Ma vie sexuelle de travesti 9
Récit érotique écrit par annietv [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma vie sexuelle de travesti 9
CH 9 : Le Glory Hole
Un vendredi soir après m’avoir fait sodomiser deux fois et lui avoir fait une fellation complète, nous discutions de chose et d’autres et notamment de ce que je voulais expérimenter dans la sexualité. Je me souvenais qu’au sauna il m’avait proposé d’aller au Glory Hole et qu’à l’époque j’avais décliné sa proposition étant repu et lasse. Aussi je lui dis que j’aimerais essayer d’être mise à disposition dans le Glory Hole.
- « Ah très bien ma petite salope, tu verras c’est super pour les affamées de sexe et de jus comme toi ». « Es-tu libre samedi après-midi ? »
- « Non samedi après-midi je ne peux pas mais dimanche oui, j’irai à l’hôtel directement avec toi »
Les dés étaient lancés, il organisait un après-midi avec moi comme attraction du Glory Hole.
Le dimanche, Ben m’avait fixé rendez-vous à la gare de l’est. Je devais venir pluggé en jeans et chemisette, pas de chaussette ni de slip. Le minimum de vêtements. Après s’être embrassés langoureusement, nous sommes allés Rue Saint Denis. Il y avait des prostituées un peu partout sur les trottoirs. Nous sommes entrés dans un sexshop que Ben connaissait car il fit la bise au patron. Il me présenta comme la salope dont il lui avait parlé. Je reçus des compliments sur mon physique de plus en plus androgyne, puis Ben voulut faire un tour du magasin. Il m’acheta un porte jarretelle, des bas et des bottes. Le patron vint m’accompagner pour m’habiller ou en réalité me déshabiller. J’enlevais mes 2 vêtements et mis le porte jarretelle et les bas puis chaussais les bottes. Une véritable pute tout de blanc vêtu, mon petit sexe pendouillait entre mes jambes, je fus emmenée dans un cagibi dans lequel il y avait 4 trous et un petit banc. L’endroit était lugubre, la peinture écaillée. Le carrelage au sol venait d’être nettoyé. Une caméra au plafond filmait. J’allais m’assoir sur le banc quand Ben me dit de me mettre à genoux devant les trous et d’attendre qu’une ou plusieurs queues n’apparaissent. Je restais dans la position demandée quelques minutes lorsqu’une queue est apparue, déjà de belle taille et bien dure. Il ne me restait qu’a la prendre avec ma main puis avec ma bouche. C’est une drôle de sensation de sucer sans voir le propriétaire de la bite et sans aucun autre contact. Uniquement quelques soupirs se faisaient entendre. Je le pris en bouche et commençais ma fellation. Sa queue était bien raide et il ne tarda pas à jouir dans ma bouche une bonne quantité de semence. Sur deux autres trous apparurent d’autres queues. Ben me dit alors de mettre le banc en travers, de me pencher en avant pour sucer une des queues et de présenter mon cul à l’autre trou. Ce que je fis. Avec la bouche, le mec pas de difficulté pour l’utiliser mais l’autre qui avait mon cul, la pénétration fut superficielle. J’essayais de donner du rythme mais c’était un peu saccadé. Ma fellation arriva à faire jouir mon partenaire, celui qui était planté entre mes fesses, sa jouissance tarda à venir et il me juta sur mes fesses en se masturbant. Trois autres hommes défilèrent lorsque je fus extraite de ce cagibi. Ben me félicita, il avait tout vu avec la caméra sur une télévision.
J’ai eu une impression d’être une fille de joie, une pute, qui se fait exhiber et sauter dans un cagibi. Il n’y a aucune tendresse, pas de caresses, c’est le sexe pur et dur, sans fioriture. Celle ou celui qui est dans le Glory Hole est utilisé comme vide couilles, les mecs viennent se vider dans une bouche ou dans un cul. C’est assez humiliant car on est considéré comme un trou, un objet et le but pour nous est de vider le maximum de mecs en un minimum de temps. Le Glory Hole est le sexe pour le sexe, on ne voit pas qui on suce, on l’imagine toujours plus extra qu’en réalité. Il faut aimer le sperme, aimer le travail à la chaine, et aimer le sexe pour le sexe. Quand Ben me récupéra je me suis blottie dans ses bras à la recherche d’un peu d’affection. Ben m’a fait mettre mon pantalon et ma chemisette au-dessus de mon porte jarretelle et des bas. Je n’ai enlevé que mes bottes que j’ai mis dans mon sac à dos. Dans le métro j’avais l’impression que tout le monde me regardait, je sentais le sperme. Je priais pour que mon patron ne se rende compte de rien surtout que nous sommes arrivés ensemble à l’hôtel. Quand nous sommes entrés mon patron m’accueillit avec un petit sourire qui en disait long sur ses arrières pensés. Ben prit l’ascenseur pour gagner sa chambre et je pris mon poste après les dernières consignes de mon patron. J’avais le gout de sperme dans la bouche et une odeur assez négligée. A 23h00, Ben m’appela pour me dire qu’il m’attendait. A 23h10 je montais pour rejoindre mon amant et malgré les 6 hommes que j’avais déjà fait jouir dans l’après-midi, j’éprouvais encore l’envie de me faire baiser. Je devenais vraiment une nymphomane. J’enlevais mon pantalon et ma chemisette et Ben me dit de rester comme cela en bas et porte jarretelle. J’eus une érection, mon petit sexe droit comme « i ». Je me mettais entre les jambes de Ben pour commencer mon travail de salope, et embouchais sa queue qui devint très dure en quelques secondes. Une dizaine de minutes plus tard, il déchargeait son sperme dans ma bouche en saccade. Puis il me mit sur le dos, m’enjamba en 69 et se mit à me sucer, sa bite flasque et ses couilles dansaient devant mes yeux et l’envie de la reprendre en bouche me vint. Deux à trois minutes après, je me lâchais dans sa bouche, il avala mon sperme pendant que je continuais à le sucer. Il se dégagea me fit mettre sur le côté et vint s’allonger le long de mon dos son sexe entre mes fesses qui ne tardait pas à prendre possession de mon intimité. Il commença à aller et venir en me triturant les tétons, le sexe et mes couilles. Les mouvements de son bassin étaient de plus en plus amples jusqu’à ce qu’il se plante au fond de mon fondement pour y déposer sa semence. Il dégagea doucement sa queue de mon postérieur et rapidement avant je puisse expulser sa liqueur, il me mit le plug pour que sa semence reste en moi. Il me félicita encore de cette journée durant laquelle je me suis fait baiser par sept mecs différents avec deux sodomies et sept pipes. Ce serait une bonne moyenne pour une petite pute.
Un vendredi soir après m’avoir fait sodomiser deux fois et lui avoir fait une fellation complète, nous discutions de chose et d’autres et notamment de ce que je voulais expérimenter dans la sexualité. Je me souvenais qu’au sauna il m’avait proposé d’aller au Glory Hole et qu’à l’époque j’avais décliné sa proposition étant repu et lasse. Aussi je lui dis que j’aimerais essayer d’être mise à disposition dans le Glory Hole.
- « Ah très bien ma petite salope, tu verras c’est super pour les affamées de sexe et de jus comme toi ». « Es-tu libre samedi après-midi ? »
- « Non samedi après-midi je ne peux pas mais dimanche oui, j’irai à l’hôtel directement avec toi »
Les dés étaient lancés, il organisait un après-midi avec moi comme attraction du Glory Hole.
Le dimanche, Ben m’avait fixé rendez-vous à la gare de l’est. Je devais venir pluggé en jeans et chemisette, pas de chaussette ni de slip. Le minimum de vêtements. Après s’être embrassés langoureusement, nous sommes allés Rue Saint Denis. Il y avait des prostituées un peu partout sur les trottoirs. Nous sommes entrés dans un sexshop que Ben connaissait car il fit la bise au patron. Il me présenta comme la salope dont il lui avait parlé. Je reçus des compliments sur mon physique de plus en plus androgyne, puis Ben voulut faire un tour du magasin. Il m’acheta un porte jarretelle, des bas et des bottes. Le patron vint m’accompagner pour m’habiller ou en réalité me déshabiller. J’enlevais mes 2 vêtements et mis le porte jarretelle et les bas puis chaussais les bottes. Une véritable pute tout de blanc vêtu, mon petit sexe pendouillait entre mes jambes, je fus emmenée dans un cagibi dans lequel il y avait 4 trous et un petit banc. L’endroit était lugubre, la peinture écaillée. Le carrelage au sol venait d’être nettoyé. Une caméra au plafond filmait. J’allais m’assoir sur le banc quand Ben me dit de me mettre à genoux devant les trous et d’attendre qu’une ou plusieurs queues n’apparaissent. Je restais dans la position demandée quelques minutes lorsqu’une queue est apparue, déjà de belle taille et bien dure. Il ne me restait qu’a la prendre avec ma main puis avec ma bouche. C’est une drôle de sensation de sucer sans voir le propriétaire de la bite et sans aucun autre contact. Uniquement quelques soupirs se faisaient entendre. Je le pris en bouche et commençais ma fellation. Sa queue était bien raide et il ne tarda pas à jouir dans ma bouche une bonne quantité de semence. Sur deux autres trous apparurent d’autres queues. Ben me dit alors de mettre le banc en travers, de me pencher en avant pour sucer une des queues et de présenter mon cul à l’autre trou. Ce que je fis. Avec la bouche, le mec pas de difficulté pour l’utiliser mais l’autre qui avait mon cul, la pénétration fut superficielle. J’essayais de donner du rythme mais c’était un peu saccadé. Ma fellation arriva à faire jouir mon partenaire, celui qui était planté entre mes fesses, sa jouissance tarda à venir et il me juta sur mes fesses en se masturbant. Trois autres hommes défilèrent lorsque je fus extraite de ce cagibi. Ben me félicita, il avait tout vu avec la caméra sur une télévision.
J’ai eu une impression d’être une fille de joie, une pute, qui se fait exhiber et sauter dans un cagibi. Il n’y a aucune tendresse, pas de caresses, c’est le sexe pur et dur, sans fioriture. Celle ou celui qui est dans le Glory Hole est utilisé comme vide couilles, les mecs viennent se vider dans une bouche ou dans un cul. C’est assez humiliant car on est considéré comme un trou, un objet et le but pour nous est de vider le maximum de mecs en un minimum de temps. Le Glory Hole est le sexe pour le sexe, on ne voit pas qui on suce, on l’imagine toujours plus extra qu’en réalité. Il faut aimer le sperme, aimer le travail à la chaine, et aimer le sexe pour le sexe. Quand Ben me récupéra je me suis blottie dans ses bras à la recherche d’un peu d’affection. Ben m’a fait mettre mon pantalon et ma chemisette au-dessus de mon porte jarretelle et des bas. Je n’ai enlevé que mes bottes que j’ai mis dans mon sac à dos. Dans le métro j’avais l’impression que tout le monde me regardait, je sentais le sperme. Je priais pour que mon patron ne se rende compte de rien surtout que nous sommes arrivés ensemble à l’hôtel. Quand nous sommes entrés mon patron m’accueillit avec un petit sourire qui en disait long sur ses arrières pensés. Ben prit l’ascenseur pour gagner sa chambre et je pris mon poste après les dernières consignes de mon patron. J’avais le gout de sperme dans la bouche et une odeur assez négligée. A 23h00, Ben m’appela pour me dire qu’il m’attendait. A 23h10 je montais pour rejoindre mon amant et malgré les 6 hommes que j’avais déjà fait jouir dans l’après-midi, j’éprouvais encore l’envie de me faire baiser. Je devenais vraiment une nymphomane. J’enlevais mon pantalon et ma chemisette et Ben me dit de rester comme cela en bas et porte jarretelle. J’eus une érection, mon petit sexe droit comme « i ». Je me mettais entre les jambes de Ben pour commencer mon travail de salope, et embouchais sa queue qui devint très dure en quelques secondes. Une dizaine de minutes plus tard, il déchargeait son sperme dans ma bouche en saccade. Puis il me mit sur le dos, m’enjamba en 69 et se mit à me sucer, sa bite flasque et ses couilles dansaient devant mes yeux et l’envie de la reprendre en bouche me vint. Deux à trois minutes après, je me lâchais dans sa bouche, il avala mon sperme pendant que je continuais à le sucer. Il se dégagea me fit mettre sur le côté et vint s’allonger le long de mon dos son sexe entre mes fesses qui ne tardait pas à prendre possession de mon intimité. Il commença à aller et venir en me triturant les tétons, le sexe et mes couilles. Les mouvements de son bassin étaient de plus en plus amples jusqu’à ce qu’il se plante au fond de mon fondement pour y déposer sa semence. Il dégagea doucement sa queue de mon postérieur et rapidement avant je puisse expulser sa liqueur, il me mit le plug pour que sa semence reste en moi. Il me félicita encore de cette journée durant laquelle je me suis fait baiser par sept mecs différents avec deux sodomies et sept pipes. Ce serait une bonne moyenne pour une petite pute.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sûr le gloryhole est le sexe à l'état brut... même pas pute, un vide couilles
Sublime récit 👍
Hummmmmmmm !!!!!!!! Il faut monter sur Paris pour te rencontrer ???? J'aimerais beaucoup te rencontrer tes récits j'adore ça donne envie