Ma vie sexuelle complètement chamboulée
Récit érotique écrit par annietv [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie sexuelle complètement chamboulée
Ce que je venais de vivre était si intense que j'avais hâte de revoir Ben et goûter avec lui à d'autres plaisirs. Je retournerai à l'hôtel que dans 2 jours (je faisais 3 jours par semaine). Mes pensées se focalisaient sur son sexe et son sperme que j'avais adoré. Sentir vibrer sa queue raide dans ma bouche, sentir les jets de sperme tapisser mon palet et ma gorge, le goût de son sperme avalé doucement envahissaient ma tête. Je me mis à faire des recherches sur la fellation et la sodomie.
Sur la fellation, je découvris les bienfaits de la gorge profonde dont les hommes raffolent et je me disais que la prochaine fois j'essaierais avec Ben. Sur la sodomie, c'était un peu plus compliqué, car il fallait être propre, ce qui nécessitait un lavement. Aussi je décidais de ne rien manger avant notre prochaine rencontre. J'achetais en pharmacie, une poire à lavement au cas où j'en aurais besoin. Mais ma crainte était la douleur qu'une sodomie pouvait occasionner ,aussi je me mis à utiliser des carottes pour commencer à travailler mon anus. J'avais sélectionné plusieurs tailles en diamètre de carottes et avec un peu d'huile et je me sodomisais avec ce légume. La nuit précédant ma soirée de travail, je me suis endormi avec la carotte plantée dans mon anus, mais le matin elle avait quitté le logement et je la retrouvais gisante dans mon lit. Je me suis dit s'il veut me sodomiser ce soir ce ne sera pas gagné. Toute la journée je n'ai pensé qu'à cela.
Enfin à 17h30, je quittais mon domicile et partais au travail. 19h00 j'étais à mon poste après le débriefing du patron de l'hôtel.
C'est à 20h00 que je voyais Ben arriver tout sourire, moi angoissé comme jamais. Il vint me voir et me dit qu'il avait un repas ce soir, il ne rentrerait que vers minuit et que nous pourrions nous voir après dans sa chambre. Je bouquinais pour passer le temps et plus le temps avance plus j'avais une boule au ventre. Je me posais plein de questions sur la sodomie, comment cela allait se passer, aurais-je mal, serais-je à la hauteur des désirs de mon amant...
Minuit passée, pas de Ben, ce n'est qu'à 1h10 qu'il arrivait. Ayant fermé l'hôtel, il sonna, je lui ouvris, il me roula une pelle et me dit « au boulot ma chérie, j'ai trop envie de toi », en me mettant la main aux fesses et il prit l'ascenseur. Ni une, ni deux je pose le talkie-walkie et emmène le second avec moi, direction le dernier étage et la chambre de Ben. Il m'attendait à poil sur le lit. Il me dit de me mettre nu et de le rejoindre sur le lit.
Il avait envie de moi, il me parlait de mon petit cul tout aussi mignon que ma petite queue, qu'il serait ravi de me dépuceler...
De fil en aiguille, nous nous retrouvames en position 69 chacun suçant la bite de l'autre. N'ayant pas eu recours à la masturbation en moins de 2 minutes, je jouissais dans sa bouche. Je continuais à le sucer malgré ma rapidité de jouissance, ce qu'il me fit remarquer en me disant que j'étais très chaude ce soir et en commençant à me travailler l'anus. Il me fit un anilinctus en enfonçant sa langue dedans puis en me le travaillant avec 1 doigt puis 2 puis 3. Je me sentais dilaté en ayant un peu mal à trois doigts quand il les remuait, mais supportable. Parfois il faut savoir souffrir pour plaire.
Il me faisait alterner suçage et léchage de sa queue, me demandait de gober ses couilles l'une après l'autre. Etant très occupé à ce qu'il me demandait, il pouvait me travailler l'orifice tranquillement et comme il le souhaitait avec l'aide d'un gel. Puis me sentant prêt, il me fit mettre à 4 pattes sur le lit, me fit cambrer les fesses et présenta son gland à l'anus. Par petite pression en me caressant les fesses et les tétons, il m'ouvrit peu à peu. Soudain sur une pression un peu plus forte, son gland entra, ce qui me fit crier de douleur et il mit sa main sur ma bouche pour atténuer les cris. Il resta un moment ainsi en me pelotant et reprit sa progression. Mon anus ouvert, il ne lui restait plus qu'à me pénétrer profondément. J'étais sa femelle, mon mâle me sodomisait en allant et venant dans mon intestin tout propre.
Une claque sur les fesses fut le départ d'une sodomie durant laquelle il entrait et sortait de mon cul qui se sentait vide puis plein, vide à nouveau, puis à nouveau plein. J'ai adoré cette sensation de lui appartenir, d'être sa femelle. Un plaisir intense m'envahit jusqu'à ce qu'il décharge sa semence en moi dans un râle puissant de mâle. Oublié la douleur, place au plaisir.
Il se retira, mon sphincter se referma et un peu de sperme coula entre mes fesses et le long de ma jambe droite. Je lui faisais part de mon bonheur d'être dépucelé et en guise de récompense il me fit nettoyer sa bite avec ma bouche et je pus à nouveau goûter son sperme.
Avant de nous quitter, il me dit que la prochaine il me faudrait aussi le sodomiser. Je reprenais mon poste, fatigué, mais heureux de mes 2 heures passées avec Ben et surtout être prêt à recommencer tellement ce fut bon. Je gardais en moi sa semence en serrant les fesses. Je ne m'en suis séparé que le lendemain matin aux toilettes. Encore 2 jours à attendre pour être avec lui.
Hâte d'être à nouveau sodomisé, je me doigtais pour voir comment mon anus réagissait. Je ne pensais plus qu'à Ben et son sexe, j'avais envie de l'avoir en moi, de combler cette impression de vide dans mon ventre. J'ai commencé à me masturber avec une carotte plantée au fond de mes entrailles, ce qui décuplait mes envies de jouissance.
Le lendemain soir arrivé à l'hôtel, mon patron me tendit une enveloppe à mon prénom avec un petit sourire en me disant que c'était de la part de Ben. Je rougis ne sachant où me mettre et en espérant qu'il ne savait rien de moi et Ben. Je l'ouvris et trouvais un petit mot succinct « viens dans ma chambre à 23h30, un cadeau t'attend ». J'en étais tout excité.
Le temps s'est mis à défiler tout doucement et j'ai égrainé les minutes lorsqu'enfin 23h30 arriva. Je me dépêchais de tout mettre en ordre : sonnette et talkie-walkie, et je montais dans la chambre. Il était sous la douche et me dit de prendre le paquet qui était sur le lit. Je l'ouvris et découvris un bijou anal (rosebud pierre rouge) et une petite culotte en dentelle noire avec un petit mot : « après chaque fécondation, tu mettras le rosebud pour garder en toi la semence et la culotte noire ». Il était clair qu'il voulait que je garde sa semence en moi le plus longtemps que possible.
Lorsqu'il apparut entièrement nu, il me demanda si j'avais aimé mon petit cadeau et je lui répondis par l'affirmatif en l'embrassant puis en le caressant, je me mis à genoux devant lui et pris son sexe en bouche, ce qui ne tarda pas à le mettre en forme, celui-ci triplant de volume et se raidissant. « Tu aimes la queue ma chérie ». C'était la seconde fois qu'il me parlait au féminin.
Nous nous jetâmes sur le lit, il se mit sur moi en 69 et me suça divinement mon petit sexe qui ne bandait que quelques instants puis me demanda de le prendre, il s'allongea sur le ventre et me présenta son postérieur. Je lui fis un anilinctus puis présenta mon sexe bandant à l'entrée de son puits d'amour. C'est rentré tout seul sans pression, mais ma queue n'étant pas très longue 12 centimètres en érection, la pénétration était peu profonde. Je me mis à gesticuler. Ce n'était pas du tout comme lui, à grand coup de bite, loin de là, j'en étais incapable du fait de la dimension de mon sexe en érection.
Et après 2 ou 3 minutes j'ai joui en lui, à peine débandé mon sexe était déjà sorti de son anus. Nous nous sommes allongés côte à côte, il m'a demandé si j'avais aimé et je lui dis que oui. Il me dit que j'étais fait pour être passif et qu'avec mon petit pénis il était illusoire de faire jouir quelqu'un avec. Le verdict était tombé : fait pour recevoir et non pour donner.
Il me demanda de venir m'empaler sur son sexe qui lui bandait fort, ce que je fis avec plaisir et me fis glisser le long de verge, mon cul coulissant sur elle jusqu'à ce qu'il me plaque le bassin contre lui, son sexe me pénétrant totalement et me fécondant à grandes giclées de semence. Il me libéra et me demanda de mettre le rosebud et la culotte, ce que je fis. Nous nous quittâmes après un langoureux baiser.
Trois semaines passèrent ainsi, Ben me baisait 3 jours par semaine. Je lui prodiguais des fellations et lui offrais mon cul à la sodomie. Quant à moi de temps en temps il me suçait jusqu'à l'éjaculation ou je me branlais, empalé sur sa queue.
Je reçus un message de Ben me demandant d'être libre le vendredi soir, il m'expliquerait demain soir. N'ayant rien de prévu et ne travaillant pas j'étais libre.
Après m'avoir bien baisé, il me parla de la soirée de vendredi qui se passera chez un de ses amis Jean-Paul, il y aura également Patrick, Slimani et lui, tous homosexuels actifs et passifs. Je lui fis remarquer qu'il s'agissait d'une partouze, il me répondit par l'affirmatif en me disant qu'ils se voyaient très régulièrement pour baiser ensemble. Je ne devais pas oublier mon rosebud et ma culotte en dentelle ainsi que ma toilette intime impeccable pour être présenté à ses amis.
Sur la fellation, je découvris les bienfaits de la gorge profonde dont les hommes raffolent et je me disais que la prochaine fois j'essaierais avec Ben. Sur la sodomie, c'était un peu plus compliqué, car il fallait être propre, ce qui nécessitait un lavement. Aussi je décidais de ne rien manger avant notre prochaine rencontre. J'achetais en pharmacie, une poire à lavement au cas où j'en aurais besoin. Mais ma crainte était la douleur qu'une sodomie pouvait occasionner ,aussi je me mis à utiliser des carottes pour commencer à travailler mon anus. J'avais sélectionné plusieurs tailles en diamètre de carottes et avec un peu d'huile et je me sodomisais avec ce légume. La nuit précédant ma soirée de travail, je me suis endormi avec la carotte plantée dans mon anus, mais le matin elle avait quitté le logement et je la retrouvais gisante dans mon lit. Je me suis dit s'il veut me sodomiser ce soir ce ne sera pas gagné. Toute la journée je n'ai pensé qu'à cela.
Enfin à 17h30, je quittais mon domicile et partais au travail. 19h00 j'étais à mon poste après le débriefing du patron de l'hôtel.
C'est à 20h00 que je voyais Ben arriver tout sourire, moi angoissé comme jamais. Il vint me voir et me dit qu'il avait un repas ce soir, il ne rentrerait que vers minuit et que nous pourrions nous voir après dans sa chambre. Je bouquinais pour passer le temps et plus le temps avance plus j'avais une boule au ventre. Je me posais plein de questions sur la sodomie, comment cela allait se passer, aurais-je mal, serais-je à la hauteur des désirs de mon amant...
Minuit passée, pas de Ben, ce n'est qu'à 1h10 qu'il arrivait. Ayant fermé l'hôtel, il sonna, je lui ouvris, il me roula une pelle et me dit « au boulot ma chérie, j'ai trop envie de toi », en me mettant la main aux fesses et il prit l'ascenseur. Ni une, ni deux je pose le talkie-walkie et emmène le second avec moi, direction le dernier étage et la chambre de Ben. Il m'attendait à poil sur le lit. Il me dit de me mettre nu et de le rejoindre sur le lit.
Il avait envie de moi, il me parlait de mon petit cul tout aussi mignon que ma petite queue, qu'il serait ravi de me dépuceler...
De fil en aiguille, nous nous retrouvames en position 69 chacun suçant la bite de l'autre. N'ayant pas eu recours à la masturbation en moins de 2 minutes, je jouissais dans sa bouche. Je continuais à le sucer malgré ma rapidité de jouissance, ce qu'il me fit remarquer en me disant que j'étais très chaude ce soir et en commençant à me travailler l'anus. Il me fit un anilinctus en enfonçant sa langue dedans puis en me le travaillant avec 1 doigt puis 2 puis 3. Je me sentais dilaté en ayant un peu mal à trois doigts quand il les remuait, mais supportable. Parfois il faut savoir souffrir pour plaire.
Il me faisait alterner suçage et léchage de sa queue, me demandait de gober ses couilles l'une après l'autre. Etant très occupé à ce qu'il me demandait, il pouvait me travailler l'orifice tranquillement et comme il le souhaitait avec l'aide d'un gel. Puis me sentant prêt, il me fit mettre à 4 pattes sur le lit, me fit cambrer les fesses et présenta son gland à l'anus. Par petite pression en me caressant les fesses et les tétons, il m'ouvrit peu à peu. Soudain sur une pression un peu plus forte, son gland entra, ce qui me fit crier de douleur et il mit sa main sur ma bouche pour atténuer les cris. Il resta un moment ainsi en me pelotant et reprit sa progression. Mon anus ouvert, il ne lui restait plus qu'à me pénétrer profondément. J'étais sa femelle, mon mâle me sodomisait en allant et venant dans mon intestin tout propre.
Une claque sur les fesses fut le départ d'une sodomie durant laquelle il entrait et sortait de mon cul qui se sentait vide puis plein, vide à nouveau, puis à nouveau plein. J'ai adoré cette sensation de lui appartenir, d'être sa femelle. Un plaisir intense m'envahit jusqu'à ce qu'il décharge sa semence en moi dans un râle puissant de mâle. Oublié la douleur, place au plaisir.
Il se retira, mon sphincter se referma et un peu de sperme coula entre mes fesses et le long de ma jambe droite. Je lui faisais part de mon bonheur d'être dépucelé et en guise de récompense il me fit nettoyer sa bite avec ma bouche et je pus à nouveau goûter son sperme.
Avant de nous quitter, il me dit que la prochaine il me faudrait aussi le sodomiser. Je reprenais mon poste, fatigué, mais heureux de mes 2 heures passées avec Ben et surtout être prêt à recommencer tellement ce fut bon. Je gardais en moi sa semence en serrant les fesses. Je ne m'en suis séparé que le lendemain matin aux toilettes. Encore 2 jours à attendre pour être avec lui.
Hâte d'être à nouveau sodomisé, je me doigtais pour voir comment mon anus réagissait. Je ne pensais plus qu'à Ben et son sexe, j'avais envie de l'avoir en moi, de combler cette impression de vide dans mon ventre. J'ai commencé à me masturber avec une carotte plantée au fond de mes entrailles, ce qui décuplait mes envies de jouissance.
Le lendemain soir arrivé à l'hôtel, mon patron me tendit une enveloppe à mon prénom avec un petit sourire en me disant que c'était de la part de Ben. Je rougis ne sachant où me mettre et en espérant qu'il ne savait rien de moi et Ben. Je l'ouvris et trouvais un petit mot succinct « viens dans ma chambre à 23h30, un cadeau t'attend ». J'en étais tout excité.
Le temps s'est mis à défiler tout doucement et j'ai égrainé les minutes lorsqu'enfin 23h30 arriva. Je me dépêchais de tout mettre en ordre : sonnette et talkie-walkie, et je montais dans la chambre. Il était sous la douche et me dit de prendre le paquet qui était sur le lit. Je l'ouvris et découvris un bijou anal (rosebud pierre rouge) et une petite culotte en dentelle noire avec un petit mot : « après chaque fécondation, tu mettras le rosebud pour garder en toi la semence et la culotte noire ». Il était clair qu'il voulait que je garde sa semence en moi le plus longtemps que possible.
Lorsqu'il apparut entièrement nu, il me demanda si j'avais aimé mon petit cadeau et je lui répondis par l'affirmatif en l'embrassant puis en le caressant, je me mis à genoux devant lui et pris son sexe en bouche, ce qui ne tarda pas à le mettre en forme, celui-ci triplant de volume et se raidissant. « Tu aimes la queue ma chérie ». C'était la seconde fois qu'il me parlait au féminin.
Nous nous jetâmes sur le lit, il se mit sur moi en 69 et me suça divinement mon petit sexe qui ne bandait que quelques instants puis me demanda de le prendre, il s'allongea sur le ventre et me présenta son postérieur. Je lui fis un anilinctus puis présenta mon sexe bandant à l'entrée de son puits d'amour. C'est rentré tout seul sans pression, mais ma queue n'étant pas très longue 12 centimètres en érection, la pénétration était peu profonde. Je me mis à gesticuler. Ce n'était pas du tout comme lui, à grand coup de bite, loin de là, j'en étais incapable du fait de la dimension de mon sexe en érection.
Et après 2 ou 3 minutes j'ai joui en lui, à peine débandé mon sexe était déjà sorti de son anus. Nous nous sommes allongés côte à côte, il m'a demandé si j'avais aimé et je lui dis que oui. Il me dit que j'étais fait pour être passif et qu'avec mon petit pénis il était illusoire de faire jouir quelqu'un avec. Le verdict était tombé : fait pour recevoir et non pour donner.
Il me demanda de venir m'empaler sur son sexe qui lui bandait fort, ce que je fis avec plaisir et me fis glisser le long de verge, mon cul coulissant sur elle jusqu'à ce qu'il me plaque le bassin contre lui, son sexe me pénétrant totalement et me fécondant à grandes giclées de semence. Il me libéra et me demanda de mettre le rosebud et la culotte, ce que je fis. Nous nous quittâmes après un langoureux baiser.
Trois semaines passèrent ainsi, Ben me baisait 3 jours par semaine. Je lui prodiguais des fellations et lui offrais mon cul à la sodomie. Quant à moi de temps en temps il me suçait jusqu'à l'éjaculation ou je me branlais, empalé sur sa queue.
Je reçus un message de Ben me demandant d'être libre le vendredi soir, il m'expliquerait demain soir. N'ayant rien de prévu et ne travaillant pas j'étais libre.
Après m'avoir bien baisé, il me parla de la soirée de vendredi qui se passera chez un de ses amis Jean-Paul, il y aura également Patrick, Slimani et lui, tous homosexuels actifs et passifs. Je lui fis remarquer qu'il s'agissait d'une partouze, il me répondit par l'affirmatif en me disant qu'ils se voyaient très régulièrement pour baiser ensemble. Je ne devais pas oublier mon rosebud et ma culotte en dentelle ainsi que ma toilette intime impeccable pour être présenté à ses amis.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci beaucoup
Cc Annie je suis une trav du Finistère, je me suis permis de regarder tes deux blogs et tes vidéos, j'adore ton style ma belle , a chacun de tes récits je lirai avk grand plaisir je te fais pleins de gros bisous
Hummmmmm !!!!!!!!!! J'aimerais bien être à ta place ma belle
c'est ce que j'ai vecu
Très belle histoire JM beaucoup tes récits , si c'est juste des récits c'est très excitant , mais si tu as vraiment vécu ça m'a belle Annie , dommage kil n'y a pas de photos ni de vidéo