Ma secrétaire, la vieille fille
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Ma secrétaire, la vieille fille
Dans mon ancienne boite, je suis monté jusqu’à être responsable commercial pour le nord de la France.
J’ai donc plusieurs commerciaux que je dois driver ce qui m’oblige à passer beaucoup plus de temps derrière mon bureau ou en réunion que sur le terrain. Pour m’épauler j’ai une secrétaire, Thérèse, qui tient plus le rôle d’assistante.
Beaucoup de femmes ont peur de la secrétaire de leur mari, avec elle aucun soucis et de toutes les façons je ne suis pas en couple. Thérèse est assez grande, surtout pour sa génération, 1m70; malgré ses 55 ans bien passés elle a un corps fin et très proportionné. Ce qui la dessert c’est son visage triste et sévère mais aussi ses cheveux gris toujours très tirés et attachés en chignon.
Dans la société tout le monde est sur qu’elle est vierge, elle n’a jamais été marié et personne ne lui a jamais connu de relation avec un homme, ou même une femme, depuis qu’elle a commencé dans cette société il y a 32 ans. Peut être que le sexe ne l’intéresse pas tout simplement!
Ces 3 dernières semaines nous avons eu un travail de fou, presque tous les soirs Thérèse et moi dinions dans mon bureau et restions travailler jusqu’à 22h passées. Pendant nos petits pauses j’ai essayé d’en savoir un peu plus sur sa vie privée mais elle reste toujours aussi discrète.
Avec nos horaires de fou, je n’ai eu du temps pour rien d’autre que le boulot et pour ne rien arranger ce matin le boss nous a encore rajouté des dossiers ce qui va nous faire encore au moins 10 jours à ce rythme de fou. La seule chose qui nous motive, Thérèse et moi, c’est les heures supplémentaires.
Il est 19h30, les bureaux sont désert. Ma secrétaire part nous commander 2 plats dans le resto du coin. Les couilles trop pleines j’en profite pour me mettre une vidéo sur mon ordi et me branler en même temps. Sur mon écran un black, plutôt très bien monté, ramone une chatte rousse alors qu’un autre lui défonce le cul en même temps.
Avec ma main gauche je monte et descends le long de ma tige depuis plusieurs minutes, de temps en temps je me caresse aussi les couilles. Sur l’écran maintenant ils sont tous les deux dans sa chatte et en rentre et sorte par alternance quand la porte de mon bureau s’ouvre.
C’est Thérèse qui revient déjà avec les plats! Je débande immédiatement (j’ai l’impression d’avoir été surpris par ma mère) et me cache au maximum mais j’ai pas pu arrêter le film. Elle pose le sac sur mon bureau et viens à côté de moi regarder l’écran.
Elle a les yeux rivés sur ces images, avec son air sévère je ne m’attendais pas à ça en plus la situation me refait bander. Mes jambes sont sous mon bureau mais j’ai toujours la queue dehors je recommence mes caresses. Tout d’un coup ma secrétaire pose sa main sur le dossier de mon fauteuil et le recule.
Ses yeux ne regarde plus l’écran mais mon sexe. Elle attrape une pochette en carton sur la table, j’ai peur qu’elle me tape avec mais au contraire elle la pose par terre. Puis elle soulève sa jupe droite juste au dessus de ses genoux avant de les poser sur la pochettes et se placer entre mes jambes.
Sa main vient remplacer la mienne le long de ma queue alors que son autre main me caresse les couilles. Son pouce est sous ma tige et appuies sur mon frein alors que ses autres doigts l’enserrent par dessus et glissent sur mes veines. Je ne résiste pas à ses caresses et ma bite reprend toute sa splendeur.
Son pouce quitte mon frein et glisse jusqu’à la base de mon sexe qu’elle met bien droit. Elle ouvre la bouche et tout en se penchant elle me dit:« Je sais que les hommes ont des besoins. »Je n’en reviens pas mais avant que j’ai le temps de répondre elle sort le bout de sa langue qu’elle pose sur mon frein et remonte vers mon gland pour en faire tout le tour. Puis elle remonte jusqu’à mon méat et récupère la petite goutte qui en sort.
Elle pose de nouveau sa langue, toujours avec la goutte dessus, sur mon frein et refait exactement pareil. Quand le bout de sa langue pointe dans mon urètre, cette fois, ses lèvres se pose sur mon champignon pour l’avaler et l’enserrer à sa base.
Thérèse commence à aspirer mon gland alors que ses mains s’activent toujours le long ma queue et sur mes couilles. J’ai du mal à croire que c’est ma secrétaire que tout le monde prend pour une vierge frigide qui me donne autant de plaisir. En tout cas elle est douée ça fait longtemps que l’on ne m’avait pas aussi bien sucé. J’ai hâte qu’elle avale toute ma tige.
Quand son aspiration s’arrête, elle recrache ma bite puis prend une grande inspiration avant de recoller sa langue sur mon frein. Cette fois elle le titille un moment et augment la pression de sa main dans laquelle elle tient une de mes couilles.
Puis elle recommence à monter vers mon gland, le gobe mais ce coup ci elle rentre environ la moitié de ma tige dans sa bouche avant de l’aspirer de nouveau. Maintenant pendant que sa langue danse le long de ma bite, de mes veines mais aussi sur mon frein et mon gland, elle a dans chaque main une de mes couilles et les tripotes comme elle le ferait avec des balles. C’est étrange mais pas du tout désagréable au contraire.
Elle relâche la pression de ses lèvres autour de ma queue et commence à monter ses lèvres, toujours collées à ma tige, jusqu’à la base de mon gland. Avec la lèvre inférieure elle appuie sur mon frein avant de se renfoncer mon sexe dans sa bouche. Puis elle remonte toujours sans sortir mon gland d’entre ses lèvres.
A chaque fois qu’elle me prend en bouche, elle avale un peu plus mon sexe mais elle n’arrive pas le rentrer entièrement. Je pose mes mains sur sa tête pour l’encourager mais aussi pour changer, de temps en temps, le rythme de ses mouvements sur ma bite.
Elle me suce divinement depuis un bon moment quand je sens que je suis au bord de l’orgasme. Je préfère la prévenir plutôt que de la prendre en traitre. Sa bouche quitte mon sexe alors que ses mains abandonnent mes couilles pour me branler à deux mains et elle me dit:« Il vaut mieux ne pas laisser de traces. »Et elle reprend sa pipe mais encore plus intensément, sa langue s’excite encore plus sur chacun de mes points sensibles.
Je n’arrive plus à me retenir, je sens mes couilles se congestionner et ma tige gonfler encore plus. Mes veines pulsent et je me vide par de longues giclées dans la bouche de Thérèse qui continue de me sucer en comprimant ses lèvres fermement autour de ma tige comme pour être sure de ne pas en perdre une goutte.
Quand mon sexe est ramolli et propre, elle se relève et arrange sa jupe. De sa poche elle sort un mouchoir en tissu avec lequel elle s’essuie la commissures des lèvres. Je la regarde faire tout en remballant mon matériel.
Une fois que je suis rhabillé, elle attrape le sac avec les repas et me dit comme si de rien était:« Il faut manger, ça va être froid ».
Je n’en reviens pas, Thérèse fait comme si de rien n’était. Franchement elle cache vraiment bien son jeu.
Je reprends doucement mes esprits et attaque mon plat. J’essaye d’en savoir plus sur elle en lui demandant si elle a été mariée, elle me répond simplement non. Je rajoute:« Mais vous avez quand même vécu en couple? » Elle me répond tout aussi simplement non.
Après un long moment de silence elle me dit qu’a 20 ans elle a été fiancée au meilleur des hommes mais que 3 semaines avant leur mariage il est décédé d’un accident de voiture. Comme elle n’a jamais cessé de l’aimer aucun autre homme ne l’a plus intéressé.
J’ai de la peine pour elle, j’aimerai lui demander pourquoi elle m’a sucé mais je n’ose pas. Je vais quand même avoir ma réponse car après avoir fini de manger dans un silence d’église elle me dit:« Quand je vous ai vu derrière votre bureau en revenant du restaurant, j’ai d’abord cru voir Gerard et ensuite je n’ai pas réfléchi. »Je suis un peu gêné, je rougis même et nous reprenons le travail.
Tous les soirs qui ont suivi avant que Thérèse parte nous chercher à manger, elle m’a sucé mais ne m’a jamais laissé aller plus loin ou même la toucher. Par contre tous les soirs elle s’est un peu plus confié à moi sur son Gérard mais aussi le temps qu’elle avait perdu.
Quand on a enfin fini de traiter tous les nouveaux dossiers et que nous avons repris des horaires normaux je l’ai invité un vendredi à venir manger chez moi pour la remercier à ma façon mais ça sera une autre histoire…
J’ai donc plusieurs commerciaux que je dois driver ce qui m’oblige à passer beaucoup plus de temps derrière mon bureau ou en réunion que sur le terrain. Pour m’épauler j’ai une secrétaire, Thérèse, qui tient plus le rôle d’assistante.
Beaucoup de femmes ont peur de la secrétaire de leur mari, avec elle aucun soucis et de toutes les façons je ne suis pas en couple. Thérèse est assez grande, surtout pour sa génération, 1m70; malgré ses 55 ans bien passés elle a un corps fin et très proportionné. Ce qui la dessert c’est son visage triste et sévère mais aussi ses cheveux gris toujours très tirés et attachés en chignon.
Dans la société tout le monde est sur qu’elle est vierge, elle n’a jamais été marié et personne ne lui a jamais connu de relation avec un homme, ou même une femme, depuis qu’elle a commencé dans cette société il y a 32 ans. Peut être que le sexe ne l’intéresse pas tout simplement!
Ces 3 dernières semaines nous avons eu un travail de fou, presque tous les soirs Thérèse et moi dinions dans mon bureau et restions travailler jusqu’à 22h passées. Pendant nos petits pauses j’ai essayé d’en savoir un peu plus sur sa vie privée mais elle reste toujours aussi discrète.
Avec nos horaires de fou, je n’ai eu du temps pour rien d’autre que le boulot et pour ne rien arranger ce matin le boss nous a encore rajouté des dossiers ce qui va nous faire encore au moins 10 jours à ce rythme de fou. La seule chose qui nous motive, Thérèse et moi, c’est les heures supplémentaires.
Il est 19h30, les bureaux sont désert. Ma secrétaire part nous commander 2 plats dans le resto du coin. Les couilles trop pleines j’en profite pour me mettre une vidéo sur mon ordi et me branler en même temps. Sur mon écran un black, plutôt très bien monté, ramone une chatte rousse alors qu’un autre lui défonce le cul en même temps.
Avec ma main gauche je monte et descends le long de ma tige depuis plusieurs minutes, de temps en temps je me caresse aussi les couilles. Sur l’écran maintenant ils sont tous les deux dans sa chatte et en rentre et sorte par alternance quand la porte de mon bureau s’ouvre.
C’est Thérèse qui revient déjà avec les plats! Je débande immédiatement (j’ai l’impression d’avoir été surpris par ma mère) et me cache au maximum mais j’ai pas pu arrêter le film. Elle pose le sac sur mon bureau et viens à côté de moi regarder l’écran.
Elle a les yeux rivés sur ces images, avec son air sévère je ne m’attendais pas à ça en plus la situation me refait bander. Mes jambes sont sous mon bureau mais j’ai toujours la queue dehors je recommence mes caresses. Tout d’un coup ma secrétaire pose sa main sur le dossier de mon fauteuil et le recule.
Ses yeux ne regarde plus l’écran mais mon sexe. Elle attrape une pochette en carton sur la table, j’ai peur qu’elle me tape avec mais au contraire elle la pose par terre. Puis elle soulève sa jupe droite juste au dessus de ses genoux avant de les poser sur la pochettes et se placer entre mes jambes.
Sa main vient remplacer la mienne le long de ma queue alors que son autre main me caresse les couilles. Son pouce est sous ma tige et appuies sur mon frein alors que ses autres doigts l’enserrent par dessus et glissent sur mes veines. Je ne résiste pas à ses caresses et ma bite reprend toute sa splendeur.
Son pouce quitte mon frein et glisse jusqu’à la base de mon sexe qu’elle met bien droit. Elle ouvre la bouche et tout en se penchant elle me dit:« Je sais que les hommes ont des besoins. »Je n’en reviens pas mais avant que j’ai le temps de répondre elle sort le bout de sa langue qu’elle pose sur mon frein et remonte vers mon gland pour en faire tout le tour. Puis elle remonte jusqu’à mon méat et récupère la petite goutte qui en sort.
Elle pose de nouveau sa langue, toujours avec la goutte dessus, sur mon frein et refait exactement pareil. Quand le bout de sa langue pointe dans mon urètre, cette fois, ses lèvres se pose sur mon champignon pour l’avaler et l’enserrer à sa base.
Thérèse commence à aspirer mon gland alors que ses mains s’activent toujours le long ma queue et sur mes couilles. J’ai du mal à croire que c’est ma secrétaire que tout le monde prend pour une vierge frigide qui me donne autant de plaisir. En tout cas elle est douée ça fait longtemps que l’on ne m’avait pas aussi bien sucé. J’ai hâte qu’elle avale toute ma tige.
Quand son aspiration s’arrête, elle recrache ma bite puis prend une grande inspiration avant de recoller sa langue sur mon frein. Cette fois elle le titille un moment et augment la pression de sa main dans laquelle elle tient une de mes couilles.
Puis elle recommence à monter vers mon gland, le gobe mais ce coup ci elle rentre environ la moitié de ma tige dans sa bouche avant de l’aspirer de nouveau. Maintenant pendant que sa langue danse le long de ma bite, de mes veines mais aussi sur mon frein et mon gland, elle a dans chaque main une de mes couilles et les tripotes comme elle le ferait avec des balles. C’est étrange mais pas du tout désagréable au contraire.
Elle relâche la pression de ses lèvres autour de ma queue et commence à monter ses lèvres, toujours collées à ma tige, jusqu’à la base de mon gland. Avec la lèvre inférieure elle appuie sur mon frein avant de se renfoncer mon sexe dans sa bouche. Puis elle remonte toujours sans sortir mon gland d’entre ses lèvres.
A chaque fois qu’elle me prend en bouche, elle avale un peu plus mon sexe mais elle n’arrive pas le rentrer entièrement. Je pose mes mains sur sa tête pour l’encourager mais aussi pour changer, de temps en temps, le rythme de ses mouvements sur ma bite.
Elle me suce divinement depuis un bon moment quand je sens que je suis au bord de l’orgasme. Je préfère la prévenir plutôt que de la prendre en traitre. Sa bouche quitte mon sexe alors que ses mains abandonnent mes couilles pour me branler à deux mains et elle me dit:« Il vaut mieux ne pas laisser de traces. »Et elle reprend sa pipe mais encore plus intensément, sa langue s’excite encore plus sur chacun de mes points sensibles.
Je n’arrive plus à me retenir, je sens mes couilles se congestionner et ma tige gonfler encore plus. Mes veines pulsent et je me vide par de longues giclées dans la bouche de Thérèse qui continue de me sucer en comprimant ses lèvres fermement autour de ma tige comme pour être sure de ne pas en perdre une goutte.
Quand mon sexe est ramolli et propre, elle se relève et arrange sa jupe. De sa poche elle sort un mouchoir en tissu avec lequel elle s’essuie la commissures des lèvres. Je la regarde faire tout en remballant mon matériel.
Une fois que je suis rhabillé, elle attrape le sac avec les repas et me dit comme si de rien était:« Il faut manger, ça va être froid ».
Je n’en reviens pas, Thérèse fait comme si de rien n’était. Franchement elle cache vraiment bien son jeu.
Je reprends doucement mes esprits et attaque mon plat. J’essaye d’en savoir plus sur elle en lui demandant si elle a été mariée, elle me répond simplement non. Je rajoute:« Mais vous avez quand même vécu en couple? » Elle me répond tout aussi simplement non.
Après un long moment de silence elle me dit qu’a 20 ans elle a été fiancée au meilleur des hommes mais que 3 semaines avant leur mariage il est décédé d’un accident de voiture. Comme elle n’a jamais cessé de l’aimer aucun autre homme ne l’a plus intéressé.
J’ai de la peine pour elle, j’aimerai lui demander pourquoi elle m’a sucé mais je n’ose pas. Je vais quand même avoir ma réponse car après avoir fini de manger dans un silence d’église elle me dit:« Quand je vous ai vu derrière votre bureau en revenant du restaurant, j’ai d’abord cru voir Gerard et ensuite je n’ai pas réfléchi. »Je suis un peu gêné, je rougis même et nous reprenons le travail.
Tous les soirs qui ont suivi avant que Thérèse parte nous chercher à manger, elle m’a sucé mais ne m’a jamais laissé aller plus loin ou même la toucher. Par contre tous les soirs elle s’est un peu plus confié à moi sur son Gérard mais aussi le temps qu’elle avait perdu.
Quand on a enfin fini de traiter tous les nouveaux dossiers et que nous avons repris des horaires normaux je l’ai invité un vendredi à venir manger chez moi pour la remercier à ma façon mais ça sera une autre histoire…
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