Ma vie sexuelle de travesti 11 - histoire érotique

CH 11 : Rencontre avec un homme alpha.

Je parcourais les annonces de rencontres, je me présentais comme un jeune homme passif cherchant des relations sexuelles avec un homme actif et autoritaire. J’ai eu quelques contacts infructueux. N j’ai commencé à dialoguer avec un homme de 42 ans qui recherchait une lope pour le formater. Nos discussions m’excitaient terriblement et je finissais après celles-ci dans de frénétiques masturbations. Nous avons eu ces dialogues parfois hard pendant 5 semaines puis je lui ai demandé si nous pouvions nous rencontrer. Il ne semblait pas très motivé pour cela. Après de multiples relances je compris qu’il était marié et que ça n’irait pas plus loin. Quelle déception surtout que je sentais un bon feeling avec lui.

Néanmoins, je continuais mes recherches. J’ai bien fait de continuer car je suis rentrée en contact avec un dénommé Paul, âgé de 54 ans (je n’en avais que 18 mais la différence d’âge ne me gênait pas du tout). Il était grand 1m87 pour 91 kg, cheveux grisonnants, de profession commerciale et avait besoin d’une petite femelle pour satisfaire ses besoins sexuels. Moi, avec mes 1m73 et 57 kg, je m’imaginais toute petite dans ses bras. Durant des semaines nous avons dialogué, il me faisait me goder, m’interdisait de jouir lorsqu’il me demandait de me masturber. Je devais lui envoyer des photos en preuve de mon obéissance. Il aimait me voir en fille et peu à peu je m’habillais toujours en fille lors de nos contacts. Je lui avais donné mon nom de fille Annie et j’ai senti que ça ne lui plaisait pas trop. Ça ne me posait pas de problème s’il voulait changer mon nom. Il avait de plus en plus d’emprise sur moi et un jour il m’a fixé rendez-vous, un soir dans ma chambre universitaire pour que nous nous découvrions réellement et décidions d’arrêter ou de continuer.

Un dimanche soir lors d’une de nos conversations, il me proposa de venir mercredi en fin d’après-midi vers 18h00. J’étais tout excitée à l’idée de le rencontrer quand il m’en a parlé. Le mercredi après-midi, j’ai séché les cours pour avoir le temps de me faire belle pour le soir car je devais bien m’épiler, faire ma toilette intime, et me préparer en Annie, une petite femelle très salope comme il cherchait.

Je me suis habillée après avoir vernis mes ongles, d’un porte jarretelle, de bas, d’un soutien-gorge et d’un string en rouge. Une petite jupette noire de 35 cm de long, mes bottes blanches et un chemisier blanc légèrement transparent, ma perruque brune longue complétait ma transformation. Mon maquillage soutenu rouge à lèvres couleur de mon vernis à ongles, fond de teint, phare a paupière, un trait d’eyeliner, ricil, je ressemblais plus à une pute qu’à un bourgeoise mais après tout il recherchait plus une pute.

C’est ainsi qu’à 16h30 j’étais prête à le recevoir. J’attendis jusqu’à 18h00, mon cœur commençait à battre la chamade, anxieuse de lui plaire. Mais monsieur avait du retard et il n’arriva qu’à 18h40. Quand il frappa à la porte mon cœur s’est arrêté de battre, ma respiration aussi quand je lui ouvris. Il entra, me trouvant ravissante, plus belle que sur les photos. Ceci me rassura et mon cœur et ma respiration reprirent leur fonctionnement. Vivant dans un petit studio, je le fis assoir sur le lit, lui offris de quoi se désaltérer et nous discutâmes :

(Paul) : « tu sais pourquoi je suis ici ce soir ?
(Moi) : « oui pour savoir si je suis à votre gout
(Paul) : Pas seulement, je veux être totalement transparent avec toi. Je recherche un lope travesti à dresser, et tes photos comme ton « moi » qui est apparu dans nos conversations laissait entendre que tu étais ce que je cherchais. Je veux quelqu’un d’obéissant, de docile, qui exécutera mes demandes à la lettre, qui sera disponible pour moi quand je le souhaite, qui soit honnête, sexuellement endurante et voulant se surpasser. Serais-tu cette personne ? »
(Moi) : « Je pense que oui, vous connaissez un peu ma vie, comment mon être et ma sexualité ont évolué. Je veux progresser dans ma féminisation et dans mes relations avec les hommes. »
(Paul) : « Je te préviens ce ne sera pas simple pour toi, c’est un engagement contraignant, tu y as bien réfléchi ou veux encore avoir du temps. »
(Moi) : « Oui j’y ai réfléchi longuement pour pouvoir accepter votre proposition d’éducation. »
(Paul) : « Parfait, maintenant voyons ce que tu sais faire, viens me faire une pipe. »

Je me mis à genoux entre ses jambes, en le regardant dans les yeux, je défis sa braguette en sortis un membre flasque décalotté que je saisis d’une main et commençais à lécher le gland ce qui le fit réagir, la pression sanguine monta dans son membre. Sa queue se déplia, grossit et durcit, je la pris en bouche et commença à aller et venir le long de sa verge dressée. Le contact de ma langue, de ma bouche avait l’air de lui plaire, j’entendis un « bien petite salope » entre les bruits de succion. Il appuya sur ma nuque et à l’arrière de ma tête de ses deux mains pour me pénétrer la bouche plus profondément, il bloqua ma respiration mais avait réussi à enfoncer totalement sa queue, le gland dans mon œsophage. Lorsqu’il relâcha la pression je suffoquais et j’eus des difficultés à reprendre ma respiration tout en continuant à le sucer.

(Paul) : « Bien ma salope, ce sera à travailler. Les gorges profondes sont ce qu’il y a de plus agréable pour un homme. Tu devras être au top dans ce domaine. Lèche-moi les couilles tu m’as bavé dessus ! »

Je laissais sa queue raide montrant la direction du plafond et nettoya les couilles de Paul.

(Paul) : « maintenant mets-toi a 4 pattes par terre. »

Je me mis à 4 pattes au sol, il se leva, retroussa ma jupette et me claqua les fesses à plusieurs reprises. Il écarta mes deux fesses et la ficelle du string pour voir l’état de mon trou.

(Paul) : « joli cul, belle chatte anale prête à l’emploi »

Il se positionna derrière moi et je sentis sa queue me pénétrer sans aucune préparation qui me fit pousser un petit cri plutôt de surprise que de douleur mais il s’en offusqua.

(Paul) : « salope, je ne veux pas t’entendre lorsque j’utilise ta chatte, c’est clair ! »

Je lui répondis par un petit oui étouffé et il me lima à grand coups de bite me tenant tantôt par les épaules, ou les hanches, ou la taille. Son ventre claquait sur mes fesses, sa queue fouillait mon intimité jusqu’à ce qu’il décharge en moi. Il sortit son engin de mon ventre et me claqua les fesses violemment.

(Paul) : « Pas mal, tu as une bonne chatte anale, on va pouvoir bien s’amuser avec toi. Ta bouche et ta chatte sont accueillants, on sent que tu aimes la bite, parfait. Viens faire ma toilette ! »
Je me mis devant sa queue pour la nettoyer et la rendre plus propre qu’elle n’était à son propriétaire.

(Paul) : « Bien, tu as passé le premier test, on sent en toi des dispositions intéressantes, il me reste à les exploiter. Je vais te donner quelques consignes que tu devras impérativement suivre à la lettre :
Premièrement : La toilette intime et l’épilation parfaite, ce doit toujours être ainsi. Je t’achèterai un nouveau parfum le tien est bof
Secundo : lorsque tu me fais jouir ou lorsque tu feras jouir un homme, tu dois toujours nettoyer leur queue sans te le demander.
Tertio : tu as bandé à plusieurs reprises, je ne veux pas de ça, la prochaine fois que je viens je te mettrai une cage de chasteté. En attendant interdiction de te branler.
Nous allons pouvoir commencer ton éducation de femelle. Chaque jour je te dirai comment t’habiller et sélectionnerai ce que tu dois porter. En échange je veux un compte rendu de tes activités journalièrement.
A bientôt ma salope, je t’envoie un message pour demain. »

Il s’habillait et partit en me laissant à genoux par terre. Ce qui m’inquiéta était d’être encagée et ne plus me masturber. Allais je y arriver ?