Ma dépravation: la fameuse soirée du jeudi, la fin
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma dépravation: la fameuse soirée du jeudi, la fin
Sébastien, que j’ai rencontré dans les toilettes de la gare, m’a invité à une soirée chez un notable de la région. Je ne savais pas à quoi m’attendre avant d’arriver sur place. J’ai découvert une immense propriété au milieu de laquelle trône une très belle demeure. Une fois à l’intérieur nous sommes accueillis par Monsieur N, le propriétaire.
Il nous invite a rejoindre un salon dans lequel sont déjà présent la majorité des invités. Nous sommes au totale une douzaine et une fois au complet le maitre des lieux fait son entrée complément nu seulement entouré d’une cape noire. Il est accompagné de son second Aloïs.
Tout le public se déshabille entièrement et les deux hommes nous mettent en ligne pour choisir la plus belle queue. Une fois qu’ils nous ont tous tâté, branler et même sucer, il déclare Victor vainqueur. C’est un black avec une très longues et large bite qui ferai même pâlir Rocco Siffredi.
Puis ils nous demande de nous retourner pour élire le plus beau cul. On me malaxe les fesses, me lèche et me doigte longuement. Malgré mon cul poilu je suis désigné comme le vainqueur de ce jeu. C’est mon trou très serré qui a séduit Monsieur N. Sauf que ce dernier à l’idée d’unir la plus belle queue avec le plus beau cul. Je passe donc de flatter à angoisser.
Je proteste mais Monsieur N me prend à part pour me rassurer et me dire qu’on ira à mon rythme. Il me précise aussi que l’on va bien me préparer le cul et que je n’ai pas à m’inquiéter. Il se dirige vers Sébastien et sur un ton sévère, il le réprimande d’avoir amené une « vierge effarouchée », il me désigne à ce moment là! Deux hommes habillés en valet, font rentrer une croix de saint André.
Alors qu’on l’attache, face à la croix, un des valets me prend à part et m’installe sur un canapé sur le ventre. Une paire de mains vient me caresser le dos et les fesses avant de les écarter et de sentir une langue venir me lécher la rondelle. Pendant ce temps Monsieur N fesse Sébastien à l’aide d’un martinet, vu ses gémissements il prend autant de plaisir que moi actuellement.
Les lanières de cuire se baladent du bas de son dos à ses cuisses. La langue qui me fouille entre les fesses, pénètre mes entrailles lentement. Elle est vite rejoint par un doigt puis un deuxième. Je m’ouvre rapidement mais je suis encore loin de pouvoir accueillir ce mat d’ébène noir. Quand un valet détache Sébastien, je sens un troisième doigt me pénétrer, je suis tellement excité et ouvert que je l’accueille sans problème.
Quand mon accompagnateur se retourne je vois que les coups de martinet le font bien bander. Il se retourne vers nous et dit à Sébastien que la suite de sa punition sera de finir de m’ouvrir mais sans avoir le droit de jouir en moi. Deux hommes viennent, ils me soulèvent et me reposent sur un lit entouré de 4 barreaux. Ils attachent mes pieds au barreaux pour maintenir mes jambes bien écarter.
Sébastien se rapproche de moi, je le sens étaler du gel sur mon cul et me doigter directement avec 3 doigts. Il les retire et les remplace par sa queue qui rentre assez facilement dans mes entrailles. Plus il me lime plus je me sens m’ouvrir au plaisir et à sa bite. Depuis qu’il me sodomise je gémis et lui me rejoint maintenant dans la manifestation de plaisir. Monsieur N l’interrompt pour qu’il laisse la place à Victor.
Mon ami décule doucement et je commence à stresser de nouveau en voyant le sexe de Victor qui se rapprochement. Je crois que c’est la première fois que je vois une telle bite en vrai. Quand il passe derrière moi, je me cambre le maximum possible pour l’accueillir sans trop de douleur. Même si je suis déjà bien ouvert, il me tartine de nouveau avec du lubrifiant et rentre 3 doigt en moi comme dans du beurre.
Il les fait aller et venir vigoureusement, je sens même l’annulaire les rejoindre. Quand ils sont bien à l’intérieur, il les fait tournoyer et j’entends des « Ooooohhh » derrière moi. J’aimerai bien voir mon cul grand ouvert mais je ne suis pas du tout assez souple. Ses doigts me quittent presque tous en même temps et je sens maintenant l’énorme gland me malaxer la rondelle.
Quand je le sens lentement me pénétrer, je pousse sur mes muscles pour lui facilité le passage. Il me sodomise doucement mais surement, je suis étonné de l’aisance avec laquelle il rentre en moi. Même si je sens mes chairs se tirer encore plus à chaque fois qu’il s’enfonce je prends un plaisir fou à me faire déchirer le cul de cette façon.
Je ne sens pas ses couilles contre moi, j’ai pas l’impression qu’il est au fond mais Victor s’immobilise. Il m’attrape par la taille et commence à me limer tout doucement. Je n’arrive pas à me retenir de gémir surtout qu’à chaque fois qu’il s’enfonce en moi, j’ai l’impression qu’il me pénètre encore plus. Monsieur N s’approche de nous et dit assez fort à l’homme qui me sodomise:
« Interdiction de jouir dans son cul! Ton jus est pour moi! »
Je suis très déçu d’entendre ça parce que maintenant que je l’ai en moi je ne veux plus qu’il me quitte. J’aimerai qu’il me ramone pendant des heures jusqu’à ce qu’il n’arrive plus à se retenir et qu’il explose dans mes entrailles. J’aimerai sentir son sperme éclabousser mes parois internes pour me donner encore plus de frissons. J’aimerai sentir son jus couler de mon cul pendant qu’il se retire et même après…
Je profite à fond de sa bite dans que je le peux et je prends un plaisir comme je n’en ai jamais eu. Les mecs autour de moi qui se sucent ou qui s’enculent commence à tourner. J’ai l’impression que je vais m’évanouir tellement que le plaisir est fort. Puis Victor se retire d’un coup sec, j’ai envie de crier « Nooooooon », j’ai encore envie de profiter un peu de sa queue.
Des mains écartent mes fesses mais si quelqu’un d’autres me prend j’ai peur de ne rien sentir. Je sens un gland se poser sur ma rondelle et me perforer de nouveau. Pas besoin de me retourner je reconnais la queue de Victor, personne dans l’assistance n’a une largeur proche de la sienne. Il s’enfonce de seulement quelque centimètre et ressort tout aussi sèchement que la première fois.
Je sais bien que j’ai pensé vouloir encore un peu sa queue mais pas si peu! Heureusement il me prend de nouveau, s’enfonce toujours que de quelques centimètre, s’immobilise et ressort. A chaque fois que son gland triture ma rondelle je ne peux m’empêcher de crier comme un cochon. Après m’avoir quitté et repris une bonne dizaine de fois, il se met à me limer mais avec seulement quelques centimètres de chair en moi.
Même si personne ne s’occupe de mon corps, à part Victor de mon cul, je sens mon sexe gonfler de plus en plus. Il se met à palpiter en plus des mouvements du aux coups de rein que je reçois, mes muscles compressent son mat qui continue de me limer. Mes veines se gonflent, ma bite frétille encore plus et j’envoie 5 grosses giclées de sperme, directement sur le matelas. Je sens Victor déculer, je m’affale sur le lit et découvre Monsieur N à côté de moi à 4 pattes.
Je prend l’énergie qu’il me reste pour m’assoir et voir la bite de Victor pénétrer lentement les entrailles de Monsieur N. Je ne sais pas s’il s’est préparé avant mais il l’accueille très facilement. Il se met à le limer rapidement, de plus en plus violemment. Puis il lui serre encore plus la taille avec ses grandes mains s’immobilise et je compte que sa bite se contracte au moins 7 fois.
Quand il s’est vidé, il recommence à ramoner notre hôte lentement. Ses entrailles sont tellement rempli qu’une mousse blanche se forme. Puis l’homme qui était en moi il y a seulement quelques minutes décule, Monsieur N se redresse et son second, Aloïs, vient s’agenouiller sous le boss. Ce dernier commence à pousser pour faire sortir le sperme qui est en lui que l’autre avale avec délectation.
Une fois qu’il n’arrive plus rien à sortir, Monsieur N se redresse et remet sa cape. Il nous invite tous à profiter de la fin de la soirée et nous dit qu’il se réjouit de voir ou revoir nos exploits en nous désignant deux camperas dont une qui est très bien placée pour voir mon cul se dilater par le sexe de Victor. Notre hôte vient vers moi et me tend une carte de visite en me disant qu’il aimerait bien que l’on se revoit. J’ai envie de lui demander un double de la vidéo pour admirer le mat d’ébènes qui me perfore les entrailles mais il disparait avant que j’ai ouvert la bouche.
Je vais ranger la carte dans mon pantalon et j’en profite pour voir les autres participants prendre du plaisir. Victor, qui bande de nouveau, est très sollicité. Je m’assois sur un des canapé quand je vois Henry venir vers moi la queue dressée. Sans même réfléchir j’ouvre la bouche et l’accueil directement en moi. J’adore sucer sa queue si douce, je l’enfonce le plus possible et je fais tournoyer ma langue sur sa tige.
Je bloque son corps avec mes mains et je choisis le rythme avec mon visage. Je démarre lentement pour bien lui titiller le frein. Comme il ne bouge plus je déplace mes mains jusqu’à ses couilles que je malaxe plus au moins fort. Ma bouche s’excite d’avantage et je le fais aller et venir en moi comme s’il me sodomisait. Mes lèvres l’enserrent bien et ma langue continue de jouer avec lui.
Je le recrache en le maintenant bien dressé, en plus de ma salive qui dégouline, je découvre quelques gouttes de mouilles qui dégouline de son méat. Je m’empresse de les lécher et, sans avaler, je le re^rends en bouche pour donner un nouveau goût à sa queue qui m’excitent de plus belles. Je l’entends gémir de plus en plus fort quand, tout d’un coup, il m’immobilise et me demande s’il peut me prendre.
Vu comme Victor m’a ouvert tout à l’heure, je pense que n’importe qui peut maintenant me sodomiser sans problème. Sans même lui répondre, je me retourne et monte à 4 pattes sur le canapé pour bien lui présenter mes fesses. Je les écarte moi même et il rentre d’un seul coup. Au bout de quelques allers retours mes chairs sont bien plaquées contre sa tige.
Il me lime très doucement alors je commence à jouer avec sa tige en contractant mes muscles. Rapidement il accélère le rythme et explose dans mes entrailles. J’adore sentir une bite palpiter entre mes fesses, sentir les veines se gonfler de plaisir, sentir la première giclée très puissantes venir me tapisser les parois…
Il fait encore quelques allers retours mais son sexe ramolli rapidement du coup il sort.
Quand je me retourne il a disparu, je reste un moment debout car je sens son jus couler le long de ma cuisse, ça me fait frissonner. Henry réapparaît et me tend, à son tour, une carte de visite en me disant qu’il aimerait bien passer une nuit entière avec moi. Je suis flatté et lui dit qu’on reste en contact. En rangeant sa carte je me dit qu’il va falloir que je me fasse un répertoire de cul!
Bon c’est pas tout ça mais Henry m’a quand même bien excité et, à part au moment du concours de bite, personne n’est s’est occupé de mon sexe! Je tourne dans la pièce, alors que le sperme d’henry continue de s’écouler de mes fesses à mes cuisses et j’admire les autres couples prendre du plaisir à deux ou même à trois. Personne n’est libre, du moins personne qui m’intéresse. Ma dernière conquête de la soirée à même disparu.
Un peu plus loin je vois un mec, à genoux, suçant alternativement 2 bites. Je prends la place du troisième pour profiter de sa main et même de sa bouche. Je reste un moment ainsi mais il ne se passe rien. Je ne sais pas si je ne l’intéresse pas ou s’il est tellement absorbé par les deux autres sexes, qu’il n’a même pas remarqué ma présence!
Je m’éloigne et refait un tour, la salle est encore un peu plus vide. Mon chauffeur et toujours là. Il se fait prendre par une petite bite alors qu’il en suce une plus honorable. Je m’installe dans un canapé qui me permet de voir Sébastien mais aussi un écran qui diffuse un film porno. Quand les camarades de jeu de mon chauffeur échange leur place, je commence à me branler.
Maintenant je ne regarde plus l’écran mais seulement mon ami prendre du plaisir et en donner. Tout d’un coup une main charitable vient remplacer la mienne sur ma queue. C’est un mec de mon âge mais bien plus musclé que moi, je ne me rappelle pas l’avoir vu avant. Il se penche sur moi et lèche mon gland alors que sa main continue à courir sur ma tige.
Ses lèvres se posent sur mon frein et le presse de plus en plus fort alors que sa langue tournoi autour de mon gland. Une de ses mains me serrent les couilles alors que l’autre me branle de plus en plus fermement. Quand je glisse ma main dans ses cheveux et la serre, je sens les siennes m’attraper encore plus vigoureusement. Je jette un coup d’oeil sur Sébastien, les deux mecs se branlent devant son visage alors qu’il se branle, la bouche grande ouverte.
Je gémis de plus en plus fort et pousse sur le visage de mon inconnu pour qu’il m’avale le plus possible. Il me fait rentrer dans sa gorge et mes couilles viennent taper son menton. Maintenant il me les compresse à deux mains. Je reste immobile un moment même si sa langue ne l’est pas et je ressors entièrement de sa bouche.
Quand il a repris sa respiration je le refais plonger sur mon sexe. Il me suce goulument un moment et de lui même me refait visiter sa gorge. Je ne peux pas expliquer ce qu’il me fait mais c’est grandiose. A tel point que je ne résiste plus et me déverse directement dans son estomac. Comme j’ai quand même giclé pendant que Victor me sodomiser, je ne lâche que 3 jets puis le laisse reprendre sa respiration.
Il ne l’entend pas de la même façon et me nettoies le sexe bien qu’il ne respire pas encore normalement. Une fois qu’il me recrache, je le remercie. Il se penche vers moi et pose ses lèvres, qui ont le goût de mon sperme, sur les miennes puis me dit:
« C’est le minimum que je pouvais faire pour le héros de la soirée! »
Je rougis et il disparait avant même que je n’ai pu lui demander son prénom.
Je n’ai pas encore repris mes esprits que Sébastien vient s’assoir à côté de moi. Il est déjà habillé mais sent fort le sperme, il me dit simplement:
« On rentre? »
Je lui réponds que je suis d’accord mais que je dois d’abord faire un tour au toilette. Je me lève et il me les indique.
Un mec me suit, nous nous retrouvons tous les deux devant la porte complètement nu. Je l’invite à y aller le premier même si c’est de plus en plus pressant. Il ouvre la porte et m’invite à le rejoindre en me disant:
« Après la soirée qu’on a vécu, il n’y a pas de pudeur entre nous! »
Nous nous plaçons tous les deux autour de la cuvette.
Je suis un peu gêné alors j’ai du mal à pisser même si lui y va allègrement. Son jet diminue, il place une de ses mains devant son sexe et se l’arrose un peu. Du bout des doigts il récupère les dernières gouttes et se caresse la bite et les couilles avec sa main qui dégouline de son urine. Depuis le début de ma dépravation, j’ai vu des scènes uro mais c’est la première fois que ça m’excite autant.
Je me laisse aller et commence à pisser à mon tour, quand mon jet diminue j’imite mon nouvelle ami et je badigeonne ma queue et boules avec ma propre pisse. En me regardant faire le mec se branle et quand je finis il s’assoit sur la cuvette et commence à me lécher. Il récupère chaque goutte de ma pisse qui est encore sur mon costume 3 pièces ou mes poils.
Apres avoir vérifier 2 ou 3 fois qu’il n’en restait pas il commence à me sucer. Malgré tous ses effort j’ai du mal à bander correctement alors je préfère lui demander d’arrêter. Il fait encore passer sa langue partout sur mon sexe et finit par abandonner. Sur cette note étrange mais qui demande un peu plus d’exploration, quand je serai plus en forme, je retourne m’habiller.
Je rejoins Sébastien et comme à notre arrivée nous repassons par la cuisine. Là je reconnais le mec costaud qui m’a branlé et sucé, je lui fais un clin d’oeil auquel il répond. Nous rejoignons la voiture et je dois dire que malgré la musique je somnole pas mal dans la voiture. Une fois en bas de chez moi j’invite mon chauffeur à monter boire un verre (même si j’ai d’autres envies).
Je suis sur le cul quand il me dit:
« Je dois rentrer, ma femme va s’inquiéter! »
Nous nous embrassons goulument et je remonte seul chez moi. Quand je suis nu sur mon lit, je ne peux m’empêcher de toucher ma rondelle. Je suis encore bien ouvert et lubrifier alors je rentre deux doigts.
Je dois être sur ma prostate car je bande immédiatement. Je me caresse la bite et le cul en repensant à la soirée que je viens de vivre et le potentiel de la sexualité. Malgré la position, pas des plus confortable, je ne tarde pas à jouir, les deux premières giclées m’éclaboussent le visage et les suivantes le ventre. Je m’allonge normalement et m’endors avec l’odeur de mon sperme, en imaginant la bite de Victor toujours dans mon cul….
Il nous invite a rejoindre un salon dans lequel sont déjà présent la majorité des invités. Nous sommes au totale une douzaine et une fois au complet le maitre des lieux fait son entrée complément nu seulement entouré d’une cape noire. Il est accompagné de son second Aloïs.
Tout le public se déshabille entièrement et les deux hommes nous mettent en ligne pour choisir la plus belle queue. Une fois qu’ils nous ont tous tâté, branler et même sucer, il déclare Victor vainqueur. C’est un black avec une très longues et large bite qui ferai même pâlir Rocco Siffredi.
Puis ils nous demande de nous retourner pour élire le plus beau cul. On me malaxe les fesses, me lèche et me doigte longuement. Malgré mon cul poilu je suis désigné comme le vainqueur de ce jeu. C’est mon trou très serré qui a séduit Monsieur N. Sauf que ce dernier à l’idée d’unir la plus belle queue avec le plus beau cul. Je passe donc de flatter à angoisser.
Je proteste mais Monsieur N me prend à part pour me rassurer et me dire qu’on ira à mon rythme. Il me précise aussi que l’on va bien me préparer le cul et que je n’ai pas à m’inquiéter. Il se dirige vers Sébastien et sur un ton sévère, il le réprimande d’avoir amené une « vierge effarouchée », il me désigne à ce moment là! Deux hommes habillés en valet, font rentrer une croix de saint André.
Alors qu’on l’attache, face à la croix, un des valets me prend à part et m’installe sur un canapé sur le ventre. Une paire de mains vient me caresser le dos et les fesses avant de les écarter et de sentir une langue venir me lécher la rondelle. Pendant ce temps Monsieur N fesse Sébastien à l’aide d’un martinet, vu ses gémissements il prend autant de plaisir que moi actuellement.
Les lanières de cuire se baladent du bas de son dos à ses cuisses. La langue qui me fouille entre les fesses, pénètre mes entrailles lentement. Elle est vite rejoint par un doigt puis un deuxième. Je m’ouvre rapidement mais je suis encore loin de pouvoir accueillir ce mat d’ébène noir. Quand un valet détache Sébastien, je sens un troisième doigt me pénétrer, je suis tellement excité et ouvert que je l’accueille sans problème.
Quand mon accompagnateur se retourne je vois que les coups de martinet le font bien bander. Il se retourne vers nous et dit à Sébastien que la suite de sa punition sera de finir de m’ouvrir mais sans avoir le droit de jouir en moi. Deux hommes viennent, ils me soulèvent et me reposent sur un lit entouré de 4 barreaux. Ils attachent mes pieds au barreaux pour maintenir mes jambes bien écarter.
Sébastien se rapproche de moi, je le sens étaler du gel sur mon cul et me doigter directement avec 3 doigts. Il les retire et les remplace par sa queue qui rentre assez facilement dans mes entrailles. Plus il me lime plus je me sens m’ouvrir au plaisir et à sa bite. Depuis qu’il me sodomise je gémis et lui me rejoint maintenant dans la manifestation de plaisir. Monsieur N l’interrompt pour qu’il laisse la place à Victor.
Mon ami décule doucement et je commence à stresser de nouveau en voyant le sexe de Victor qui se rapprochement. Je crois que c’est la première fois que je vois une telle bite en vrai. Quand il passe derrière moi, je me cambre le maximum possible pour l’accueillir sans trop de douleur. Même si je suis déjà bien ouvert, il me tartine de nouveau avec du lubrifiant et rentre 3 doigt en moi comme dans du beurre.
Il les fait aller et venir vigoureusement, je sens même l’annulaire les rejoindre. Quand ils sont bien à l’intérieur, il les fait tournoyer et j’entends des « Ooooohhh » derrière moi. J’aimerai bien voir mon cul grand ouvert mais je ne suis pas du tout assez souple. Ses doigts me quittent presque tous en même temps et je sens maintenant l’énorme gland me malaxer la rondelle.
Quand je le sens lentement me pénétrer, je pousse sur mes muscles pour lui facilité le passage. Il me sodomise doucement mais surement, je suis étonné de l’aisance avec laquelle il rentre en moi. Même si je sens mes chairs se tirer encore plus à chaque fois qu’il s’enfonce je prends un plaisir fou à me faire déchirer le cul de cette façon.
Je ne sens pas ses couilles contre moi, j’ai pas l’impression qu’il est au fond mais Victor s’immobilise. Il m’attrape par la taille et commence à me limer tout doucement. Je n’arrive pas à me retenir de gémir surtout qu’à chaque fois qu’il s’enfonce en moi, j’ai l’impression qu’il me pénètre encore plus. Monsieur N s’approche de nous et dit assez fort à l’homme qui me sodomise:
« Interdiction de jouir dans son cul! Ton jus est pour moi! »
Je suis très déçu d’entendre ça parce que maintenant que je l’ai en moi je ne veux plus qu’il me quitte. J’aimerai qu’il me ramone pendant des heures jusqu’à ce qu’il n’arrive plus à se retenir et qu’il explose dans mes entrailles. J’aimerai sentir son sperme éclabousser mes parois internes pour me donner encore plus de frissons. J’aimerai sentir son jus couler de mon cul pendant qu’il se retire et même après…
Je profite à fond de sa bite dans que je le peux et je prends un plaisir comme je n’en ai jamais eu. Les mecs autour de moi qui se sucent ou qui s’enculent commence à tourner. J’ai l’impression que je vais m’évanouir tellement que le plaisir est fort. Puis Victor se retire d’un coup sec, j’ai envie de crier « Nooooooon », j’ai encore envie de profiter un peu de sa queue.
Des mains écartent mes fesses mais si quelqu’un d’autres me prend j’ai peur de ne rien sentir. Je sens un gland se poser sur ma rondelle et me perforer de nouveau. Pas besoin de me retourner je reconnais la queue de Victor, personne dans l’assistance n’a une largeur proche de la sienne. Il s’enfonce de seulement quelque centimètre et ressort tout aussi sèchement que la première fois.
Je sais bien que j’ai pensé vouloir encore un peu sa queue mais pas si peu! Heureusement il me prend de nouveau, s’enfonce toujours que de quelques centimètre, s’immobilise et ressort. A chaque fois que son gland triture ma rondelle je ne peux m’empêcher de crier comme un cochon. Après m’avoir quitté et repris une bonne dizaine de fois, il se met à me limer mais avec seulement quelques centimètres de chair en moi.
Même si personne ne s’occupe de mon corps, à part Victor de mon cul, je sens mon sexe gonfler de plus en plus. Il se met à palpiter en plus des mouvements du aux coups de rein que je reçois, mes muscles compressent son mat qui continue de me limer. Mes veines se gonflent, ma bite frétille encore plus et j’envoie 5 grosses giclées de sperme, directement sur le matelas. Je sens Victor déculer, je m’affale sur le lit et découvre Monsieur N à côté de moi à 4 pattes.
Je prend l’énergie qu’il me reste pour m’assoir et voir la bite de Victor pénétrer lentement les entrailles de Monsieur N. Je ne sais pas s’il s’est préparé avant mais il l’accueille très facilement. Il se met à le limer rapidement, de plus en plus violemment. Puis il lui serre encore plus la taille avec ses grandes mains s’immobilise et je compte que sa bite se contracte au moins 7 fois.
Quand il s’est vidé, il recommence à ramoner notre hôte lentement. Ses entrailles sont tellement rempli qu’une mousse blanche se forme. Puis l’homme qui était en moi il y a seulement quelques minutes décule, Monsieur N se redresse et son second, Aloïs, vient s’agenouiller sous le boss. Ce dernier commence à pousser pour faire sortir le sperme qui est en lui que l’autre avale avec délectation.
Une fois qu’il n’arrive plus rien à sortir, Monsieur N se redresse et remet sa cape. Il nous invite tous à profiter de la fin de la soirée et nous dit qu’il se réjouit de voir ou revoir nos exploits en nous désignant deux camperas dont une qui est très bien placée pour voir mon cul se dilater par le sexe de Victor. Notre hôte vient vers moi et me tend une carte de visite en me disant qu’il aimerait bien que l’on se revoit. J’ai envie de lui demander un double de la vidéo pour admirer le mat d’ébènes qui me perfore les entrailles mais il disparait avant que j’ai ouvert la bouche.
Je vais ranger la carte dans mon pantalon et j’en profite pour voir les autres participants prendre du plaisir. Victor, qui bande de nouveau, est très sollicité. Je m’assois sur un des canapé quand je vois Henry venir vers moi la queue dressée. Sans même réfléchir j’ouvre la bouche et l’accueil directement en moi. J’adore sucer sa queue si douce, je l’enfonce le plus possible et je fais tournoyer ma langue sur sa tige.
Je bloque son corps avec mes mains et je choisis le rythme avec mon visage. Je démarre lentement pour bien lui titiller le frein. Comme il ne bouge plus je déplace mes mains jusqu’à ses couilles que je malaxe plus au moins fort. Ma bouche s’excite d’avantage et je le fais aller et venir en moi comme s’il me sodomisait. Mes lèvres l’enserrent bien et ma langue continue de jouer avec lui.
Je le recrache en le maintenant bien dressé, en plus de ma salive qui dégouline, je découvre quelques gouttes de mouilles qui dégouline de son méat. Je m’empresse de les lécher et, sans avaler, je le re^rends en bouche pour donner un nouveau goût à sa queue qui m’excitent de plus belles. Je l’entends gémir de plus en plus fort quand, tout d’un coup, il m’immobilise et me demande s’il peut me prendre.
Vu comme Victor m’a ouvert tout à l’heure, je pense que n’importe qui peut maintenant me sodomiser sans problème. Sans même lui répondre, je me retourne et monte à 4 pattes sur le canapé pour bien lui présenter mes fesses. Je les écarte moi même et il rentre d’un seul coup. Au bout de quelques allers retours mes chairs sont bien plaquées contre sa tige.
Il me lime très doucement alors je commence à jouer avec sa tige en contractant mes muscles. Rapidement il accélère le rythme et explose dans mes entrailles. J’adore sentir une bite palpiter entre mes fesses, sentir les veines se gonfler de plaisir, sentir la première giclée très puissantes venir me tapisser les parois…
Il fait encore quelques allers retours mais son sexe ramolli rapidement du coup il sort.
Quand je me retourne il a disparu, je reste un moment debout car je sens son jus couler le long de ma cuisse, ça me fait frissonner. Henry réapparaît et me tend, à son tour, une carte de visite en me disant qu’il aimerait bien passer une nuit entière avec moi. Je suis flatté et lui dit qu’on reste en contact. En rangeant sa carte je me dit qu’il va falloir que je me fasse un répertoire de cul!
Bon c’est pas tout ça mais Henry m’a quand même bien excité et, à part au moment du concours de bite, personne n’est s’est occupé de mon sexe! Je tourne dans la pièce, alors que le sperme d’henry continue de s’écouler de mes fesses à mes cuisses et j’admire les autres couples prendre du plaisir à deux ou même à trois. Personne n’est libre, du moins personne qui m’intéresse. Ma dernière conquête de la soirée à même disparu.
Un peu plus loin je vois un mec, à genoux, suçant alternativement 2 bites. Je prends la place du troisième pour profiter de sa main et même de sa bouche. Je reste un moment ainsi mais il ne se passe rien. Je ne sais pas si je ne l’intéresse pas ou s’il est tellement absorbé par les deux autres sexes, qu’il n’a même pas remarqué ma présence!
Je m’éloigne et refait un tour, la salle est encore un peu plus vide. Mon chauffeur et toujours là. Il se fait prendre par une petite bite alors qu’il en suce une plus honorable. Je m’installe dans un canapé qui me permet de voir Sébastien mais aussi un écran qui diffuse un film porno. Quand les camarades de jeu de mon chauffeur échange leur place, je commence à me branler.
Maintenant je ne regarde plus l’écran mais seulement mon ami prendre du plaisir et en donner. Tout d’un coup une main charitable vient remplacer la mienne sur ma queue. C’est un mec de mon âge mais bien plus musclé que moi, je ne me rappelle pas l’avoir vu avant. Il se penche sur moi et lèche mon gland alors que sa main continue à courir sur ma tige.
Ses lèvres se posent sur mon frein et le presse de plus en plus fort alors que sa langue tournoi autour de mon gland. Une de ses mains me serrent les couilles alors que l’autre me branle de plus en plus fermement. Quand je glisse ma main dans ses cheveux et la serre, je sens les siennes m’attraper encore plus vigoureusement. Je jette un coup d’oeil sur Sébastien, les deux mecs se branlent devant son visage alors qu’il se branle, la bouche grande ouverte.
Je gémis de plus en plus fort et pousse sur le visage de mon inconnu pour qu’il m’avale le plus possible. Il me fait rentrer dans sa gorge et mes couilles viennent taper son menton. Maintenant il me les compresse à deux mains. Je reste immobile un moment même si sa langue ne l’est pas et je ressors entièrement de sa bouche.
Quand il a repris sa respiration je le refais plonger sur mon sexe. Il me suce goulument un moment et de lui même me refait visiter sa gorge. Je ne peux pas expliquer ce qu’il me fait mais c’est grandiose. A tel point que je ne résiste plus et me déverse directement dans son estomac. Comme j’ai quand même giclé pendant que Victor me sodomiser, je ne lâche que 3 jets puis le laisse reprendre sa respiration.
Il ne l’entend pas de la même façon et me nettoies le sexe bien qu’il ne respire pas encore normalement. Une fois qu’il me recrache, je le remercie. Il se penche vers moi et pose ses lèvres, qui ont le goût de mon sperme, sur les miennes puis me dit:
« C’est le minimum que je pouvais faire pour le héros de la soirée! »
Je rougis et il disparait avant même que je n’ai pu lui demander son prénom.
Je n’ai pas encore repris mes esprits que Sébastien vient s’assoir à côté de moi. Il est déjà habillé mais sent fort le sperme, il me dit simplement:
« On rentre? »
Je lui réponds que je suis d’accord mais que je dois d’abord faire un tour au toilette. Je me lève et il me les indique.
Un mec me suit, nous nous retrouvons tous les deux devant la porte complètement nu. Je l’invite à y aller le premier même si c’est de plus en plus pressant. Il ouvre la porte et m’invite à le rejoindre en me disant:
« Après la soirée qu’on a vécu, il n’y a pas de pudeur entre nous! »
Nous nous plaçons tous les deux autour de la cuvette.
Je suis un peu gêné alors j’ai du mal à pisser même si lui y va allègrement. Son jet diminue, il place une de ses mains devant son sexe et se l’arrose un peu. Du bout des doigts il récupère les dernières gouttes et se caresse la bite et les couilles avec sa main qui dégouline de son urine. Depuis le début de ma dépravation, j’ai vu des scènes uro mais c’est la première fois que ça m’excite autant.
Je me laisse aller et commence à pisser à mon tour, quand mon jet diminue j’imite mon nouvelle ami et je badigeonne ma queue et boules avec ma propre pisse. En me regardant faire le mec se branle et quand je finis il s’assoit sur la cuvette et commence à me lécher. Il récupère chaque goutte de ma pisse qui est encore sur mon costume 3 pièces ou mes poils.
Apres avoir vérifier 2 ou 3 fois qu’il n’en restait pas il commence à me sucer. Malgré tous ses effort j’ai du mal à bander correctement alors je préfère lui demander d’arrêter. Il fait encore passer sa langue partout sur mon sexe et finit par abandonner. Sur cette note étrange mais qui demande un peu plus d’exploration, quand je serai plus en forme, je retourne m’habiller.
Je rejoins Sébastien et comme à notre arrivée nous repassons par la cuisine. Là je reconnais le mec costaud qui m’a branlé et sucé, je lui fais un clin d’oeil auquel il répond. Nous rejoignons la voiture et je dois dire que malgré la musique je somnole pas mal dans la voiture. Une fois en bas de chez moi j’invite mon chauffeur à monter boire un verre (même si j’ai d’autres envies).
Je suis sur le cul quand il me dit:
« Je dois rentrer, ma femme va s’inquiéter! »
Nous nous embrassons goulument et je remonte seul chez moi. Quand je suis nu sur mon lit, je ne peux m’empêcher de toucher ma rondelle. Je suis encore bien ouvert et lubrifier alors je rentre deux doigts.
Je dois être sur ma prostate car je bande immédiatement. Je me caresse la bite et le cul en repensant à la soirée que je viens de vivre et le potentiel de la sexualité. Malgré la position, pas des plus confortable, je ne tarde pas à jouir, les deux premières giclées m’éclaboussent le visage et les suivantes le ventre. Je m’allonge normalement et m’endors avec l’odeur de mon sperme, en imaginant la bite de Victor toujours dans mon cul….
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos commentaires. Pour mettre au clair, c'est bien la fin de cette soirée mais pas de ma dépravation. J'ai refait une soirée comme celle la mais c'était moins intéressant par contre j'ai revu le maitre des lieux et Henry mais ça sera dans une autre histoire...
En tout cas je suis très content de vous avoir autant excité, c'était le but
En tout cas je suis très content de vous avoir autant excité, c'était le but
J'approuve. Suite?
J'ai joui comme un fou en m'imaginant à ta place. Super bien décrit
Très belle fin mais j’espere qu’il y aura quand même une suite
J’en bande encore!
Je ne suis pas aussi matinal que l’autre mais la fin de cette histoire m’a aussi énormément excité!
Très très excitante ton histoire , j'ai commencer a la lire a 1h ce matin et ne pouvait pas m'empêcher de me branler dans la main et boire mon jus en imaginant que c'est celui de Victor en bien plus petite quantitée , comme j'aurais voulu participer à cette soirée , prendre plein de bites dans mes fesses et surtout celle de Victor qui t'as fait jouir si fort . Elle devait être bien grosse et de taille nettement au dessus de la moyenne. Es tu retourner à une de ces soirées ? J'attend la suite avec impatience