Ma cousine Dorothée vient passer le week-end chez moi
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-12-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma cousine Dorothée vient passer le week-end chez moi
Je n’ai aucun problème à avoir une relation longue distance, au contraire j’y trouve même des avantages. J’ai la chance de souvent voyager pour mon boulot. Du coup quand je rencontre quelqu’un qui me plait mais habite loin je m’organise pour y voyager le plus régulièrement possible. Il y a toujours de nouveaux clients à dénicher!
J’ai rencontré Dorothée à un mariage (voir les histoires précédentes). C’est ma petite-petite cousine en fait son grand père et ma grand mère son cousin germain mais nous ne nous étions presque jamais rencontrés. Dès que je l’ai vu j’ai été attiré par elle et apparement ça a été réciproque puisque nous avons passé la nuit de noce, de notre cousin en commun, ensemble à mon hôtel.
Ensuite je me suis installé chez elle pour la fin du séjour. Malgré notre lien de parenté (qui nous travaille de moins en moins), nous avons décidé de continuer à nous voir. Je me suis organisé pour prendre le plus de missions possible dans les grands sud ouest afin de nous voir le plus souvent possible.
À mon dernier voyage, elle m’a déclaré:« La prochaine fois c’est moi qui vient te voir, j’ai envie de découvrir ton univers. »J’en suis très heureuse et nous faisons ça dignement. Après nous être remis d’une bonne heure de sexe torride, nous avons sorti nos agendas et fixé le week-end en question.
Elle arrive dans 3 jours et je viens seulement de rentrer de Londres. Je suis très content qu’elle vienne chez moi, je vais enfin pouvoir lui présenter quelques amis. Par contre je vis dans un appartement de célibataire, en plus comme je ne suis presque jamais chez moi, je n’ai jamais envie de faire le ménage de printemps. Mais là il va falloir s’y mettre.
J’appelle une copine à moi dont le mari est aussi bordélique que moi et en plus à 3 garçons entre 12 et 17 ans. Du coup le rangement et le ménage ça la connaît. J’ai bien travaillé en amont mais il nous faut quand même 5 heures à deux pour que l’appartement soit présentable. Heureusement qu’elle atterri que vendredi à 21h30, ça me laisse encore le temps de préparer de bons petits plats. J’ai encore d’autres spécialités à lui faire goûter.
J’arrive à l’aéroport seulement quelques minutes après que son avion a atterri. Je la vois passé la sortie passager avec sa petite valise à roulette. Dès que nos regards se croisent son visage s’illumine et je crois que je réagis de la même façon. Nous nous sourions alors qu’elle s’approche de moi, quand elle est à ma hauteur nous restons un moment à nous regarder.
Je me penche enfin vers elle et je dépose rapidement mes lèvres contre les siennes car je sais qu’elle n’aime pas trop les effusions en public. Mais elle passe ses mains autour de mon cou et me maintient collé à elle. Je la prends aussi dans mes bras et notre baiser devient de plus en plus langoureux.
Quand nos visages se décolle je lui refais un petit snack et j’attrape sa valise direction le parking. Sur le chemin nous nous tripotons pas mal même si je reste assez attentif à la route. Nous discutons de nos journées et son voyage. Une fois à la maison nous nous dépêchons de monter.
Vu l’heure tardive j’ai prévu une simple soupe et bien évidement j’ai mis des bières au frigo. Je lui propose d’abord de partagé une bière Belge que nous allons boire sur le balcon accompagnée de chips et d’une cigarette. Bien évidement une fois dehors il faut se tenir chaud alors nous nous collons l’un à l’autre.
Après un bon jeu de caresses et de bisous nous nous décollons pour fumer tranquillement. Elle écrase sa cigarette la première et toujours avec son verre à la main elle vient se blottir devant moi en me donnant le dos. Elle se frotte contre moi tout en continuant à boire des gorgées de sa bière. J’écrase ma clope pour encore plus profiter de ce moment et je pose aussi mon verre.
Quand je l’entoure de mes bras, Dorothée se cambre un peu plus pour que ma bite qui est de plus en plus raide soit au niveau de son magnifique cul bien rebondi. Elle se dandine de plus en plus en rythme pour bien que l’on se frotte. Je suis tellement raide et excité que je sens très bien ses fesses malgré les couches d’habits qui séparent nos corps.
Nous continuons ce petit jeu pendant assez longtemps pour que je sois de plus en plus excité. S’il faisait un peu plus chaud je commencerai à me déshabiller mais je me retiens. Ma cousine finit par se retourner, elle m’embrasse avec un grand plaisir et tout en continuant à se frotter à moi mais de face elle me dit:« Ce fut un bon branlage d’anus »Je ne sais pas quoi lui répondre alors je l’embrasse de nouveau en la serrant encore plus fort contre moi.
Nous rentrons pour avoir encore plus chaud et manger notre diner. Le repas se passe extrêmement bien, on a l’impression que l’on se connait depuis toujours tellement que nous sommes complices. C’est vrai que la première fois que l’on s’est vu j’avais que quelques mois. Enfants nous nous sommes sûrement revu à un ou deux mariages mais aucun souvenirs.
On s’est vraiment découvert il y’a tout juste deux mois et malgré les 500 kilomètres qui nous séparent chaque moment et encore plus agréable que le précédent. Et ce petit week m’a pas l’air de dérogé à la règle.
Une fois que nos estomacs sont suffisamment remplis elle file prendre une douche. Comme les femmes sont plus lentes, dans la salle de bain, que les hommes j’en profite pour débarrasser et faire la vaisselle. Quand je la rejoins elle vient de finir de se laver. J’ai quand même le temps de bien lui savonner le dos en lui faisant un petit massage.
Après ce moment de détente sous l’eau qui continue de nous réchauffer, je descends mes mains sur son magnifique cul. Je commence une autre sorte de « branlage d’anus » qui m’excite tout autant. Evidement je veux que ma belle soit bien propre alors je passe ma main entre ses deux magnifiques globes et à plusieurs reprises. Elle se penche un peu plus et j’en profite pour lui titiller la rondelle.
Une fois bien propre et rincée elle attrape le pommeau de douche pour entièrement me mouiller. Elle accompagne le jet de sa main pour bien repartir l’eau sur mon corps poilu. Je me retourne pour qu’elle me fasse le dos et les fesses. Ensuite elle attrape le savon, elle commence par ma barbe, puis descend sur mon cou et s’attarde un peu plus sur mon torse.
Puis avant d’atteindre mon entrejambe, Dorothée me retourne. Elle me savonne le dos puis descend rapidement sur mes fesses. Elle les masse lentement et comme je l’ai fait avant ma cousine passe une main dans ma raie. Elle rigole et recommence à plusieurs reprises. J’apprécie de plus en plus ce qu’elle me fait mais elle s’arrête et me retourne encore une fois.
Je pose ma jambe droite sur le rebord de la baignoire, pour qu’elle ait moins à se baisser. Elle me savonne d’abord les mollets, je soulève un peu plus ma jambe pour qu’elle s’occupe de mon pied et je le repose sur le rebord. Ensuite elle me frictionne la cuisse et remonte tout doucement vers mon entrejambe.
Maintenant elle passe ses doigts dans mon aine, elle prend un malin plaisir à éviter ma queue qui grossit de plus belles. Ensuite elle redescend sur le dessous de ma cuisse avec un grand sourire. Mais enfin elle remonte lentement vers mes couilles qu’elle travaille séparément.
Puis à deux mains elle continue de remonter sur ma tige jusqu’à atteindre mon gland. Un de ses pouces me titille chaque morceau de peau de mon champignon pendant que l’autre gratte mon frein. Je palpite entre ses mains, elle accentué encore plus ses caresses avant de me branler, pardon savonner, à deux mains.
Soudain elle abandonne ma bite, tape sur ma jambe levée et me dit:« On passe à l’autre! »Je repose ma jambe droite et soulève la gauche, comme la première fois elle commence par mon mollet, puis mon pied. Encore une fois elle s’attarde un long moment sur ma cuisse avant d’arriver sur mes couilles.
Elle les malaxe, chacune dans une main puis les deux ensemble et remonte délicatement le long de ma tige qui n’a pas perdu de sa virilité. Comme avant elle atteint mon gland et mon frein que ses pouces maltraitent dans une grande jouissance pour moi.
Ses mains coulissent le long de mon sexe tendu pendant un long moment. On est bien loin des début timide et de la première douche qui a tout déclenchée entre ma cousine et moi. Malheureusement ce moment de plaisir prend fin parce que j’aurai pu la laisser continuer jusqu’à la jouissance.
Dorothée reprend le poteau de douche, se rince bien puis me le tend avant de sortir de la baignoire. Je referme le rideau pour éviter d’en mettre partout pendant que je me rince. Quand j’éteins le jet, j’attrape ma serviette et commence à me sécher toujours dans la baignoire mais cette fois le rideau ouvert.
Je suis toujours en érection et ma cousine qui est entrain d’enfiler son string vient vers moi. Elle caresse mes couilles avec la paume de sa main, dépose un baiser sur mon gland avant de l’avaler entièrement. Elle serre ses lèvres sous mon champignon, au niveau du frein alors que sa langue parcourt toute la partie qu’elle a en bouche.
Encore une fois elle m’abandonne alors que j’avais repris toute ma forme. Elle accroche sa serviette et sors de la salle de bain uniquement vêtu de son string rouge. Je me dépêches de bien me sécher, je mets un coup de déo et de parfum et je cours la rejoindre dans le lit où elle m’attend.
Avant de m’allonger à côté d’elle, j’allume une petite lumière, je mets de la musique et je me glisse enfin sous les draps à ses côtés. Je caresse son visage avec ma main gauche, nos bouches s’attirent comme des aimants. Notre baiser devient tellement fougueux que je monte sur elle. Je descends rapidement vers son entrejambe, c’est à mon tour de gouter à son sexe.
Je commence par la lécher à travers son string rouge pour faire gonfler son clito. Quand je le sens s’humidifier par son nectar, je me dépêche de le retire pour recevoir directement son élixir en bouche. J’embrasse ses grandes lèvres, je passe aux petites avant d’introduire ma langue dans sa grotte.
Je la fais tournoyer un moment et je la remonte, en mettant une bonne pression, jusqu’à son petit bouton. Je l’aspire et le tille en même temps pendant que ma barbe picote son sexe. Je sais et je sens qu’elle aime ça, mon menton est de plus en plus humide. Quand je la libère, je pose le bout de ma langue juste au dessus de ses petites lèvres tout doucement.
Plus je monte plus je la sens excitée, j’aime avoir ce pouvoir sur Dorothée. Je sais aussi que ça l’excite encore plus de s’occuper en même temps de moi. C’est pour ça que je ne suis pas étonné quand je sens sa jambe droite se plier et son pied venir masser mon costume 3 pièces.
Pendant ce temps je continue de la laper en insistant toujours un peu plus sur son urètre et son clito. A mon troisième passage je rentre mon index dans son con. Ma cousine est tellement ouverte et humide que mon majeur la pénètre aussi. Je la lime aussi lentement que je la lèche alors que je sens ses doigts de pied glisser sur ma tige.
J’augmente progressivement le rythme et Dorothée perd pied ou c’est plutôt moi qui perd son pied. Je sens déjà ses muscles vaginaux se contracter autour de mes doigts, avant de ne plus pouvoir j’en rentre un troisième. Ca l’a fait immédiatement décoller, en plus de ressentir ses contractions, sa mouille coule sur mon avant bras. Pour lui donner un dernier frison je plaque ma langue entre le haut des ses grandes lèvres alors que son clito est sous mes dents.
Je ralentis le rythme en même temps que je sens son orgasme redescendre. Elle me dégage rapidement et me plaque sur le lit en me laissant sur le ventre. Elle monte sur moi et embrasse mon cou, je sens sa chatte continuer à couler sur ma cuisse. Ses lèvres et ses mains descendent sur mon dos, elle passe sur chaque centimètre de peau. J’en ai la chaire de poule du coup elle prend encore plus son temps pour atteindre mes fesses.
Une fois au niveau de mon cul elle fait comme sur mon dos. J’adore quand elle me caresse les fesses et encore plus quand elle les embrasse. Peu de temps après je sens qu’elle écarte mes deux globes et commence à tâter ma rondelle avec un de ses doigts. J’entends ma cousine rigoler et je me dis que malgré ses 10 ans de plus que moi, ça doit être la première fois qu’elle fait ça.
Je suis encore plus étonné quand son doigt m’abandonne et qu’il est remplacé par ses lèvres qui se dépose à l’entrée de mes entrailles. Elles disparaissent trop rapidement mais son doigt revient et appuie même sur ma rosette pendant pas assez longtemps à mon goût. Cette fois je sens sa langue se poser sur le haut de ma raie, elle descend plus doucement, sans s’attarder sur ma rondelle mais pour atterrir sur mes couilles.
A sa demande je me suis raser entièrement les bourses, c’est vrai que c’est encore plus agréable ainsi quand elle pose sur moi ses doigts, ses ongles, ses lèvres ou sa langue. Elle les aspire l’une après l’autre puis les lèches. Pour lui donner un meilleur accès je me soulève un peu, elle en profite pour glisser sa main et attraper ma queue qui se raidit encore plus à son contact.
Elle se retourne et me branle à deux mains pendant que sa bouche continue de s’occuper de mes couilles. Elle remonte un peu plus et fait glisser sa langue sur toute la longueur de ma tige. Avec sa main droite elle me masse les bourses alors que la droite dirige mon gland vers sa bouche. Elle l’embrasse un moment avant de commencer à avaler ma bite.
Je me positionne un peu mieux pour lui baiser la bouche mais en faisant attention de ne pas trop m’enfoncer. Je sens mon sexe être de plus en plus baveux par sa pipe et mes couilles sont de plus en plus gonflées. J’ai envie de nous faire pivoter pour passer en 69 mais Dorothée me maintient par les fesses.
Non seulement ça mais elle recule un peu la tête, mais me fait suivre le mouvement. Avec ses mains elle appuie sur mon corps et me fait rentrer de plus en plus profondément en elle. Je m’enfonce tellement que je sens mon gland dépasser sa glotte, je suis dans sa gorge et mes mes couilles tombe sur son menton.
Je reste ainsi un moment et me retire tout doucement pour lui permettre de reprendre sa respiration. J’en profite pour me glisser de plus en plus bas, mes jambes se calent entre les siennes et je remonte seulement pour la pénétrer. Je m’enfonce sans aucune résistance dans sa moule trempée.
Je la lime directement à un rythme bestiale tout en embrassant ses seins très denses. Je sens les jambes de ma cousine s’enrouler autour de mes cuisses, elle veut prendre le dessus. Je me laisse faire et nous tournons sur le lit sans que je la quitte. Une fois bien en place, elle prend appuie sur mon torse et commence à me chevaucher fougueusement.
Elle monte et descend de plus en plus rapidement sur moi. A certains moments elle s’empale complètement sur moi et bascule son bassin d’avant en arrière. J’en profite pour empoigner ses fesses, je glisse mon index droit vers le bas pour l’humidifier. J’ai l’impression qu’une marre est entre nous.
Je remonte mon doigt et le glisse timidement entre ses fesses. Non seulement mon doigt la sodomise sans problème mais en plus j’ai la confirmation qu’elle mouille aussi du cul. Une fois que mes deux premières phalanges sont en elle, ma queue est encore plus compressé dans sa chatte et elle reprend les montées et descendantes et à un rythme bien soutenu.
Ma main suit le mouvement pour ne pas quitter son petit cul et même continuer à s’enfoncer en elle. Je suis de plus en plus serré dans sa grotte et ce n’est pas qu’à cause de mon doigt. En plus à chaque fois qu’elle m’enfonce au plus profond d’elle, le bas de ses fesses tapent mes couilles.
Les ongles de Dorothée s’enfoncent dans ma poitrine, bien qu’elle se mord la lèvre inférieure, ses gémissements sont de plus en plus sonores. Elle m’enserre tellement que je sens mes couilles se contracter et mes veines gonfler. A chaque fois que j’envoie une giclée je sens son vagin se contracter d’avantage et ses ongles se planter un peu plus.
Cela fait bien 5 jours que je n’ai pas éjaculé alors je lâche au moins 6 ou 7 jets pendant que mon plaisir monte crescendo, tout comme le sien. Une fois que je me suis complètement vidé, elle s’assoit sur moi et reprend ses mouvement d’avant en arrière. Ses ongles sont toujours dans ma peau donc son orgasme est toujours en action.
Elle avance et recule à un rythme effréné puis s’arrête d’un coup sec. Le plaisir se voit toujours autant sur son visage mes ses ongles me desserrent. Elle commence à se soulever sur ma bite qui a ramollie, un flot de nos deux jouissance coule sur moi. Elle se rassoit immédiatement sur moi, reprend ses mouvements, replante ses ongles et gémit de plus belles.
C’est la première fois qu’on me fait ça, même si je suis totalement redescendu je prends du plaisir à la faire encore jouir avec ma queue molle. Elle s’excite sur moi comme si nous n’avions rien fait avant. Bien que je ne bande plus je sens ses muscles se contracter. Elle s’agite une peu trop sur moi et est tellement trempée que dans un faux mouvements, elle me fait sortir.
Malgré tout elle continue de frotter ses lèvres intimes et son clito contre mon sexe mou. Entre le balancement de ses seins et de ses cheveux, les caresse de sa chatte je recommence à bander doucement. J’essaye de manoeuvrer pour me réintroduire en elle mais elle me repousse et s’allonge à coté de moi.
Un peu trop gourmand j’essaye de caresser ses grandes lèvres que je vos bien gonflées et rouges mais elle me repousse, Dorothée tire sur la couverture, se colle à moi et s’endort tout de suite avec un immense sourire aux lèvres. Je l’embrasse sur le front, la serre contre moi et je suis très content de la façon dont démarre notre week end….
J’ai rencontré Dorothée à un mariage (voir les histoires précédentes). C’est ma petite-petite cousine en fait son grand père et ma grand mère son cousin germain mais nous ne nous étions presque jamais rencontrés. Dès que je l’ai vu j’ai été attiré par elle et apparement ça a été réciproque puisque nous avons passé la nuit de noce, de notre cousin en commun, ensemble à mon hôtel.
Ensuite je me suis installé chez elle pour la fin du séjour. Malgré notre lien de parenté (qui nous travaille de moins en moins), nous avons décidé de continuer à nous voir. Je me suis organisé pour prendre le plus de missions possible dans les grands sud ouest afin de nous voir le plus souvent possible.
À mon dernier voyage, elle m’a déclaré:« La prochaine fois c’est moi qui vient te voir, j’ai envie de découvrir ton univers. »J’en suis très heureuse et nous faisons ça dignement. Après nous être remis d’une bonne heure de sexe torride, nous avons sorti nos agendas et fixé le week-end en question.
Elle arrive dans 3 jours et je viens seulement de rentrer de Londres. Je suis très content qu’elle vienne chez moi, je vais enfin pouvoir lui présenter quelques amis. Par contre je vis dans un appartement de célibataire, en plus comme je ne suis presque jamais chez moi, je n’ai jamais envie de faire le ménage de printemps. Mais là il va falloir s’y mettre.
J’appelle une copine à moi dont le mari est aussi bordélique que moi et en plus à 3 garçons entre 12 et 17 ans. Du coup le rangement et le ménage ça la connaît. J’ai bien travaillé en amont mais il nous faut quand même 5 heures à deux pour que l’appartement soit présentable. Heureusement qu’elle atterri que vendredi à 21h30, ça me laisse encore le temps de préparer de bons petits plats. J’ai encore d’autres spécialités à lui faire goûter.
J’arrive à l’aéroport seulement quelques minutes après que son avion a atterri. Je la vois passé la sortie passager avec sa petite valise à roulette. Dès que nos regards se croisent son visage s’illumine et je crois que je réagis de la même façon. Nous nous sourions alors qu’elle s’approche de moi, quand elle est à ma hauteur nous restons un moment à nous regarder.
Je me penche enfin vers elle et je dépose rapidement mes lèvres contre les siennes car je sais qu’elle n’aime pas trop les effusions en public. Mais elle passe ses mains autour de mon cou et me maintient collé à elle. Je la prends aussi dans mes bras et notre baiser devient de plus en plus langoureux.
Quand nos visages se décolle je lui refais un petit snack et j’attrape sa valise direction le parking. Sur le chemin nous nous tripotons pas mal même si je reste assez attentif à la route. Nous discutons de nos journées et son voyage. Une fois à la maison nous nous dépêchons de monter.
Vu l’heure tardive j’ai prévu une simple soupe et bien évidement j’ai mis des bières au frigo. Je lui propose d’abord de partagé une bière Belge que nous allons boire sur le balcon accompagnée de chips et d’une cigarette. Bien évidement une fois dehors il faut se tenir chaud alors nous nous collons l’un à l’autre.
Après un bon jeu de caresses et de bisous nous nous décollons pour fumer tranquillement. Elle écrase sa cigarette la première et toujours avec son verre à la main elle vient se blottir devant moi en me donnant le dos. Elle se frotte contre moi tout en continuant à boire des gorgées de sa bière. J’écrase ma clope pour encore plus profiter de ce moment et je pose aussi mon verre.
Quand je l’entoure de mes bras, Dorothée se cambre un peu plus pour que ma bite qui est de plus en plus raide soit au niveau de son magnifique cul bien rebondi. Elle se dandine de plus en plus en rythme pour bien que l’on se frotte. Je suis tellement raide et excité que je sens très bien ses fesses malgré les couches d’habits qui séparent nos corps.
Nous continuons ce petit jeu pendant assez longtemps pour que je sois de plus en plus excité. S’il faisait un peu plus chaud je commencerai à me déshabiller mais je me retiens. Ma cousine finit par se retourner, elle m’embrasse avec un grand plaisir et tout en continuant à se frotter à moi mais de face elle me dit:« Ce fut un bon branlage d’anus »Je ne sais pas quoi lui répondre alors je l’embrasse de nouveau en la serrant encore plus fort contre moi.
Nous rentrons pour avoir encore plus chaud et manger notre diner. Le repas se passe extrêmement bien, on a l’impression que l’on se connait depuis toujours tellement que nous sommes complices. C’est vrai que la première fois que l’on s’est vu j’avais que quelques mois. Enfants nous nous sommes sûrement revu à un ou deux mariages mais aucun souvenirs.
On s’est vraiment découvert il y’a tout juste deux mois et malgré les 500 kilomètres qui nous séparent chaque moment et encore plus agréable que le précédent. Et ce petit week m’a pas l’air de dérogé à la règle.
Une fois que nos estomacs sont suffisamment remplis elle file prendre une douche. Comme les femmes sont plus lentes, dans la salle de bain, que les hommes j’en profite pour débarrasser et faire la vaisselle. Quand je la rejoins elle vient de finir de se laver. J’ai quand même le temps de bien lui savonner le dos en lui faisant un petit massage.
Après ce moment de détente sous l’eau qui continue de nous réchauffer, je descends mes mains sur son magnifique cul. Je commence une autre sorte de « branlage d’anus » qui m’excite tout autant. Evidement je veux que ma belle soit bien propre alors je passe ma main entre ses deux magnifiques globes et à plusieurs reprises. Elle se penche un peu plus et j’en profite pour lui titiller la rondelle.
Une fois bien propre et rincée elle attrape le pommeau de douche pour entièrement me mouiller. Elle accompagne le jet de sa main pour bien repartir l’eau sur mon corps poilu. Je me retourne pour qu’elle me fasse le dos et les fesses. Ensuite elle attrape le savon, elle commence par ma barbe, puis descend sur mon cou et s’attarde un peu plus sur mon torse.
Puis avant d’atteindre mon entrejambe, Dorothée me retourne. Elle me savonne le dos puis descend rapidement sur mes fesses. Elle les masse lentement et comme je l’ai fait avant ma cousine passe une main dans ma raie. Elle rigole et recommence à plusieurs reprises. J’apprécie de plus en plus ce qu’elle me fait mais elle s’arrête et me retourne encore une fois.
Je pose ma jambe droite sur le rebord de la baignoire, pour qu’elle ait moins à se baisser. Elle me savonne d’abord les mollets, je soulève un peu plus ma jambe pour qu’elle s’occupe de mon pied et je le repose sur le rebord. Ensuite elle me frictionne la cuisse et remonte tout doucement vers mon entrejambe.
Maintenant elle passe ses doigts dans mon aine, elle prend un malin plaisir à éviter ma queue qui grossit de plus belles. Ensuite elle redescend sur le dessous de ma cuisse avec un grand sourire. Mais enfin elle remonte lentement vers mes couilles qu’elle travaille séparément.
Puis à deux mains elle continue de remonter sur ma tige jusqu’à atteindre mon gland. Un de ses pouces me titille chaque morceau de peau de mon champignon pendant que l’autre gratte mon frein. Je palpite entre ses mains, elle accentué encore plus ses caresses avant de me branler, pardon savonner, à deux mains.
Soudain elle abandonne ma bite, tape sur ma jambe levée et me dit:« On passe à l’autre! »Je repose ma jambe droite et soulève la gauche, comme la première fois elle commence par mon mollet, puis mon pied. Encore une fois elle s’attarde un long moment sur ma cuisse avant d’arriver sur mes couilles.
Elle les malaxe, chacune dans une main puis les deux ensemble et remonte délicatement le long de ma tige qui n’a pas perdu de sa virilité. Comme avant elle atteint mon gland et mon frein que ses pouces maltraitent dans une grande jouissance pour moi.
Ses mains coulissent le long de mon sexe tendu pendant un long moment. On est bien loin des début timide et de la première douche qui a tout déclenchée entre ma cousine et moi. Malheureusement ce moment de plaisir prend fin parce que j’aurai pu la laisser continuer jusqu’à la jouissance.
Dorothée reprend le poteau de douche, se rince bien puis me le tend avant de sortir de la baignoire. Je referme le rideau pour éviter d’en mettre partout pendant que je me rince. Quand j’éteins le jet, j’attrape ma serviette et commence à me sécher toujours dans la baignoire mais cette fois le rideau ouvert.
Je suis toujours en érection et ma cousine qui est entrain d’enfiler son string vient vers moi. Elle caresse mes couilles avec la paume de sa main, dépose un baiser sur mon gland avant de l’avaler entièrement. Elle serre ses lèvres sous mon champignon, au niveau du frein alors que sa langue parcourt toute la partie qu’elle a en bouche.
Encore une fois elle m’abandonne alors que j’avais repris toute ma forme. Elle accroche sa serviette et sors de la salle de bain uniquement vêtu de son string rouge. Je me dépêches de bien me sécher, je mets un coup de déo et de parfum et je cours la rejoindre dans le lit où elle m’attend.
Avant de m’allonger à côté d’elle, j’allume une petite lumière, je mets de la musique et je me glisse enfin sous les draps à ses côtés. Je caresse son visage avec ma main gauche, nos bouches s’attirent comme des aimants. Notre baiser devient tellement fougueux que je monte sur elle. Je descends rapidement vers son entrejambe, c’est à mon tour de gouter à son sexe.
Je commence par la lécher à travers son string rouge pour faire gonfler son clito. Quand je le sens s’humidifier par son nectar, je me dépêche de le retire pour recevoir directement son élixir en bouche. J’embrasse ses grandes lèvres, je passe aux petites avant d’introduire ma langue dans sa grotte.
Je la fais tournoyer un moment et je la remonte, en mettant une bonne pression, jusqu’à son petit bouton. Je l’aspire et le tille en même temps pendant que ma barbe picote son sexe. Je sais et je sens qu’elle aime ça, mon menton est de plus en plus humide. Quand je la libère, je pose le bout de ma langue juste au dessus de ses petites lèvres tout doucement.
Plus je monte plus je la sens excitée, j’aime avoir ce pouvoir sur Dorothée. Je sais aussi que ça l’excite encore plus de s’occuper en même temps de moi. C’est pour ça que je ne suis pas étonné quand je sens sa jambe droite se plier et son pied venir masser mon costume 3 pièces.
Pendant ce temps je continue de la laper en insistant toujours un peu plus sur son urètre et son clito. A mon troisième passage je rentre mon index dans son con. Ma cousine est tellement ouverte et humide que mon majeur la pénètre aussi. Je la lime aussi lentement que je la lèche alors que je sens ses doigts de pied glisser sur ma tige.
J’augmente progressivement le rythme et Dorothée perd pied ou c’est plutôt moi qui perd son pied. Je sens déjà ses muscles vaginaux se contracter autour de mes doigts, avant de ne plus pouvoir j’en rentre un troisième. Ca l’a fait immédiatement décoller, en plus de ressentir ses contractions, sa mouille coule sur mon avant bras. Pour lui donner un dernier frison je plaque ma langue entre le haut des ses grandes lèvres alors que son clito est sous mes dents.
Je ralentis le rythme en même temps que je sens son orgasme redescendre. Elle me dégage rapidement et me plaque sur le lit en me laissant sur le ventre. Elle monte sur moi et embrasse mon cou, je sens sa chatte continuer à couler sur ma cuisse. Ses lèvres et ses mains descendent sur mon dos, elle passe sur chaque centimètre de peau. J’en ai la chaire de poule du coup elle prend encore plus son temps pour atteindre mes fesses.
Une fois au niveau de mon cul elle fait comme sur mon dos. J’adore quand elle me caresse les fesses et encore plus quand elle les embrasse. Peu de temps après je sens qu’elle écarte mes deux globes et commence à tâter ma rondelle avec un de ses doigts. J’entends ma cousine rigoler et je me dis que malgré ses 10 ans de plus que moi, ça doit être la première fois qu’elle fait ça.
Je suis encore plus étonné quand son doigt m’abandonne et qu’il est remplacé par ses lèvres qui se dépose à l’entrée de mes entrailles. Elles disparaissent trop rapidement mais son doigt revient et appuie même sur ma rosette pendant pas assez longtemps à mon goût. Cette fois je sens sa langue se poser sur le haut de ma raie, elle descend plus doucement, sans s’attarder sur ma rondelle mais pour atterrir sur mes couilles.
A sa demande je me suis raser entièrement les bourses, c’est vrai que c’est encore plus agréable ainsi quand elle pose sur moi ses doigts, ses ongles, ses lèvres ou sa langue. Elle les aspire l’une après l’autre puis les lèches. Pour lui donner un meilleur accès je me soulève un peu, elle en profite pour glisser sa main et attraper ma queue qui se raidit encore plus à son contact.
Elle se retourne et me branle à deux mains pendant que sa bouche continue de s’occuper de mes couilles. Elle remonte un peu plus et fait glisser sa langue sur toute la longueur de ma tige. Avec sa main droite elle me masse les bourses alors que la droite dirige mon gland vers sa bouche. Elle l’embrasse un moment avant de commencer à avaler ma bite.
Je me positionne un peu mieux pour lui baiser la bouche mais en faisant attention de ne pas trop m’enfoncer. Je sens mon sexe être de plus en plus baveux par sa pipe et mes couilles sont de plus en plus gonflées. J’ai envie de nous faire pivoter pour passer en 69 mais Dorothée me maintient par les fesses.
Non seulement ça mais elle recule un peu la tête, mais me fait suivre le mouvement. Avec ses mains elle appuie sur mon corps et me fait rentrer de plus en plus profondément en elle. Je m’enfonce tellement que je sens mon gland dépasser sa glotte, je suis dans sa gorge et mes mes couilles tombe sur son menton.
Je reste ainsi un moment et me retire tout doucement pour lui permettre de reprendre sa respiration. J’en profite pour me glisser de plus en plus bas, mes jambes se calent entre les siennes et je remonte seulement pour la pénétrer. Je m’enfonce sans aucune résistance dans sa moule trempée.
Je la lime directement à un rythme bestiale tout en embrassant ses seins très denses. Je sens les jambes de ma cousine s’enrouler autour de mes cuisses, elle veut prendre le dessus. Je me laisse faire et nous tournons sur le lit sans que je la quitte. Une fois bien en place, elle prend appuie sur mon torse et commence à me chevaucher fougueusement.
Elle monte et descend de plus en plus rapidement sur moi. A certains moments elle s’empale complètement sur moi et bascule son bassin d’avant en arrière. J’en profite pour empoigner ses fesses, je glisse mon index droit vers le bas pour l’humidifier. J’ai l’impression qu’une marre est entre nous.
Je remonte mon doigt et le glisse timidement entre ses fesses. Non seulement mon doigt la sodomise sans problème mais en plus j’ai la confirmation qu’elle mouille aussi du cul. Une fois que mes deux premières phalanges sont en elle, ma queue est encore plus compressé dans sa chatte et elle reprend les montées et descendantes et à un rythme bien soutenu.
Ma main suit le mouvement pour ne pas quitter son petit cul et même continuer à s’enfoncer en elle. Je suis de plus en plus serré dans sa grotte et ce n’est pas qu’à cause de mon doigt. En plus à chaque fois qu’elle m’enfonce au plus profond d’elle, le bas de ses fesses tapent mes couilles.
Les ongles de Dorothée s’enfoncent dans ma poitrine, bien qu’elle se mord la lèvre inférieure, ses gémissements sont de plus en plus sonores. Elle m’enserre tellement que je sens mes couilles se contracter et mes veines gonfler. A chaque fois que j’envoie une giclée je sens son vagin se contracter d’avantage et ses ongles se planter un peu plus.
Cela fait bien 5 jours que je n’ai pas éjaculé alors je lâche au moins 6 ou 7 jets pendant que mon plaisir monte crescendo, tout comme le sien. Une fois que je me suis complètement vidé, elle s’assoit sur moi et reprend ses mouvement d’avant en arrière. Ses ongles sont toujours dans ma peau donc son orgasme est toujours en action.
Elle avance et recule à un rythme effréné puis s’arrête d’un coup sec. Le plaisir se voit toujours autant sur son visage mes ses ongles me desserrent. Elle commence à se soulever sur ma bite qui a ramollie, un flot de nos deux jouissance coule sur moi. Elle se rassoit immédiatement sur moi, reprend ses mouvements, replante ses ongles et gémit de plus belles.
C’est la première fois qu’on me fait ça, même si je suis totalement redescendu je prends du plaisir à la faire encore jouir avec ma queue molle. Elle s’excite sur moi comme si nous n’avions rien fait avant. Bien que je ne bande plus je sens ses muscles se contracter. Elle s’agite une peu trop sur moi et est tellement trempée que dans un faux mouvements, elle me fait sortir.
Malgré tout elle continue de frotter ses lèvres intimes et son clito contre mon sexe mou. Entre le balancement de ses seins et de ses cheveux, les caresse de sa chatte je recommence à bander doucement. J’essaye de manoeuvrer pour me réintroduire en elle mais elle me repousse et s’allonge à coté de moi.
Un peu trop gourmand j’essaye de caresser ses grandes lèvres que je vos bien gonflées et rouges mais elle me repousse, Dorothée tire sur la couverture, se colle à moi et s’endort tout de suite avec un immense sourire aux lèvres. Je l’embrasse sur le front, la serre contre moi et je suis très content de la façon dont démarre notre week end….
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