Ma vis sexuelle de travesti 1 - histoire érotique

Pendant des années, je me donnais du plaisir ainsi parfois en regardant des photos de femmes déshabillées. J'avais très peu de conquêtes, étant très complexé par mon petit sexe par rapport à tous mes amis. Je voyais les couples se faire puis se défaire et moi je plongeais le soir dans ma solitude et n'avais que la masturbation pour me donner un peu de plaisir.

Un dimanche, j'accompagnais un ami qui faisait les championnats de France de judo et lors de cette journée, je fis la connaissance d'un garçon joli rouquin et sa beauté qui m'a troublé. En rentrant je me suis ressaisi et je me suis dit que je ne le reverrai jamais, que ma voie était de trouver une femme pour avoir des enfants et rentrer dans le modèle judéo-chrétien qu'était mon éducation. Je refoulais alors l'idée d'être homosexuel.

Trois années plus tard, ayant pu avoir un job d'été en tant que veilleur de nuit dans un petit hôtel à Paris dans lequel je travaillais trois nuits par semaine, au noir bien sûr de 19h00 à 7h00. Le lendemain, j'ai rencontré un homme qui a changé ma vie.

En effet au dernier étage de l'hôtel vivaient trois hommes à l'année chacun dans une chambre. Un de ces trois hommes était homosexuel (Ben) et tournait régulièrement des films pornos en Suède.
Mes cheveux longs, bruns, mon corps mince (1m74 pour 58 kilos), mes traits de visage fins semblaient lui plaire et nous discutions assez souvent. Un jour il me donna quelques bouquins illustrés pour passer la soirée. Quand je les ouvris, il s'agissait de bouquins pornos avec des homosexuels et des travestis. Je les parcourais et je me surpris à bander très fort en regardant des sodomies, des fellations et du sperme coulant des orifices et des bouches. Ce soir-là, je me suis masturbé plusieurs fois, j'ai eu envie de sentir un sexe d'homme dans ma bouche ou en moi entre mes fesses.

Après avoir fini mon poste, je rentrais chez moi et ne pensais qu'à mes lectures. Je ne reprenais mon travail que le lendemain soir et toute la journée j'ai pensé aux travestis qui habillés en femme jouaient le rôle de femme et j'ai relu une paire de fois ces passages qui m'ont excité comme jamais. Je me suis tellement masturbé que je n'avais plus rien à éjaculer.

Le soir venu je prenais mon poste et vis Ben rentré à l'hôtel vers 20h30. Il vint me saluer et nous discutâmes. J'en profitais pour lui rendre ses livres. Il me demanda si j'avais été intéressé par la lecture, je lui répondis par l'affirmatif et il me regarda avec un petit sourire. Il avait certainement senti l'émoi que ces livres m'avaient procuré. Puis il monta dans sa chambre.

Vers 23h00, je fermais la porte de l'hôtel, mis la sonnette extérieure en fonctionnement et je m'assis sur un fauteuil pour m'assoupir quand l'ascenseur s'ouvrit et Ben apparut. Il était habillé d'un peignoir de bain le haut de celui-ci très échancré montrant une chaîne traversant sa poitrine. Il me dit ne pas arriver à dormir et si je pouvais lui préparer un thé. J'allais à la cuisine pour le lui faire, il me suivit et pendant que je faisais les préparatifs il m'enlaça par-derrière, ses mains sur mes seins, ce qui me fit frissonner. Il s'en aperçut et me dit qu'il avait envie de moi, son souffle dans mon cou, mes tétons pointant et un début d'érection se faisant naître. Il me fit tourner sur moi-même et je me trouvais en face de lui, peignoir ouvert tout nu, son sexe dressé et sa chaîne entre les deux piercings de tétons. Il me prit dans ses bras et me serra contre lui pour me rouler une pelle ce qui fit dresser mon petit sexe. Ensuite il me proposa de monter dans sa chambre.

Je lui fis remarquer que je ne pouvais pas quitter mon poste alors il me dit qu'il mettrait un talkiewalkie à mon poste et un dans sa chambre. Il était minuit et peu de chance d'avoir encore une activité avant 5h00 du matin. Je le suivis comme un automate avec mon cœur qui battait très fort d'angoisse, mais j'en avais tellement envie.

Une fois dans la chambre il enleva son peignoir il ne lui restait que sa chaîne et je découvris un bel homme musclé, mince, bien proportionné pour ses 45 ans. Il me demanda de me mettre entièrement nu. J'enlevais mon jean, mon slip et ma chemisette ainsi que mes chaussures et me présentai à lui également nu. Son sexe bandé était le double même peut-être plus que le mien. Il me caressa ma petite queue et mes deux petites noisettes. Il me fit une fellation, me titilla le méat, pelota mes bourses. Si je ne m'étais pas vidé les bourses avant il m'aurait fait jouir tout de suite. Puis il s'allongea sur le lit en m'y entraînant, saisit sa queue bien raide et me dit à ton tour. Je compris que je devais faire ce qu'il venait de faire un instant plus tôt. Je me mis à genoux sur son côté et pris en bouche ce sexe qui ne demandait que cela.

Pendant que je le léchais et le suçais, il me pelotait les couilles, le sexe, les tétons, les fesses et l'anus qu'il pressa du bout des doigts à plusieurs reprises. Il soupirait de plaisir et me dit que je suçais bien peut-être un peu rapidement. Je rectifiais alors la vitesse de mes aller et retour. Voilà c'est parfait, me dit-il et ne me croyait pas quand je lui dis que c'était la première bite que je suçais. Il pressa sur ma nuque et je sentis les contractions de son membre avant qu'il n'éjacule dans ma bouche. Je lâchais le membre et la bouche pleine il me dit tu peux l'avaler doucement. Ce que je fis et à ma grande surprise j'ai trouvé son sperme très bon bien que salé.

Nous restâmes un bon moment à discuter de ce que je cherchais, de ma vie sexuelle, de mes complexes concernant mon petit sexe. Il le trouvait très mignon et me dit que j'étais certainement un passif et que nous le verrons prochainement. Tout cela allait occuper mes pensées les jours suivants.

Première relation avec un homme, première pipe, premier sperme que je goûtais. J'étais aux anges, tout satisfait de ce que j'avais fait lorsque je le quittais pour reprendre mon poste.