Max découvre la sodomie grâce à son lit
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2019 dans la catégorie En solitaire
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Max découvre la sodomie grâce à son lit
Comme pour Hubert, Radia, Nathalie et les autres… Max m’a contacté suite à la lecture de mes histoires dans les cinémas. Nous avons longuement échangé sur nos vies sexuelles. Aujourd’hui il a 55 ans, il est marié et s’autorise régulièrement des escapades avec des hommes. Comme pour les autres je vais utiliser le « je » pour vous raconter ses aventures, nous allons démarrer chronologiquement.
Je m’appelle Max, c’est l’année de mes 18 ans. J’ai eu des petites copines mais nous n’avons jamais rien fait de plus que se bécoter. Ce n’est pas que je me sens pas prêt mais je ne sais pas trop comment m’y prendre pour leur faire comprendre que j’ai envie d’elle. Donc en règle général la fille s’impatiente et rompt avec moi.
Ce n’est pas dans ma famille que je vais trouver quelqu’un qui pourrait m’aider sur ce sujet. Comme pour beaucoup et encore plus à cette époque le sexe est un sujet complètement tabou. Je fais mes découvertes tout seul le soir dans mon lit. C’est un vieux lit de famille d’1m20 de large avec une tête de lit et 4 poteaux à chaque angle qui dépasse largement du matelas et se termine par une sorte de pointe arrondie.
Quand je suis allongé la lumière éteinte, je caresse mon corps avec ma main en imaginant que c’est celle de ma copine du moment ou de celle que je convoite. Je me mets rapidement à bander et mes doigts descendent taquiner mon sexe jusqu’à me faire éjaculer dans mes chaussettes pour laisser le moins de traces possible et ne pas choquer ma mère.
Ces derniers temps je vais de moins en moins directement sur mon sexe j’explore mon corps. J’ai découvert que j’aime me caresser les tétons mais aussi les tirer et les pincer alors j’en abuse avant et pendant ma branlette. Mais j’ai aussi constaté que mes cuisses et mes fesses sont aussi des zones érogènes pour moi. Les premières j’aime me les griffer légèrement en remontant jusque sur mes couilles.
Pour les deuxièmes ce n’est pas évident à tester alors je me les caresse jusqu’à ce que j’ai l’idée de mieux les explorer quand je suis sous la douche. Je commence par me caresser de plus en plus profondément quand je me savonne. Ca me fait pas tellement bander mais j’adore cette sensation de rentrée et sortie entre mes fesses. J’adore aussi la sensation de mes entrailles qui s’ouvrent pour accueillir mon doigt.
Ensuite j’ai la génial idée de rajouter un deuxième doigt. Le plaisir est encore plus grand alors gourmand comme je suis, j’essaye rapidement de me sodomiser avec un troisième mais je n’arrive pas à le faire rentrer. Donc je continue de jouer uniquement avec deux. Même si je suis sportif et assez souple je ne trouve pas que la position soit la meilleure, surtout si je veux me branler en même temps.
Je suis depuis quelques jours à la recherche de ce que je pourrais me rentrer dans le cul quand je suis sous la douche. J’ai l’idée d’essayer avec ma brosse à dents mais le manche est trop plat et ça ne fait pas grand chose. Je convoite celle de mon père qui a un manche très bombé mais je n’ose pas l’utiliser pour me brosser les dents alors encore moins pour me l’enfoncer entres les fesses.
Ce week end mes parents s’absentent, je vais en profiter pour fouiller la maison à la recherche de l’objet qui me fera du bien dans le cul. Après une bonne grasse matinée où je n’ai même pas entendu mes vieux partir, je profite de mon érection matinale pour me caresser. Je file à la salle de bain chercher une crème hydratante de ma mère ça glisse mieux avec.
Quand je me réinstalle tranquillement à poil dans mon lit et que je fais monter et descendre ma main le long de ma tige, je regarde avec convoitise les poteaux de mon lit. En fait c’est un objet comme ça que je recherche car il est fin au début et s’élargit de plus en plus. A l’époque je ne connaissais pas les plugs mais c’est à ça que ça ressemble.
Dommage que je ne sois pas assez bricoleur pour en scier un et le recoller après mais quand je m’imagine sous la douche à faire aller et venir ce morceau de bois dans mes entrailles, je sens ma queue gonfler entre mes doigts. J’enserre un peu plus ma bite dans ma main et augmente le rythme des montées et descendantes. J’ai encore du mal à faire durer le plaisir alors je ne tarde pas à jouir et arroser mon cou et mon visage de 5 belles giclées de sperme.
Je reste un moment à jouer avec ma semence sur mon corps, je n’ose pas encore la goûter. Je remonte ce que j’ai sur mon ventre vers mon torse et je me caresse les tétons avec, ils deviennent de plus en plus durs. Je me les pince gentiment mais plus je tire dessus plus je sens mon sexe réagir malgré la récente éjaculation.
Après une bonne demi heure de ce jeu, je me lève enfin et vais directement me rincer pour enlever l’odeur de mon jus qui m’enivre. Je vais prendre mon petit déjeuner, ma mère m’avait tout préparer sur la table, avant de partir à la recherche de l’objet qui sera me donner du plaisir anal.
Je pense n’avoir jamais autant exploré la maison et c’est dans la pièce ou je ne mets jamais les pieds d’habitude que je trouve mon bonheur. Je tombe d’abord sur une ventouse à déboucher, son manche et très long mais il a une largeur comparable à celle mon sexe en érection alors je me dis que ça fera l’affaire.
Je le caresse un moment, comme je l’ai fait ce matin avec ma bite mais je me rentre une écharde alors je suis heureux de ne pas avoir directement commencer avec mon cul. Je continue mon exploration et je me décide sur un marteau. Son manche et plus fin mais largement assez long, il a surtout l’avantage d’être vernis et donc aucun risque de me faire mal avec.
Je ne perds pas de temps et je me dépêches de monter prendre ma deuxième douche. Une fois que je suis sous l’eau je nettoie bien le nouvel objet de mon désir pour être sur de ne pas me rentrer une merde dans les entrailles. Ensuite je me savonne bien le derrière et je fais rentrer un premier doigt plein de mousse entre mes fesses.
Je fais rapidement et facilement rentré un deuxième doigt en moi alors que l’autre main savonne le manche du marteau comme si je le branler. Je place la partie qui tape contre le sol de la douche et je m’accroupie lentement dessus en maintenant le manche bien droit. A la troisième tentative je suis bien contre ma rondelle.
J’appuie avec contre le manche et je pousse comme pour aller aux toilettes. C’est un pote du lycée qui a donner cette technique pour sodomiser les nanas, si ça marche pour le cul des filles ça doit marcher aussi pour le mieux. Je descends tout doucement en continuant de pousser et je sens lentement le manche me pénétrer.
Je sens la même sensation de plénitude que lorsque je fais rentrer deux doigts en moi. Je monte et descend très lentement dessus, dans un premier temps je veux être sûr de mes mouvements. Comme le marteau tient tout seul j’ai mes deux mains de libre. je prends bien appuie contre les murs de la douche et j’augment, non seulement le rythme mais aussi la profondeur.
J’enfonce le manche plus profondément que je pouvais le faire avec mes doigts mais je n’y vais pas non plus à fond. J’adore, je me sens beaucoup bien plus rempli que d’habitude, j’ai l’impression d’avoir le cul encore plus ouvert. Je me soulève complètement et je vais explorer ma rondelle avec mes doigts. Je m’attendais à avoir le trou bien béant mais ce n’est pas le cas.
Un peu déçu je reprends mon acrobatie, cette fois le manche rentre comme dans du beurre, c’est la preuve que je suis vraiment plus ouvert. Je reprends mes mouvements comme avant mais plus rapide, j’adore sentir ma bite, demi molle, venir me frapper les couilles et les cuisses. Plus mes mouvements sont secs plus je me tape fort avec, surtout que je ça me fait encore plus durcir.
J’enfonce bien le manche en moi et je prends appuie contre le mur qu’à une main, l’autre me caresse les couilles mais aussi la tige qui continue de grandir et grossir entre mes doigts. Mes montées et descentes sont moins maitriser alors j’y vais plus lentement mais plus profondément. A chaque fois que je me sodomise plus loin avec le marteau je sens une chaleur à l’intérieur de mes entrailles qui m’irradie le ventre et s’étend jusqu’à mes couilles.
Malheureusement mes genoux commencent à fatiguer alors ma main contre le mur empoigne le marteau et je me relève doucement. Je continue de me branler énergiquement, sans oublié de m’occuper régulièrement de mes couilles, l’autre fait lentement sortir le marteau. Je dois avoir à peine 10 centimètres de manche en moi mais je les fait aller et venir à un rythme fou.
Je me penche pour prendre appuie, avec ma tête, contre le mur et mes deux mains s’excitent de plus belle sur moi. Je sens me couilles gonfler, j’augmente la profondeur derrière. Mes veines se remplissent et ma queue se met à palpiter, je serre encore plus mes doigts contre mon sexe.
Quand le premier jet sort j’ai l’impression que ma bite va exploser mais mes entrailles aussi car je viens d’enfoncer encore plus le marteau et je le fais tourner en moi. S’en suit au moins 5 autres giclées et alors que je continue à jouer avec mon cul grâce au marteau, un liquide un peu plus clair continue de couler de mon méat. Mes doigts se serrent encore plus au fur et à mesure que mon sexe ramolli.
Mon autre main calme aussi la cadence au niveau de mes fesses. Quand mon sexe devient trop sensible pour continuer à être caresser, j’enfonce un peu plus le marteau mais autant que tout à l’heure et je ne bouge plus. J’ai toujours la tête contre le mur et mes entrailles envahis, ma peau est recouverte de chair de poule et je sens comme un petit feu d’artifice dans tout mon corps.
Je finis par reprendre ma respiration et me calmer, mon cul commence à me faire mal alors je retire lentement le manche du marteau. Quand il est complètement sorti je ressens un grand vide en moi. Sans même me toucher je sais que ma rondelle est béante et je sens qu’elle se referme tout doucement.
J’attrape le pommeau de douche pour nettoyer ma descendance perdue, qui gis sur le carrelage de la douche. J’ai honte en remarquant qu’il y a des traces d’excrément sur le manche du marteau, je m’empresse de bien le nettoyer. Je me rince de nouveau et sort enfin de la salle de bain trop heureux d’avoir trouvé un excellent compagnon de jeu.
Je passe le week end à prendre des douches et faire un étrange bricolage avec le marteau. Je n’ai jamais eu de telles orgasmes avant ce week end de découverte. Mais mes parents rentrent dans une heure et je suis obligé de remettre le marteau à sa place dans le garage car je ne saurai expliquer sa présence dans la salle de bain. Il va falloir que je me trouve un autre partenaire de jeu.
Mes parents s’absentent de nouveau, ils partent faire un salon sur Paris pendant 3 jours et j’ai toujours pas trouvé de remplaçant au manche du marteau de mon père. Même si je profite de quelques douches où je suis seul à la maison pour sortir le marteau du garage, je veux trouver un nouveau jouet. J’ai envie de quelque chose de plus gros pour mes entrailles, je commence déjà à être gourmand.
Le jeudi et le vendredi, je suis la routine de l’école même si les matins je me lève plus tôt et que le marteau m’accompagne sous la douche. Le samedi matin je me lève tardivement, j’attrape la crème hydratante de ma mère que j’ai laissé sur ma table de nuit et je me branle avec. Je regarde, avec encore plus de convoitise que d’habitude, les poteaux de mon lit.
Je sors du lit complètement nu et je cours chercher la boite de couture de ma mère. Comme je bande toujours, ma bite tape mon ventre et mes cuisses. J’attrape le mètre ruban et retourne, au même rythme, dans ma chambre. La partie du poteau la plus haute fait à peine plus d’un centimètre de diamètre par contre au plus large ça atteint quand même les 6 centimètres. C’est un petit chiffre mais en réalité c’est très large surtout pour un cul « vierge » comme le mien.
J’ai quand même très envie de tenter le coup même si je sens le stress monter. Je file à la salle de bain, sous la douche. Je commence par m’ouvrir le cul avec mes doigts savonnés, ensuite j’utilise le manche du marteau. Une fois que je suis bien ouvert, je me rince, je prends à peine le temps de me sécher et je retourne dans ma chambre.
J’attrape le peau de crème de ma mère, je m’enduis les entrailles avec et j’en mets aussi sur une des boules des poteaux de mon lit et je monte dessus. Je pose ma rondelle sur la tête du poteau, je pousse sur mes muscles internes et je commence à descendre tout doucement. Au début ça rentre facilement mais au bout de quelques centimètre je me sens bloqué.
J’ai beau monter et descendre tout doucement, je n’arrive pas à l’enfoncer encore plus. Je continue ce mouvement un moment en me disant que je vais m’ouvrir de plus en plus et que je pourrai descendre plus bas. Je sens que ça commence à trop frotter mes parois internes et à sentir chauffer l’intérieur. Je remonte tout doucement jusqu’à me le retirer entièrement.
Je vaque à mes occupations un moment dans la maison en profitant de pouvoir être totalement nu. J’aime sentir l’air caresser mon corps entièrement dénudé, j’aime aussi sentir l’air venir titiller ma rondelle qui reste légèrement ouverte. A chaque fois que je passe devant ma chambre je regarde les poteaux de mon lit avec envie. Au bout d’une heure je me décide enfin à y retourner.
Je remets de la crème entre mes fesses mais aussi sur le poteau, je reprends place au dessus de la tête en bois et je m’empale lentement dessus. Après 10 bonnes minutes de vas et viens, j’ai l’impression de le prendre un peu plus profondément que tout à l’heure, en tout cas ça rentre plus facilement. Je fais quelques allers retours bien sec et je ressors le poteau de mes entrailles.
Je retourne vaquer à mes occupations mais à peine 20 minutes après j’y retourne déjà. Je reprends facilement le morceau de bois entre mes fesses sans essayer d’y aller plus profondément. Je fais des allers retours encore plus secs et j’ai l’impression de mieux me dilater. Quand je me soulève du poteau, je ne peux m’empêcher de toucher mon cul. J’ai l’impression d’avoir un trou de l’équivalent d’une pièce de 20 centimes. J’adore ça et tout en déambulant dans la maison j’arrête pas de vérifier que je suis toujours bien ouvert.
Très rapidement, je retourne dans ma chambre, je vais pour remettre de la crème sur le bois mais il est encore gras. Mon trou est encore bien ouvert et toujours lubrifier alors je retourne directement dessus. Je fais une dizaine de montées de descentes et je me relève. Je pose mes doigts entre mes fesses et j’ai l’impression que l’ouverture est encore plus grande.
Je décide de ne pas attendre entre deux et je m’empale encore une fois dessus. Je refais quelques allers retours très secs et vérifie à nouveau ma rondelle. Je retourne directement sur le pieu en bois, je fais mes mouvements encore plus ardemment et je me retire plus rapidement car j’ai l’impression que ça chauffe un peu. J’attrape la crème de ma mère, j’en remets sur le morceau de bois et entre mes fesses et j’y retourne.
Je m’assois bien sur ce plug improvisé, j’apprécie de plus en plus. Je m’arrête au moment où ça bloque, je m’immobilise comme ça un moment et je commence à me branler. Rapidement ma bite se met à grossir par mes caresses, je suis de plus en plus raide. Je m’astique de plus en plus ardemment jusqu’à ce que par un faux mouvement je sens mon cul se remplir d’un coup.
J’ai du descendre d’encore quelques centimètre de plus, la partie la plus proche de ma rondelle est sacrement large. J’ai l’impression que mon anus va se déchirer en deux aussi facilement que le cartilage du poulet. Je sens que naturellement mon sphincter pousse comme pour expulser ce que j’ai en moi mais je reste bien planté. La douleur est aussi puissante que le plaisir
Je n’ose pas bouger, j’ai le cul en feu et la bite qui frétille mais je ne la touche pas non plus. Je reste un moment immobile, je sens mon coeur battre comme un fou. Il tape dans tout mon corps mais petit à petit le plaisir prend le dessus, je ne bouge toujours pas. Quand je sens mes muscles se décontracter, je commence à faire sortir, tout doucement, le poteau de mon cul.
Une fois que je suis libre, étrangement je me sens vide et j’ai envie de recommencer. Je vérifie qu’il n’y ait aucune trace sur le bois et que je ne saigne pas des fesses et je reprends position. J’enfonce lentement mon plug de lit en moi, je sens mon anneau s’ouvrir de plus en plus et me remplir aussi. Je dépasse largement ce que j’avais rentrer jusqu’à présent mais je ne descends pas aussi bas que tout à l’heure.
Ma bite molle se balade au rythme de mes mouvements, je l’empoigne et commence à me caresser. Plus je bande plus j’ai l’impression de me refermer autour du poteau en bois. Une chaleur me prend au niveau du ventre et irradie petit à petit mon corps. Plus je chauffe plus ma main accélère le rythme sur ma bite.
J’ai l’impression d’avoir le corps qui brulent et d’avoir des feux d’artifices qui démarrent de partout. Je continue de m’astiquer même si je ne suis pas non plus des plus durs. Ma peau commence à se granuler et je sens une explosion qui démarre au niveau de mes fesses et s’évacue par ma tête. C’est la première fois que je ressens ça, je ne sais pas si j’ai touché ma proteste ou si je suis en train de jouir du cul mais j’adore ces sensations.
Plus l’excitation diminue plus je reprends mes montées et descentes sur le morceau de bois mais aussi avec ma main. Je sens que je commence à être irriter par les mouvements d’entrées et sorties de mon cul. Je m’assoie le plus bas possible, sans me faire mal, je m’immobilise tout en me branlant énergiquement. Puis je me lève d’un coup sec et quand le poteau quitte mes fesses, ma bite expulse 6 grosses giclées qui s’écrasent sur mon lit et par terre.
Je m’affale sur le lit et m’endors rapidement. Je ne sais pas combien de temps je dors mais quand je me réveille, il fait toujours jour. Je me dépêche de nettoyer les trainées de mon sperme qui ont séché. Je vais grignoter un morceau et je retourne sur mon poteau pour me donner encore du plaisir tant que je suis seul.
Il a été mon compagnon jusqu’au retour de mes parents, ensuite j’ai du trouver une alternative à la crème de ma mère parce que je me suis fait engueuler quand elle la retrouvée sur ma table de nuit, presque vide. Mais quand j’ai eu le courage de m’acheter du lubrifiant, les 4 poteaux de mon lit ont souvent visiter mes entrailles. J’ai joué avec lui jusqu’à mes 29 ans quand j’ai remplacé les différents objets qui ont l’habitude de me sodomiser par un vrai sexe d’homme mais ça c’est une autre histoire…
Je m’appelle Max, c’est l’année de mes 18 ans. J’ai eu des petites copines mais nous n’avons jamais rien fait de plus que se bécoter. Ce n’est pas que je me sens pas prêt mais je ne sais pas trop comment m’y prendre pour leur faire comprendre que j’ai envie d’elle. Donc en règle général la fille s’impatiente et rompt avec moi.
Ce n’est pas dans ma famille que je vais trouver quelqu’un qui pourrait m’aider sur ce sujet. Comme pour beaucoup et encore plus à cette époque le sexe est un sujet complètement tabou. Je fais mes découvertes tout seul le soir dans mon lit. C’est un vieux lit de famille d’1m20 de large avec une tête de lit et 4 poteaux à chaque angle qui dépasse largement du matelas et se termine par une sorte de pointe arrondie.
Quand je suis allongé la lumière éteinte, je caresse mon corps avec ma main en imaginant que c’est celle de ma copine du moment ou de celle que je convoite. Je me mets rapidement à bander et mes doigts descendent taquiner mon sexe jusqu’à me faire éjaculer dans mes chaussettes pour laisser le moins de traces possible et ne pas choquer ma mère.
Ces derniers temps je vais de moins en moins directement sur mon sexe j’explore mon corps. J’ai découvert que j’aime me caresser les tétons mais aussi les tirer et les pincer alors j’en abuse avant et pendant ma branlette. Mais j’ai aussi constaté que mes cuisses et mes fesses sont aussi des zones érogènes pour moi. Les premières j’aime me les griffer légèrement en remontant jusque sur mes couilles.
Pour les deuxièmes ce n’est pas évident à tester alors je me les caresse jusqu’à ce que j’ai l’idée de mieux les explorer quand je suis sous la douche. Je commence par me caresser de plus en plus profondément quand je me savonne. Ca me fait pas tellement bander mais j’adore cette sensation de rentrée et sortie entre mes fesses. J’adore aussi la sensation de mes entrailles qui s’ouvrent pour accueillir mon doigt.
Ensuite j’ai la génial idée de rajouter un deuxième doigt. Le plaisir est encore plus grand alors gourmand comme je suis, j’essaye rapidement de me sodomiser avec un troisième mais je n’arrive pas à le faire rentrer. Donc je continue de jouer uniquement avec deux. Même si je suis sportif et assez souple je ne trouve pas que la position soit la meilleure, surtout si je veux me branler en même temps.
Je suis depuis quelques jours à la recherche de ce que je pourrais me rentrer dans le cul quand je suis sous la douche. J’ai l’idée d’essayer avec ma brosse à dents mais le manche est trop plat et ça ne fait pas grand chose. Je convoite celle de mon père qui a un manche très bombé mais je n’ose pas l’utiliser pour me brosser les dents alors encore moins pour me l’enfoncer entres les fesses.
Ce week end mes parents s’absentent, je vais en profiter pour fouiller la maison à la recherche de l’objet qui me fera du bien dans le cul. Après une bonne grasse matinée où je n’ai même pas entendu mes vieux partir, je profite de mon érection matinale pour me caresser. Je file à la salle de bain chercher une crème hydratante de ma mère ça glisse mieux avec.
Quand je me réinstalle tranquillement à poil dans mon lit et que je fais monter et descendre ma main le long de ma tige, je regarde avec convoitise les poteaux de mon lit. En fait c’est un objet comme ça que je recherche car il est fin au début et s’élargit de plus en plus. A l’époque je ne connaissais pas les plugs mais c’est à ça que ça ressemble.
Dommage que je ne sois pas assez bricoleur pour en scier un et le recoller après mais quand je m’imagine sous la douche à faire aller et venir ce morceau de bois dans mes entrailles, je sens ma queue gonfler entre mes doigts. J’enserre un peu plus ma bite dans ma main et augmente le rythme des montées et descendantes. J’ai encore du mal à faire durer le plaisir alors je ne tarde pas à jouir et arroser mon cou et mon visage de 5 belles giclées de sperme.
Je reste un moment à jouer avec ma semence sur mon corps, je n’ose pas encore la goûter. Je remonte ce que j’ai sur mon ventre vers mon torse et je me caresse les tétons avec, ils deviennent de plus en plus durs. Je me les pince gentiment mais plus je tire dessus plus je sens mon sexe réagir malgré la récente éjaculation.
Après une bonne demi heure de ce jeu, je me lève enfin et vais directement me rincer pour enlever l’odeur de mon jus qui m’enivre. Je vais prendre mon petit déjeuner, ma mère m’avait tout préparer sur la table, avant de partir à la recherche de l’objet qui sera me donner du plaisir anal.
Je pense n’avoir jamais autant exploré la maison et c’est dans la pièce ou je ne mets jamais les pieds d’habitude que je trouve mon bonheur. Je tombe d’abord sur une ventouse à déboucher, son manche et très long mais il a une largeur comparable à celle mon sexe en érection alors je me dis que ça fera l’affaire.
Je le caresse un moment, comme je l’ai fait ce matin avec ma bite mais je me rentre une écharde alors je suis heureux de ne pas avoir directement commencer avec mon cul. Je continue mon exploration et je me décide sur un marteau. Son manche et plus fin mais largement assez long, il a surtout l’avantage d’être vernis et donc aucun risque de me faire mal avec.
Je ne perds pas de temps et je me dépêches de monter prendre ma deuxième douche. Une fois que je suis sous l’eau je nettoie bien le nouvel objet de mon désir pour être sur de ne pas me rentrer une merde dans les entrailles. Ensuite je me savonne bien le derrière et je fais rentrer un premier doigt plein de mousse entre mes fesses.
Je fais rapidement et facilement rentré un deuxième doigt en moi alors que l’autre main savonne le manche du marteau comme si je le branler. Je place la partie qui tape contre le sol de la douche et je m’accroupie lentement dessus en maintenant le manche bien droit. A la troisième tentative je suis bien contre ma rondelle.
J’appuie avec contre le manche et je pousse comme pour aller aux toilettes. C’est un pote du lycée qui a donner cette technique pour sodomiser les nanas, si ça marche pour le cul des filles ça doit marcher aussi pour le mieux. Je descends tout doucement en continuant de pousser et je sens lentement le manche me pénétrer.
Je sens la même sensation de plénitude que lorsque je fais rentrer deux doigts en moi. Je monte et descend très lentement dessus, dans un premier temps je veux être sûr de mes mouvements. Comme le marteau tient tout seul j’ai mes deux mains de libre. je prends bien appuie contre les murs de la douche et j’augment, non seulement le rythme mais aussi la profondeur.
J’enfonce le manche plus profondément que je pouvais le faire avec mes doigts mais je n’y vais pas non plus à fond. J’adore, je me sens beaucoup bien plus rempli que d’habitude, j’ai l’impression d’avoir le cul encore plus ouvert. Je me soulève complètement et je vais explorer ma rondelle avec mes doigts. Je m’attendais à avoir le trou bien béant mais ce n’est pas le cas.
Un peu déçu je reprends mon acrobatie, cette fois le manche rentre comme dans du beurre, c’est la preuve que je suis vraiment plus ouvert. Je reprends mes mouvements comme avant mais plus rapide, j’adore sentir ma bite, demi molle, venir me frapper les couilles et les cuisses. Plus mes mouvements sont secs plus je me tape fort avec, surtout que je ça me fait encore plus durcir.
J’enfonce bien le manche en moi et je prends appuie contre le mur qu’à une main, l’autre me caresse les couilles mais aussi la tige qui continue de grandir et grossir entre mes doigts. Mes montées et descentes sont moins maitriser alors j’y vais plus lentement mais plus profondément. A chaque fois que je me sodomise plus loin avec le marteau je sens une chaleur à l’intérieur de mes entrailles qui m’irradie le ventre et s’étend jusqu’à mes couilles.
Malheureusement mes genoux commencent à fatiguer alors ma main contre le mur empoigne le marteau et je me relève doucement. Je continue de me branler énergiquement, sans oublié de m’occuper régulièrement de mes couilles, l’autre fait lentement sortir le marteau. Je dois avoir à peine 10 centimètres de manche en moi mais je les fait aller et venir à un rythme fou.
Je me penche pour prendre appuie, avec ma tête, contre le mur et mes deux mains s’excitent de plus belle sur moi. Je sens me couilles gonfler, j’augmente la profondeur derrière. Mes veines se remplissent et ma queue se met à palpiter, je serre encore plus mes doigts contre mon sexe.
Quand le premier jet sort j’ai l’impression que ma bite va exploser mais mes entrailles aussi car je viens d’enfoncer encore plus le marteau et je le fais tourner en moi. S’en suit au moins 5 autres giclées et alors que je continue à jouer avec mon cul grâce au marteau, un liquide un peu plus clair continue de couler de mon méat. Mes doigts se serrent encore plus au fur et à mesure que mon sexe ramolli.
Mon autre main calme aussi la cadence au niveau de mes fesses. Quand mon sexe devient trop sensible pour continuer à être caresser, j’enfonce un peu plus le marteau mais autant que tout à l’heure et je ne bouge plus. J’ai toujours la tête contre le mur et mes entrailles envahis, ma peau est recouverte de chair de poule et je sens comme un petit feu d’artifice dans tout mon corps.
Je finis par reprendre ma respiration et me calmer, mon cul commence à me faire mal alors je retire lentement le manche du marteau. Quand il est complètement sorti je ressens un grand vide en moi. Sans même me toucher je sais que ma rondelle est béante et je sens qu’elle se referme tout doucement.
J’attrape le pommeau de douche pour nettoyer ma descendance perdue, qui gis sur le carrelage de la douche. J’ai honte en remarquant qu’il y a des traces d’excrément sur le manche du marteau, je m’empresse de bien le nettoyer. Je me rince de nouveau et sort enfin de la salle de bain trop heureux d’avoir trouvé un excellent compagnon de jeu.
Je passe le week end à prendre des douches et faire un étrange bricolage avec le marteau. Je n’ai jamais eu de telles orgasmes avant ce week end de découverte. Mais mes parents rentrent dans une heure et je suis obligé de remettre le marteau à sa place dans le garage car je ne saurai expliquer sa présence dans la salle de bain. Il va falloir que je me trouve un autre partenaire de jeu.
Mes parents s’absentent de nouveau, ils partent faire un salon sur Paris pendant 3 jours et j’ai toujours pas trouvé de remplaçant au manche du marteau de mon père. Même si je profite de quelques douches où je suis seul à la maison pour sortir le marteau du garage, je veux trouver un nouveau jouet. J’ai envie de quelque chose de plus gros pour mes entrailles, je commence déjà à être gourmand.
Le jeudi et le vendredi, je suis la routine de l’école même si les matins je me lève plus tôt et que le marteau m’accompagne sous la douche. Le samedi matin je me lève tardivement, j’attrape la crème hydratante de ma mère que j’ai laissé sur ma table de nuit et je me branle avec. Je regarde, avec encore plus de convoitise que d’habitude, les poteaux de mon lit.
Je sors du lit complètement nu et je cours chercher la boite de couture de ma mère. Comme je bande toujours, ma bite tape mon ventre et mes cuisses. J’attrape le mètre ruban et retourne, au même rythme, dans ma chambre. La partie du poteau la plus haute fait à peine plus d’un centimètre de diamètre par contre au plus large ça atteint quand même les 6 centimètres. C’est un petit chiffre mais en réalité c’est très large surtout pour un cul « vierge » comme le mien.
J’ai quand même très envie de tenter le coup même si je sens le stress monter. Je file à la salle de bain, sous la douche. Je commence par m’ouvrir le cul avec mes doigts savonnés, ensuite j’utilise le manche du marteau. Une fois que je suis bien ouvert, je me rince, je prends à peine le temps de me sécher et je retourne dans ma chambre.
J’attrape le peau de crème de ma mère, je m’enduis les entrailles avec et j’en mets aussi sur une des boules des poteaux de mon lit et je monte dessus. Je pose ma rondelle sur la tête du poteau, je pousse sur mes muscles internes et je commence à descendre tout doucement. Au début ça rentre facilement mais au bout de quelques centimètre je me sens bloqué.
J’ai beau monter et descendre tout doucement, je n’arrive pas à l’enfoncer encore plus. Je continue ce mouvement un moment en me disant que je vais m’ouvrir de plus en plus et que je pourrai descendre plus bas. Je sens que ça commence à trop frotter mes parois internes et à sentir chauffer l’intérieur. Je remonte tout doucement jusqu’à me le retirer entièrement.
Je vaque à mes occupations un moment dans la maison en profitant de pouvoir être totalement nu. J’aime sentir l’air caresser mon corps entièrement dénudé, j’aime aussi sentir l’air venir titiller ma rondelle qui reste légèrement ouverte. A chaque fois que je passe devant ma chambre je regarde les poteaux de mon lit avec envie. Au bout d’une heure je me décide enfin à y retourner.
Je remets de la crème entre mes fesses mais aussi sur le poteau, je reprends place au dessus de la tête en bois et je m’empale lentement dessus. Après 10 bonnes minutes de vas et viens, j’ai l’impression de le prendre un peu plus profondément que tout à l’heure, en tout cas ça rentre plus facilement. Je fais quelques allers retours bien sec et je ressors le poteau de mes entrailles.
Je retourne vaquer à mes occupations mais à peine 20 minutes après j’y retourne déjà. Je reprends facilement le morceau de bois entre mes fesses sans essayer d’y aller plus profondément. Je fais des allers retours encore plus secs et j’ai l’impression de mieux me dilater. Quand je me soulève du poteau, je ne peux m’empêcher de toucher mon cul. J’ai l’impression d’avoir un trou de l’équivalent d’une pièce de 20 centimes. J’adore ça et tout en déambulant dans la maison j’arrête pas de vérifier que je suis toujours bien ouvert.
Très rapidement, je retourne dans ma chambre, je vais pour remettre de la crème sur le bois mais il est encore gras. Mon trou est encore bien ouvert et toujours lubrifier alors je retourne directement dessus. Je fais une dizaine de montées de descentes et je me relève. Je pose mes doigts entre mes fesses et j’ai l’impression que l’ouverture est encore plus grande.
Je décide de ne pas attendre entre deux et je m’empale encore une fois dessus. Je refais quelques allers retours très secs et vérifie à nouveau ma rondelle. Je retourne directement sur le pieu en bois, je fais mes mouvements encore plus ardemment et je me retire plus rapidement car j’ai l’impression que ça chauffe un peu. J’attrape la crème de ma mère, j’en remets sur le morceau de bois et entre mes fesses et j’y retourne.
Je m’assois bien sur ce plug improvisé, j’apprécie de plus en plus. Je m’arrête au moment où ça bloque, je m’immobilise comme ça un moment et je commence à me branler. Rapidement ma bite se met à grossir par mes caresses, je suis de plus en plus raide. Je m’astique de plus en plus ardemment jusqu’à ce que par un faux mouvement je sens mon cul se remplir d’un coup.
J’ai du descendre d’encore quelques centimètre de plus, la partie la plus proche de ma rondelle est sacrement large. J’ai l’impression que mon anus va se déchirer en deux aussi facilement que le cartilage du poulet. Je sens que naturellement mon sphincter pousse comme pour expulser ce que j’ai en moi mais je reste bien planté. La douleur est aussi puissante que le plaisir
Je n’ose pas bouger, j’ai le cul en feu et la bite qui frétille mais je ne la touche pas non plus. Je reste un moment immobile, je sens mon coeur battre comme un fou. Il tape dans tout mon corps mais petit à petit le plaisir prend le dessus, je ne bouge toujours pas. Quand je sens mes muscles se décontracter, je commence à faire sortir, tout doucement, le poteau de mon cul.
Une fois que je suis libre, étrangement je me sens vide et j’ai envie de recommencer. Je vérifie qu’il n’y ait aucune trace sur le bois et que je ne saigne pas des fesses et je reprends position. J’enfonce lentement mon plug de lit en moi, je sens mon anneau s’ouvrir de plus en plus et me remplir aussi. Je dépasse largement ce que j’avais rentrer jusqu’à présent mais je ne descends pas aussi bas que tout à l’heure.
Ma bite molle se balade au rythme de mes mouvements, je l’empoigne et commence à me caresser. Plus je bande plus j’ai l’impression de me refermer autour du poteau en bois. Une chaleur me prend au niveau du ventre et irradie petit à petit mon corps. Plus je chauffe plus ma main accélère le rythme sur ma bite.
J’ai l’impression d’avoir le corps qui brulent et d’avoir des feux d’artifices qui démarrent de partout. Je continue de m’astiquer même si je ne suis pas non plus des plus durs. Ma peau commence à se granuler et je sens une explosion qui démarre au niveau de mes fesses et s’évacue par ma tête. C’est la première fois que je ressens ça, je ne sais pas si j’ai touché ma proteste ou si je suis en train de jouir du cul mais j’adore ces sensations.
Plus l’excitation diminue plus je reprends mes montées et descentes sur le morceau de bois mais aussi avec ma main. Je sens que je commence à être irriter par les mouvements d’entrées et sorties de mon cul. Je m’assoie le plus bas possible, sans me faire mal, je m’immobilise tout en me branlant énergiquement. Puis je me lève d’un coup sec et quand le poteau quitte mes fesses, ma bite expulse 6 grosses giclées qui s’écrasent sur mon lit et par terre.
Je m’affale sur le lit et m’endors rapidement. Je ne sais pas combien de temps je dors mais quand je me réveille, il fait toujours jour. Je me dépêche de nettoyer les trainées de mon sperme qui ont séché. Je vais grignoter un morceau et je retourne sur mon poteau pour me donner encore du plaisir tant que je suis seul.
Il a été mon compagnon jusqu’au retour de mes parents, ensuite j’ai du trouver une alternative à la crème de ma mère parce que je me suis fait engueuler quand elle la retrouvée sur ma table de nuit, presque vide. Mais quand j’ai eu le courage de m’acheter du lubrifiant, les 4 poteaux de mon lit ont souvent visiter mes entrailles. J’ai joué avec lui jusqu’à mes 29 ans quand j’ai remplacé les différents objets qui ont l’habitude de me sodomiser par un vrai sexe d’homme mais ça c’est une autre histoire…
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