Malentendu
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Malentendu
— Quand il a été embauché et que je l’ai rencontré, j’ai rapidement eu envie de lui.
— Avec un collègue ça peut être risqué…— C’est pour ça que je suis pas allée trop vite comme j’aurais pu le faire dans une soirée. Alors il n’a pas été un coup d’un soir : c’est devenu un vrai petit copain.
— Bon coup ?
— D’une part oui… d’autre part, trop classique. J’avais un fantasme dont j’osais pas lui parler.
— Un truc particulièrement cochon ? Cru ?
— Oh te fais pas trop d’idées. Je parle d’un désir tout simple, pas spécialement subversif. La levrette.
— Pourquoi cette envie-là en particulier ?
— J’avais lu dans Biba que c’était la position la plus profonde. Et il faut croire que je suis profonde, car avec les mecs que j’ai eu avant je voulais toujours qu’ils aillent plus loin. Je n’en disais rien pour ne pas les complexer, mais j’étais à chaque fois déçue. Et comme lui était mieux membré, j’ai pensé que… voilà quoi.
— Dingue qu’il n’ait pas voulu te prendre de lui-même dans cette position. Encore plus dingue de ne pas oser lui en parler.
— Et pourtant !
— J’ai profité d’un week-end à la plage pour rester souvent allongée sur le ventre, en remontant bien le derrière comme il faut. Rigole pas ! Et puis aussi, je faisais mes exercices de yoga en insistant bien sur les postures à quatre pattes. Roooh mais arrête de rire !
— Est-ce qu’au moins ça a fonctionné ?
— Il en a été tout excité. Sur le chemin du retour, il m’a emmené dans le bois, et m’a fait mettre à quatre pattes. Enfin !
— Et ?
— Je me suis faite avoir.
— C’est-à-dire…— Je me suis faite enculer. Au sens propre du terme. Et brutalement en plus. Toute la journée du lendemain j’avais mal en m’asseyant, et je devais me forcer pour ne pas boiter.
— Tu pouvais pas l’arrêter !?
— C’était si rapide, je m’en suis vraiment aperçue qu’au moment où il a joui. Il était bien le seul à jouir…— Il a dû se dire « pour une fois que je croise une fille qui veut ça, faut en profiter ».
— Ça t’apprendra à ne pas t’exprimer clairement.
— Remarque… moi qui voulait de la profondeur, on peut dire que j’ai été servie !
Malentendu, rebelote
— Pourquoi tu me parles encore de consanguinité ?
— Après ce que tu m’as dit, je pensais que le sujet était ouvert avec toi.
— Tu n’as rien compris ! Quand je dis que chez moi on baise en famille ça veut dire que je couche au rez-de-chaussée pendant que ma grande sœur baise au sous-sol et que ma mère se fait sauter au premier, enfin ! Qu’est-ce que tu allais t’imaginer ?
— Avec un collègue ça peut être risqué…— C’est pour ça que je suis pas allée trop vite comme j’aurais pu le faire dans une soirée. Alors il n’a pas été un coup d’un soir : c’est devenu un vrai petit copain.
— Bon coup ?
— D’une part oui… d’autre part, trop classique. J’avais un fantasme dont j’osais pas lui parler.
— Un truc particulièrement cochon ? Cru ?
— Oh te fais pas trop d’idées. Je parle d’un désir tout simple, pas spécialement subversif. La levrette.
— Pourquoi cette envie-là en particulier ?
— J’avais lu dans Biba que c’était la position la plus profonde. Et il faut croire que je suis profonde, car avec les mecs que j’ai eu avant je voulais toujours qu’ils aillent plus loin. Je n’en disais rien pour ne pas les complexer, mais j’étais à chaque fois déçue. Et comme lui était mieux membré, j’ai pensé que… voilà quoi.
— Dingue qu’il n’ait pas voulu te prendre de lui-même dans cette position. Encore plus dingue de ne pas oser lui en parler.
— Et pourtant !
— J’ai profité d’un week-end à la plage pour rester souvent allongée sur le ventre, en remontant bien le derrière comme il faut. Rigole pas ! Et puis aussi, je faisais mes exercices de yoga en insistant bien sur les postures à quatre pattes. Roooh mais arrête de rire !
— Est-ce qu’au moins ça a fonctionné ?
— Il en a été tout excité. Sur le chemin du retour, il m’a emmené dans le bois, et m’a fait mettre à quatre pattes. Enfin !
— Et ?
— Je me suis faite avoir.
— C’est-à-dire…— Je me suis faite enculer. Au sens propre du terme. Et brutalement en plus. Toute la journée du lendemain j’avais mal en m’asseyant, et je devais me forcer pour ne pas boiter.
— Tu pouvais pas l’arrêter !?
— C’était si rapide, je m’en suis vraiment aperçue qu’au moment où il a joui. Il était bien le seul à jouir…— Il a dû se dire « pour une fois que je croise une fille qui veut ça, faut en profiter ».
— Ça t’apprendra à ne pas t’exprimer clairement.
— Remarque… moi qui voulait de la profondeur, on peut dire que j’ai été servie !
Malentendu, rebelote
— Pourquoi tu me parles encore de consanguinité ?
— Après ce que tu m’as dit, je pensais que le sujet était ouvert avec toi.
— Tu n’as rien compris ! Quand je dis que chez moi on baise en famille ça veut dire que je couche au rez-de-chaussée pendant que ma grande sœur baise au sous-sol et que ma mère se fait sauter au premier, enfin ! Qu’est-ce que tu allais t’imaginer ?
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