Méli-Mélo à giorno
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Méli-Mélo à giorno
Et moi je m'en vais traîner près d'elle et ma main s'égare, paume empaumante et doigts multiples tactiles.
Je suis fureteur.
Curiosité est justification de ma recherche, de mon comportement.
Curiosité est moteur de la vie, moteur du monde. Aristote déjà l'expliquait, plus de deux millénaires avant nous, en montrant les silhouettes brumeuses des îles entre-aperçues depuis les hauteurs de Théra qui faisaient monter en frénésie les désirs des jeunes hommes. Et ceux-ci de construire des navires pour explorer, pour y aller. Et ainsi est née civilisation ... de ce besoin impérieux qui prenait aux couilles de savoir.
Je n'avais aucune honte aucune retenue à cette pulsion inquisitrice, à ce besoin qui me torturait de savoir si elle portait un dessous et si oui, lequel.
Vergogne n'est pas de mon monde, de mon vocabulaire, de ma façon de penser.
Mais il est vrai que je suis plus intello que manuel. Aussi, lieu de lui mettre la main au cul comme aurait fait n'importe qui, je lui ai glissé à l'oreille, que portes-tu donc sous ta robe ? Aubade, tam.tam, Charmel ? Ou bien rien du tout ?
J'espérais réponse honnête à même de calmer mes interrogations avides.
Elle m'a regardé, étonnée, m'a souri et juste a répondu, c'est toi qui le sauras ce soir, juste toi. Alors contente-toi d'incertitude en attendant.
Alors moi j'étais à la fois satisfait heureux, je savais que c'était dans mon lit et just icelui qu'elle avait décidé de vivre sa nuit, mais aussi, mais encore, j'étais inquiet de cette attitude de dominante qu'elle prenait, qu'elle avait prise. Allait-elle, comme la fille de Basic instinct, me ligoter les poignets aux fers du dit-lit avant de me sucer le gland, de m'enfiler son grand doigt dans l'oigne et même de jouer les Walkyries sur mon bitos dressé, comme qui dirait Calmos?
J'étais inquiet. Bandant mais néanmoins inquiet.
Alors, fort de mes certitudes, je l'ai laissée vaquer, libre et légère de groupe en groupe, d'homme séduisant en femme dangereuse. J'ai été ce personnage que nous aimons tous jouer, nous les mecs, décontracté sûr de soi premier de la classe et fier de l'être. Le gars qui longe les ravins sans le moindre vertige, certain qu'il est de son équilibre.
J'étais amoureux fou d'une nynphomane débridée et je m'obligeais à dégrafer la laisse, à lui laisser liberté, toute liberté.. Totale liberté. N'allais-je pas sous peu le regretter ?
Imaginez la situation, ce cocktail parisien branché, tous ces hommes toutes ces femmes qui n'avaient d'yeux, d'appétence que pour ma copine lumineuse et elle, grisée, qui courait des uns aux autres, de groupe en groupe, princesse de droit de fée, merveilleuse.
Et moi, mélant les sentiments de confiance, n'avait-elle pas dit qu'elle serait cette nuit au creux de mes seuls bras dans mon lit ? et les idées de défiance, cette fille n'est pas pour toi, qui vogue de gars en gars en cherche perpétuelle d'impossible, de l'impossible.
Izia, son amie, me l'avait dit, elle aime ça...
Moi, je pensais tout va bien. La vie est simple quand on a dans la tête les choses que l'on veut que l'on souhaite. Moi j'étais bien avec cette idée de cette fille-là. Tout allait bien et j'aurais eu tort de vouloir changer quoi que ce soit à ce destin qui s'offrait à moi, à nous.
Je vaquais de buffet à petits fours en comptoir à rosé, grappillant bouchées de tapas et verres de vins divers. Une grande brune m'a entrepris. Diserte. Qui voulait tout savoir de ma vie. Et je me suis raconté ... on est faible quand on est jaloux abandonné.
Pas mal faite la brune, des seins triomphants portés hauts manifestement sans aide accessoire tant on voyait ardents les tétons saillants sur le chemisier.
Méli-Mélo s'est glissée par derrière le buffet, empaumant la taille de la fille, levant vers moi sa frimousse gaie, claironnant, crois-tu qu'elle non plus n'a pas de dessous ?
Et elle passait sa main de la taille à la hanche puis à la fesse de la grande fille. Le pantalon large noir fluide prétendait effacer toute trace de sous-vêtement. Mais en tendant le tissu de sa main la blonde avait fait apparaître l'élastique disgracieux de la culotte, haute sur les hanches.
J'avais appris deux choses, la première que mon amie avait des ressources belliqueuses insoupçonnées, la seconde qu'elle me surveillait bien plus jalouse possessive et exclusive que je le croyais.
J'étais subjugué par son regard enfantin et la gaîté de ses yeux clairs.
J'ai pris sa main et nous n'avons pas attendu plus longtemps pour filer à l'auto chercher dans la ville lumineuse et animée le chemin de nos pénates.
Elle a dit, ce soir ce sera chez moi.
Je suis fureteur.
Curiosité est justification de ma recherche, de mon comportement.
Curiosité est moteur de la vie, moteur du monde. Aristote déjà l'expliquait, plus de deux millénaires avant nous, en montrant les silhouettes brumeuses des îles entre-aperçues depuis les hauteurs de Théra qui faisaient monter en frénésie les désirs des jeunes hommes. Et ceux-ci de construire des navires pour explorer, pour y aller. Et ainsi est née civilisation ... de ce besoin impérieux qui prenait aux couilles de savoir.
Je n'avais aucune honte aucune retenue à cette pulsion inquisitrice, à ce besoin qui me torturait de savoir si elle portait un dessous et si oui, lequel.
Vergogne n'est pas de mon monde, de mon vocabulaire, de ma façon de penser.
Mais il est vrai que je suis plus intello que manuel. Aussi, lieu de lui mettre la main au cul comme aurait fait n'importe qui, je lui ai glissé à l'oreille, que portes-tu donc sous ta robe ? Aubade, tam.tam, Charmel ? Ou bien rien du tout ?
J'espérais réponse honnête à même de calmer mes interrogations avides.
Elle m'a regardé, étonnée, m'a souri et juste a répondu, c'est toi qui le sauras ce soir, juste toi. Alors contente-toi d'incertitude en attendant.
Alors moi j'étais à la fois satisfait heureux, je savais que c'était dans mon lit et just icelui qu'elle avait décidé de vivre sa nuit, mais aussi, mais encore, j'étais inquiet de cette attitude de dominante qu'elle prenait, qu'elle avait prise. Allait-elle, comme la fille de Basic instinct, me ligoter les poignets aux fers du dit-lit avant de me sucer le gland, de m'enfiler son grand doigt dans l'oigne et même de jouer les Walkyries sur mon bitos dressé, comme qui dirait Calmos?
J'étais inquiet. Bandant mais néanmoins inquiet.
Alors, fort de mes certitudes, je l'ai laissée vaquer, libre et légère de groupe en groupe, d'homme séduisant en femme dangereuse. J'ai été ce personnage que nous aimons tous jouer, nous les mecs, décontracté sûr de soi premier de la classe et fier de l'être. Le gars qui longe les ravins sans le moindre vertige, certain qu'il est de son équilibre.
J'étais amoureux fou d'une nynphomane débridée et je m'obligeais à dégrafer la laisse, à lui laisser liberté, toute liberté.. Totale liberté. N'allais-je pas sous peu le regretter ?
Imaginez la situation, ce cocktail parisien branché, tous ces hommes toutes ces femmes qui n'avaient d'yeux, d'appétence que pour ma copine lumineuse et elle, grisée, qui courait des uns aux autres, de groupe en groupe, princesse de droit de fée, merveilleuse.
Et moi, mélant les sentiments de confiance, n'avait-elle pas dit qu'elle serait cette nuit au creux de mes seuls bras dans mon lit ? et les idées de défiance, cette fille n'est pas pour toi, qui vogue de gars en gars en cherche perpétuelle d'impossible, de l'impossible.
Izia, son amie, me l'avait dit, elle aime ça...
Moi, je pensais tout va bien. La vie est simple quand on a dans la tête les choses que l'on veut que l'on souhaite. Moi j'étais bien avec cette idée de cette fille-là. Tout allait bien et j'aurais eu tort de vouloir changer quoi que ce soit à ce destin qui s'offrait à moi, à nous.
Je vaquais de buffet à petits fours en comptoir à rosé, grappillant bouchées de tapas et verres de vins divers. Une grande brune m'a entrepris. Diserte. Qui voulait tout savoir de ma vie. Et je me suis raconté ... on est faible quand on est jaloux abandonné.
Pas mal faite la brune, des seins triomphants portés hauts manifestement sans aide accessoire tant on voyait ardents les tétons saillants sur le chemisier.
Méli-Mélo s'est glissée par derrière le buffet, empaumant la taille de la fille, levant vers moi sa frimousse gaie, claironnant, crois-tu qu'elle non plus n'a pas de dessous ?
Et elle passait sa main de la taille à la hanche puis à la fesse de la grande fille. Le pantalon large noir fluide prétendait effacer toute trace de sous-vêtement. Mais en tendant le tissu de sa main la blonde avait fait apparaître l'élastique disgracieux de la culotte, haute sur les hanches.
J'avais appris deux choses, la première que mon amie avait des ressources belliqueuses insoupçonnées, la seconde qu'elle me surveillait bien plus jalouse possessive et exclusive que je le croyais.
J'étais subjugué par son regard enfantin et la gaîté de ses yeux clairs.
J'ai pris sa main et nous n'avons pas attendu plus longtemps pour filer à l'auto chercher dans la ville lumineuse et animée le chemin de nos pénates.
Elle a dit, ce soir ce sera chez moi.
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