Ma belle au resto

- Par l'auteur HDS Omarrrr -
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma belle au resto Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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(9.0 / 10)

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Ma belle au resto
notre couple. Nous sommes âgés d’une quarantaine d’années tous les deux, et on peux dire que notre vie sexuelle est plutôt calme. Boulots, enfants, routine, le sexe est arrivé petit à petit au second plan de notre vie de couple, pour ce qu’il en reste. Bien sûr la complicité est là, mais les galipettes au lit, pas vraiment. Pour cette soirée au restaurant en amoureux, je me suis offert une mini jupe en cuir et un body bien pigeonnant qui j’espère bien plaira à mon mari. Mes seins bien gonflés par ce décolleté, les pointes sont à peine dissimulées. Je ne suis pas prête d’oublier le regard de mon homme quand il m’a vu sortir de la salle de bain. Les yeux grands écarquillés, comme un dévoreur, un ogre qui n’aurait pas mangé depuis des jours. J’étais satisfaite, et ce n’est rien pas rapport au reste de la soirée.

Nous partons en avance pour les restaurants, profitant pour longer la croisette, la plage, profiter du soleil et de ce moment en amoureux qui nous manque cruellement.

-Je t’aime me dit il en m’enserrant dans ses bras.

-Moi aussi mon chéri.

Un peu en avance, même beaucoup, nous profitons d’un café à quelques ruelles du restaurant pour prendre l’apéritif. Mes seins pointes comme pendant que je fais l’amour, ma poitrine est toute gonflée par ces trois petits mots qu’il vient de me dire à l’oreille, mon bas ventre est chaud.

En entrant dans le bar, le patron n’arrive pas à me regarder dans les yeux et fixe lourdement ma poitrine, généreuse au quotidien et bien plus imposante en ce moment. Un sourire pervers au coin des lèvres il nous invite à nous installer un peu à l’écart pour être au calme. Installés, nous commandons un verre et commençons à discuter de tout et de rien.

-Tu devrais t’habiller plus souvent comme ça, j’aime beaucoup.

Les mains croisées je lui dis que l’on verra bien. Un groupe d’hommes choisit ce moment pour arriver. 5 hommes, ils commandent des boissons et descendent bien vite leurs boissons, bien plus vite que nous. Je ne peux m’empêcher de remarquer que les hommes nous regardent avec insistance par moment. Peu importe, je suis seule avec mon mari, en couple enfin réunit, la soirée est à nous. Ma robe a beau être confortable, elle remonte tout de même bien haut sur mes cuisses, pour ainsi dire, elle remonte au niveau de mon sexe. J’aime cette sensation d’exhibitionniste, mais tout de même. Le deuxième verre d’alcool à peine commandé que le premier du groupe vient nous voir en plongeant son regard dans mon décolleté.

-J’espère que nous ne vous dérangeons pas trop ?

Il sourit, il est même plutôt charmeur, et nous explique le but de leur soirée.

-Voulez-vous vous joindre à nous pour un verre ?

Mon mari accepte rapidement et nous voilà partie main dans la main pour fêter la soirée, du moins une partie avec ce groupe d’hommes. Les verres se vident, nous parlons du mariage, de tout de rien, les verres se vident. Mon mari me fait signe qu’il est temps pour nous de nous rendre au restaurant.

-Attends cinq minutes, je passe me refaire une beauté.

Quand j’arrive dans les toilettes, je tombe nez à nez sur le patron du bar et remarque que je ne suis pas dans les toilettes dames.

-Excusez-moi, je crois que je me suis trompée avec les quelques verres d’alcool que j’ai bue.

-Ce n’est pas grave madame. Vous a-t-on dit que vous étiez très belle ?

Je suis flattée et rougie. Les hommes charmants sont si rares. En quelques secondes il est déjà sur moi à me prendre par la taille en me déposant des baisers sur les joues. Pourquoi je ne me débat pas. Ses baisers sont chauds et bons, ses lèvres se rapprochent des miennes, pour au final les trouver. Ma bouche s’ouvre comme par enchantement pour aller chercher sa langue. Plaquée le long du mur, je roule une pelle à un inconnu ! Les yeux fermés, je m’abandonne totalement dans ce baiser Il passe une main sous ma jupe et remonte ma cuisse, son autre main parcours mon sein. Je me laisse toujours faire. Mon bas ventre est en ébullition, je n’ai qu’une envie qu’il me lâche et retourner voir mon mari. Au lieu de cela, je l’attire encore plus à moi et me baisse pour déboutonner son pantalon. Libérant une magnifique verge en érection, bien plus longue et épaisse que celle de mon mari, je me rempli la bouche en le regardant droit dans les yeux. Je le suce comme une pro, du moins je le ressens comme ça. Seulement dans les meilleurs jours j’ai offert une gâterie aussi longue et délicate à mon mari, et ce n’est pourtant pas la même dimension de phallus. Je l’adore cette grosse bite.

Le patron du bar me retourne le long du lavabo et remonte ma mini jupe sur mes hanches pour me mettre les fesses à nues. Les jambes écartées légèrement je n’ai plus la moindre résistance ni même l’envie de partir de suite.

-Prend-moi ! Lui dis-je.

-Oh oui je vais te prendre petite salope d’épouse !

Il glisse en moi comme si je l’avais attendu toute ma vie. Il me pistonne la fente sans ménagement, et le pire c’est que j’aime ça ! Moi épouse modèle, alors que mon homme attend que je revienne. Me faire limer avec vigueur et puissance par une bonne grosse bite, voilà ce qu’il me manquait, j’en suis sûre.

Je jouis de plaisir pratiquement au même instant que lui. Je sens sa semence se répandre dans tout mon vagin. J’adore, mais j’ai honte.

De retour dans le bar, le premier gaillard me prend par le bras et m’entraine à lui. M’installant sur ses genoux sans ménagement.

-Votre mari a dit qu’il n’y avait pas de problème si vous étiez un peu en retard. Nous profitons donc un peu plus de votre compagnie, cela ne vous gêne pas ?

-S’il l’a dit, c’est que c’est d’accord ! Je sens encore le foutre du patron sortir de ma vulve et couler le long de ma cuisse.

-Vous êtes superbe, et vos seins paraissent bien lourds et encore fermes madame, me dit-il.

Je croise le regard de mon homme, grand sourire jusqu’aux oreilles entrain de rire de je ne sais quoi. La main du gaillard passe sous mon body pour me tripoter un sein. Je suis gênée, je n’ai même pas la force de le repousser, malgré la présence de mon mari qui ne remarque même pas le manège. Le sein bien pétri, il descend sa main pour la glisser à mon entrejambe et s’esclaffer.

-Ohh la salope, elle a déjà servit il n’y a pas longtemps !

Tout en montrant ses doigts plein de ce mélange de cyprine et de sperme. Les hommes s’arrêtent net et rient tous ensemble alors que mon mari ne bronche pas le moins du monde.

-Ne t’inquiètes pas salope, on lui a mit quelques petits cachets dans son verre il y a bien longtemps. Il se réveillera demain matin avec une gueule de bois et ne souviendra de rien.

A peine avait il finit sa phrase qu’il me doigtait sans ménagement la minette et que ses amis se regroupaient autours de moi. Il me doigte, il me titille le clito déjà gonflé et encore turgescent de l’épisode dans les toilettes. Les autres se mettent nus autours de moi et me tende leur bite à sucer. Je n’ai plus la moindre résistance, j’ai du me faire droguer moi aussi.

Attrapée par les cheveux, on me force à sucer et on me retourne. Le premier m’enfile sans ménagement, une bite encore plus grosse que celle du patron. On me gifle les fesses, les seins, ma bouche est pleine, je ne sais plus où je suis n’y qui je suis. Je roule des hanches pour mieux sentir cette bite qui me lime sans cesse, comme si j’aimais cela.

-Salope de bourgeoise, on va tous te passer par les trous et te les dilater au maximum.

Le premier m’inonde de foutre. Son sperme me rempli le vagin en grosses giclées, plus puissantes et nombreuses que le patron du bar. Un second prend sa place en me mettant sur lui. Un autre vient me prendre les fesses en même temps pendant que le dernier s’active dans ma bouche. Je me fais prendre par tous les orifices en même temps, une véritable pute ! Et mon mari qui ne réagit pas, du reste moi non plus. Nue, la mini jupe ailleurs, le body à moitié arraché, il me remplisse la bouche, le vagin et le cul de leur semence. Je jouis tout ce que je peux. Jamais on ne m’avait baisée comme ça, et même si c’est sous la drogue, je dois dire que je les aime bien ces grosses bites.

Quand tous ont profité de moi, je me rhabille comme je peux.

-chéri, on y va ?

-Je ne suis pas bien, je préférerais rentrer à la maison.

-Oui mon amour, allons-y.

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