Ma robe vichy
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-05-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Ma robe vichy
J'aimais beaucoup cette robe. Le coton était fin mais le motif imprimé compensait la transparence en troublant un peu le regard.
Mes seins, mes petits seins de gamine, étaient comprimés par l'absence de pince sous un plastron droit. On devinait à peine les aréoles, mes petites aréoles rose pâle, camouflées par le rose Vichy. Et mes tétons qui presque toujours sont en repos ne se laissaient non plus apercevoir.
J'étais nue de poitrail et tout le monde le voyait mais néanmoins prude et personne n'avait donc rien à redire.
Pas comme ces filles, ces bimbettes, qui arborent des sous-tifs pigeonnants push-up véritables indécences qui disent leurs pensées lubriques à se faire mater des garçons et surtout des hommes.
Ma taille est fine et la robe la suivait parfaitement, serrée de quatre boutons minuscules dans le dos. C'étaient d'ailleurs les seuls boutons qui refermaient cette robe sur moi. J'étais incapable, seule, de les fermer et j'avais dû, ce soir encore, prier ma cousine de jouer les costumières tandis que je rentrais le ventre pour donner un peu de marge à la manœuvre.
La corolle virevolante était gonflée d'un jupon de double dentelle qui me servait de dessous, chaste jeune-fille que je suis. Le blanc faisait fond au tissu Vichy rose, éclatant la couleur pastel en contraste du haut collé à ma peau nue qui paraissait presque fade. Hors l'imagination des regardeurs obnubilés par la conscience de ma nudité offerte.
Le jupon m'emmenait aux nues. Mon abricot, longuement épilé, oint, parfumé, toute l'après-midi durant, s'épanouissait dans la dentelle et s'ouvrait en douce moiteur sous le regard des hommes posé sur mes fesses. Tous.
Réellement, cette robe Vichy était à mon goût et à celle des autres aussi.
Le col était haut et serré comme ceux des Quackers, pour bien dire le rigide de ma moralité et la totale retenue de mon éducation. Les manches étaient longues pour cacher le moindre bout de peau claire qui eût pu être accroche-cœur, ruban, fleur, à quelque mâle concupiscent de l'assistance.
La soirée commençait à peine que déjà j'entendais les bites des mecs vibrer en chanterelle. On aurait dit un concert de fin de journée des oiseaux dans les arbres au coucher du soleil.
Mes quinze ans en étaient tout émoustillés et je pensais combien en marquerai-je ce soir à mon tableau de chasse ? À la craie.
Mes pensées s'encougounaient doucement sur des idées de tendresse partagée et de mes cuisses qui seraient bientôt dégoulinantes jusqu'aux genoux des offrandes longuement puissamment profondemment généreuses des garçons.
*
* *
Les musiciens se préparaient sur la scène. Ils accordaient leurs instruments, réglaient les supports des microphones, agençaient leur tabouret, leur lutrin et se parlaient entre eux échangeant des partitions ou ajustant leur iPad sur le support ad hoc.
L’amphithéatre qui descend vers la mer se remplissait lentement d’une marée humaine montant les gradins. Le soleil avait disparu sur la droite mais nimbait la Méditerranée de rouge flamboyant comme un décor d’opéra. Quelques voiliers passaient à nos pieds tandis que plus loin de gros porte-containers mouchetaient la mer. Au loin, un énorme pétrolier faisait silhouette sur l’horizon africaine.
Moi, j’ai laissé mon gros pull en bas pour marquer ma place dans les premiers rangs entre mon frère et mes cousines et je suis montée tout en haut aux buvettes et diverses baraques à frites pour faire ma belle au milieu des gars qui n’avaient pas pris le temps de souper avant le spectacle.
Les odeurs de grillades et les fumées formaient comme un brouillard dans le calme du soir. Les conversations et interpellations avec l’accent sétois confirmaient l’ambiance de fête et le plaisir de tous ces gens en attente de San Severino en concert.
Le bas de ma robe était gonflé du jupon et j’accentuait l’effet par de multiples rotations sur moi-même aux prétextes de regarder la scène ou la mer, répondre à la sollicitation d’un voisin, attraper un verre de Picpoul que l’on m’offrait, laisser passer une mama gitane les bras encombrés de portions taboulé/merguez…
Le haut de ma robe montrait à tous que puberté était passée et que je n’étais plus la gamine de l’été dernier mais bien déjà une femme aux tétons saillants, même si mes petits seins restaient encore en attente de plus ample développement.
Le coton vichy écrasait ma juvénile poitrine, l’étalant d’un côté à l’autre de mon buste, comme l’aurait fait une brassière. Mais de brassière point je portais et chacun pouvait voir, points et déliés, les courbes pleines qui pommelaient le tissu dont les motifs carrelés traçaient les volumes en surface métrée.
Les deux singularités de mes tétons fixaient le regard des hommes encore plus que celui des femmes.
Faut dire, qu’enthousiasmée par l’ambiance du concert et de tous ces regards concupiscents, jamais je ne débandais.
Tous on savait qu’il y avait, tout en haut du théatre, bien au delà des derniers rangs, une sorte de balcon d’où l’on ne pouvait voir la scène que toute minuscule mais néanmoins entendre parfaitement les grosses enceintes. C’était comme un parterre et l’on s’y tenait seulement debout car il n’y avait pas de sièges non plus que de gradins. Les Sétois appellent cette galerie du Théatre de la Mer, le Paradis.
Moi je ne savais pas pourquoi on l’appelait ainsi.
C’est ce soir de juillet que j’ai compris.
Quand le premier garçon m’y a menée, me tenant par la main après m’avoir offert deux bonbons harribo, je croyais juste qu’il voulait m’embrasser. Et je pensais, accepterai-je qu’il y mette la langue ? Et s’il le fait répondrai-je de même ?
On s’est appuyés, en regardant la mer, tous les deux au muret qui faisait balcon mais il ne m’a pas embrassée.
Juste il est passé derrière moi et, sans crier gare, a relevé mes jupons et enfilé son outil entre mes cuisses.
Moi j’étais plutôt contente qu’il soit vif et vaillant mais quand même j’étais déçue de n’avoir pas eu droit à un petit baiser en préliminaire, en préambule.
En réalité l’affaire ne s’est pas bien passée car, à peine sa bite a été en la chaleur de mes fesses, il s’est éclaté, me badigeonant la rondelle de son foutre chaud et fluide.
J’ai eu droit, après, à un baiser, mais c’est moi qui l’ai donné, en consolation.
Je lui ai, on se voit après le concert ? Tu auras rechargé et sera peut être alors moins expéditif.
Le second avait observé le manège et m’a prise par la taille à peine revenue aux buvettes. On est remontés, enlacés, au balcon. Il avait en main un nem et un verre de sangria blanche. La sangria blanche, c’est juste de la sangria normale mais faite au vin blanc, au muscat sec. Le nem, lui, n’avait rien de vietnamien ou de par là-bas. C’était un nem farci de poulpes à la plancha genre tielle arrosé de harissa. On a bouffé et bu ses trucs histoire d’avoir les mains libres.
Ses baisers sentaient fort les nouritures méditerranéennes et sa langue brulait des piments de sauces d’accompagnement. Et je m’en régalais. Je pensais, si sa bite est du même acabit, je ne pourrai plus m’assoir de toute la soirée.
Et m’a longuement pourléchée, tête enfouie sous mes jupons, brûlant mon petit clito de sa langue chargée en épices.
J’étais assise face à lui sur le petit muret, dos à la scène.
Tandis qu’il était à l’oeuvre, San Severino est arrivé en grand tintamare de musique. J’ai relevé mon prétendant, interrompant ses oeuvres lors qu’il était tout prêt de conclure. Le concert me paraissait plus important qu’une petite satisfaction. Surtout San Severino, un mec, un vrai , non ?
Un bisou aux saveurs exotiques en au-revoir et j’ai couru de marche en marche, bondissante gazelle, jusqu’à mon banc avec ma fratrie.
Mon cousin m’a dit, à l’entracte, c’est moi qui monte, je prends mon tour sur ton carnet de bal.
Mon cousin est grand et costaud, j’ai dit, entendu.
Il y a eu une entracte.
J’ai dit au cousin à ma droite, monte boire un verre si tu veux mais moi j’ai tiquet ici-bas, je ne te suis pas.
J’étais assise au troisième rang des gradins et San Severino m’avait matée tout durant la première partie, les yeux rivés sur le devant de ma robe vichy, lieu de surveiller ses doigts sur le manche de sa Fender. Je n’allais pas me défiler mais au contraire prétexter d’un autographe sur mon tiquet pour me faire mettre par ce mec derrière les consoles. En espérant qu’il serait , lui, à la hauteur.
à suivre
Mes seins, mes petits seins de gamine, étaient comprimés par l'absence de pince sous un plastron droit. On devinait à peine les aréoles, mes petites aréoles rose pâle, camouflées par le rose Vichy. Et mes tétons qui presque toujours sont en repos ne se laissaient non plus apercevoir.
J'étais nue de poitrail et tout le monde le voyait mais néanmoins prude et personne n'avait donc rien à redire.
Pas comme ces filles, ces bimbettes, qui arborent des sous-tifs pigeonnants push-up véritables indécences qui disent leurs pensées lubriques à se faire mater des garçons et surtout des hommes.
Ma taille est fine et la robe la suivait parfaitement, serrée de quatre boutons minuscules dans le dos. C'étaient d'ailleurs les seuls boutons qui refermaient cette robe sur moi. J'étais incapable, seule, de les fermer et j'avais dû, ce soir encore, prier ma cousine de jouer les costumières tandis que je rentrais le ventre pour donner un peu de marge à la manœuvre.
La corolle virevolante était gonflée d'un jupon de double dentelle qui me servait de dessous, chaste jeune-fille que je suis. Le blanc faisait fond au tissu Vichy rose, éclatant la couleur pastel en contraste du haut collé à ma peau nue qui paraissait presque fade. Hors l'imagination des regardeurs obnubilés par la conscience de ma nudité offerte.
Le jupon m'emmenait aux nues. Mon abricot, longuement épilé, oint, parfumé, toute l'après-midi durant, s'épanouissait dans la dentelle et s'ouvrait en douce moiteur sous le regard des hommes posé sur mes fesses. Tous.
Réellement, cette robe Vichy était à mon goût et à celle des autres aussi.
Le col était haut et serré comme ceux des Quackers, pour bien dire le rigide de ma moralité et la totale retenue de mon éducation. Les manches étaient longues pour cacher le moindre bout de peau claire qui eût pu être accroche-cœur, ruban, fleur, à quelque mâle concupiscent de l'assistance.
La soirée commençait à peine que déjà j'entendais les bites des mecs vibrer en chanterelle. On aurait dit un concert de fin de journée des oiseaux dans les arbres au coucher du soleil.
Mes quinze ans en étaient tout émoustillés et je pensais combien en marquerai-je ce soir à mon tableau de chasse ? À la craie.
Mes pensées s'encougounaient doucement sur des idées de tendresse partagée et de mes cuisses qui seraient bientôt dégoulinantes jusqu'aux genoux des offrandes longuement puissamment profondemment généreuses des garçons.
*
* *
Les musiciens se préparaient sur la scène. Ils accordaient leurs instruments, réglaient les supports des microphones, agençaient leur tabouret, leur lutrin et se parlaient entre eux échangeant des partitions ou ajustant leur iPad sur le support ad hoc.
L’amphithéatre qui descend vers la mer se remplissait lentement d’une marée humaine montant les gradins. Le soleil avait disparu sur la droite mais nimbait la Méditerranée de rouge flamboyant comme un décor d’opéra. Quelques voiliers passaient à nos pieds tandis que plus loin de gros porte-containers mouchetaient la mer. Au loin, un énorme pétrolier faisait silhouette sur l’horizon africaine.
Moi, j’ai laissé mon gros pull en bas pour marquer ma place dans les premiers rangs entre mon frère et mes cousines et je suis montée tout en haut aux buvettes et diverses baraques à frites pour faire ma belle au milieu des gars qui n’avaient pas pris le temps de souper avant le spectacle.
Les odeurs de grillades et les fumées formaient comme un brouillard dans le calme du soir. Les conversations et interpellations avec l’accent sétois confirmaient l’ambiance de fête et le plaisir de tous ces gens en attente de San Severino en concert.
Le bas de ma robe était gonflé du jupon et j’accentuait l’effet par de multiples rotations sur moi-même aux prétextes de regarder la scène ou la mer, répondre à la sollicitation d’un voisin, attraper un verre de Picpoul que l’on m’offrait, laisser passer une mama gitane les bras encombrés de portions taboulé/merguez…
Le haut de ma robe montrait à tous que puberté était passée et que je n’étais plus la gamine de l’été dernier mais bien déjà une femme aux tétons saillants, même si mes petits seins restaient encore en attente de plus ample développement.
Le coton vichy écrasait ma juvénile poitrine, l’étalant d’un côté à l’autre de mon buste, comme l’aurait fait une brassière. Mais de brassière point je portais et chacun pouvait voir, points et déliés, les courbes pleines qui pommelaient le tissu dont les motifs carrelés traçaient les volumes en surface métrée.
Les deux singularités de mes tétons fixaient le regard des hommes encore plus que celui des femmes.
Faut dire, qu’enthousiasmée par l’ambiance du concert et de tous ces regards concupiscents, jamais je ne débandais.
Tous on savait qu’il y avait, tout en haut du théatre, bien au delà des derniers rangs, une sorte de balcon d’où l’on ne pouvait voir la scène que toute minuscule mais néanmoins entendre parfaitement les grosses enceintes. C’était comme un parterre et l’on s’y tenait seulement debout car il n’y avait pas de sièges non plus que de gradins. Les Sétois appellent cette galerie du Théatre de la Mer, le Paradis.
Moi je ne savais pas pourquoi on l’appelait ainsi.
C’est ce soir de juillet que j’ai compris.
Quand le premier garçon m’y a menée, me tenant par la main après m’avoir offert deux bonbons harribo, je croyais juste qu’il voulait m’embrasser. Et je pensais, accepterai-je qu’il y mette la langue ? Et s’il le fait répondrai-je de même ?
On s’est appuyés, en regardant la mer, tous les deux au muret qui faisait balcon mais il ne m’a pas embrassée.
Juste il est passé derrière moi et, sans crier gare, a relevé mes jupons et enfilé son outil entre mes cuisses.
Moi j’étais plutôt contente qu’il soit vif et vaillant mais quand même j’étais déçue de n’avoir pas eu droit à un petit baiser en préliminaire, en préambule.
En réalité l’affaire ne s’est pas bien passée car, à peine sa bite a été en la chaleur de mes fesses, il s’est éclaté, me badigeonant la rondelle de son foutre chaud et fluide.
J’ai eu droit, après, à un baiser, mais c’est moi qui l’ai donné, en consolation.
Je lui ai, on se voit après le concert ? Tu auras rechargé et sera peut être alors moins expéditif.
Le second avait observé le manège et m’a prise par la taille à peine revenue aux buvettes. On est remontés, enlacés, au balcon. Il avait en main un nem et un verre de sangria blanche. La sangria blanche, c’est juste de la sangria normale mais faite au vin blanc, au muscat sec. Le nem, lui, n’avait rien de vietnamien ou de par là-bas. C’était un nem farci de poulpes à la plancha genre tielle arrosé de harissa. On a bouffé et bu ses trucs histoire d’avoir les mains libres.
Ses baisers sentaient fort les nouritures méditerranéennes et sa langue brulait des piments de sauces d’accompagnement. Et je m’en régalais. Je pensais, si sa bite est du même acabit, je ne pourrai plus m’assoir de toute la soirée.
Et m’a longuement pourléchée, tête enfouie sous mes jupons, brûlant mon petit clito de sa langue chargée en épices.
J’étais assise face à lui sur le petit muret, dos à la scène.
Tandis qu’il était à l’oeuvre, San Severino est arrivé en grand tintamare de musique. J’ai relevé mon prétendant, interrompant ses oeuvres lors qu’il était tout prêt de conclure. Le concert me paraissait plus important qu’une petite satisfaction. Surtout San Severino, un mec, un vrai , non ?
Un bisou aux saveurs exotiques en au-revoir et j’ai couru de marche en marche, bondissante gazelle, jusqu’à mon banc avec ma fratrie.
Mon cousin m’a dit, à l’entracte, c’est moi qui monte, je prends mon tour sur ton carnet de bal.
Mon cousin est grand et costaud, j’ai dit, entendu.
Il y a eu une entracte.
J’ai dit au cousin à ma droite, monte boire un verre si tu veux mais moi j’ai tiquet ici-bas, je ne te suis pas.
J’étais assise au troisième rang des gradins et San Severino m’avait matée tout durant la première partie, les yeux rivés sur le devant de ma robe vichy, lieu de surveiller ses doigts sur le manche de sa Fender. Je n’allais pas me défiler mais au contraire prétexter d’un autographe sur mon tiquet pour me faire mettre par ce mec derrière les consoles. En espérant qu’il serait , lui, à la hauteur.
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