Mais qu'est-ce qui m'arrive ?

- Par l'auteur HDS Queuedusexe -
Auteur homme.
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Récit libertin : Mais qu'est-ce qui m'arrive ? Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mais qu'est-ce qui m'arrive ?
Mon père est un homme d’affaires. Un vrai homme d’affaires, très riche, très occupé. Mais malgré ça, il nous a accordé du temps à moi et ma sœur jumelle.
Ma mère a quitté mon père quand nous avons eu 18 ans. Ça faisait des années qu’on voyait que ça n’allait pas très bien entre eux.
Ils se sont quitté en bons termes mais je pense que la vie de mon père ne laissait pas assez de place et de temps pour elle. Elle en a eu marre et a préféré partir.
Elle a trouvé quelqu’un environ 1 an après et je sais qu’elle est heureuse. C’est un homme bien, de son âge qui l’aime et qui lui porte l’attention qu’elle mérite.
J’adore ma sœur jumelle. Pourtant, il est compliqué de faire plus opposé. C’est une artiste dans l’âme et elle réussit à vivre un peu de son art. Papa l’aide quand même beaucoup.
Elle est libre dans sa tête et dans son corps. Elle a eu de nombreux petits amis et encore plus de coups d’un soir. Elle aime faire la fête, sortir.
Pour ma part, je suis plus came, plus introvertie même si je suis loin d’être timide. J’ai eu un copain sérieux pendant presque toutes mes études mais au final, on a tous les 2 senti la passion s’évaporer. Quand on a rompu, j’ai quand même éprouvé un grand sentiment de vide.
Mon père gérait depuis pas mal d’années une société créée par lui. Il avait investi dans le secteur de l’immobilier et, sentant mon intérêt, m’avait appris énormément.
Les collaborateurs me connaissaient depuis longtemps et sans vouloir être prétentieuse, je suis plutôt maligne. J’ai naturellement pris la tête de la société à la fin de mes études. Pendant 3 ans, j’ai dû vraiment bosser comme une dingue pour arriver à m’occuper correctement des projets en cours, ou de ceux que mon père rapportait. Je ne vais pas dire que je n’ai pas fait une ou 2 boulettes mais clairement, le sens des affaires de mon père coulait dans mes veines et il en était plutôt fier.
Pendant cette période, mes seuls véritables loisirs étaient le sport que je pratiquais dans une salle juste à côté des bureaux, et la natation. J’ai rencontré bon nombre d’hommes qui m’ont dragué dans le milieu professionnel mais j’étais totalement contre. Trop de complications seraient possibles si une relation tournait mal.
Et la salle de sport… J’ai repoussé un bon nombre de gars. Forcément, j’en trouvais quelques-uns plutôt bien foutus mais aucun ne me plaisaient réellement et de la même manière, c’était trop près de mon boulot. La salle était trop pratique pour moi pour que je prenne le risque de m’y sentir mal à l’aise face à un ex.
Mais de temps en temps, Je sortais avec Léa, ma sœur. C’est dans ces moments-là que, me sentant trop seule, ou même carrément en manque, j’ai craqué, poussée par Léa à rechercher du bon temps.
Je ne sais si les mecs étaient nuls ou si c’était mon besoin d’avoir bu un peu plus que d’habitude mais le sexe n’était jamais réellement satisfaisant. Le seul point positif que j’en retirais, c’était ma capacité à séduire à peu près qui je voulais.
Ma sœur et moi attirons les regards. Elle a juste un côté un peu plus fou fou. Il n’y a pas de doute à avoir, on est bien sœurs jumelles. En dehors de notre coupe de cheveux, nous sommes identiques.
Je suis assez jolie de visage, grande, fine mais pas maigre, des seins vraiment beaux je trouve. J’aurais aimé avoir un peu plus de fesses mais je me dis que ça viendra bien assez vite. Du coup, on se fait draguer. Je n’ai couché qu’avec 6 mecs en 4 ans, et aucune relation durable, que des coups d’un soir avec de parfaits inconnus. Pour être honnête, j’en avais marre mais où trouver le bon. Heureusement, les sextoys existent.
Puis, on a eu un projet vraiment très gros à gérer. Ça m’a pris beaucoup de temps à le mettre en place. C’était un programme immobilier avec une finalité liée à la production d’énergie renouvelable.
Les autres sociétés de mon père avaient les compétences nécessaires pour tout ce qui concernait les énergies renouvelables. Moi et mon équipe, on s’occupait de tout l’aspect immobilier. L’avantage du projet, c’est que nos bureaux étaient à moins de 30 minutes de route du projet.
On a mis en concurrence des sociétés locales pour faire les travaux mais par contre, mon père a fait intervenir une société qu’il connaît depuis au moins 20 ans pour la maîtrise d’œuvre.
Le domaine viticole sur lequel on devait travailler était encore en activité. Dans les premiers jours du lancement des travaux, je suis allée souvent sur site.
C’est au bout d’une semaine à peu près qu’un concours de circonstance aurait pu me coûter très cher. J’étais sur le chantier car je devais rencontrer l’électricien en charge de la rénovation de tout le bâtiment. Je l’attendais, au téléphone avec un collaborateur du bureau pour un autre projet.
Un engin de chantier reculait alors je me suis un peu poussé sur le côté du bâtiment, sans m’apercevoir que j’étais trop proche de l’échafaudage.
J’ai entendu crier au-dessus de moi alors j’ai levé les yeux. Des gravats tombaient vers moi et j’allais tout prendre sur la tête, incapable de réagir.
Je me suis sentie tirée en arrière… Violemment, et perdre l’équilibre. Tout s’est passé en une fraction de seconde mais je me rappelle m’être dit « je vais avoir mal en tombant »Mais finalement, je suis tombée sur un homme qui a complètement amorti ma chute avant de rouler sur moi alors que les gravats tombaient, pas loin de nous.
On a pu se relever, couverts de poussière. J’étais très gênée. Très vite, quelques ouvriers étaient autour de nous, se confondant en excuses. Une brouette avait basculé, déversant les gravats au mauvais endroit.
J’ai raccroché mon téléphone après avoir rassuré mon interlocuteur et ensuite j’ai rassuré tout le monde, disant que je n’aurais jamais dû me trouver là à la base. Je voyais bien leurs regards inquiets.
J’ai enfin pu regarder l’homme qui m’avait évité de gros ennuis.
Il était en train de se dépoussiérer. Il était plus grand que moi, 1.85m je dirai, des épaules larges. Il portait un teeshirt et un jean. Je dois avouer que le tout moulait un corps bien fait. Je lui donnais trente ans à peu près.
Il souriait, visiblement pas énervé de ma boulette car clairement, je n’avais rien à faire à 50cm de l’échafaudage. Pourtant il se tenait le coude qui était légèrement en sang.
- Je suis vraiment désolée Monsieur. C’est entièrement de ma faute.
- C’est pas grave… Honnêtement, je préfère ça que de vous voir après avoir reçu tout ça sur la tête.
J’ai regardé les gravats tombés à terre et il y a avait des pierres assez grosses.
- En tous cas, merci beaucoup… Mais il faut laver votre coude. Je vais le faire.
- Non, ce n’est pas la peine.
- Si, j’insiste.
- Bon, on va aller au bureau.
Il m’a donné la trousse de soin et j’ai lavé. J’ai trouvé la plaie assez propre mais un peu trop grosse à mon goût.
- Vous ne devriez pas faire un tour chez le médecin ? Il y a peut-être besoin de points de suture.
- Non, ça va aller. Regardez !
Il a pris une sorte de petit strap qu’il a collé en travers de la plaie pour la laisser fermée, puis un pansement plus gros par-dessus.
- Hop, comme neuf.
J’ai levé les yeux vers lui. Grosse erreur ! Je crois que cet instant a scellé mon avenir. Je me suis perdue dans des yeux d’un bleu clair et très beau, rieurs… Et son sourire était franc, dévoilant de belles dents bien blanches.
Je me suis redressée, consciente que je l’avais fixé un peu trop longtemps. J’ai senti le rouge me monter au joues. Je me suis présentée pour faire diversion.
- Je suis Julie Mardin. Je suis en charge du projet de rachat et de rénovation des bâtiments.
- Oui, mon petit doigt me l’a dit.
- Votre petit doigt ?
- Vous savez, dans un vignoble, tout se sait très vite et on n’a pas souvent plusieurs jours de suite la visite d’une jolie jeune femme dans un 4*4 de luxe… attention, ce n’était pas péjoratif pour le 4*4…J’aurai pu mal le prendre mais il était sincère. Je le voyais… Et je gardais bien en mémoire qu’il me trouvait jolie.
- Au fait, je suis Thomas Fretan. Je suis le gérant du domaine. Vous pouvez m’appeler Tom, comme tout le monde.
- Oh ! On m’avait dit que le gérant était presque à la retraite.
- Je suis bien conservé non ? Je rigole… Eh bien, c’est mon père. Il a décidé de se retirer un an plus tôt que prévu.
- D’accord. Je n’étais pas au courant.
- Alors, on va forcément se revoir à un moment ou un autre du projet.
- Oui, tant mieux… enfin, je veux dire… c’est bien qu’on ait déjà fait connaissance… Enfin, pas forcément de cette manière… Bon, je vous laisse, je viens de voir que mon rendez-vous viens d’arriver.
- D’accord… A bientôt.
Je suis partie en coup de vent. Bon sang qu’est-ce qui venait de m’arriver là ? Jamais je ne m’étais comportée comme ça. Pas capable d’aligner une phrase correcte ! Pas capable de le regarder sans me sentir complètement envoutée.
Le reste de l’après-midi, je me suis plongée dans mon travail. Mais de temps en temps, je levais la tête et par la fenêtre, j’ai vu Thomas 2 fois. Il paraissait à l’aise pour gérer le domaine.
La 2ème fois, il a tourné la tête vers la fenêtre et m’a fait un petit signe quand il a vu que je regardais vers lui. J’ai juste fait un petit sourire, rougissant comme une collégienne.
Le soir, j’ai appelé ma sœur. Il fallait que je lui raconte ça.
- Léa, j’aurai pu être assez gravement blessée aujourd’hui.
- Hein ? Ça va quand même ?
- Oui, je n’ai rien du tout… Grâce à un homme qui m’a évité de recevoir des pierres sur la tête… J’ai été un peu bouleversée tout l’après-midi. J’ai eu du mal à me concentrer.
On n’est pas pareille Léa et moi mais on est très proche, on se raconte tout. Léa a tout de suite su. Je ne sais pas comment mais on arrive à « sentir » certaines choses de temps en temps.
- Oh toi ! Tu as rencontré quelqu’un ! C’est ça ? C’est pour ça que tu m’appelle en fait ?
- Je… Je ne sais pas… Oui, certainement.
- Allez, raconte-moi tout.
Je lui ai tout raconté, n’omettant aucun détail sur ce que je ressentais.
- Julie, il t’a fait une sacrée impression ! Il est bien foutu ?
- Léa !!!!
- Alors ? Dis-moi !
- Oui, j’avoue ! Pas le genre musclé des salles de sport… Mais les muscles d’un homme qui travaille vraiment… Et ses yeux ! Ouah ! Mais je ne sais même pas s’il a quelqu’un.
- Il a une alliance ?
- Je ne crois pas non.
- C’est déjà une bonne chose. Maintenant, il faut que tu trouves une raison de le voir plus souvent sœurette !
- Non, hors de question ! Je ne mélange pas les affaires et la vie privée.
- Dans ce cas-là, tu finiras bonne sœur ! Tu n’arrêtes pas de travailler ! S’il te plaît tant que ça, il faut que tu le revoies… Et pas que professionnellement !
- Et s’il n’est pas intéressé ?
- Il le sera s’il est célibataire. Mais pour une fois, peut-être que c’est à toi de prendre les devants. Il t’a clairement tapé dans l’œil celui-là.
Ce soir-là en me couchant, j’ai eu des flashs. Les muscles de son bras sous mes doigts quand je le soignais ; son sourire, ses yeux ; son teeshirt sous lequel se dessinaient ses pectoraux.
Mon sexe était bouillant. Je me suis fait violence pour ne pas me masturber.
Les jours suivants, on se croisait régulièrement. Chaque fois, le bonjour était chaleureux. J’essayais de ne pas paraître trop troublée mais je n’y arrivais pas. Intérieurement, il me faisait toujours autant d’effet.
Et puis, j’ai voulu connaître un peu plus le domaine. J’ai demandé à Thomas s’il voulait bien me le faire visiter. Il a accepté avec plaisir. Je me suis habillé à chaque fois de manière détendue mais suffisamment féminine pour me mettre en valeur.
On a passé toute une après-midi ensemble. Il m’a montré les endroits où les travaux seraient nécessaires pour les réseaux électriques du projet lié à l’énergie renouvelable. J’ai posé des questions sur la culture du raisin aussi et je me suis aperçue qu’il aimait son métier et que le vignoble tournait vraiment bien.
Il voulait être à la pointe et c’est pour ça qu’il avait accepté de participer au projet de panneaux solaires orientables au-dessus des vignes.
Le lendemain, il m’a montré toutes les installations techniques. Je n’y comprenais pas forcément grand-chose mais on parlait aussi de plein d’autres choses. Et surtout, je faisais plus ample connaissance. Tout ce que j’apprenais de lui me plaisait.
J’avais cru comprendre qu’il était célibataire mais il n’a rien laissé entendre quant à son intérêt pour moi. J’ai bien vu une fois ou deux un regard sur mon décolleté ou sur mes jambes mais la quasi-totalité des autres hommes me regardaient beaucoup plus ouvertement que ça.
J’ai eu mon père au téléphone cette semaine-là. On a parlé des affaires en cours.
- Alors, comment avance les travaux au domaine ?
- Bien ! On a eu un souci avec le plombier qui avait mal pris en compte la difficulté des rénovations mais ça va rentrer dans l’ordre.
- OK. Et avec Thomas ? Ça avance ?
- Hein ! Quoi ?
- Ben oui, avec Thomas, ça avance comment ?
- … C’est Léa ! Elle t’en a parlé ! Je vais la tuer !
- Attends, ne t’énerve pas ! Tu connais ta sœur, elle me raconte tout. Elle n’a pas pensé à mal.
- …- Il te plaît, c’est ça ?
- Euh ! C’est un peu gênant de parler de ça avec toi !
- Ecoute, je voulais juste te dire une chose et après je n’en parle plus. N’oublies pas qu’indirectement, à ses yeux, tu es son employeur. Moi, je n’y vois aucun inconvénient car une fois le projet terminé, il est tout à fait possible que vous n’ayez plus aucun contact professionnel. Par contre, lui, il voit peut-être ça comme un éventuel problème pour son emploi. Il faut que tu réfléchisses à un moyen de le rassurer dans ce sens-là.
Il a raccroché là-dessus, me laissant sur le cul. J’étais énervée après Léa et je le lui ai bien fait savoir. D’un autre côté, papa avait raison, s’il raisonnait comme moi, une relation avec son employeur était hors de question… Comment faire ?
Pendant 15 jours, on s’est vu occasionnellement. Il était toujours aussi charmant, j’étais toujours aussi nunuche. Jusqu’à ce qu’on se retrouve tous les deux seuls une fois au café. On discutait de tout et de rien.
- Thomas !
- Oui ?
- Je dirige le projet immobilier, pas le domaine. Je n’ai aucun pouvoir de décision concernant l’activité viticole…- Mais vous avez une remarque à me faire.
- Non, justement non, aucune. Je n’y connais rien et n’y connaîtrais sûrement jamais rien… Je… Ce que j’essaie de vous dire c’est que… Je… J’aimerais bien qu’on se voit en dehors du cadre professionnel… Et que je ne veux pas que vous pensiez que ça pourrait avoir un impact sur votre travail.
Je me sentais rouge écarlate en disant tout ça.
Thomas m’a regardé d’un air très sérieux et s’est avancé vers moi. Il a passé une main sur ma joue et a déposé ses lèvres sur les miennes. J’ai poussé un soupir de bien être, de soulagement.
- Julie, j’ai envie de faire ça depuis que je t’ai vu enlever la poussière de tes cheveux le premier jour où on s’est rencontré.
- Vraiment ?
- Oui ! Vraiment ! Tu ne peux pas savoir combien de fois j’ai voulu t’inviter à dîner mais chaque fois, je me disais que ce n’était pas possible !
- Tu n’as pas vu à quel point j’en avais envie ?
- Je croyais le voir… Mais je n’osais pas y croire.
Puis, on a entendu des pas. Thomas s’est écarté de moi. Je suis retourné voir le maître d’œuvre et j’ai quitté le chantier après.
A 16h00, j’avais un texto de Thomas.
- « Si je n’ai pas rêvé ce que tu m’as dit tout à l’heure ni le baiser, est-ce que tu accepterais de dîner avec moi demain soir ? »- « Bien sûr, j’en ai très envie »- « A quelle heure et à quelle adresse je peux passer te prendre ? »- « 19h30 ça te va ? »- « Parfait ! A demain ! J’ai hâte ! »- « Tu sais où tu m’emmènes ? je dois m’habiller comment ?»- « Oui, rien de chic mais sympa. Quoi que tu mettes, ce sera très bien ! »J’ai levé les bras au ciel dans mon bureau ! trop contente ! Une collaboratrice et amie m’a regardé en souriant, interrogatrice. J’ai préféré ne rien dire pour l’instant.
Le lendemain, un vendredi, j’ai quitté le bureau à 16h00 sous le regard étonné de tout le monde. Je n’ai pas à me justifier car je suis la patronne mais d’habitude, je suis la dernière à partir ou presque. Je me suis préparée minutieusement. Je ne savais pas exactement où allait nous mener la soirée mais j’étais sûre d’une chose… Je serais incapable de lui résister s’il voulait finir sous les draps.
J’ai ouvert la porte à Thomas dans une jolie robe et il a été tout de suite conquis. Il faut dire qu’elle mettait très bien en valeur mes jambes, ma taille fine et mon décolleté. Lui, portait une jolie chemise. Sinon, il était le même que dans le vignoble, les cheveux très légèrement en bataille, une barbe naissante. Pas le genre d’homme avec qui je flirtais d’habitude, plus rugueux, plus vrai !
J’ai mis les fleurs dans un vase et il m’a emmené dans un restaurant que je ne connaissais pas du tout. Il y avait une ambiance gaie, du bruit mais pas assez pour être gênant pour parler. La soirée est passée vite. On était presque les derniers à quitter le restaurant. J’avais appris plein de choses sur lui, ses passions et lui sur les miennes.
Quand on est sorti du restaurant, on s’est naturellement retrouvé dans les bras l’un de l’autre. On s’est embrassé un long moment. Le désir au creux de mon ventre était insoutenable en sentant son corps puissant tout contre moi. On s’est finalement séparé et je pouvais aussi lire son désir dans ses yeux.
- Julie, je ne me suis jamais senti aussi bien avec quelqu’un… Mais je crois qu’il faut que je te ramène.
On est monté dans sa voiture et au moment où il a allumé le moteur, j’ai eu une pulsion. J’ai posé la main sur sa cuisse et il a tourné les yeux vers moi.
- Je ne veux pas rentrer chez moi. Si tu veux bien, je voudrais passer le reste de la nuit dans tes bras, chez toi.
Il m’a souri et on a discuté pendant les 20 minutes de route jusque chez lui. Il habitait une jolie maison avec un terrain qui m’a paru grand et j’ai été accueillie par 2 chiens qui m’ont fait la fête, adorables.
Il m’a servi un verre d’eau pétillante mais il les avait à peine posés sur la table de salon que je l’ai poussé dans le canapé en me mettant sur lui. Il me regardait en souriant alors que j’enlevais les boutons de sa chemise.
Thomas avait des poils sur ses pectoraux. Pas à outrance mais J’aimais ça. Les soi-disant playboys des salles de sport qui s’épilent ou se rase, ça me mets mal à l’aise. Ce n’est pas naturel et ça manque cruellement de virilité. Il avait aussi une ligne de poils bruns partant juste sous le nombril vers sa ceinture. J’aimais beaucoup. Sa musculature était belle et naturelle. Ça faisait un moment que j’étudiais son torse.
J’ai levé les yeux vers lui. Il me regardait en souriant, tout à fait conscient qu’il me faisait beaucoup d’effet. Il ne m’avait presque pas touché mais j’avais déjà envie de lui comme d’aucun autre auparavant.
Puis, sa bouche a pris possession de la mienne. Ses mains ont exploré mon corps. D’abord à travers mes vêtements, puis à même la peau au fur et à mesure que mes vêtements quittaient mon corps comme par magie.
Il aimait mes seins, la peau de mon cou aussi, zone infiniment érogène pour moi, envoyant des frissons de désir jusqu’à mon sexe qui se liquéfiait.
Finalement, je l’ai déshabillé. Son sexe bandait dur, à l’image de son corps, puissant, une grosse veine courant sur le côté. Je pense qu’il est aussi long que l’amant le mieux membré que j’ai connu… Mais bien plus épais, avec un gros gland d’où sortait déjà une goutte preuve de son désir.
- Je te veux en moi Thomas ! Tout de suite !
- Il faut que je te goutte d’abord ! tu es tellement désirable !
- NON. En moi. Tu… Tu pourras faire ce que tu veux plus tard.
J’ai saisi son sexe d’une main, prenant appui sur son épaule avec l’autre. J’ai fait passer le gland sur son sexe, le couvrant de mon jus.
Je suis descendue sur lui, retenant ma respiration, sentant son sexe pénétrer massivement mon antre trempé. Je ne me suis arrêtée qu’une fois me sentant en butée. J’ai laissé échapper un long râle de plaisir. Le simple fait que thomas saisisse à ce moment-là ma tille fine dans ses mains larges m’a transporté vers un orgasme vraiment fort. Une fois calmée, j’ai commencé mes mouvements.
J’ai vu rapidement à quel point Thomas aimait lui aussi les sensations. Son plaisir venait. Une minute supplémentaire de cette douce torture et Thomas jouissait au plus profond de moi, m’emmenant immédiatement dans un nouvel orgasme alors que je sentais son foutre inonder ma matrice.
J’avais envie de rester collée à lui mais j’avais aussi une furieuse envie d’uriner.
Je me suis levée en mettant ma main entre mes jambes pour retenir ce qui pourrait couler et j’ai trottiné vers les toilettes. J’ai entendu Thomas rigoler et je me suis retournée pour lui tirer la langue.
J’ai juste eu la vision de Thomas, presque allongé sur le canapé, les mains croisées derrière la tête, avec son beau sourire franc. Je craquais complètement.
Je me suis essuyée et j’ai fait une petite toilette intime. Quand je suis sortie, Thomas m’attendais à la porte de la salle de bain. Il m’a immédiatement serré dans ses bras. Son sexe était frais, preuve qu’il avait lui aussi fait une toilette.
Il m’a porté dans ses bras et m’a allongé doucement sur son lit. Ses mains ont parcouru tout mon corps, ses lèvres presque autant. J’adorais ses mains sur moi.
Il a écarté mes cuisses et s’est rapproché petit à petit de mon sexe, me faisant languir. Enfin, sa langue à lécher mon sexe, chaude, humide, tellement bonne.
- Enfin, je te mange mon amour !
- Oh Oui ! Thomas j’aime ! J’aime !
Thomas m’a léché un long moment, a inséré un doigt en moi et j’ai à nouveau joui.
- Fais-moi l’amour thomas. J’ai tellement envie !
Il s’est placé comme il faut. J’ai à nouveau senti son magnifique sexe entrer en moi alors que je gouttais mon plaisir sur ses lèvres. Thomas est entré lentement, me faisant ressentir à quel point il me remplissait bien. Jamais je n’avais connu de telles sensations.
Thomas m’a fait l’amour longtemps, son gland venant tout au fond de moi, nos pubis frottant l’un contre l’autre. Mais gémissements étaient presque permanents, parfois de simples soupirs dans on oreille, parfois de vrais cris de jouissance.
Il me couvrait de baiser, de caresses. Puis, il m’a complètement couvert de son corps, boquant mes mouvements. J’ai simplement enserré sa taille de mes jambes alors qu’il accélérait ses mouvements.
Mon orgasme a été puissant et s’est fini juste avant que je sente Thomas se tendre contre moi, son sexe pulsant dans le mien. J’étais complètement sonnée. Thomas s’est allongé à côté de moi. Je me suis endormie en un temps record, lovée dans ses bras.
Je ne me suis réveillée que vers 9h00, seule dans le grand lit. La maison était vide aussi. Il y avait juste un petit mot sur la table de la cuisine « Je suis parti au vignoble pour réceptionner du matériel. Je serais de retour pour 10h00 maxi. Bisous »La table du petit déjeuner était mise avec tout ce qu’il fallait. Je venais de finir de tout ranger (en passant mon temps à chercher où tout ranger) quand sa voiture est arrivée.
Il est entré dans la cuisine et il s’est stoppé dans l’embrasure de la porte. Il m’a regardé des pieds à la tête. Il m’a souri et il est venu pour moi pour un baiser passionné. Je portais pour seule et unique vêtement la chemise qu’il portait la veille au soir. Elle n’était fermée que par un simple bouton entre mes gros seins et arrivait juste sous mes fesses.
On n’avait pas échangé un mot mais on savait déjà tous les deux comment on allait passer les prochaines minutes… Ou heures.
Aussitôt, ses mains ont pris possession de mes fesses et sont passées sous la chemises pour me caresser. Je lui ai enlevé son teeshirt aussitôt. Je l’ai collé à la table de la cuisine et il a posé ses mains dessus.
J’ai passé les mains sur son torse, appréciant la fermeté de ses pectoraux sous mes doigts. Puis j’ai embrassé son corps tout en défaisant sa ceinture et son pantalon.
J’ai enlevé tous ses vêtements d’un coup, libérant son sexe déjà à l’horizontale. Jamais je n’avais fait ça pour un homme auparavant. J’étais à ses genoux, dans la cuisine.
J’ai branlé doucement son sexe en approchant mes lèvres à quelques centimètres de mes lèvres. Il grossissait dans mes mains, durcissait. Quelle sensation incroyablement excitante !
Une goutte a perlé au bout. Je l’ai lapée et thomas m’a gratifié d’un grognement de plaisir. A partir de là, j’ai avalé ce que je pouvais de son sexe goulument. J’ai léché, sucé, branlé. Thomas gémissait, m’encourageait, me disait à quel point c’était bon.
Il m’a demandé d’arrêter, sur le point de jouir mais je voulais lui faire ce que je n’avais jamais fait à un autre. Son sexe a encore durci, son gland, grossi. Et enfin, j’ai senti les spasmes dans son sexe au même moment que son cri de jouissance. Ses jets de sperme se sont écrasés sur mon palais ou ma langue. J’ai tout avalé. Pas une goute ne m’a échappé. Thomas gémissait encore quand je suçotais le gland une dernière fois.
Je me suis relevée et Thomas m’a attiré à lui. On s’est embrassé un bon moment. Je sentais encore le plaisir qu’il avait pris dans ses caresses, sa respiration qui s’apaisait doucement. Et j’en tirais une fierté merveilleuse.
Cette fois, c’est Thomas qui m’a placé au bord de la table de la cuisine. Il a ôté le bouton et m’a caressé partout, léchant mes seins, dévorant mes tétons sensibles à cette caresse. J’adorais sentir sa barbe naissante sur la peau douce de mon ventre. Il s’est mis à genoux aussi et m’a fait un cuni doux, m’amenant lentement à l’orgasme. J’ai joui une première fois. J’allais me redresser mais il m’a maintenu en place. Sa langue ne quittait pas mon sexe. Un doigt est entré en moi, trouvant très ite la zone si sensible sous mon pubis.
Mon 2nd orgasme a été bien plus fort. Thomas m’a laissé me calmer quelques secondes avant de posé sa langue sur mon anus. J’ai crié de surprise. Il maintenait toujours mes jambes écartées mais je n’avais strictement aucune envie de bouger. Tout était trop bon, trop excitant.
Il m’a pris dans ses bras et m’a porté jusqu’au canapé. J’étais un plume pour lui, je sentais son sexe à nouveau dur contre mon sexe, prêt à me pénétrer. Mais il m’a déposée et retournée face au canapé. Mon excitation a encore grimpé. Thomas était très beau, très viril derrière moi.
Je me suis offerte à lui, cambrant mon dos, écartant un peu les genoux. Il n’a pas résisté à la vue et a passé sa langue depuis mon clitoris jusqu’à mon petit trou. J’ai gémi de désir.
Il a pointé son gland sur mon sexe et m’a embrochée lentement mais puissamment. Au début doux et patient, il m’a ensuite prise plus fort. Son sexe frottait partout en moi, m’emmenant vers une série d’orgasmes plus forts les uns que les autres. Il m’attirait à lui, m’embrassait, puis me penchait à nouveau en avant pour mes baiser encore.
Quand Thomas s’est vidé en moi, j’étais une boule de jouissance. On a mis un temps fou à retrouver notre souffle.
On a passé tout le weekend chez lui à parler, à apprendre à se connaître… à faire l’amour, partout et dans toutes les positions. Thomas était un amant exceptionnel et réveillait chez moi des envies, des pulsions que je n’avais jamais connues.
Nous étions un couple dès ce fameux weekend et notre relation n’a fait que grandir depuis.
Ma sœur est un peu jalouse de l’homme que j’ai trouvé… Surtout depuis une soirée pendant laquelle on a réalisé le fantasme ultime de Thomas… Qui a su nous combler toutes les 2 !!!!
Mais je me demande si je dois vraiment vous raconter ça ou laisser votre imagination faire le travail ?

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
tres belle histoire très érotique. Bravo



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