Ma belle et son enterrement de jeune fille - histoire érotique

Emma est blonde aux cheveux longs jusqu’au bas des reins ; elle mesure 1,75 m pour 62 kilos, et a 27 ans. Mes copains sont jaloux de moi car souvent les filles minces comme Emma n’ont pas de gros seins, et par chance mon Emma a des seins plutôt gros (90 D).

Je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivée avec un ami le jour où j’ai voulu lui faire une surprise.


J’avais demandé Emma en mariage il y a un an et elle avait accepté. Tout se passait bien, et le jour des enterrements de vies de garçon et de fille venait d’arriver.

Nous avions passé la soirée avec tous mes potes dans un bar à strip-tease, rien de très original, mais cool. Il était deux heures du matin et j’étais rentré chez moi avec mon pote Seb. On se reposait dans le canapé quand on entendit une voiture se garer devant la maison.

Je regardai par la fenêtre et vis Emma et ses trois copines descendre de voiture. Elles se dirigeaient maintenant vers la maison. Je ne sais pas pourquoi, mais je dis à Seb :

— Viens, on se cache dans le placard ; on va leur faire une surprise.

En deux secondes nous voilà cachés dans le placard ajouré par des lattes à manteaux avec une vue sur tout le salon.

Les filles entrèrent dans la maison, ne se doutant de rien. Dix minutes plus tard on frappa à la porte. Camille alla ouvrir et dit :

— Voilà le cadeau d’Emma, les filles !

Toutes les filles hurlaient et rigolaient entre elles ; nous étions curieux de connaître son cadeau. Camille, la copine de Seb, fit entrer un grand Black déguisé en pompier. On se regarda avec Seb en rigolant. Seb me dit tout bas :

— Elles ne s’embêtent pas, les filles ; on a été plus sages qu’elles !
— Oui ! Attends de voir la suite, voir ce qui se passe.
— OK ! En plus, elles ne sauront jamais que nous étions là !

On aurait peut-être dû sortir en criant « Surprise ! » car la suite a été très surprenante et très hot pour nous deux.


Le strip-teaseur commença son numéro et se déshabillait devant les filles hystériques. Il ne lui restait que son string ; les filles criaient et rigolaient à tout-va. Il s’approcha de ma copine qui lui caressait les plaquettes de chocolat pendant que les filles lui caressaient les fesses. Chaque fille voulait le toucher et le caresser, surtout Camille et Emma, un peu trop à notre goût. Camille se leva devant le Black et enleva son string devant toutes les filles qui ne disaient plus rien. On pensait qu’elles allaient crier ; mais non, plus un bruit. Elles ne quittaient plus des yeux le bas-ventre du strip-teaseur. On comprit enfin pourquoi : lorsqu’il se retourna pour montrer ses fesses aux filles, il avait une queue énorme ! Il dansait juste à quelques centimètres d’elles ; sa queue et ses couilles bougeaient dans tous les sens.


Il s’arrêta devant une première fille, Manon, une autre copine d’Emma qui commença à caresser la queue du strip-teaseur ; les filles la regardaient, estomaquées par son geste. Sa queue gonflait entre les mains de Manon à une vitesse impressionnante, vu la tête de nos copines. Il passa une main derrière la tête de Manon et essaya de la rapprocher de sa queue. À la grande surprise des filles, Manon ouvrit la bouche et enfourna la queue du strip-teaseur rapidement ; sa tête allait et venait lentement. Les autres filles étaient figées et regardaient le spectacle ; Seb et moi, on sentait que la soirée allait mal tourner, mais on voulait voir jusqu’où iraient nos copines, excitées par ce qu’elles voyaient.


Après quelques minutes, il se décala devant Camille qui prit le relai. Elle suçait cette queue à pleine bouche ; et comme je le redoutais, une fois devant mon Emma, elle fit de même et ouvrit sa bouche sur cette énorme queue. Je la voyais aller et venir sous les encouragements des autres filles.

Le stripteaseur en profitait et caressait toutes les filles qui s’étaient mises en sous-vêtements pour son plus grands plaisir. Surtout quand Emma enleva son top et se retrouva devant lui en soutien-gorge et string blanc à dentelles… Il regardait ses seins comme un fou ; Camille venait de dégrafer le soutien-gorge d’Emma qui libéra ses seins pour le plus grand plaisir du strip-teaseur.

Les filles encourageaient Emma en lui disant :

— Allez, ma belle, profite : c’est la dernière fois que tu es célibataire !
— Allez, avale sa grosse queue, éclate-toi avec lui !

Les filles étaient surexcitées. Dans cette ambiance de sexe, Emma avait perdu tous ses repères de petite fille sage ; elle caressait les pectoraux du Black pendant que lui allait et venait dans sa bouche en donnant de bons coups de reins. Ses mains n’étaient pas en reste et malaxaient ses gros seins fermes. Les filles arrêtèrent Emma dans son action et lui demandèrent de se lever, ce qu’elle fit. Manon attrapa son string et fit apparaître un joli ticket de métro. Emma embrassait le strip-teaseur à pleine bouche.


Ma copine était nue devant lui, et il n’allait surtout pas refuser ce cadeau. Les filles rigolaient et encourageaient Emma, qui dans l’ambiance ne contrôlait plus rien. Il appuya sur les épaules d’Emma qui se retrouva encore à genoux devant lui, son énorme queue raide sur le visage. Elle ouvrit la bouche et suça comme une sauvage un homme qu’elle ne connaissait pas il y a une heure.

Les filles l’encourageaient et appuyaient sur sa tête pour qu’elle avale sa queue entièrement, mais elle était trop grosse. Emma manqua plusieurs fois de s’étouffer ; sa gorge se déformait à chaque fois qu’il poussait sa queue presque à fond. Les filles attrapèrent Emma et la positionnèrent à quatre pattes devant lui, les jambes écartées. Elles offraient leur copine à cette énorme queue ! Camille regarda le stripteaseur et lui dit :

— Allez ! Tu vas la défoncer pour sa dernière nuit de célibataire.

Toutes les filles criaient en même temps « Allez, baise-la comme un fou ! » Camille s’approcha de lui et le suça pour que sa queue soit bien dure et gonflée comme jamais. Puis il s’approcha d’Emma qui offrait sa croupe parfaite, et Camille plaça la queue devant le sexe d’Emma pour ensuite laisser le strip-teaseur prendre les choses en main.

Emma poussait de puissants râles de plaisir à chaque coup de reins ; les filles n’en perdaient pas une miette. Les seins d’Emma commençaient à bouger dans tous les sens, les filles criaient :

— Allez, vas-y, défonce-la encore plus !
— Je vais la déchirer, les filles !
— Si tu la baises bien, tu auras droit à son petit cul bien ferme !
— T’inquiète pas : je vais tout donner pour avoir le droit de lui démonter son petit cul !

Manon et Camille léchaient l’anus d’Emma pour la préparer à recevoir cette énorme queue. Camille pénétra l’anus d’Emma avec son index, puis avec deux doigts pour la dilater au maximum. Emma poussait toujours des râles de plaisir sous les coups de reins du Black.

Voyant que le strip-teaseur allait craquer rapidement, Manon dit :

— Camille, arrête-toi et laisse la place à cette grosse queue !
— Tu penses que son petit cul est assez prêt ?
— Je ne sais pas, car elle n’a jamais été sodomisée. Mais lui, il ne va pas tenir encore longtemps.

Camille et Manon étaient placées de chaque côté d’Emma et regardaient le strip-teaseur placer son gland sur l’entrée de l’anus d’Emma, qui dit :

— Non, les filles ! Elle ne rentrera jamais. On a déjà essayé avec Fred, et ça ne rentre pas.
— Mais si, ma belle, on a bien préparé ton anus et il a droit à son cadeau !
— Oui, il m’a bien baisée comme il faut. Sa queue est incroyable : elle m’a remplie entièrement !

Le Black poussait l’entrée interdite doucement sous les encouragements et le regard des filles. Emma ouvrait une bouche énorme mais pas un son ne sortait. Il était en train de lui écarteler les fesses ; son gland était entré mais il n’arrivait pas à pousser plus loin.

Les filles écartèrent avec leurs mains le petit cul d’Emma. Un râle puissant d’Emma traversa toute la maison : le strip-teaseur était entré entièrement, ses couilles étaient collées sur ses fesses. Camille et Manon applaudirent ; elles étaient fières d’elle et dirent à Emma :

— Tu vois que ça rentre quand tu es bien préparée ; il va te défoncer, ma belle !
— Oui, profite de ce gigantesque cadeau qui est dans ton cul.
— Il va te défoncer comme jamais !
— Allez, maintenant défonce-la, éclate-lui son petit cul !

Ni une ni deux, il s’exécuta. Il s’agrippa aux hanches d’Emma et commença ses allées et venues. Avec Seb, on voyait cette énorme queue qui s’enfonçait dans les fesses d’Emma qui gémissait comme je ne l’avais jamais entendue ; on entendait le bas-ventre du mec claquer sur ses fesses à chaque poussée.

Il sodomisait Emma depuis au moins cinq bonnes minutes. Elle tremblait sur la table tellement elle prenait son pied ; ses seins bougeaient dans tous les sens. Manon regarda le mec et lui dit :

— Maintenant, accélère le plus vite possible ; mais tu n’éjacules pas en elle. OK ?
— OK, je vais la démonter, mais j’éjacule où, moi ? Je ne vais plus tenir longtemps.
— Dans sa bouche !

Je ne sais pas encore comment ce type a fait, mais il donna des coups de reins encore plus puissants et plus rapides, ce qui déclencha un nouvel orgasme monstrueux à ma copine qui poussait des râles énormes. Il la soulevait littéralement de terre, ses genoux ne touchaient plus le sol. Les filles regardaient ce spectacle aux premières loges quand Camille dit :

— Nom de Dieu ! Il lui défonce son petit cul… Regarde, Manon !
— Tu as raison : il lui dilate l’anus avec sa grosse queue, et ses fesses sont toutes rouges !
— Poussez-vous les filles, je vais jouir !

Il se retira de son petit cul. Emma se retourna à genoux devant lui pour recevoir tout son foutre dans la bouche. Il plaça sa grosse queue entre ses seins, se branla entre eux et ne tarda pas à envoyer de longues giclées de foutre sur son visage et dans sa bouche. Emma ne voyait plus rien, elle avait du sperme plein les yeux. Camille et Manon prirent à nouveau la queue du mec dans leur bouche et s’affairèrent à lui nettoyer le gland pour qu’il ne reste plus une goutte de sperme.


Emma, devant ses copines, avait son sperme comme pour le remercier de l’avoir baisée comme un fou ; elle dégoulinait de sueur tellement elle avait pris son pied avec ce mec. Elle lui proposa d’aller prendre une douche pour se nettoyer.


Les filles se rhabillaient pendant qu’Emma et le stripteaseur prenaient une douche ensemble. Camille dit à Manon :

— Je vais voir ce qu’ils font tous les deux dans la douche.
— Alors, qu’est-ce que tu vois ?
— J’en étais sur cette petite garce en train de lui faire une branlette espagnole avec ses gros seins !
— Et il a l’air d’aimer, le strip-teaseur ?
— Oh, que oui ! Emma le branle super bien avec ses seins et elle le suce à chaque fois qu’il monte !
— Quelle cochonne ! Elle n’en a pas eu assez dans la bouche…— Attends ! Il éjacule dans la bouche d’Emma. Quelle gourmande !
— Il lui en restait encore avec tout ce qu’il avait éjaculé tout à l’heure ?
— Oui ! Il est impressionnant, et elle avale tout. Tu as raison, c’est une cochonne !

Ils redescendirent au bout de quinze minutes comme si de rien n’était. Le strip-teaseur embrassa Emma à pleine bouche, et il partait tranquillement quand Camille prit la parole :

— Alors, ton cadeau, Emma, qu’en penses-tu ?
— Vous êtes folles, les filles, mais c’était la meilleure baise de ma vie, surtout la sodomie.
— On t’avait dit qu’il arriverait à rentrer dans ton petit cul.
— J’ai bien senti, les filles, mais je vais m’en souvenir pendant longtemps !
— Et la douche, c’était comment ?

Emma rougit.


— Allez, dis-nous ce que tu as fait !
— Vous allez me prendre pour une folle…— Mais non. Raconte-nous.
— En fait, je lui ai proposé de prendre une douche ensemble, mais j’ai précisé qu’il ne se passerait rien. Quand je me suis retrouvée dos à lui, je sentais sa queue qui touchait mon dos. Je n’osais pas me retourner car je savais qu’il bandait à nouveau et j’avais peur de craquer et de recommencer.
— Et alors ? crièrent les filles en chœur.
— Il me malaxait les seins depuis plusieurs minutes avec ses mains noires et énormes ; sa queue était posée sur la raie de mes fesses. Il me glissa dans l’oreille que j’étais dans le top trois de toutes les filles avec qui il avait baisé. J’ai pris ça pour un compliment. Je savais qu’il n’en avait qu’après mon cul, mais il a réussi à me flatter comme il fallait. Je lui ai répondu que j’étais très touchée, mais que j’avais les fesses en feu et que je me mariais dans une semaine.
— Et alors, qu’est-ce que tu as fait ?
— Il me rassurait et me complimentait en me disant que mon cul était le plus beau du monde. Il n’arrêtait pas de me titiller les tétons, de me malaxer les seins ; j’étais de plus en plus excitée, le désir montait de plus en plus. Sans m’en rendre compte, je me suis appuyée sur le mur de la douche, je me suis cambrée le plus possible ; mon dos se creusait pour que mes fesses s’écartent le plus possible : connaissant la taille de sa queue, je n’avais pas le choix. Il a vite compris qu’il avait gagné ! Il a lâché mes seins, agrippé ses mains à mes hanches, et deux secondes après sa grosse queue entrait à nouveau dans mes fesses. Il me sodomisait tout doucement, c’était très excitant… Il me caressait en même temps le clitoris, et je sentais sa queue qui entrait entièrement à chaque fois. Il voulait que je jouisse, et j’ai joui sur ses doigts.
— Génial, ma belle, et après ?
— Il a sorti sa queue de mes fesses. J’étais surprise : je pensais qu’il allait encore me défoncer le cul comme tout à l’heure, mais quand je me suis retournée face à lui, j’ai compris qu’il voulait autre chose. Je me suis mise à genoux sans dire un mot, j’ai glissé sa grosse queue entre mes seins et lui ai fait une branlette espagnole pour le remercier de cette superbe baise.
— Je sais que les hommes adorent ça ! Et vu sa tête, je suis sûre d’avoir trouvé ce qu’il voulait. J’ai même mis un point d’honneur à avaler sa queue entièrement. J’ai mis mes mains sur ses fesses, j’ai ouvert ma bouche en grand et j’ai poussé vers moi. Après trois essais, mon nez touchait enfin son ventre ; j’ai cru que j’allais m’étouffer ! Il souriait ; je pense qu’il était heureux que j’aie avalé sa queue entièrement. Après, il a éjaculé dans ma bouche. J’ai été surprise par la quantité de sperme qu’il lui restait ; j’ai bien cru que je n’avalerais pas tout.

Les filles applaudirent Emma et la félicitèrent d’avoir assuré.


— Allez ! On part en boîte ; et surtout pas un mot à Fred, les filles !