Méli-Mélo en imbroglio
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-02-2016 dans la catégorie Plus on est
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Méli-Mélo en imbroglio
Le matin était calme et la montgolfière remontait tout doucement vers Paris haut dessus les arbres. Je levais le brûleur à intervalles réguliers pour maintenir l’altitude.
Le trio était aux anges, les filles enlacées et le fermier les tenant chacune de ses grandes paumes. Il était collé derrière elles et j’étais bien persuadé qu’il leur collait alternativement sa bite au bas du dos pour leur rappeler à quel point il était bien monté.
Elles tenaient leurs croupes hautes en consentement. A moins que c’ait été lui qui les maintînt cambrées haut levées de ses deux bras musculeux.
Et cela rigolait indifférents à ma solitude.
Je me sentais un peu mis à l’écart.
Dans mon for intérieur je pensais, tant qu’il est avec ces filles il ne se préoccupe pas de moi et c’est tant mieux…
L’iPhone a sonné. Nous étions suffisamment haut pour avoir accroché un relais. Mon copain a dit, je vous vois, tu peux amorcer ta descente.
J’ai repéré une prairie tout à coté d’un chemin goudronné et j’ai tiré la valve. Le ballon s’est doucement dégonflé et nous avons plongé vers le sol. La brise légère nous a amené où je voulais. J’ai donné mes instructions au fermier et il a sauté habilement par dessus bord dès que la nacelle a approché le sol.
Le ballon, allégé, est reparti en ascension puis a de nouveau plongé. J’ai alors à mon tour sauté à terre, la corde en main pour amener doucement la nacelle et les deux filles jusqu’à la terre ferme.
La nacelle était posée avec les deux filles rieuses qui nous regardaient, hirsutes après nos roulés-boulés dans les herbes.
Le Range est arrivé, avec la petite remorque derrière. On a chargé la nacelle, plié lenveloppe et direction la ferme pour ramener notre nouvel ami à ses pénates.
On voyait bien qu’il n’avait aucune envie de nous quitter. Il s'était assis à l’arrière, entre les deux filles, et j’ai vu qu’elles avaient chacune tendrement posé leur main sur son jean. Bien gonflé, le jean.
Il nous a guidé de sa grosse voix, en chemins vicinaux et petites routes tortueuses jusqu’à sa ferme.
Il a dit, week end dernier, j'ai fait un chevreuil. J'ai mis un cuissot à la marinade. Le reste est au congélateur. Je vous garde à déjeuner, chevreuil rôti à la broche, on va se régaler.
Les filles nous feront des patates sous la cendre. Vous rentrerez à Paris avec votre bazar et moi je resterai tout seul dans mon agriculture et mes céréales...
A moins que l'une, l'un d'entre-vous ne reste avec moi ce soir ?
Sur ce, il a tourné les talons, s'en allant charger de bois le feu sur lequel il avait monté la broche tournante pour rôtir le cuissôt dans la grande cheminée de son "salon-cuisine-salle-à-manger" de fermier de tradition. Broche moderne néanmoins avec minuteur et inversion du sens de rotation, marquée Kebab Master Pro, alim lithium et écran LCD.
On se regardait. Les deux filles étaient venues près de moi et j'ai compris qu'elles avaient fait leur choix.
Le copain m'a dit, va, prends le Rover et va à Guyancourt, tu rangeras la remorque au hangar et laisseras les clefs dans la corbeille du club. Enfin, cet'aprèm, quand on aura fini de bouffer la carne rôtie du bel athlète fermier.
On a tout compris, les filles et moi, et on était content pour eux. Enfin, on était surtout contents d'échapper...
Tous les trois. Faut dire que le gars était, comme on dit, sévèrement burné. A côté, Tapie faisait petit joueur.
Après le déjeuner, le fermier nous a fait les honneurs de sa ferme. Côté pro, il était super équipé de diverses machines agricoles genre moissonneuse-batteuse avec cabine insonorisée, clim et HiFi HD. Côté cul, idem, pieu king-size avec miroirs dessus et par côtés aussi et surtout le sauna, le hammam et le jaccusi. Sacré fermier branché !
Les deux mecs nous ont raccompagnés au Rover et on est partis tous trois par les chemins vicinaux ruraux guidés par le GPS direction la capitale récupérer la Porsche à Guyancourt.
Dans le rétro je les ai vus, ces deux gaillards, main dans la main, nous regarder filer dans la poussière vers l'horizon, quatre-quatre avec remorque cahotant de droite et de gauche, deux filles et un gars en cavale...
Le trio était aux anges, les filles enlacées et le fermier les tenant chacune de ses grandes paumes. Il était collé derrière elles et j’étais bien persuadé qu’il leur collait alternativement sa bite au bas du dos pour leur rappeler à quel point il était bien monté.
Elles tenaient leurs croupes hautes en consentement. A moins que c’ait été lui qui les maintînt cambrées haut levées de ses deux bras musculeux.
Et cela rigolait indifférents à ma solitude.
Je me sentais un peu mis à l’écart.
Dans mon for intérieur je pensais, tant qu’il est avec ces filles il ne se préoccupe pas de moi et c’est tant mieux…
L’iPhone a sonné. Nous étions suffisamment haut pour avoir accroché un relais. Mon copain a dit, je vous vois, tu peux amorcer ta descente.
J’ai repéré une prairie tout à coté d’un chemin goudronné et j’ai tiré la valve. Le ballon s’est doucement dégonflé et nous avons plongé vers le sol. La brise légère nous a amené où je voulais. J’ai donné mes instructions au fermier et il a sauté habilement par dessus bord dès que la nacelle a approché le sol.
Le ballon, allégé, est reparti en ascension puis a de nouveau plongé. J’ai alors à mon tour sauté à terre, la corde en main pour amener doucement la nacelle et les deux filles jusqu’à la terre ferme.
La nacelle était posée avec les deux filles rieuses qui nous regardaient, hirsutes après nos roulés-boulés dans les herbes.
Le Range est arrivé, avec la petite remorque derrière. On a chargé la nacelle, plié lenveloppe et direction la ferme pour ramener notre nouvel ami à ses pénates.
On voyait bien qu’il n’avait aucune envie de nous quitter. Il s'était assis à l’arrière, entre les deux filles, et j’ai vu qu’elles avaient chacune tendrement posé leur main sur son jean. Bien gonflé, le jean.
Il nous a guidé de sa grosse voix, en chemins vicinaux et petites routes tortueuses jusqu’à sa ferme.
Il a dit, week end dernier, j'ai fait un chevreuil. J'ai mis un cuissot à la marinade. Le reste est au congélateur. Je vous garde à déjeuner, chevreuil rôti à la broche, on va se régaler.
Les filles nous feront des patates sous la cendre. Vous rentrerez à Paris avec votre bazar et moi je resterai tout seul dans mon agriculture et mes céréales...
A moins que l'une, l'un d'entre-vous ne reste avec moi ce soir ?
Sur ce, il a tourné les talons, s'en allant charger de bois le feu sur lequel il avait monté la broche tournante pour rôtir le cuissôt dans la grande cheminée de son "salon-cuisine-salle-à-manger" de fermier de tradition. Broche moderne néanmoins avec minuteur et inversion du sens de rotation, marquée Kebab Master Pro, alim lithium et écran LCD.
On se regardait. Les deux filles étaient venues près de moi et j'ai compris qu'elles avaient fait leur choix.
Le copain m'a dit, va, prends le Rover et va à Guyancourt, tu rangeras la remorque au hangar et laisseras les clefs dans la corbeille du club. Enfin, cet'aprèm, quand on aura fini de bouffer la carne rôtie du bel athlète fermier.
On a tout compris, les filles et moi, et on était content pour eux. Enfin, on était surtout contents d'échapper...
Tous les trois. Faut dire que le gars était, comme on dit, sévèrement burné. A côté, Tapie faisait petit joueur.
Après le déjeuner, le fermier nous a fait les honneurs de sa ferme. Côté pro, il était super équipé de diverses machines agricoles genre moissonneuse-batteuse avec cabine insonorisée, clim et HiFi HD. Côté cul, idem, pieu king-size avec miroirs dessus et par côtés aussi et surtout le sauna, le hammam et le jaccusi. Sacré fermier branché !
Les deux mecs nous ont raccompagnés au Rover et on est partis tous trois par les chemins vicinaux ruraux guidés par le GPS direction la capitale récupérer la Porsche à Guyancourt.
Dans le rétro je les ai vus, ces deux gaillards, main dans la main, nous regarder filer dans la poussière vers l'horizon, quatre-quatre avec remorque cahotant de droite et de gauche, deux filles et un gars en cavale...
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