ma vie sexuelle de travesti 8 - histoire érotique

CH 8 : La rentrée à l’université

Ma dernière semaine de vacances, je l’ai passé durant trois nuits dans les bras de mon homme. Il m’a baisé et rebaisé, c’était très intense. Nous avons visionné le petit film fait par Jean Paul et Ben fut très excité de voir mes prestations de salope lors de ces deux jours. La vidéo dure presque une heure et pendant qu’il la regardait je lui ai fait une fellation qu’il a beaucoup apprécié à la vue de la quantité de sperme reçu dans ma bouche. Je devenais accroc au sexe de Ben, j’ai l’impression que je ne pourrais plus m’en passer. Nous nous voyons au moins trois fois par semaine et les jours sans lui me provoquaient un manque terrible. Ses bras me manquaient, son odeur me manquait, son souffle me manquait, sa langue me manquait, son sexe me manquait. J’étais une petite fille ou plutôt une poupée quand je me trouvais avec lui.
La rentrée des classes était pour lundi, mon patron était d’accord pour que je continue à travailler à l’hôtel les trois nuits par semaine. Donc j’étais assurée de me faire sauter par Ben au moins durant ces trois nuits. Moi, qui ne pensais jamais devenir un PD mais j’aimais ce que j’étais devenue : un travesti homosexuel. Lorsque je n’étais pas avec Ben, j’avais ce besoin de me masturber en pensant à ce qu’il me faisait vivre, toutes ces situations que je découvrais avec lui. Ben avait totalement transformé ma vie, ma vie d’homme, ma vie sexuelle.
Le dimanche soir, dernier jour avant la rentrée, après des ébats tendres, il m’a donné quelques consignes :
- Le plug maintenant son sperme en moi devrait être porté tout le lundi, ne pas l’enlever avant 20h00.
- Je porterai mon tanga en dentelle noire sous mon jeans
- Lundi soir je l’appellerai à 21h00 pour lui raconter ma journée
Avant de nous quitter il m’a fait une fellation, ce fut rapide à peine deux à trois minutes avant que je ne jouisse dans sa bouche. Il m’embrassa avec mon sperme que nous avons partagé. Je le quittais peu de temps après ayant besoin de me reposer avant la journée de reprise.
A 7h00 je quittais l’hôtel et pris le métro pour aller chercher mes affaires à l’appartement et y déposer mes affaires de nana.
Je retrouvais mes camarades de classe, je les voyais différemment car je n’étais plus pucelle. Mais je gardais le secret quant à mes relations sexuelles homo. Je me surprenais à essayer d’évaluer les sexes de mes camarades, celui-ci devait avoir une belle queue bien longue, celui la plutôt normal. Une partie de vie antérieure continuait son chemin et je m’épanouissais dans ma nouvelle vie sexuelle avec mon amant et ses amis. Car régulièrement, au moins deux fois par mois, il y avait la fameuse soirée entre amis et Ben voulait absolument que j’y participe, ce qui ne me déplaisait pas. J’ai gouté à toutes les positions sexuelles pour faire jouir mes partenaires. Un soir Ben et moi avons été sodomisés enlacés l’un contre l’autre se roulant des pelles. C’était le top de la soirée. Ma garde-robe a commencé à s’étoffer avec quelques jupettes très courtes, des petits hauts très courts aussi dévoilant mon ventre plat et mon corps fin (1m74 pour 57 kg). Ben m’a offert une perruque brune en cheveux naturels et longs. Mes jouets sexuels ont évolué de plus gros plugs anaux, un vibromasseur, un collier avec une plaque sur laquelle était inscrit « annie la salope ». Je devenais leur jouet et j’aimais mon rôle, ils me faisaient jouir mais ce que j’aimais le plus était de les faire jouir, de sentir leur désir de moi, de sentir leur sperme en moi. Durant quelques mois Ben et moi avons eu des semaines à 3 nuits de baise et d’autres à 4 nuits de baise. Parfois il m’était difficile de récupérer.
Ben s’absenta encore durant 3 semaines, et il a demandé à ses amis de me baiser sur le même rythme, c’est à dire 3 fois par semaine. Mon emploi du temps était full comme dise les Anglais. Trois nuits de baise avec l’un ou l’autre plus 3 nuits de travail à l’hôtel, la semaine était presque complète. Je n’avais qu’une nuit de repos.
A l’école, je rencontrais quelques soucis bien qu’ayant été discret, certains de mes camarades se posèrent des questions sur ma sexualité. Nous avions deux heures de sport le jeudi après-midi. Un jour, nous devions faire un match de volley qui a duré jusqu’en soirée et par une chaleur écrasante. Notre coach nous a conseillé de prendre une douche après le match et avant d’aller manger tous ensemble. Etant libre j’ai accepté comme la totalité de mes équipiers. Ce que j’avais oublié, c’était mon épilation complète avec un petit ticket de métro au-dessus de mon petit sexe et mon slip de fille. Pour le slip, j’ai enlevé mon short et slip en même temps mais certains m’ont vu sous la douche imberbe et mon ticket de métro au-dessus de mon petit sexe, en comparaison à eux. Il n’y a pas eu de commentaires ce jour-là. Quelques jours plus tard, un de mes camarades m’a demandé pourquoi j’avais le sexe épilé. Je lui ai expliqué qu’il s’agissait d’un gage lors d’un strip poker. Je ne sais pas s’il m’a cru et ça a commencé à parler sur moi. Je devais être vu comme le petit PD de la classe. Après tout c’était vrai et je m’épanouissais sexuellement ainsi. Tant que ce n’était que des rumeurs et qu’ils n’avaient pas de preuve. Mais je devais faire attention quand même. Pour la visite médicale annuelle j’avais pris mes précautions et étais venue avec de sous-vêtements de garçon (caleçon). Je me suis résolue à ne plus porter en cours de sous-vêtements féminins, uniquement mon rosebud ou un plug. Peu à peu, les ragots se sont raréfiés à mon plus grand soulagement. Mes journées étaient consacrées à mes études et mes nuits à la débauche. Je me sentais de mieux en mieux, je m’épanouissais et gagnais en assurance. Parfois je me disais en arrivant à l’école après avoir été baisée une partie de la nuit, s’ils savaient que j’ai un plug dans le cul qui garde précieusement le sperme de mes amants dans mes entrailles.
Quand Ben rentra, bien que je fusse sodomisée par ses amis plus de fois qu’avec Ben, j’avais une faim sexuelle qui surpris mon amant. Il s’est même demandé si ses amis avaient joué le jeu. Je le rassurais mais lui avouais que j’avais besoin de sa queue à lui. Il me sodomisa comme jamais, il est entré encore plus profondément que d’habitude et quand il m’a fécondé, je lui ai demandé de continuer à m’enculer, que sa queue me baise toute la nuit Il se concentra pour y arriver, sa queue ne me quittait plus, c’était trop bon.