Méli-Mélo, a contrario
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2016 dans la catégorie Plus on est
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Couleur du fond :
Méli-Mélo, a contrario
Le lit de la chambre d'ami était haut avec une énorme couette façon édredon. La fille brune a voulu tout visiter. Faut dire, vrai, que c'était rare comme style de turne, campagne française profonde avec même le pot de chambre dans la table de nuit, derrière un simili double tiroir basculant et le crucifix avec brin de buis dessus le lit.
Moi je m'étais glissé dans le pieu et je l'attendais.
Elle, se baladait à poil dans la piaule en auscultant toutes choses.
Quand je dis à poil, je ne galège pas. Vue la touffe impressionnante qu'elle trimbalait. Autant derrière que devant.
Sur ses fesses, le velu remontait au coccyx noyant complètement la raie culière en foison frisée.
Sur le devant, le manteau de fourrure, d'une hanche à l'autre, remontait à l'ombilic comme un tablier de sapeur épais et protecteur.
Mais faut dire qu'elle avait repassé le tee-shirt blanc et que celui-ci cachait ses beaux nibars. Elle avait dit ce faisant, moi je dors en pyjama, ne vous déplaise... Tee-shirt gonflé à giorno avec deux tétons saillants qui déchiraient le devant.
Moi je pensais, elle a mis le haut mais s'est abstenue pour le bas, bon augure.
Probablement que la culotte n'était pas présentable...
C'était une fille curieuse. Elle a ouvert la porte de la gigantesque armoire normande et regardait les piles de linge de maison rangé sur les étagères de chêne. Une odeur de lavande s'était répandue dans la chambre. Moi je fermais les yeux pour retrouver les images de chez mes grands parents.
Elle a coupé la lumière à la poire du lampadaire et est venue se couler contre moi. Avec tee-shirt, vêture de son haut et toison épaisse, protection de son bas.
Déjà on entendait le raffut dans la chambre à côté.
Exploratrice, elle a décoiffé mon machin, descendant les peaux bas sur la tige, tirant sur le frein. Elle avait mouillé son pouce de salive et est passée dessus le gland en caresse humide. Elle a dit, en amour rien n'est sale, laisse-toi faire.
Moi j'étais peinard sur le dos, bien dans ma peau, bien dans ses bras méditerranéens.
On entendait tout près les bruits de la chambre voisine.
Sa main était sur mes couilles et elle m’a glissé à l’oreille, va, oublie, elle est comme ça, elle aime les garçons, tous les garçons.
T’as eu ta nuit, te faut maintenant passer la main.
Enfin, si l’on peut dire…
Izïa était une fille curieuse, animée du désir d'exploration.
Sa main descendait entre mes cuisses et moi j’avais relevé les jambes, mes genoux bloqués contre ses deux seins, ses beaux seins. J’étais comme foetus au ventre de sa maman, bassin en avant, une main chaleureuse empaumant mes roupes, abandonné à ma torpeur.
J’avais de mes deux bras enserré son buste et nous avions parfaite posture pour nous endormir du sommeil du Juste.
D’autant que son grand doigt, posé nonchalemment sur ma rondelle, s’apprêtait à visite, charnu incursif à mon intimité suintante.
C’est en sympathie des activités lubriques de la pièce à côté qu’elle a, subrepticement, enfilé sa première phalange. Comme qui dirait, pour faire écho au cri déchirant de pucelle violée qu’on avait, là-bas, poussé.
Moi je pensais à la frimousse fraîche de cette gamine et au chibre monstrueux du fermier. Et je voyais, comme en cinémascope, le gros gland turgescent rural prétendre à intrusion devant l’abricot juvénile fin à peine mouillé de rosée.
Ses cris, puis sa jouissance tellement rapide, ont déclenché chez nous comme un réflexe d’empathie. Le long doigt est entré d’un coup jusqu’au fond de mon être et mes abbysses ont répondu à la visite en multiples contractions de plaisir.
La paume qui tenait mes roupes s’est refermée et les a serrées fort, à mort.
La fille a pris mes lèvres et s’est abandonnée dans un mälstroem de baiser mouillé saliveux visqueux.
Mes mains ont descendu son dos et sont venues à ses fesses. Fesses velues, douces de leur pilosité frisée.
J’ai tiré à moi et elle est venue s’empaler.
***
La porte de la chambre s'est brusquement ouverte et la voisine s'est précipitée sur notre lit, interrompant la tendre connivence entamée.
Elle nous parlait en hoquets balbutiants, veut m'enculer, me prend pour un garçon, ça peut pas aller, l'est monté comme baudet, monstrueux.
Intervertissons, toi Izïa t'aime ça les gros chibres dans ton fondement, vas-y prend ma place et prend ton pied.
Elle disait, moi je veux pas de ça, le nez dans l'oreiller comme un pédé. L'est sympa le fermier mais il s'excite de ce qu'il croit que je suis un petit garçon et que je rêve de me faire déchirer la rondelle. Non.
Trois fois déjà je l'ai calmé à la main et j'ai bu ses dégorgements expansifs. Mais là, il s'y croit et veut m'enfiler comme fiotte.
Moi, qui aime rien tant que tendresse, ça me va pas. Va Izïa, toi qui raffoles de bite en ton cul, va et profite, profond. Et rend-moi mon copain de coeur, celui qui me fait mouiller rien que de ses discourades.
Izïa était bonne copine. Elle s'est doucement dégagée de mon bitos pourtant profondément planté. Elle a rabattu le gros édredon et, tee-shirt couvrant à peine le bas de ses fesses velues, elle a ouvert la porte et gagné le palier pour rejoindre celui dont son amie disait tant de bien. Presque, j'en étais vexé.
Ce qui s'est passé dans la pièce à côté, je ne sais. Mais la grande blonde dans mon lit, toute nue toute fine avec son entre-jambe lisse de gamine, s'est emmêlée à mes jambes à mes bras, a coulé sa tête à mon cou, a pris en main mon bitos tout gluant des humeurs de son amie et s'est, d'un coup, calme, endormie.
Moi je m'étais glissé dans le pieu et je l'attendais.
Elle, se baladait à poil dans la piaule en auscultant toutes choses.
Quand je dis à poil, je ne galège pas. Vue la touffe impressionnante qu'elle trimbalait. Autant derrière que devant.
Sur ses fesses, le velu remontait au coccyx noyant complètement la raie culière en foison frisée.
Sur le devant, le manteau de fourrure, d'une hanche à l'autre, remontait à l'ombilic comme un tablier de sapeur épais et protecteur.
Mais faut dire qu'elle avait repassé le tee-shirt blanc et que celui-ci cachait ses beaux nibars. Elle avait dit ce faisant, moi je dors en pyjama, ne vous déplaise... Tee-shirt gonflé à giorno avec deux tétons saillants qui déchiraient le devant.
Moi je pensais, elle a mis le haut mais s'est abstenue pour le bas, bon augure.
Probablement que la culotte n'était pas présentable...
C'était une fille curieuse. Elle a ouvert la porte de la gigantesque armoire normande et regardait les piles de linge de maison rangé sur les étagères de chêne. Une odeur de lavande s'était répandue dans la chambre. Moi je fermais les yeux pour retrouver les images de chez mes grands parents.
Elle a coupé la lumière à la poire du lampadaire et est venue se couler contre moi. Avec tee-shirt, vêture de son haut et toison épaisse, protection de son bas.
Déjà on entendait le raffut dans la chambre à côté.
Exploratrice, elle a décoiffé mon machin, descendant les peaux bas sur la tige, tirant sur le frein. Elle avait mouillé son pouce de salive et est passée dessus le gland en caresse humide. Elle a dit, en amour rien n'est sale, laisse-toi faire.
Moi j'étais peinard sur le dos, bien dans ma peau, bien dans ses bras méditerranéens.
On entendait tout près les bruits de la chambre voisine.
Sa main était sur mes couilles et elle m’a glissé à l’oreille, va, oublie, elle est comme ça, elle aime les garçons, tous les garçons.
T’as eu ta nuit, te faut maintenant passer la main.
Enfin, si l’on peut dire…
Izïa était une fille curieuse, animée du désir d'exploration.
Sa main descendait entre mes cuisses et moi j’avais relevé les jambes, mes genoux bloqués contre ses deux seins, ses beaux seins. J’étais comme foetus au ventre de sa maman, bassin en avant, une main chaleureuse empaumant mes roupes, abandonné à ma torpeur.
J’avais de mes deux bras enserré son buste et nous avions parfaite posture pour nous endormir du sommeil du Juste.
D’autant que son grand doigt, posé nonchalemment sur ma rondelle, s’apprêtait à visite, charnu incursif à mon intimité suintante.
C’est en sympathie des activités lubriques de la pièce à côté qu’elle a, subrepticement, enfilé sa première phalange. Comme qui dirait, pour faire écho au cri déchirant de pucelle violée qu’on avait, là-bas, poussé.
Moi je pensais à la frimousse fraîche de cette gamine et au chibre monstrueux du fermier. Et je voyais, comme en cinémascope, le gros gland turgescent rural prétendre à intrusion devant l’abricot juvénile fin à peine mouillé de rosée.
Ses cris, puis sa jouissance tellement rapide, ont déclenché chez nous comme un réflexe d’empathie. Le long doigt est entré d’un coup jusqu’au fond de mon être et mes abbysses ont répondu à la visite en multiples contractions de plaisir.
La paume qui tenait mes roupes s’est refermée et les a serrées fort, à mort.
La fille a pris mes lèvres et s’est abandonnée dans un mälstroem de baiser mouillé saliveux visqueux.
Mes mains ont descendu son dos et sont venues à ses fesses. Fesses velues, douces de leur pilosité frisée.
J’ai tiré à moi et elle est venue s’empaler.
***
La porte de la chambre s'est brusquement ouverte et la voisine s'est précipitée sur notre lit, interrompant la tendre connivence entamée.
Elle nous parlait en hoquets balbutiants, veut m'enculer, me prend pour un garçon, ça peut pas aller, l'est monté comme baudet, monstrueux.
Intervertissons, toi Izïa t'aime ça les gros chibres dans ton fondement, vas-y prend ma place et prend ton pied.
Elle disait, moi je veux pas de ça, le nez dans l'oreiller comme un pédé. L'est sympa le fermier mais il s'excite de ce qu'il croit que je suis un petit garçon et que je rêve de me faire déchirer la rondelle. Non.
Trois fois déjà je l'ai calmé à la main et j'ai bu ses dégorgements expansifs. Mais là, il s'y croit et veut m'enfiler comme fiotte.
Moi, qui aime rien tant que tendresse, ça me va pas. Va Izïa, toi qui raffoles de bite en ton cul, va et profite, profond. Et rend-moi mon copain de coeur, celui qui me fait mouiller rien que de ses discourades.
Izïa était bonne copine. Elle s'est doucement dégagée de mon bitos pourtant profondément planté. Elle a rabattu le gros édredon et, tee-shirt couvrant à peine le bas de ses fesses velues, elle a ouvert la porte et gagné le palier pour rejoindre celui dont son amie disait tant de bien. Presque, j'en étais vexé.
Ce qui s'est passé dans la pièce à côté, je ne sais. Mais la grande blonde dans mon lit, toute nue toute fine avec son entre-jambe lisse de gamine, s'est emmêlée à mes jambes à mes bras, a coulé sa tête à mon cou, a pris en main mon bitos tout gluant des humeurs de son amie et s'est, d'un coup, calme, endormie.
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