Maud et Sandrine (6)
Récit érotique écrit par Exorium [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Maud et Sandrine (6)
C’est Luc qui a repris ses esprits le premier. Il s’est redressé. Levé.
- Alors, les filles, pas trop déçues ?
- Ah, non alors !
Le cri du cœur. Toutes les deux ensemble.
Ils ont ri.
- Vous nous diriez le contraire… Bon, mais il serait peut-être temps de faire les présentations, non ? Alors lui, là, qui s’est si bien occupé de Sandrine en compagnie de Martial, c’est Boris. Le propriétaire de ces lieux enchanteurs. Quant à l’autre, dont Maud a pu apprécier tout à loisir les exceptionnelles qualités, c’est Augustin. Deux incorrigibles amoureux de la femme, mais pas seulement ! En sorte que, s’il vous prenait par hasard fantaisie de vouloir voir deux beaux mâles s’ébattre entre eux, ils ne se feraient qu’un plaisir de vous en offrir le spectacle.
Elles n’étaient pas contre, non. Bien loin de là, mais…- Mais ?
C’est Martial qui a répondu à leur place.
- Mais c’est que, pour le moment, elles préfèrent qu’ils s’occupent d’elles. Ils font ça si bien…Voilà, oui ! Ils avaient tout compris.
Ce qui, à l’évidence, enchantait Augustin.
- Oh, mais tant qu’elles veulent ! Tant qu’elles veulent !
Tant qu’elles voulaient, oui, mais Boris était d’avis qu’il aurait été judicieux de commencer par reprendre des forces.
- Vous avez pas faim, vous ?
Si ! Tout le monde crevait la dalle.
- Eh, ben allez alors ! Mais vous bougez pas, les filles, hein ! Vous restez là. On s’occupe de tout.
Et elles les ont regardés aller et venir. Tout nus. Tous les quatre. S’agiter. Sortir une table. Des chaises. S’affairer autour d’un barbecue.
Sandrine s’est redressée sur un coude.
- Ça a beaucoup de charme, moi, j’trouve, des types qui s’activent comme ça à poil.
Elle a poussé un profond soupir de satisfaction.
- Hou la la ! Quelle chevauchée ! Non, mais quelle chevauchée ! J’ai pris cher !
- Ils t’ont fait quoi ?
- T’as bien vu…- Ben non, justement ! J’ai rien vu du tout. J’étais trop occupée…- J’ai eu les deux dedans. En même temps. Boris devant et Martial derrière. Et ça, c’est un truc, quand il y a du savoir-faire… Et là, je peux te dire qu’il y en avait ! Ah, ils connaissent la musique, les salauds ! Et le pire, c’est que j’ai encore envie.
- Et moi, donc !
Ils les ont appelées.
- Vous venez ? C’est prêt.
Elles se sont approchées.
Il n’y avait que quatre chaises. Et elles étaient toutes les quatre occupées. Par eux quatre.
- Et on se met où, nous ?
- Où vous voulez. Vous choisissez.
Maud ne s’est pas démontée.
- Là, alors ! Ça a l’air confortable.
Et elle s’est installée, d’autorité, sur les genoux de Boris.
Sandrine, quant à elle, s’est dirigée tout droit vers Augustin.
- Je l’ai pas encore essayé, celui-là !
Et elle est allée s’asseoir sur lui, face à lui, une jambe passée de chaque côté de ses hanches.
Il a hoché la tête.
- Tu prends des risques.
Elle a pressé ses seins contre son torse.
- Oui, mais des risques mesurés.
Jeté ses bras autour de son cou.
- Ça te fait de l’effet en tout cas, on dirait ! Et pas qu’un peu ! Cette trique !
Elle l’a décalotté.
- Qu’est-ce que je pourrais en faire de ce truc-là ? À ton avis ?
Il a ri.
- Je n’en ai pas la moindre idée.
- Moi, si, je crois bien ! Allez, donne-moi ça!
Elle s’en est emparée, s’est empalée dessus dans un grand râle. A entrepris un lent mouvement de va-et-vient.
Luc s’est aussitôt mis à se branler énergiquement. Il s’est levé. Tout en continuant. S’est approché d’eux.
Maud l’a regardé faire. Non, mais comment il était monté, l’animal !
Tout près. Martial l’a rejoint. Leurs deux queues à s’activer, de chaque côté, au-dessus du dos de Sandrine dont les fesses s’ouvraient et se refermaient en cadence.
Boris lui a empaumé un sein. En a fait dresser la pointe.
Et lui a chuchoté à l’oreille.
- Ça t’excite, hein, de voir ta copine s’envoyer en l’air.
Oh, oui, ça l’excitait ! Comment ça l’excitait !
Il y a eu ses doigts sur sa chatte. Dans sa chatte.
- T’es trempée.
Là-bas Sandrine a doucement gémi. S’est activée plus vite sur la queue d’Augustin. De plus en plus vite.
Maud a supplié.
- Toi aussi, Boris ! Toi aussi, donne-moi ta bite !
Il l’a fait lever. Et il s’est appuyé contre elle. Contre son dos. Contre ses fesses. Elle s’est penchée. Penchée encore.
- Je la veux ! Je la veux !
Elle l’a eue. Il l’a enfoncée en elle. Loin. Profond. En est presque aussitôt ressorti.
- Oh, non !
Il est revenu. Elle l’a accueilli avec un grondement de pur bonheur.
- Bourre-moi bien ! Pilonne-moi ! Pilonne-moi !
En face, Luc s’est généreusement répandu sur Sandrine. Qui a eu, elle aussi, enlacée à Augustin, son plaisir clamé à grandes trilles éperdues. Et puis Martial. Qui lui a coulé tout au long de l’échine.
Boris aussi est venu. En elle. Elle a eu sa semence. Qu’elle a accueillie, reconnaissante avec une cascade de feulements endiablés.
- Alors, les filles, pas trop déçues ?
- Ah, non alors !
Le cri du cœur. Toutes les deux ensemble.
Ils ont ri.
- Vous nous diriez le contraire… Bon, mais il serait peut-être temps de faire les présentations, non ? Alors lui, là, qui s’est si bien occupé de Sandrine en compagnie de Martial, c’est Boris. Le propriétaire de ces lieux enchanteurs. Quant à l’autre, dont Maud a pu apprécier tout à loisir les exceptionnelles qualités, c’est Augustin. Deux incorrigibles amoureux de la femme, mais pas seulement ! En sorte que, s’il vous prenait par hasard fantaisie de vouloir voir deux beaux mâles s’ébattre entre eux, ils ne se feraient qu’un plaisir de vous en offrir le spectacle.
Elles n’étaient pas contre, non. Bien loin de là, mais…- Mais ?
C’est Martial qui a répondu à leur place.
- Mais c’est que, pour le moment, elles préfèrent qu’ils s’occupent d’elles. Ils font ça si bien…Voilà, oui ! Ils avaient tout compris.
Ce qui, à l’évidence, enchantait Augustin.
- Oh, mais tant qu’elles veulent ! Tant qu’elles veulent !
Tant qu’elles voulaient, oui, mais Boris était d’avis qu’il aurait été judicieux de commencer par reprendre des forces.
- Vous avez pas faim, vous ?
Si ! Tout le monde crevait la dalle.
- Eh, ben allez alors ! Mais vous bougez pas, les filles, hein ! Vous restez là. On s’occupe de tout.
Et elles les ont regardés aller et venir. Tout nus. Tous les quatre. S’agiter. Sortir une table. Des chaises. S’affairer autour d’un barbecue.
Sandrine s’est redressée sur un coude.
- Ça a beaucoup de charme, moi, j’trouve, des types qui s’activent comme ça à poil.
Elle a poussé un profond soupir de satisfaction.
- Hou la la ! Quelle chevauchée ! Non, mais quelle chevauchée ! J’ai pris cher !
- Ils t’ont fait quoi ?
- T’as bien vu…- Ben non, justement ! J’ai rien vu du tout. J’étais trop occupée…- J’ai eu les deux dedans. En même temps. Boris devant et Martial derrière. Et ça, c’est un truc, quand il y a du savoir-faire… Et là, je peux te dire qu’il y en avait ! Ah, ils connaissent la musique, les salauds ! Et le pire, c’est que j’ai encore envie.
- Et moi, donc !
Ils les ont appelées.
- Vous venez ? C’est prêt.
Elles se sont approchées.
Il n’y avait que quatre chaises. Et elles étaient toutes les quatre occupées. Par eux quatre.
- Et on se met où, nous ?
- Où vous voulez. Vous choisissez.
Maud ne s’est pas démontée.
- Là, alors ! Ça a l’air confortable.
Et elle s’est installée, d’autorité, sur les genoux de Boris.
Sandrine, quant à elle, s’est dirigée tout droit vers Augustin.
- Je l’ai pas encore essayé, celui-là !
Et elle est allée s’asseoir sur lui, face à lui, une jambe passée de chaque côté de ses hanches.
Il a hoché la tête.
- Tu prends des risques.
Elle a pressé ses seins contre son torse.
- Oui, mais des risques mesurés.
Jeté ses bras autour de son cou.
- Ça te fait de l’effet en tout cas, on dirait ! Et pas qu’un peu ! Cette trique !
Elle l’a décalotté.
- Qu’est-ce que je pourrais en faire de ce truc-là ? À ton avis ?
Il a ri.
- Je n’en ai pas la moindre idée.
- Moi, si, je crois bien ! Allez, donne-moi ça!
Elle s’en est emparée, s’est empalée dessus dans un grand râle. A entrepris un lent mouvement de va-et-vient.
Luc s’est aussitôt mis à se branler énergiquement. Il s’est levé. Tout en continuant. S’est approché d’eux.
Maud l’a regardé faire. Non, mais comment il était monté, l’animal !
Tout près. Martial l’a rejoint. Leurs deux queues à s’activer, de chaque côté, au-dessus du dos de Sandrine dont les fesses s’ouvraient et se refermaient en cadence.
Boris lui a empaumé un sein. En a fait dresser la pointe.
Et lui a chuchoté à l’oreille.
- Ça t’excite, hein, de voir ta copine s’envoyer en l’air.
Oh, oui, ça l’excitait ! Comment ça l’excitait !
Il y a eu ses doigts sur sa chatte. Dans sa chatte.
- T’es trempée.
Là-bas Sandrine a doucement gémi. S’est activée plus vite sur la queue d’Augustin. De plus en plus vite.
Maud a supplié.
- Toi aussi, Boris ! Toi aussi, donne-moi ta bite !
Il l’a fait lever. Et il s’est appuyé contre elle. Contre son dos. Contre ses fesses. Elle s’est penchée. Penchée encore.
- Je la veux ! Je la veux !
Elle l’a eue. Il l’a enfoncée en elle. Loin. Profond. En est presque aussitôt ressorti.
- Oh, non !
Il est revenu. Elle l’a accueilli avec un grondement de pur bonheur.
- Bourre-moi bien ! Pilonne-moi ! Pilonne-moi !
En face, Luc s’est généreusement répandu sur Sandrine. Qui a eu, elle aussi, enlacée à Augustin, son plaisir clamé à grandes trilles éperdues. Et puis Martial. Qui lui a coulé tout au long de l’échine.
Boris aussi est venu. En elle. Elle a eu sa semence. Qu’elle a accueillie, reconnaissante avec une cascade de feulements endiablés.
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