Sans précipitation. L’Homme retira sa main. Une des pointes de sein de Lucille sortait de son chemisier. Lucille regarda sans la moindre honte dans la direction du Maître d’Hôtel. Ce dernier, très stylé, fit semblant de rien. Il ne put s’empêcher de jeter deux ou trois œillades vers la poitrine en partie découverte de Lucille. Comme en pâmoison, elle laissa dévoilée à ce regard intéressé, et pour la première fois de sa vie, cette partie excitante de son anatomie. L’Homme l’embrassa sur la bouche, d’autorité. Puis ils choisirent sur la carte, comme si de rien n’était. Lucille avait le visage tout empourpré, tandis que l’Homme demeurait imperturbable.
Lucille se laissa guider dans ses choix par l’Homme. La carte était l’une des plus prestigieuses de la région. L’Homme semblait la connaître sur le bout des doigts et la commentait avec art.
Lucille se délecta. L’Homme ne s’était pas trompé sur ses goûts. Le choix des vins aussi était un succès. Elle accepta que l’Homme la fasse boire. Elle n’avait, de toute façon, plus rien à lui refuser et n’avait plus qu’une petite crainte. C’est qu’il n’exigea pas suffisamment d’elle. Mais, comme elle voulait reboutonner son chemisier, il l’en empêcha. Elle était rassurée. C’était un Fauve qui ne lâche pas sa proie.
A la fin du repas, le Maître d’Hôtel vint débarrasser.
-La chambre est prête ? demanda l’Homme sur un ton des plus naturels.
-Oui, monsieur, répondit le Maître d’Hôtel sans sourciller.
Malgré le champagne, Lucille se mit à trembler imperceptiblement. Il ne fut pas question d’addition. L’Homme se leva et d’un regard, pria Lucille de faire de même. Ils suivirent le Maître d’Hôtel à travers de longs couloirs déserts. Au fond d’un de ces couloirs, ils montèrent deux volées d’un large escalier en bois ouvragé. En haut de celui-ci, l’Homme dit simplement :
-Merci, Maurice. Vous pouvez nous laisser.
Sans un mot, le Maître d’Hôtel s’effaça pour les laisser passer et redescendit l’escalier. Tenant Lucille par la main, l’Homme se dirigea vers une petite porte en chêne, au fond d’un long couloir dont la décoration gothique impressionna Lucille. Une curiosité étrange l’envahit.
Sans prononcer une parole, l’Homme ouvrit la porte, fit entrer Lucille. Puis il referma la porte à clef derrière eux. C’était une grande chambre, meublée à l’ancienne. Une impression de richesse impressionna Lucille. Un grand lit à baldaquin attira le regard de Lucille.
-On dirait qu’il est brodé d’or…s’étonna-t-elle.
-Il est brodé d’or !
-Le propriétaire n’a pas lésiné.
-Non, il n’a pas lésiné, en effet.
L’Homme avait répondu sur un ton de connaisseur.
Lucille s’avança dans la chambre, découvrant des trésors de meubles anciens et de décoration raffinée. A gauche, une double porte vitrée que pouvait dissimuler une somptueuse tenture retirée à gauche et droite, donnait sur un petit balcon. Celui-ci dominait les jardins et laissait, au-delà, admirer une grande partie du Lac. L’Homme entraîna Lucille pour contempler ce prodigieux spectacle.
L’Homme tint Lucille dans ses bras et lui dit des mots tendres à l’oreille.
-Mon petit Trésor, c’est le moment pour me montrer des choses…
Lucille en frissonna.
-On peut nous voir du jardin…
-Oui, du jardin et encore d’ailleurs. Tu es jolie, tu peux le montrer, non ?
-Vous voulez que je me montre ?
-Oui, mon doux trésor. On va enlever tous ces vêtements gênants.
Il défit les boutons. Le chemisier glissa sur le sol, puis la jupe, puis la petite culotte.
Elle sentit qu’elle était maintenant sur cette Terre pour le satisfaire.
Complètement nue, tournée vers les jardins, elle se serra, dos contre l’Homme. Elle se mit à frotter de ses fesses nues ce quelque chose de très dur dans son pantalon. Il l’entourait de ses deux bras et lui caressait les seins, sans pudeur, à son aise. Toujours en lui tournant le dos, elle passa ses deux mains derrière elle. En tâtonnant, elle se mit à caresser, les deux mains bien à plat, cette indiscrète protubérance sous le tissu. Elle eut la sensation que la « chose » se développait encore. Ce qui aiguisa encore le Désir ardent qui avait pris possession d'elle . « Ta chatte est toute mouillée, ma chérie » fit l'Homme dont une main, après avoir consciencieusement caressé les seins, était descendue parcourir le ventre d'abord, puis, sans précipitation, explorer les chairs si délicates et si sensibles de l'entre-cuisse. Lucille ne s'épilait pas et l'Homme eut le plaisir de parcourir cette douce toison, trônant sur le Mont de Vénus, prémices de la découverte suprême et dont la forme triangulaire semblait montrer l'accès à la Grotte des Plaisirs. Et un peu plus loin, un autre accès, terrible. Lucille était toute mouillée et le doigt de l'Homme chuintait dans ce liquide odorant et gluant. Il titilla le clitoris puis entre le pouce et l'index le pressa pour l'extraire de sa petite guérite. Il caressait entre les petites lèvres puis s'enfonça dans la corolle inondée de foutre gluant du vagin. Après une longue série de va-et-vient, il retira son doigt et le porta aux lèvres de Lucille qui ouvrit la bouche pour sucer ce doigt gluant de foutre.
N'y tenant plus, à l'aveugle, car elle lui tournait toujours le dos, elle lui défit sa ceinture et Lui ouvrit sa braguette. Elle lui baissa un peu le pantalon puis sortit l'énorme sexe tout dur du slip.
Elle le tint fermement d'une main tout en caressant les testicules de l'autre main, n'hésitant pas à planter ses ongles ou à serrer cruellement l'une ou l'autre partie. Cela l'excita par trop, elle n'en pouvait plus. Elle pris la hampe dure et vigoureuse et dirigea le gland vers son anus. Celui-ci n'avait jamais subi l'assaut que Lucille lui destinait. Elle était prête donc à endurer le pire. Elle fit un peu tourner le gland tout mouillé du foutre d'excitation puis se décida à se l'enfiler dans l'anus. Une douleur irradiante la transperça et elle ne put réprimer un cri. La partie large du gland passait l'obstacle du sphincter. Horriblement distendu, la souffrance était atroce. Après ce fut l'extase d'une lente pénétration, la révélation d'une délicieuse jouissance, inconnue à Lucille jusque là. Une sensation merveilleuse. L'Homme lui enserra la taille de ses deux bras musclés et la souleva du sol, le pieu se retirait. Il la fit descendre alors lentement, le cul à l'ouverture distendue, empalé sur son sexe puissant. Il la fit ainsi monter et descendre lentement pour bien profiter de ce plaisir qui les faisait gémir tous les deux. « O mon amour, c'est bon !... c'est si bon... Je t'aime... Je t'adore... Je suis à toi... Fais de moi tout ce qu'il te plaira... C'est trop bon, je t'adore... » Elle se tut. D'ailleurs elle ne sut pas si elle avait bien dit tout cela ou si elle l'avait pensé très fort. Dépassée par la jouissance. L'Homme la faisait monter et descendre sur son pieu puissant. Lentement, c'était douloureux. Bon, mais encore douloureux. Le mouvement s'accéléra. Conduisant Lucille vers le paradis. La douleur était devenue jouissance.
Il la prit par les épaules et rapprocha son visage du sien. Elle n’eut pas le moindre geste de défense. Il l’embrassa. Sur les joues, d’abord. Puis, tandis qu’elle fermait les yeux en signe de soumission, sur les lèvres. La sensualité de ses baisers rendit folle Lucille. Elle gémit sous la tendre caresse des lèvres de l’Homme. Se rendant sans combattre, elle lui ouvrit la bouche. Durant de merveilleux instants, elle laissa l’homme introduire sa langue. Lui offrit sa bouche sans résistance. Puis, aiguillonnée par une passion qu’elle ne pouvait plus maîtriser, d’une langue alerte, elle répondit, comme plus tôt dans la soirée, fougueusement à son baiser. Elle se mit à sucer et lécher la langue de l’homme avec une gourmandise passionnée.
Dans son dos, d’une main alerte, l’homme lui dégrafait le soutien-gorge. Elle lui laissa ensuite ouvrir, de son autre main, trois boutons de son chemisier. Elle gémit quand il se mit à lui caresser les seins sans cesser de l’embrasser.
Il lui prit la main et la posa sur son pantalon. Elle sentit un renflement important. Elle caressa.
L’homme dégagea sa bouche. « Chérie, tu as des seins magnifiques. Je t'en prie, retire ton soutien » souffla-t-il.
-Si le maître d’hôtel arrivait ? questionna-t-elle, à mi-voix.
-Il verrait une poitrine splendide. Est-ce un crime ? répondit l’Homme de sa voix chaude.
Elle cessa de caresser la protubérance du pantalon et, avec grâce, retira son chemisier puis son soutien-gorge. Elle remit son chemisier mais, comme elle allait fermer les boutons, il l’interrompit de sa voix irrésistible. « Non, je t'en prie, laisse ton chemisier ouvert ». L’homme lui prit le soutien-gorge des mains et le mit en poche. Il ne détacha pas un instant son regard de ses seins. Ils étaient magnifiques, réguliers et bien fermes surtout.
-Tout ce que les hommes nous font faire…
-Tu l’as déjà fait ?
-Quoi ?
-Retirer ton soutien dans un restaurant !
-Jamais ! C’est parce que tu me l'as demandé…
-Maintenant, nous allons appeler le Maître d’Hôtel et nous faire servir…
-Je suis honteuse.
Elle feignit une certaine pudibonderie, pour faire monter les enchères.
-Pourquoi ?
-Il va voir mes seins !
-Ils sont magnifiques et il en a de la chance !
-Arrête. Ça m'excite tout ce que tu me dis. Je vais devenir une vraie cochonne et ce sera de ta faute. Tu me donnes envie de baiser, même ici en public. Du moment que c'est avec toi.
-Et ton mari ?
-Il n'a qu'à s'adapter et puis, je le soignerai à ma façon... si c'est nécessaire... s'il a de gros états d'âme.
-On ne s'ennuie pas avec toi, trésor !
Lui-même avait l’air d’apprécier le spectacle des seins bien fermes de Lucille. Il lorgnait dans l'entrebâillement honteusement indiscret du chemisier ouvert sans plus chercher à cacher son excitation grandissante.
-Ça te plait, dirait-on ?
-Oui... oui... tu m'excites... tu m'excites terriblement.
Il la prit par les cheveux, écrasa son visage contre le sien et l’embrassa fougueusement. Avec sa langue, il caressa l’intérieur de la bouche de Lucille. Elle tourna sa langue autour de celle de son tourmenteur. Il toucha un sein et le caressa de la paume de la main.
L’Homme, qui caressait voluptueusement les seins de Lucille, en pinça violemment un bout avec force. Lucille gémit, soumise.
Lucille sentit l’Homme lui poser la main sur le genou. Il se mit à lui caresser la jambe. Elle ferma les yeux. La caresse était d’abord douce, furtive, tendre. Lucille attendit. La caresse devint plus pressante, plus insistante, plus précise. La main remontait, de plus en plus haut, sous la jupe, à l’intérieur des cuisses, là où les femmes deviennent très sensibles et leur peau très douce. Lucille écarta les jambes. Elle mit la main sur le pantalon de l’Homme, à l’endroit où elle sentait une protubérance devenir de plus en plus volumineuse. Elle voulait qu’il sache qu’elle était à sa disposition. Que son plaisir à elle, c’était son plaisir à lui. Et en tout ce qu’il voudrait. La main de l’Homme était montée à l’intérieur des cuisses jusqu’à son entrejambe. Il lui caressait la vulve par-dessus le tissu de la petite culotte. Lucille n’en pouvait plus.
Lucille avait senti qu’elle basculait dans le plus obscur des Désirs. Et qu’elle ne pouvait résister.
Elle avait toujours la main posée sur le pantalon de l’Homme.
-Sors-le.
Elle ouvrit la fermeture éclair et glissant la main dans le slip, elle extirpa le sexe de l’Homme. Il était énorme. Le gland, tout sorti, était luisant d’excitation.
-Suce.
Elle se pencha. L’Homme la saisit par les cheveux pour la maintenir.
-Je vais appeler le Maître d’Hôtel. Continue. Je veux qu’il voie.
Le Maître d’Hôtel se présenta. Lucille était penchée sur le bas-ventre de l’Homme et s’appliquait.
Lucille se redressa. Sans précipitation. L’Homme retira sa main. Une des pointes de sein de Lucille sortait de son chemisier. Lucille regarda sans la moindre honte dans la direction du Maître d’Hôtel. Ce dernier, très stylé, fit semblant de rien. Il ne put s’empêcher de jeter deux ou trois œillades vers la poitrine en partie découverte de Lucille. Comme en pâmoison, elle laissa dévoilée à ce regard intéressé, et pour la première fois de sa vie, cette partie excitante de son anatomie. L’Homme l’embrassa sur la bouche, d’autorité. Puis ils choisirent sur la carte, comme si de rien n’était. Lucille avait le visage tout empourpré, tandis que l’Homme demeurait imperturbable.
Lucille se laissa guider dans ses choix par l’Homme. La carte était l’une des plus prestigieuses de la région. L’Homme semblait la connaître sur le bout des doigts et la commentait avec art.
Lucille se délecta. L’Homme ne s’était pas trompé sur ses goûts. Le choix des vins aussi était un succès. Elle accepta que l’Homme la fasse boire. Elle n’avait, de toute façon, plus rien à lui refuser et n’avait plus qu’une petite crainte. C’est qu’il n’exigea pas suffisamment d’elle. Mais, comme elle voulait reboutonner son chemisier, il l’en empêcha. Elle était rassurée. C’était un Fauve qui ne lâche pas sa proie.
A la fin du repas, le Maître d’Hôtel vint débarrasser.
-La chambre est prête ? demanda l’Homme sur un ton des plus naturels.
-Oui, monsieur, répondit le Maître d’Hôtel sans sourciller.
Malgré le champagne, Lucille se mit à trembler imperceptiblement. Il ne fut pas question d’addition. L’Homme se leva et d’un regard, pria Lucille de faire de même. Ils suivirent le Maître d’Hôtel à travers de longs couloirs déserts. Au fond d’un de ces couloirs, ils montèrent deux volées d’un large escalier en bois ouvragé. En haut de celui-ci, l’Homme dit simplement :
-Merci, Maurice. Vous pouvez nous laisser.
Sans un mot, le Maître d’Hôtel s’effaça pour les laisser passer et redescendit l’escalier. Tenant Lucille par la main, l’Homme se dirigea vers une petite porte en chêne, au fond d’un long couloir dont la décoration gothique impressionna Lucille. Une curiosité étrange l’envahit.
Sans prononcer une parole, l’Homme ouvrit la porte, fit entrer Lucille. Puis il referma la porte à clef derrière eux. C’était une grande chambre, meublée à l’ancienne. Une impression de richesse impressionna Lucille. Un grand lit à baldaquin attira le regard de Lucille.
-On dirait qu’il est brodé d’or…s’étonna-t-elle.
-Il est brodé d’or !
-Le propriétaire n’a pas lésiné.
-Non, il n’a pas lésiné, en effet.
L’Homme avait répondu sur un ton de connaisseur.
Lucille s’avança dans la chambre, découvrant des trésors de meubles anciens et de décoration raffinée. A gauche, une double porte vitrée que pouvait dissimuler une somptueuse tenture retirée à gauche et droite, donnait sur un petit balcon. Celui-ci dominait les jardins et laissait, au-delà, admirer une grande partie du Lac. L’Homme entraîna Lucille pour contempler ce prodigieux spectacle.
L’Homme tint Lucille dans ses bras et lui dit des mots tendres à l’oreille.
-Mon petit Trésor, c’est le moment pour me montrer des choses…
Lucille en frissonna.
-On peut nous voir du jardin…
-Oui, du jardin et encore d’ailleurs. Tu es jolie, tu peux le montrer, non ?
-Vous voulez que je me montre ?
-Oui, mon doux trésor. On va enlever tous ces vêtements gênants.
Il défit les boutons. Le chemisier glissa sur le sol, puis la jupe, puis la petite culotte.
Elle sentit qu’elle était maintenant sur cette Terre pour le satisfaire.
Complètement nue, tournée vers les jardins, elle se serra, dos contre l’Homme. Elle se mit à frotter de ses fesses nues ce quelque chose de très dur dans son pantalon. Il l’entourait de ses deux bras et lui caressait les seins, sans pudeur, à son aise. Toujours en lui tournant le dos, elle passa ses deux mains derrière elle. En tâtonnant, elle se mit à caresser, les deux mains bien à plat, cette indiscrète protubérance sous le tissu. Elle eut la sensation que la « chose » se développait encore. Ce qui aiguisa encore le Désir ardent qui avait pris possession d'elle . « Ta chatte est toute mouillée, ma chérie » fit l'Homme dont une main, après avoir consciencieusement caressé les seins, était descendue parcourir le ventre d'abord, puis, sans précipitation, explorer les chairs si délicates et si sensibles de l'entre-cuisse. Lucille ne s'épilait pas et l'Homme eut le plaisir de parcourir cette douce toison, trônant sur le Mont de Vénus, prémices de la découverte suprême et dont la forme triangulaire semblait montrer l'accès à la Grotte des Plaisirs. Et un peu plus loin, un autre accès, terrible. Lucille était toute mouillée et le doigt de l'Homme chuintait dans ce liquide odorant et gluant. Il titilla le clitoris puis entre le pouce et l'index le pressa pour l'extraire de sa petite guérite. Il caressait entre les petites lèvres puis s'enfonça dans la corolle inondée de foutre gluant du vagin. Après une longue série de va-et-vient, il retira son doigt et le porta aux lèvres de Lucille qui ouvrit la bouche pour sucer ce doigt gluant de foutre.
N'y tenant plus, à l'aveugle, car elle lui tournait toujours le dos, elle lui défit sa ceinture et Lui ouvrit sa braguette. Elle lui baissa un peu le pantalon puis sortit l'énorme sexe tout dur du slip.
Elle le tint fermement d'une main tout en caressant les testicules de l'autre main, n'hésitant pas à planter ses ongles ou à serrer cruellement l'une ou l'autre partie. Cela l'excita par trop, elle n'en pouvait plus. Elle pris la hampe dure et vigoureuse et dirigea le gland vers son anus. Celui-ci n'avait jamais subi l'assaut que Lucille lui destinait. Elle était prête donc à endurer le pire. Elle fit un peu tourner le gland tout mouillé du foutre d'excitation puis se décida à se l'enfiler dans l'anus. Une douleur irradiante la transperça et elle ne put réprimer un cri. La partie large du gland passait l'obstacle du sphincter. Horriblement distendu, la souffrance était atroce. Après ce fut l'extase d'une lente pénétration, la révélation d'une délicieuse jouissance, inconnue à Lucille jusque là. Une sensation merveilleuse. L'Homme lui enserra la taille de ses deux bras musclés et la souleva du sol, le pieu se retirait. Il la fit descendre alors lentement, le cul à l'ouverture distendue, empalé sur son sexe puissant. Il la fit ainsi monter et descendre lentement pour bien profiter de ce plaisir qui les faisait gémir tous les deux. « O mon amour, c'est bon !... c'est si bon... Je t'aime... Je t'adore... Je suis à toi... Fais de moi tout ce qu'il te plaira... C'est trop bon, je t'adore... » Elle se tut. D'ailleurs elle ne sut pas si elle avait bien dit tout cela ou si elle l'avait pensé très fort. Dépassée par la jouissance. L'Homme la faisait monter et descendre sur son pieu puissant. Lentement, c'était douloureux. Bon, mais encore douloureux. Le mouvement s'accéléra. Conduisant Lucille vers le paradis. La douleur était devenue jouissance.
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