Mavie sexuelle de travesti 12 r
Récit érotique écrit par annietv [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mavie sexuelle de travesti 12 r
CH 12 : Début d’éducation (la chasteté)
Nous continuions à converser et Paul m’avait établi un programme. Nous nous verrions les lundis, mercredis et vendredis soir, et parfois le dimanche soir. Etant marié, il ne pouvait se libérer davantage. Tous les jours, il m’ordonnait les vêtements et sous-vêtements que je devais porter. Le port du plug était quotidien, cependant je ne devais jamais porter de culotte. Bas, porte jarretelles et soutien-gorge étaient souvent présents sous mes vêtements de garçon. Il m’obligeait à vérifier l’état de mon pénis, photos à l’appui. Tous les matins, je devais attendre pour faire mon pipi son ordre et faisais dans un bol que je devais ensuite boire. Un jour il m’a demandé d’aller dans un sexshop, d’acheter un plug anal gonflable et de le mettre tous les matins avant de faire pipi. Après ces quelques tests, il m’annonça que ses visites allaient commencer le lundi suivant et que ma docilité de petite chienne lui plaisait beaucoup.
Le lundi, je me dépêchais de rentrer à la chambre puisqu’il devait arriver à 18h00, pour me préparer. Je devais mettre porte jarretelle, bas, escarpins, soutien-gorge, perruque et me maquiller comme une pute. Je devais l’attendre à genoux derrière la porte ouverte mains sur la tête en regardant le sol. J’ai eu la peur de ma vie, épiant chaque bruit du couloir, de peur de voir un étudiant ou un prof dans celui-ci. L’angoisse fut à son comble quand j’entendis marcher, heureusement c’était lui. Quand il entra, laissant la porte grande ouverte, il me demanda de m’allonger sur le lit. Ce que je fis.
(Paul) : « je vais te poser une cage de chasteté pour ne plus voir cette horrible chose qui pendouille entre tes jambes »
Il me posa la cage de chasteté, vérifia que le cadenas était bien fermé et accrocha les 2 clés à sa chaine en argent qui pendait autour de son coup.
(Paul) : « elle te va à ravir, maintenant je suis sûr que ce sera fini tes petites branlettes. Je l’enlèverai lorsque je l’aurai décidé. As-tu quelque chose à ajouter ? »
(Moi) : « je ne peux pas l’enlever même s’il y a un impératif, et pour l’hygiène comment je fais ? »
(Paul) : « Un impératif tu te débrouilles pour la cacher, pour l’hygiène il y a une notice pour l’entretien et comment nettoyer ta ridicule petite bite. Je te conseille de mettre des pantalons larges style jogging car les pantalons moulants vont faire des pressions trop fortes sur ton service 3 pièces même s’il est en partie atrophié. »
(Moi) : « mais quand pourrai-je jouir ? »
(Paul) : « tu es ma femelle maintenant c’est moi qui décide sur la fréquence de tes branlettes, 5 jours,5 semaines, 5 mois, ou bien 2 ans. Tout dépend de toi et de ta docilité. Mais tu verras c’est un bien pour toi, tu me remercieras. Allez ma femelle vient me sucer maintenant que tu es équipée. »
Je m’installai entre ses jambes et lui fis une pipe. J’étais un peu gênée avec le paquet que formait la cage, mes coucougnettes et mon clito. Ce n’était qu’un début mais lorsqu’il m’a enculé, mon sexe s’est mis à vouloir bander et là j’ai eu très mal avec la pression qui se faisait dans la cage. En plus, pendant la sodomie, il me triturait le paquet en tirant dessus ou en le tordant. J’en ai crié de douleur heureusement qu’il avait fermé la porte après la pipe. Il m’avait rempli la bouche, lors de la première rencontre de son sperme mais j’ai eu l’impression qu’il me remplissait tout autant mon ventre quand il me féconda. Je retrouvais le plaisir d’antan quand Ben me sautait et la queue de Paul était presque pareil en longueur et en largeur. Après lui avoir nettoyé sa bite, il se rhabilla et me dit :
(Paul) : « je te laisse et te dis à mercredi soir. Soit prête à l’heure je n’aurai peut-être pas beaucoup de temps à te consacrer. Je vais arriver à faire de toi quelque chose »
Sur ces mots il claqua la porte me laissant, sans pouvoir dire quoique ce soit, et encagée.
Le soir même je reçus un message pour mes vêtements du lendemain. Bas, porte jarretelles, et soutien-gorge et bien sûr pluggée.
La première nuit fut agitée, n’arrivant pas à trouver une bonne position pour dormir, mais ce fut la journée durant laquelle j’ai énormément souffert. En effet, la cage CB 6000 S est en polycarbonate rose et dur. La position assise est difficile à tenir, aussi j’ai dû m’assoir sur le bout de la chaise pour pouvoir supporter la pression. L’autre problème et ce n’était pas des moindres, était pour faire pipi. J’ai dû m’assoir, car impossible de canaliser le fluide dans la bonne direction et ensuite nettoyer avec du papier toilette la cage, ce qui n’est pas simple. Impossible également de croiser les jambes à cause des contraintes sur la cage.
Ne plus pouvoir jouir, toutes les contraintes du port de la cage s’étaient révélées très difficiles pour moi. Quand Paul m’a demandé de lui décrire ma journée, j’ai insisté sur ces points. Il en a ri, en me rappelant qu’il m’avait prévenu dès le début qu’une éducation de femelle n’était pas que de la jouissance et du plaisir. Il en conclut que je devais rester encagée un certain temps pour m’habituer au port de la cage et qu’il ne comprenait pas comment je pouvais encore branler avec une si petite queue qui ne servait à rien dans une relation sexuelle. Ne pouvant faire autrement que de subir, je devais prendre mon mal en patience et que lorsque je pourrais me branler ce serait le Zenith.
Le mercredi, j’ai vécu l’enfer. A la cantine je me suis assise un peu vite et j’ai cru qu’une de mes couilles avait explosée. Une douleur intense a duré une bonne partie de l’après-midi. Quelle conne j’étais, tout le monde me vit souffrir et se demandait ce qui se passait. Certains me proposant d’aller voir l’infirmière. J’ai cru m’évanouir, mais quelle souffrance ce qui m’a imposé de faire attention lorsque je m’assaillais. Depuis ce jour je me suis assise comme le faisait une fille avec beaucoup de délicatesse.
Aller aux toilettes et faire pipi assise ou accroupie comme une fille, m’assoir délicatement comme une fille, je me suis aperçue que mon éducation avait belle et bien commencé. Le mercredi soir Paul voulait que je l’attente entièrement nue, perruquée, maquillée et pluggée et bien sûr encagée, dans ma chambre face à la porte ouverte les yeux baissés.
Je me demandais s’il voulait me dénoncer à mon entourage car si quelqu’un me voyait ainsi c’en était fini des études ou autres.
Quand Paul arriva, il resta dans le couloir à me contempler et il prit quelques photos de moi ainsi exhibée. Il entra et claqua la porte.
(Paul) : « tu es pas mal comme ça petite salope, viens me sucer »
Il se planta devant moi, je levais les yeux au niveau de sa braguette, l’ouvris, sortis son sexe déjà bandé, il ne restait qu’à le prendre en bouche. Il me prit en photo pendant ma fellation en faisant des gros plans et il éjacula en 4 jets puissants m’arrosant le palet et le fond de ma gorge.
(Paul) : « ouvre la bouche avant d’avaler »
Et à nouveau une photo avant qu’il ne me donne le feu vert pour déglutir sa semence.
Il s’assit sur le lit pour que je lui fasse sa toilette, ce que je fis, sa queue était si bonne et sa semence moins salée que celle de Ben.
(Paul) : « alors qu’elle impression, que ressens tu ? »
(Moi) : « J’aime beaucoup vous sucer, j’aime votre sperme, je suis heureuse de vous avoir en bouche »
(Paul) : « et la cage ? »
(Moi) : « j’ai souffert mais ça va, j’espère m’habituer à la porter. Quand pourrai-je me branler ? »
(Paul) : « mais ça fait à peine 2 jours que tu la portes. Tu n’es tout de même pas déjà en manque. Je sais que tu te branlais 2 à 3 fois par jour, il faut que tu apprennes à ne plus jouir, au moins quelques temps. Allonge-toi sur le dos et met tes jambes sur mes épaules je veux te contempler quand je t’encule ».
Je m’exécutais et il m’enfila avec sa queue. A chaque coup de bite, ma cage bougeait entrainée par mon petit sexe et mes couilles. Cela lui plaisait beaucoup de voir un garçon dont le sexe était enfermé dans la cage. Mon clito coulait allégrement dans cette coquille. Les mouvements devinrent de plus en plus rapides et saccadés jusqu’à ce qu’il éjacule dans mon fondement. Dès qu’il se retira de mes fesses je me précipitai sur sa bite pour la nettoyer. J’étais dans un état d’excitation avancée mais il m’était impossible de jouir.
(Paul) : « bien ma petite salope, tu vois que suivre mes consignes ce n’est pas si difficile. Je suis content de toi. A vendredi 17h00. »
Il me quitta ainsi, me laissant le cul pluggé et rempli de son sperme.
Toute la nuit j’ai pensé au sexe et surtout au mien dans son écrin que je ne pouvais même plus toucher. Après 2 jours d’encagement je commençais à sérieusement avoir envie de me masturber. J’avais l’impression que mes coucougnettes allaient exploser. Chaque érection me réveillait et l’envie de juter me taraudait la tête. J’espérais être libérée vendredi soir pour évacuer le trop plein de semence.
Le vendredi soir après avoir fait jouir Paul à deux reprises, je lui fis part de mon état physique et psychique quant à mes envies de jouissance. Il prit pitié de moi et me dit :
(Paul) : « c’est le début aussi je vais être bon avec toi, je vais t’enlever la cage pour que tu satisfasses ton besoin aux conditions d’être entièrement nue, être à genoux, éjaculer dans la paume de ta main et d’avaler ensuite ton jus. C’est OK ? »
Moi : « Ouiiiiiii Paul je ferai ce que vous voulez »
Je m’empressais d’ôter tous mes vêtements de fille et me mis face de Paul qui déverrouilla le cadenas puis enleva ma cage, ce qui me provoqua une douleur au niveau de l’anneau. A peine le tube enlevé, que mon petit sexe dressait. Je commençais immédiatement à faire des aller et retour avec ma main pendant que Paul me filmait, la sève est montée en quelques secondes pour remplir la paume de main. Quelle sensation de libération dans mon bas ventre. Je pressais ma queue dans ma main pour récupérer les dernières gouttes puis ma langue récupéra la semence pour l’avaler. Je me suis nettoyée le sexe, mis un peu de talc et Paul me remit la cage avant de partir en me fixant rendez-vous lundi soir.
Je me suis endormie le soir heureuse et libérée bien que toujours encagée. Cela m’avait fait un bien fou.
Lundi soir Paul n’a pas voulu jouir dans ma bouche mais a joui lors de la sodomie. Il voulait garder un peu de sperme pour honorer sa femme le soir même. Avant de me quitter il me donna le programme prévisionnel de mes branlettes comme il disait. Je découvris celui-ci :
- Pendant les 4 semaines qui suivent : 1 branlette le vendredi (il en restait donc 3)
- Les 6 semaines suivantes : 1 branlette tous les 2 semaines le vendredi
- Au bout de 6 mois : 1 branlette mensuelle dernier vendredi du mois
- Les 6 mois suivants : 1 branlette tous les 3 mois dernier vendredi du mois
En découvrant ce programme, tout s’écroulait autour de moi, comment allais-je arriver à tenir autant de temps en chasteté sans devenir fou. Déjà cette première semaine au bout de 4 jours j’étais à bout, je n’en pouvais plus d’attendre pour éjaculer. Je devrais certainement faire appel à mes talents de supplication envers Paul, tout n’était pas perdu pensais-je.
Cela faisait plus d’une semaine que je portais ma cage de chasteté et peu à peu je m’y suis habituée. Excepter pour m’assoir lorsque j’étais en pantalon, qui était toujours délicat et de rester assise pendant de longues heures de cours j’étais de plus en plus à l’aise avec et parfois il m’arrivait d’oublier que j’étais encagée. Mais dès que je pensais au sexe et que je bandais, il y avait un rappel à l’ordre. Mes nuits étaient meilleures, il m’arrivait encore de me réveiller durant celles-ci mais c’était plus rare. Le nombre d’érections diminuait, cependant quand Paul me sodomisait, je mouillais de plus en plus dans ma cage et il était vrai que j’aimais encore plus d’être sodomisée, les sensations et plaisirs étaient plus intenses. Je commençais à entrevoir vraiment le côté positif d’être encagée.
Nous continuions à converser et Paul m’avait établi un programme. Nous nous verrions les lundis, mercredis et vendredis soir, et parfois le dimanche soir. Etant marié, il ne pouvait se libérer davantage. Tous les jours, il m’ordonnait les vêtements et sous-vêtements que je devais porter. Le port du plug était quotidien, cependant je ne devais jamais porter de culotte. Bas, porte jarretelles et soutien-gorge étaient souvent présents sous mes vêtements de garçon. Il m’obligeait à vérifier l’état de mon pénis, photos à l’appui. Tous les matins, je devais attendre pour faire mon pipi son ordre et faisais dans un bol que je devais ensuite boire. Un jour il m’a demandé d’aller dans un sexshop, d’acheter un plug anal gonflable et de le mettre tous les matins avant de faire pipi. Après ces quelques tests, il m’annonça que ses visites allaient commencer le lundi suivant et que ma docilité de petite chienne lui plaisait beaucoup.
Le lundi, je me dépêchais de rentrer à la chambre puisqu’il devait arriver à 18h00, pour me préparer. Je devais mettre porte jarretelle, bas, escarpins, soutien-gorge, perruque et me maquiller comme une pute. Je devais l’attendre à genoux derrière la porte ouverte mains sur la tête en regardant le sol. J’ai eu la peur de ma vie, épiant chaque bruit du couloir, de peur de voir un étudiant ou un prof dans celui-ci. L’angoisse fut à son comble quand j’entendis marcher, heureusement c’était lui. Quand il entra, laissant la porte grande ouverte, il me demanda de m’allonger sur le lit. Ce que je fis.
(Paul) : « je vais te poser une cage de chasteté pour ne plus voir cette horrible chose qui pendouille entre tes jambes »
Il me posa la cage de chasteté, vérifia que le cadenas était bien fermé et accrocha les 2 clés à sa chaine en argent qui pendait autour de son coup.
(Paul) : « elle te va à ravir, maintenant je suis sûr que ce sera fini tes petites branlettes. Je l’enlèverai lorsque je l’aurai décidé. As-tu quelque chose à ajouter ? »
(Moi) : « je ne peux pas l’enlever même s’il y a un impératif, et pour l’hygiène comment je fais ? »
(Paul) : « Un impératif tu te débrouilles pour la cacher, pour l’hygiène il y a une notice pour l’entretien et comment nettoyer ta ridicule petite bite. Je te conseille de mettre des pantalons larges style jogging car les pantalons moulants vont faire des pressions trop fortes sur ton service 3 pièces même s’il est en partie atrophié. »
(Moi) : « mais quand pourrai-je jouir ? »
(Paul) : « tu es ma femelle maintenant c’est moi qui décide sur la fréquence de tes branlettes, 5 jours,5 semaines, 5 mois, ou bien 2 ans. Tout dépend de toi et de ta docilité. Mais tu verras c’est un bien pour toi, tu me remercieras. Allez ma femelle vient me sucer maintenant que tu es équipée. »
Je m’installai entre ses jambes et lui fis une pipe. J’étais un peu gênée avec le paquet que formait la cage, mes coucougnettes et mon clito. Ce n’était qu’un début mais lorsqu’il m’a enculé, mon sexe s’est mis à vouloir bander et là j’ai eu très mal avec la pression qui se faisait dans la cage. En plus, pendant la sodomie, il me triturait le paquet en tirant dessus ou en le tordant. J’en ai crié de douleur heureusement qu’il avait fermé la porte après la pipe. Il m’avait rempli la bouche, lors de la première rencontre de son sperme mais j’ai eu l’impression qu’il me remplissait tout autant mon ventre quand il me féconda. Je retrouvais le plaisir d’antan quand Ben me sautait et la queue de Paul était presque pareil en longueur et en largeur. Après lui avoir nettoyé sa bite, il se rhabilla et me dit :
(Paul) : « je te laisse et te dis à mercredi soir. Soit prête à l’heure je n’aurai peut-être pas beaucoup de temps à te consacrer. Je vais arriver à faire de toi quelque chose »
Sur ces mots il claqua la porte me laissant, sans pouvoir dire quoique ce soit, et encagée.
Le soir même je reçus un message pour mes vêtements du lendemain. Bas, porte jarretelles, et soutien-gorge et bien sûr pluggée.
La première nuit fut agitée, n’arrivant pas à trouver une bonne position pour dormir, mais ce fut la journée durant laquelle j’ai énormément souffert. En effet, la cage CB 6000 S est en polycarbonate rose et dur. La position assise est difficile à tenir, aussi j’ai dû m’assoir sur le bout de la chaise pour pouvoir supporter la pression. L’autre problème et ce n’était pas des moindres, était pour faire pipi. J’ai dû m’assoir, car impossible de canaliser le fluide dans la bonne direction et ensuite nettoyer avec du papier toilette la cage, ce qui n’est pas simple. Impossible également de croiser les jambes à cause des contraintes sur la cage.
Ne plus pouvoir jouir, toutes les contraintes du port de la cage s’étaient révélées très difficiles pour moi. Quand Paul m’a demandé de lui décrire ma journée, j’ai insisté sur ces points. Il en a ri, en me rappelant qu’il m’avait prévenu dès le début qu’une éducation de femelle n’était pas que de la jouissance et du plaisir. Il en conclut que je devais rester encagée un certain temps pour m’habituer au port de la cage et qu’il ne comprenait pas comment je pouvais encore branler avec une si petite queue qui ne servait à rien dans une relation sexuelle. Ne pouvant faire autrement que de subir, je devais prendre mon mal en patience et que lorsque je pourrais me branler ce serait le Zenith.
Le mercredi, j’ai vécu l’enfer. A la cantine je me suis assise un peu vite et j’ai cru qu’une de mes couilles avait explosée. Une douleur intense a duré une bonne partie de l’après-midi. Quelle conne j’étais, tout le monde me vit souffrir et se demandait ce qui se passait. Certains me proposant d’aller voir l’infirmière. J’ai cru m’évanouir, mais quelle souffrance ce qui m’a imposé de faire attention lorsque je m’assaillais. Depuis ce jour je me suis assise comme le faisait une fille avec beaucoup de délicatesse.
Aller aux toilettes et faire pipi assise ou accroupie comme une fille, m’assoir délicatement comme une fille, je me suis aperçue que mon éducation avait belle et bien commencé. Le mercredi soir Paul voulait que je l’attente entièrement nue, perruquée, maquillée et pluggée et bien sûr encagée, dans ma chambre face à la porte ouverte les yeux baissés.
Je me demandais s’il voulait me dénoncer à mon entourage car si quelqu’un me voyait ainsi c’en était fini des études ou autres.
Quand Paul arriva, il resta dans le couloir à me contempler et il prit quelques photos de moi ainsi exhibée. Il entra et claqua la porte.
(Paul) : « tu es pas mal comme ça petite salope, viens me sucer »
Il se planta devant moi, je levais les yeux au niveau de sa braguette, l’ouvris, sortis son sexe déjà bandé, il ne restait qu’à le prendre en bouche. Il me prit en photo pendant ma fellation en faisant des gros plans et il éjacula en 4 jets puissants m’arrosant le palet et le fond de ma gorge.
(Paul) : « ouvre la bouche avant d’avaler »
Et à nouveau une photo avant qu’il ne me donne le feu vert pour déglutir sa semence.
Il s’assit sur le lit pour que je lui fasse sa toilette, ce que je fis, sa queue était si bonne et sa semence moins salée que celle de Ben.
(Paul) : « alors qu’elle impression, que ressens tu ? »
(Moi) : « J’aime beaucoup vous sucer, j’aime votre sperme, je suis heureuse de vous avoir en bouche »
(Paul) : « et la cage ? »
(Moi) : « j’ai souffert mais ça va, j’espère m’habituer à la porter. Quand pourrai-je me branler ? »
(Paul) : « mais ça fait à peine 2 jours que tu la portes. Tu n’es tout de même pas déjà en manque. Je sais que tu te branlais 2 à 3 fois par jour, il faut que tu apprennes à ne plus jouir, au moins quelques temps. Allonge-toi sur le dos et met tes jambes sur mes épaules je veux te contempler quand je t’encule ».
Je m’exécutais et il m’enfila avec sa queue. A chaque coup de bite, ma cage bougeait entrainée par mon petit sexe et mes couilles. Cela lui plaisait beaucoup de voir un garçon dont le sexe était enfermé dans la cage. Mon clito coulait allégrement dans cette coquille. Les mouvements devinrent de plus en plus rapides et saccadés jusqu’à ce qu’il éjacule dans mon fondement. Dès qu’il se retira de mes fesses je me précipitai sur sa bite pour la nettoyer. J’étais dans un état d’excitation avancée mais il m’était impossible de jouir.
(Paul) : « bien ma petite salope, tu vois que suivre mes consignes ce n’est pas si difficile. Je suis content de toi. A vendredi 17h00. »
Il me quitta ainsi, me laissant le cul pluggé et rempli de son sperme.
Toute la nuit j’ai pensé au sexe et surtout au mien dans son écrin que je ne pouvais même plus toucher. Après 2 jours d’encagement je commençais à sérieusement avoir envie de me masturber. J’avais l’impression que mes coucougnettes allaient exploser. Chaque érection me réveillait et l’envie de juter me taraudait la tête. J’espérais être libérée vendredi soir pour évacuer le trop plein de semence.
Le vendredi soir après avoir fait jouir Paul à deux reprises, je lui fis part de mon état physique et psychique quant à mes envies de jouissance. Il prit pitié de moi et me dit :
(Paul) : « c’est le début aussi je vais être bon avec toi, je vais t’enlever la cage pour que tu satisfasses ton besoin aux conditions d’être entièrement nue, être à genoux, éjaculer dans la paume de ta main et d’avaler ensuite ton jus. C’est OK ? »
Moi : « Ouiiiiiii Paul je ferai ce que vous voulez »
Je m’empressais d’ôter tous mes vêtements de fille et me mis face de Paul qui déverrouilla le cadenas puis enleva ma cage, ce qui me provoqua une douleur au niveau de l’anneau. A peine le tube enlevé, que mon petit sexe dressait. Je commençais immédiatement à faire des aller et retour avec ma main pendant que Paul me filmait, la sève est montée en quelques secondes pour remplir la paume de main. Quelle sensation de libération dans mon bas ventre. Je pressais ma queue dans ma main pour récupérer les dernières gouttes puis ma langue récupéra la semence pour l’avaler. Je me suis nettoyée le sexe, mis un peu de talc et Paul me remit la cage avant de partir en me fixant rendez-vous lundi soir.
Je me suis endormie le soir heureuse et libérée bien que toujours encagée. Cela m’avait fait un bien fou.
Lundi soir Paul n’a pas voulu jouir dans ma bouche mais a joui lors de la sodomie. Il voulait garder un peu de sperme pour honorer sa femme le soir même. Avant de me quitter il me donna le programme prévisionnel de mes branlettes comme il disait. Je découvris celui-ci :
- Pendant les 4 semaines qui suivent : 1 branlette le vendredi (il en restait donc 3)
- Les 6 semaines suivantes : 1 branlette tous les 2 semaines le vendredi
- Au bout de 6 mois : 1 branlette mensuelle dernier vendredi du mois
- Les 6 mois suivants : 1 branlette tous les 3 mois dernier vendredi du mois
En découvrant ce programme, tout s’écroulait autour de moi, comment allais-je arriver à tenir autant de temps en chasteté sans devenir fou. Déjà cette première semaine au bout de 4 jours j’étais à bout, je n’en pouvais plus d’attendre pour éjaculer. Je devrais certainement faire appel à mes talents de supplication envers Paul, tout n’était pas perdu pensais-je.
Cela faisait plus d’une semaine que je portais ma cage de chasteté et peu à peu je m’y suis habituée. Excepter pour m’assoir lorsque j’étais en pantalon, qui était toujours délicat et de rester assise pendant de longues heures de cours j’étais de plus en plus à l’aise avec et parfois il m’arrivait d’oublier que j’étais encagée. Mais dès que je pensais au sexe et que je bandais, il y avait un rappel à l’ordre. Mes nuits étaient meilleures, il m’arrivait encore de me réveiller durant celles-ci mais c’était plus rare. Le nombre d’érections diminuait, cependant quand Paul me sodomisait, je mouillais de plus en plus dans ma cage et il était vrai que j’aimais encore plus d’être sodomisée, les sensations et plaisirs étaient plus intenses. Je commençais à entrevoir vraiment le côté positif d’être encagée.
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