Ma vie sexuelle de travesti 13
Récit érotique écrit par annietv [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie sexuelle de travesti 13
CH 13 : Les bienfaits et les inconvénients de la chasteté.
Les côtés positifs de la chasteté me rapprochaient davantage de Paul, je me sentais si bien auprès de lui. Il était devenu mon guide. J’avais besoin de lui, de ses mains sur moi, de son sexe dans mes entrailles et j’aimais le sentir jouir en moi. Ne pouvant plus jouir, je transférais le besoin de jouir dans sa propre jouissance. C’est tout de même une curieuse sensation de se sentir satisfaite comme si on avait joui or qu’il n’en était rien. J’ai eu beaucoup de mal à supporter la cage les huit premières semaines. J’attendais impatiemment le vendredi qui me permettait de me vider les couilles. Quand je suis arrivée à 1 masturbation par mois, mes envies d’éjaculation sont devenues plus rares et comme Paul m’utilisait régulièrement, cela m’aidait à attendre. A la branlette trimestrielle, j’ai cru que je n’allais plus pouvoir éjaculer, j’avais l’impression de ne plus avoir envie d’éjaculer. Lors des sodomies, je mouillais de plus en plus de mon clito et parfois je coulais un mélange de mouille et de sperme. Mon conduit anal réclamait de plus en plus de sodomies, il avait besoin d’être rempli régulièrement. Mes envies d’éjaculations étaient en train d’être substituées par mes envies d’être remplie et je devais porter en permanence un plug anal ou un rosebud pour le plus grand bonheur de Paul. Encagée en permanence, rendait mon corps hypersensible lorsque l’on posait ses mains, lorsqu’une queue se frayait un passage entre mes fesses, mes tétons se dressaient en permanence. Je goutais à des plaisirs que je ne connaissais pas avant l’encagement. De plus comme je ne pouvais plus jouir, j’étais dans un état d’excitation permanent et me montrais de plus en plus endurant lors des séances de sexe. La seule limite était musculaire mais mon anus et ma bouche pouvaient être utilisés 24heures sur 24 ce qui plaisait à Paul. Avoir une femelle disponible et excitée dès qu’il en avait besoin.
Bien sûr je perdais un pan entier de ma masculinité et du plaisir de jouir avec ma queue mais je découvrais d’autres plaisirs tout aussi intenses et agréables et puis ma petite queue ne me permettait d’éprouver autant de plaisir que pour un vrai homme et je jouissais à 90% par la masturbation, ma masculinité n’était pas des plus viril. Je devenais moi-même peu à peu et l’abstinence croissant me faisait découvrir ce que j’étais depuis toujours : une lope, une femelle avide de sexes males. Paul réalisait son fantasme d’avoir une femelle docile, obéissante, toujours prête à lui donner du plaisir, à satisfaire ses demandes. Il me baisait comme un dieu, plus il le faisait plus j’en avais besoin. Quand il me fécondait, j’étais heureuse. Je sentais sa semence envahir un ventre, j’imaginais les spermatozoïdes s’éparpillant dans mon intestin. Je gardais sa semence en moi à l’aide de plugs. Je suis devenue au fil des semaines puis des mois : Sa femelle. Je ne pouvais plus me passer de son sexe. Parfois c’était dur car il souhaitait aussi satisfaire sa femme et s’interdisait de me baiser plusieurs fois ces jours-là. Paul est devenu mon gourou, mon guide, il m’a tant appris et m’a fait découvrir ma vraie personnalité à la suite de Ben. Je suis devenue sa petite chose soumise.
Sur le plan scolaire, mon niveau a baissé. L’esprit occupé exclusivement au sexe et ma cage de chasteté que je devais dissimuler, mon corps qui se transformait n’aidait pas aux études et je me contentais de résultats moyens, sans plus.
J’eus une convocation pour passer la visite médicale à l’école et j’ai alors demandé à Paul de m’enlever la cage durant cette journée spéciale, ce qu’il refusa catégoriquement me disant que mon éducation était bien plus importante qu’une simple visite médicale. J’étais désemparée, le jour arriva et je ne me suis pas présentée à l’école et me portais malade. Néanmoins je reçus une seconde convocation pour le contrôle médical dans un lycée proche et ne connaissant pas grand monde j’y allais après avoir mis dans ma culotte en coton blanc (port accepté par Paul) et un peu de papier pour cacher ma cage. Nous devions nous présenter en slip devant la doctoresse. Elle remarqua la prédominance de la bosse au niveau du sexe et me dit :
(Doctoresse) : « ce n’est pas la peine de gonfler avec du papier la taille de votre sexe, enlevez-moi ça »
Je me sentais couverte de honte et ôtais le papier. Elle put constater que je portais une cage (le cadenas déformant ma culotte était bien visible).
(Doctoresse) : « attention cher jeune homme pour votre santé il faut que vous jouissiez régulièrement donc ce genre de dispositif est à utiliser avec précaution, parlez en a votre copine ».
Je me rhabillais très rapidement et partis sans demander mon reste mais quelle honte devant cette femme.
J’en parlais le soir même à Paul et il me rassura car la semence continuerait à s’écouler et ne resterai pas bloquée dans mes coucougnettes. Quand je lui fis part de la honte que j’avais ressenti, il explosa de rire et me dis que je devais accepter ce que j’étais et pas autre chose qu’une femelle et ce devant tout le monde même mes parents. Au moins c’était clair et net.
Porter une cage pose quelques problèmes. Il est très difficile, voire impossible de la dissimuler à 100% et je perdais progressivement toute virilité, une castration lente mais progressive que j’acceptais cependant avec une certaine fierté.
Les côtés positifs de la chasteté me rapprochaient davantage de Paul, je me sentais si bien auprès de lui. Il était devenu mon guide. J’avais besoin de lui, de ses mains sur moi, de son sexe dans mes entrailles et j’aimais le sentir jouir en moi. Ne pouvant plus jouir, je transférais le besoin de jouir dans sa propre jouissance. C’est tout de même une curieuse sensation de se sentir satisfaite comme si on avait joui or qu’il n’en était rien. J’ai eu beaucoup de mal à supporter la cage les huit premières semaines. J’attendais impatiemment le vendredi qui me permettait de me vider les couilles. Quand je suis arrivée à 1 masturbation par mois, mes envies d’éjaculation sont devenues plus rares et comme Paul m’utilisait régulièrement, cela m’aidait à attendre. A la branlette trimestrielle, j’ai cru que je n’allais plus pouvoir éjaculer, j’avais l’impression de ne plus avoir envie d’éjaculer. Lors des sodomies, je mouillais de plus en plus de mon clito et parfois je coulais un mélange de mouille et de sperme. Mon conduit anal réclamait de plus en plus de sodomies, il avait besoin d’être rempli régulièrement. Mes envies d’éjaculations étaient en train d’être substituées par mes envies d’être remplie et je devais porter en permanence un plug anal ou un rosebud pour le plus grand bonheur de Paul. Encagée en permanence, rendait mon corps hypersensible lorsque l’on posait ses mains, lorsqu’une queue se frayait un passage entre mes fesses, mes tétons se dressaient en permanence. Je goutais à des plaisirs que je ne connaissais pas avant l’encagement. De plus comme je ne pouvais plus jouir, j’étais dans un état d’excitation permanent et me montrais de plus en plus endurant lors des séances de sexe. La seule limite était musculaire mais mon anus et ma bouche pouvaient être utilisés 24heures sur 24 ce qui plaisait à Paul. Avoir une femelle disponible et excitée dès qu’il en avait besoin.
Bien sûr je perdais un pan entier de ma masculinité et du plaisir de jouir avec ma queue mais je découvrais d’autres plaisirs tout aussi intenses et agréables et puis ma petite queue ne me permettait d’éprouver autant de plaisir que pour un vrai homme et je jouissais à 90% par la masturbation, ma masculinité n’était pas des plus viril. Je devenais moi-même peu à peu et l’abstinence croissant me faisait découvrir ce que j’étais depuis toujours : une lope, une femelle avide de sexes males. Paul réalisait son fantasme d’avoir une femelle docile, obéissante, toujours prête à lui donner du plaisir, à satisfaire ses demandes. Il me baisait comme un dieu, plus il le faisait plus j’en avais besoin. Quand il me fécondait, j’étais heureuse. Je sentais sa semence envahir un ventre, j’imaginais les spermatozoïdes s’éparpillant dans mon intestin. Je gardais sa semence en moi à l’aide de plugs. Je suis devenue au fil des semaines puis des mois : Sa femelle. Je ne pouvais plus me passer de son sexe. Parfois c’était dur car il souhaitait aussi satisfaire sa femme et s’interdisait de me baiser plusieurs fois ces jours-là. Paul est devenu mon gourou, mon guide, il m’a tant appris et m’a fait découvrir ma vraie personnalité à la suite de Ben. Je suis devenue sa petite chose soumise.
Sur le plan scolaire, mon niveau a baissé. L’esprit occupé exclusivement au sexe et ma cage de chasteté que je devais dissimuler, mon corps qui se transformait n’aidait pas aux études et je me contentais de résultats moyens, sans plus.
J’eus une convocation pour passer la visite médicale à l’école et j’ai alors demandé à Paul de m’enlever la cage durant cette journée spéciale, ce qu’il refusa catégoriquement me disant que mon éducation était bien plus importante qu’une simple visite médicale. J’étais désemparée, le jour arriva et je ne me suis pas présentée à l’école et me portais malade. Néanmoins je reçus une seconde convocation pour le contrôle médical dans un lycée proche et ne connaissant pas grand monde j’y allais après avoir mis dans ma culotte en coton blanc (port accepté par Paul) et un peu de papier pour cacher ma cage. Nous devions nous présenter en slip devant la doctoresse. Elle remarqua la prédominance de la bosse au niveau du sexe et me dit :
(Doctoresse) : « ce n’est pas la peine de gonfler avec du papier la taille de votre sexe, enlevez-moi ça »
Je me sentais couverte de honte et ôtais le papier. Elle put constater que je portais une cage (le cadenas déformant ma culotte était bien visible).
(Doctoresse) : « attention cher jeune homme pour votre santé il faut que vous jouissiez régulièrement donc ce genre de dispositif est à utiliser avec précaution, parlez en a votre copine ».
Je me rhabillais très rapidement et partis sans demander mon reste mais quelle honte devant cette femme.
J’en parlais le soir même à Paul et il me rassura car la semence continuerait à s’écouler et ne resterai pas bloquée dans mes coucougnettes. Quand je lui fis part de la honte que j’avais ressenti, il explosa de rire et me dis que je devais accepter ce que j’étais et pas autre chose qu’une femelle et ce devant tout le monde même mes parents. Au moins c’était clair et net.
Porter une cage pose quelques problèmes. Il est très difficile, voire impossible de la dissimuler à 100% et je perdais progressivement toute virilité, une castration lente mais progressive que j’acceptais cependant avec une certaine fierté.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Dis moi Annie tu nous as habitué a mieux pour tes délires sexuels , tu peux mieux faire largement mieux faire , au début quand je lisais tes histoires J'avais une érection , t'aurais aimé l'avoir en bouche , la tes dernières histoires sont pas terribles
C'est dommage que tu ne répondes plus aux messages qu'on t'envoie, moi je fantasmes sur toi , dommage que tu mets plus de vidéo et de photos sur les sites où tu est , Annie Sylvie tu étais une bonne salope que j'aimais bien