Ma vie sexuelle de travesti 6 - histoire érotique

CH 6 : Le retour de Ben

La semaine tirait à sa fin, nous étions vendredi et ce samedi je travaillais. Ben devait rentrer samedi matin donc je le verrai le soir. Toute la journée je préparais mon corps et mon intimité pour être tout à fait disponible et m’offrir totalement à mon amant. J’étais dans un tel état d’excitation, je n’avais jamais connu cela. Mes tétons étaient gonflés et hypersensibles, mon ventre ressentait un vide abyssal que j’espérais remplit ce soir par mon amant. J’étais dans un état de fébrilité, je ne pensais qu’à son sexe, qu’à lui donner du plaisir, qu’à le faire jouir 1 fois, 2 fois, … 20 fois s’il le voulait ou le pouvait. Pour gagner du temps ce soir, je partis de l’appartement avec sous mon jean mon rosebud, mes bas, il ne me resterait plus qu’à mettre mon soutien-gorge, ma robe, ma coiffe et mes escarpins. Je pris le métro ainsi, j’avais l’impression que tout le monde voyait ce que je portais sous mes vêtements de garçon. C’était une drôle d’impression. Lorsque je pris mon poste je me demandais comment nos retrouvailles allaient se passer au bout de ces quatre semaines durant lesquelles, il avait baisé avec d’autres hommes et m’avait prêté à ses amis. A 22h00 le téléphone de la réception sonna, c’était Ben qui me demandait de monter dans sa chambre à 23h30 et de l’attendre à 4 pattes sur le lit en Annie, robe retroussée, prête à l’emploi. Cela me rassura et j’en déduisis qu’il avait envie de moi. Je me suis demandée comment il allait rentrer dans l’hôtel si j’étais dans sa chambre. 23h15 je fermais mettais les talkies walkies en place et montais dans sa chambre. Je m’habillais en Annie, laissais la porte ouverte et me mettais dans la position demandée, robe retroussée, cul à l’air dans l’axe de la porte. Il n’avait plus qu’à sortir sa bite et la faire pénétrer dans la cible. Le temps passait, toujours personne. Je commençais à m’inquiéter quand j’entendis du bruit dans le couloir, des chuchotements, il devait y avoir plusieurs personnes. Je n’osais pas bouger quand la porte s’ouvrit, j’entendis Ben dire ; « tu vois Henrick, je ne t’ai pas menti, voici ma salope Annie ». Dans ma tête je me suis dit qu’il avait amené un copain et cela me tracassait. Henrick s’exclama « quel beau cul !» Ils s’approchèrent de moi, je sentis une main caresser mes fesses. Ben me dit alors qu’il en avait baisé des culs depuis quatre semaines mais le mien était ce qui se faisait de mieux. Je sentis sa queue contre mon puit d’amour qu’il pénétra en une fois. Son copain se planta devant moi, sortit sa bite à demi bandée et Ben fit les présentations « voici la bite d’un acteur porno Henrick et qui a toujours les couilles pleines, ma chérie alors suce le ! » J’ouvris la bouche et il me planta sa queue au fond de ma gorge. Je fus surprise par Ben car il ne m’avait pas habitué à être aussi directif avec moi, pas de câlin, pas d’embrassade, le sexe direct sans fioriture. C’était la première fois que je me suis sentie utilisée comme une prostituée. De la baise hard, Ben me tenait les hanches et imprimait un rythme soutenu et Henrick tenait ma tête entre ses deux mains et en faisait autant à grand coup de bite. J’étais devenu un objet sexuel entre leurs mains et leurs queues mais j’en éprouvais beaucoup de plaisir. Ils me limèrent ainsi jusque l’un comme l’autre ne décharge leur semence en moi. Henrick fut le premier envoyer la sauce dans un râle puissant, une bonne quantité de sperme bien crémeux, légèrement salé. Pendant que je nettoyais sa queue, Ben se vida dans mon ventre puis me fit nettoyer son sexe encore dressé. J’eus les félicitations d’Henrick pour la fellation que je lui avais prodiguée et me qualifia de « bonne bouche à pipes », rarement il avait eu autant de plaisir. J’ai été surprise et fière de ce que mon cinquième amant me disait et Ben renchérissait en vantant la qualité de mon cul qui épousait à merveille les bites qui se présentaient. Henrick voulait l’essayer après une pause boisson. Ils burent une canette de bière en me contemplant allongée sur le lit, jambes en l’air, mes doigts récupérant la semence de Ben pour la mettre en bouche. Avant même de finir sa boisson, Henrick commençait à se caresser le chibre qui reprenait de la vigueur en me disant de rester dans cette position. Son sexe dressé il vint le planter dans la rosette encore humide de la semence de Ben, mes jambes sur ses épaules, il m’encula profondément m’arrachant des gémissements à la fois de douleur et de plaisir. Il me lima ainsi plus de 20 minutes avant de me féconder de son sperme tout chaud. Il me présenta sa bite à nettoyer et alla finir sa bière. Pendant ce temps Ben s’était allongé sur le lit et le spectacle que je lui avais proposé lui plut à la vue de son chibre droit comme un « i ». Encore dégoulinante de la semence d’Henrick je vins m’empaler sur sa queue qui ne demandait que cela. Je m’enculais dessus en allant et venant comme aimait Ben. On entendait de petits bruits « floc », ma chatte culière suintant de sperme et mon petit sexe dressé coulait de mouille. Après un bon quart d’heure, je commençais à avoir des crampes dans les jambes, Ben libéra sa semence qui vint rejoindre celle d’Henrick. Avant de me retirer, Ben me tendit mon plug que je mis dès que sa queue sortie pour garder un maximum de semence de mes amants dans ma chatte. Puis je fis la toilette de son sexe, de ses couilles et de son pubis car du sperme avait coulé, ainsi que de son ventre car ma mouille avait coulé abondamment. Il était déjà 1h30 du matin et je devais reprendre mon poste. Je me déshabillais pour me remettre en garçon, j’embrassais enfin Ben, nos langues s’enlaçaient, nos salives se mélangeaient quel bonheur de retrouver son amant. Je reprenais mon poste, heureuse d’avoir été baisée ainsi. Je n’avais pas joui mais je n’en ai pas eu le besoin, c’était trop bon de sentir leurs sexes vibrés en moi.