Ma vie sexuelle de travesti 4 - histoire érotique

CH 4 : Ben me travestit
Le lendemain de cette soirée, un mardi en fin de journée j’eus un message de Ben me demandant mon tour de poitrine, tour de taille, tour de bassin, pointure des pieds. Je lui donnais tous les éléments et me demandais dans quel but il m’avait demandé toutes ces informations.
Mercredi, j’allais enfin revoir mon amant, j’avais hâte d’être dans ses bras, sentir sa langue fouiller ma bouche. Durant la journée, je me suis masturbé en pensant à cette soirée si belle. Je reçus un message de Ben me fixant l’heure pour monter dans sa chambre à 23h45. Pas de souci, j’étais à sa disposition.
A l’heure dite et après avoir mis les dispositifs de surveillance, je montais dans sa chambre. Il était allongé nu sur le lit, la queue à demi molle. Je me déshabillais sous son regard. Une fois en culotte, je vins l’embrasser sur le lit. Durant notre baiser, il me pelota les fesses et vérifia que je portais bien mon rosebud. Après notre étreinte j’allais prendre son sexe en bouche quand il me stoppa et me dit de prendre les affaires dans le sac pour porter les vêtements que j’y trouverais. J’ouvris le sac et en sortis des bas, un porte jarretelles, un soutien-gorge, une mini robe noire, une coiffe et des escarpins. Je lui dis que je n’avais jamais porté de vêtements de femme, il me répondit qu’il m’aiderait. Effectivement j’ai eu besoin de son aide pour fixer mes bas au porte jarretelles, pour le soutien-gorge et pour mette la coiffe. Cependant pas de string ou culotte, je devais porter ces vêtements sans. Une fois apprêté, je me regardais dans la glace et je fus surpris par la métamorphose, j’ai découvert une « femme » en face de moi. Mes premiers pas avec les escarpins ont été très difficiles, j’ai failli me tordre la cheville plus d’une fois mais ils mettaient en valeur le galbe de mes jambes et amplifiaient ma chute de rein. Enfin l’effet de me trouver en fille me fit bander et mon petit sexe en se dressant soulevait le pan de ma robe. Il me dit que j’étais superbe ainsi, qu’on croirait à une vraie femme avec certes quelques petites retouches à faire concernant la pilosité. Il me fit enlever les escarpins en me disant que je m’habituerai plus tard, ce qui me soulagea.
Ben s’allongea sur le lit et me dit : « au boulot ma chérie ». Je me jetais sur sa queue comme une affamée. Je lui léchais les couilles, ma langue remontait le long de son chibre, titillait le méat, ma bouche s’ouvrait engloutissant son membre. J’entamais des mouvements de va et vient le long de sa tige jusqu’à ce que le gland bute au fond de ma gorge. J’avais envie de le faire jouir, il se laissa aller au plaisir de ma fellation, soudain ses mains vinrent appuyer sur ma nuque pour une pénétration profonde de sa bite au fond de ma gorge bloquant ma respiration et il déversa sa semence chaude presque directement dans mon estomac. Je nettoyais sa queue en récupérant les dernières gouttes de sperme en pressant avec ma main son membre.
Il me demanda si j’aimais être travesti et je lui répondis par un grand « ouiiiiiiiiiiiiiiii », c’est très doux, très excitant et je me rendais compte que la jupe ou la robe permettait d’être baisée, tout habillée ce qui ne peut pas être en pantalon. J’en faisais l’expérience peu de temps après, une fois que sa queue se raidissait à nouveau en me mettant à califourchon sur lui, empalé sur son pieu. Il en profitait pour peloter mes tétons, les pincer ou de temps en temps soulever le pan de la robe pour masturber mon petit sexe, tout raide d’excitation. Je ne pouvais m’empêcher de contempler le spectacle à travers le miroir. J’étais folle de joie, folle d’excitation, folle du sexe de mon homme! Il me remplit mon fondement de son sperme chaud que je gardais au fond de moi avant de mettre le plug qui assurait une meilleure étanchéité que le rosebud. Il m’embrassa tendrement, nos langues s’entremêlant, une main sur mes fesses et une dans mon dos pressant ma poitrine contre lui.
Je me sentais si bien mais je devais reprendre mon poste quand il me fit remarquer que j’étais habillée en fille. Il en profita pour de demander quel serait mon prénom de fille et les deux prénoms qui me vinrent à l’esprit furent Annie ou Sylvie. « Annie te va très bien, gourmande comme tu es » me dit-il. Faisait-il allusion à la célèbre chanson ? C’est ainsi que je fus baptisée Annie (Annie aime les sucettes surtout celle à l’anis).
Je me déshabillais et rangeais dans le sac les affaires de fille. Ben me dit de les garder et de me travestir chez moi en apprenant à marcher avec les escarpins. Je pris le sac, l’embrassa à nouveau et descendis reprendre mon poste, légère, pleine de merveilleux souvenirs, heureuse d’être une vraie femelle. Je me sentais devenir femme, je m’étais résolue à être passif, la découverte de la lingerie féminine, et mon corps qui réagissait comme celui d’une fille ont été le déclic de ma sexualité.
Le lendemain je reçus un message de Ben me disant qu’il devait partir lundi prochain pour un tournage en Suède donc vendredi soir sera notre dernière nuit avant une séparation de quatre semaines.
Toute la journée du jeudi, je me suis habillée avec ma robe, mes bas et ai chaussé mes escarpins. A bout de quelques heures je marchais nettement mieux avec. J’étais impressionnée de la transformation et je me sentais vraiment bien avec mes vêtements de femelle. Je me suis masturbée trois fois, ma petite queue pointant régulièrement en me disant « coucou c’est moi » sous ma courte robe. Puis, en fin d’après-midi, à force de me contempler, je décidais aussi je me raser intégralement tous les poils. Je commençais par le torse puis le pubis, la raie des fesses, sous et sur les bras, les jambes et les pieds. Une fois complètement glabre, je me sentis encore plus nue que nu. Mon corps, sans poil, me plut beaucoup à tel point que je suis restée ainsi en ne chaussant que mes escarpins. Mes tétons étaient tout durs et sensibles et ma petite queue également. Je me plaisais et espérais plaire à Ben et ses amis. La nuit, je me suis caressé le corps à plusieurs reprises, ne revenant pas de la douceur de celui-ci surtout dans la zone du pubis. Au petit matin, j’enfilais ma robe et mes escarpins pour prendre mon petit déjeuner et effectuer des exercices de déplacement avec mes escarpins. Il fallait que je sois prête pour le soir.
A 15h00, je me suis déshabillée et ai pris ma douche avec rasage méticuleux du visage et coupe de quelques poils récalcitrants sur mon corps. A 18h30 j’arrivais à l’hôtel avec mon sac à dos contenant mes affaires de fille. Debriefing avec mon patron avant qu’il ne parte. Il remarqua mes bras sans poil et me fit un clin d’œil avant de partir. Je me demandais bien s’il avait compris que Ben me baisait. Tant que je gardais mon boulot peu importe. Je devais monter à 23h30 mais j’ai eu des clients à 23h15. Un couple qui souhaitait une chambre pour la nuit. Je n’ai pu me rendre libre qu’à 23h50. Un petit coup de téléphone pour dire à Ben que je montais et que j’étais désolée du retard. Arrivée dans sa chambre il était nu sur le lit en train de lire un porno. J’allais l’embrasser et lui dis que je me changeais dans la salle bain. Je me mis nue puis enfilais mes bas mon soutien-gorge, ma petite robe, ma coiffe et mes escarpins puis je rejoignis Ben. Je lui montrais les progrès que j’avais fait dans ma démarche sur des hauts talons. Il était impressionné et me dit « ma belle ça te fait un superbe cul, viens t’empaler sur ma queue ». Je me mis à califourchon sur lui, enlevais le rosebud qui ne me quittait plus, frottais mes fesses sur sa queue pour le faire bander encore plus. N’y tenant plus, il prit sa queue en main et me dit de la mettre en moi, ce que je fis, j’en avais trop envie. Il me remplissait mon fondement, c’était trop, trop bon ! J’ai alors pu apprécier la queue en moi, mes va et vient pour me baiser sur lui, je coulissais sur sa queue jusqu’à la garde et lui me maintenait par les hanches en exerçant une pression quand sa queue était complétement en moi. Les mouvements devenaient de plus en plus rapides et profonds, j’essayais de m’introduire sa queue le plus loin possible dans mon ventre et au bout d’une vingtaine de minutes, je le sentis se contracter, sa tige était dure comme du bois jusqu’à l’éjection de sa semence dans mon ventre affamé. J’ai eu l’impression qu’il n’en finissait plus de jouir et j’essayais de contracter mes sphincters au maximum pour le garder le plus longtemps en moi mais inexorablement le volume de son sexe diminuait. Je pris le plug sur la table de chevet et souleva mon postérieur pour le glisser entre mes fesses et garder son sperme en moi. Je fis la toilette de son sexe avec ma langue et ma bouche pour lui rendre tout propre et je tombais à côté de lui. Il m’embrassa après m’avoir complimenté sur ma prestation, il avait particulièrement aimé que je me baise sur sa queue sans qu’il ait à faire quoique ce soit. Ensuite il me félicita de mon corps totalement glabre, les poils étaient si disgracieux et n’allaient pas du tout avec les formes de mon corps.
Il me donna quelques conseils puisqu’il ne sera pas là pendant quatre semaines. De bien travailler mon anus, le doigter régulièrement, de porter mon rosebud ou mon plug 24 sur 24, cela permet de maintenir l’alésage de ma chatte culière. Si j’avais besoin d’un homme, je pouvais contacter Jean-Paul ou Slimani. Il me donna leurs numéros de téléphone. S’il y avait urgence ne pas hésiter à l’appeler ou à laisser un message à l’hôtel. Il me donna les coordonnées de celui-ci. Pendant notre discussion, il me caressait mon corps imberbe et tout doux. Je voyais bien que sa queue commençait à reprendre des forces. Je l’ai vu grossir un peu puis s’allonger. Alors je l’ai caressé avec ma main et tout de suite elle a réagi. Je ne pouvais pas la laisser ainsi j’ai glissé mon corps le long de Ben et je l’ai léché avec ma langue ce qui l’a refait bander, caresses de la main, passer ma langue des couilles au gland, il ne me restait plus qu’à l’emboucher. Ce que je fis avec plaisir. Ben ne bougeait pas, se laissait aller aux caresses buccales, mes va et vient sur son sexe le firent bander très dur. Je m’étais glissée entre ses jambes, ma bouche s’activant sur sa queue, mes deux mains caressant ses tétons percés. Ça lui plaisait et il s’abandonnait au plaisir du massage et de la pipe. Cela dura un bon moment car je commençais à avoir des crampes à ma mâchoire et à mes jambes recroquevillées quand je fus surprise par les jets de sperme au fond de ma bouche. Pas de prémices, il avait éjaculé dans ma bouche comme si de rien n’était, sans la moindre alerte. Je le regardais fixement dans les yeux, il avait un petit sourire de satisfaction, ma bouche ouverte lui permet de jauger la quantité de sperme qu’il m’avait envoyée. Il me dit « avale ma chérie », ce que je fis goulument, le regard toujours fixant ses yeux. Je lui nettoyais la queue pendant qu’il me disait avoir beaucoup aimé cette pipe, que j’étais une sacrée bonne suceuse, une bouche à pipe, un cul accueillant à sodomiser, « tu es vraiment bonne toi » finit-il. J’étais si heureuse de lui avoir donner autant de plaisir que j’en ai presque pleuré de joie. Nous nous sommes embrassés langoureusement et longuement avant que sa langue ne quitte ma bouche, me donna une tape sur les fesses et me dit « va reprendre ton poste », j’en oubliais que j’étais à l’hôtel avant tout pour travailler pas pour le plaisir.
Après m’être déshabillée, je remis mes vêtements de garçon, je le quittais en l’embrassant une dernière fois car demain et pendant quatre semaines mon amant serait loin de moi.