Mes fesses
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Mes fesses
Un jour ma copine m'a dit, quand je te regarde de loin ce sont tes fesses qui m'intéressent...
Sur le coup, ça ne m'a pas interpelé. Moi quand je la regarde, elle, de loin, ce sont ses seins qui m'intéressent. Alors j'ai trouvé ça normal qu'elle aussi elle ait, me concernant, un centre d'intérêt particulier.
D'ailleurs j'ai remarqué que moi j'étais intéressé par plein de filles, presque toutes les filles, et surtout par plein de choses qui concernent ces filles : plus que les seins, la silhouette, la façon de marcher, la position du corps, la façon de tenir la tête, la voix et leur façon de raconter ce qu'elles ont à dire. Enfin, les seins c'est bien mais c'est pas vraiment ça qui capte mon oeil... Les seins ya pas que ça chez une fille, loin de là.
Et c'est tant mieux !
Etrangement les fesses, leur fesses, n'attirent pas particulièrement mon regard. Pourtant j'aime, dans l'intimité, les toucher, les caresser, les palper. J'aime bien aussi regarder dessous, entre, par derrière, en contre-plongée. J'aime bien deviner ce qu'elles ont à cacher, à planquer entre elles...
Surtout celles de ma copine qui est velue et obscure et pudiquement camouflée...
J'aime aussi leur mouvement quand elle marche pied nus en se sachant regardée.
Le matin surtout, quand elle file à la salle bain et que moi je la mate depuis le fond de couette, dansante, gaie de la nuit que l'on vient de passer, tous les deux, à dormir ensemble...
Mais non, dans la rue ou ailleurs, mes yeux ne tombent pas, par force de gravité, sur les culs et je ne suis pas mateur de fesses sous robe fluide non plus que de pantalons gonflés, tendus sur postérieurs callipyges. Mon regard sur les filles est plus global, moins monomaniaque.
Alors cette affaire de mes fesses à moi, qui font fantasmer, a tourné dans ma tête et je me suis mis à y penser.
Y penser a fait que je me suis mis à les sentir, mes fesses, à avoir conscience qu'elles existaient.
Me dire que des yeux étaient braqués sur mes fesses m'a donné des ailes.
Au bistrot, au comptoir, me voilà qui cambre en me disant, ne regarde pas derrière toi mais la salle entière mate ton cul.
Les gars aussi ?
Pardi !
Eux aussi...
Dans la rue, je roule un peu.
Je ne me retourne pas, je sais.
C'est nouveau pour moi cette histoire de mon cul
Avant, je ne savais pas
Maintenant, non seulement j'y pense tout le temps, mais encore je me sens, à fond, profondément.
Je sens bien que je suis de là, de mon cul, autant sinon plus encore que de ma bite.
De tout temps j'ai su que ma bite et moi ne faisions qu'un.
Quand je rêve à mon égo, je vois bien que c'est ma bite tendue qui fait corps avec moi, rien que moi.
Quand je pense à ma bite je l'appelle de mon nom, de mon petit nom. Ma bite et moi on est depuis toujours, un et inséparables. Unis et unique.
Et bien maintenant mon cul a rejoint l'équipe.
C'est la trinité, mystère de l'incompréhension de la foi.
Ma bite, mon cul et moi...
On dirait un titre de western genre Il était une fois dans l'ouest ou Le train sifflera trois fois
Très vite j'ai compris qu'elle avait dit vrai, que mes fesses affolaient les foules, surtout depuis que je le savais et que je ne pensais plus qu'à ça... Manifestement, penser un truc faisait que les autres y pensaient aussi.
Comment appeler ça ? Empathie ? Transmission de pensée ?
En tous cas c'était net, le monde entier avait les yeux braqués sur mon cul et moi j'en bavais...
Alors ma vie a changé.
J'ai "oublié" de mettre un slip pour que mes fesses gonflent sans être marquées.
Je vivais cambré, le cul haut, les fesses ouvertes, accueillantes...
Mon esprit était moins sectaire
Les garçons qui me regardaient étaient mes amis, mes copains
Je n'avais plus ces retenues d'avant, d'antan...
La nuit, seul dans mon lit, je n'étais plus sur le dos, la tête enfouie sous l'oreiller, la bite au chaud dans la main à penser à des gamines et à leur fentes accueillantes
Non !
J'étais à quatre pattes, le nez dans le polochon, les fesses en l'air à rêver à des cavalcades endiablées, les reins cassés et le corps tendu vers un pieu qui me transperçait.
Les filles ont très vite perdu pour moi tout intérêt
La suite, je ne vous la dis pas, ce serait hors de propos
Mais sachez que ce fut pour moi révélation
Sacrée révélation
Vrai !
jpj, Saint-Jean-de-Luz 10/2013
Sur le coup, ça ne m'a pas interpelé. Moi quand je la regarde, elle, de loin, ce sont ses seins qui m'intéressent. Alors j'ai trouvé ça normal qu'elle aussi elle ait, me concernant, un centre d'intérêt particulier.
D'ailleurs j'ai remarqué que moi j'étais intéressé par plein de filles, presque toutes les filles, et surtout par plein de choses qui concernent ces filles : plus que les seins, la silhouette, la façon de marcher, la position du corps, la façon de tenir la tête, la voix et leur façon de raconter ce qu'elles ont à dire. Enfin, les seins c'est bien mais c'est pas vraiment ça qui capte mon oeil... Les seins ya pas que ça chez une fille, loin de là.
Et c'est tant mieux !
Etrangement les fesses, leur fesses, n'attirent pas particulièrement mon regard. Pourtant j'aime, dans l'intimité, les toucher, les caresser, les palper. J'aime bien aussi regarder dessous, entre, par derrière, en contre-plongée. J'aime bien deviner ce qu'elles ont à cacher, à planquer entre elles...
Surtout celles de ma copine qui est velue et obscure et pudiquement camouflée...
J'aime aussi leur mouvement quand elle marche pied nus en se sachant regardée.
Le matin surtout, quand elle file à la salle bain et que moi je la mate depuis le fond de couette, dansante, gaie de la nuit que l'on vient de passer, tous les deux, à dormir ensemble...
Mais non, dans la rue ou ailleurs, mes yeux ne tombent pas, par force de gravité, sur les culs et je ne suis pas mateur de fesses sous robe fluide non plus que de pantalons gonflés, tendus sur postérieurs callipyges. Mon regard sur les filles est plus global, moins monomaniaque.
Alors cette affaire de mes fesses à moi, qui font fantasmer, a tourné dans ma tête et je me suis mis à y penser.
Y penser a fait que je me suis mis à les sentir, mes fesses, à avoir conscience qu'elles existaient.
Me dire que des yeux étaient braqués sur mes fesses m'a donné des ailes.
Au bistrot, au comptoir, me voilà qui cambre en me disant, ne regarde pas derrière toi mais la salle entière mate ton cul.
Les gars aussi ?
Pardi !
Eux aussi...
Dans la rue, je roule un peu.
Je ne me retourne pas, je sais.
C'est nouveau pour moi cette histoire de mon cul
Avant, je ne savais pas
Maintenant, non seulement j'y pense tout le temps, mais encore je me sens, à fond, profondément.
Je sens bien que je suis de là, de mon cul, autant sinon plus encore que de ma bite.
De tout temps j'ai su que ma bite et moi ne faisions qu'un.
Quand je rêve à mon égo, je vois bien que c'est ma bite tendue qui fait corps avec moi, rien que moi.
Quand je pense à ma bite je l'appelle de mon nom, de mon petit nom. Ma bite et moi on est depuis toujours, un et inséparables. Unis et unique.
Et bien maintenant mon cul a rejoint l'équipe.
C'est la trinité, mystère de l'incompréhension de la foi.
Ma bite, mon cul et moi...
On dirait un titre de western genre Il était une fois dans l'ouest ou Le train sifflera trois fois
Très vite j'ai compris qu'elle avait dit vrai, que mes fesses affolaient les foules, surtout depuis que je le savais et que je ne pensais plus qu'à ça... Manifestement, penser un truc faisait que les autres y pensaient aussi.
Comment appeler ça ? Empathie ? Transmission de pensée ?
En tous cas c'était net, le monde entier avait les yeux braqués sur mon cul et moi j'en bavais...
Alors ma vie a changé.
J'ai "oublié" de mettre un slip pour que mes fesses gonflent sans être marquées.
Je vivais cambré, le cul haut, les fesses ouvertes, accueillantes...
Mon esprit était moins sectaire
Les garçons qui me regardaient étaient mes amis, mes copains
Je n'avais plus ces retenues d'avant, d'antan...
La nuit, seul dans mon lit, je n'étais plus sur le dos, la tête enfouie sous l'oreiller, la bite au chaud dans la main à penser à des gamines et à leur fentes accueillantes
Non !
J'étais à quatre pattes, le nez dans le polochon, les fesses en l'air à rêver à des cavalcades endiablées, les reins cassés et le corps tendu vers un pieu qui me transperçait.
Les filles ont très vite perdu pour moi tout intérêt
La suite, je ne vous la dis pas, ce serait hors de propos
Mais sachez que ce fut pour moi révélation
Sacrée révélation
Vrai !
jpj, Saint-Jean-de-Luz 10/2013
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah Misa...
Tu sais très bien quelles sont les fesses dont je rêve la nuit
Et le jour aussi
Alors ne dis pas que je triche !!!
C'était juste un petit texte, en exercice, pour montrer que c'est possible de penser différent, que c'est plus encore que possible, que c'est facile, à la portée de tout un chacun et que ceux qui refusent de faire cette pirouette intellectuelle sont des handicapés des neurones.
Tu sais très bien quelles sont les fesses dont je rêve la nuit
Et le jour aussi
Alors ne dis pas que je triche !!!
C'était juste un petit texte, en exercice, pour montrer que c'est possible de penser différent, que c'est plus encore que possible, que c'est facile, à la portée de tout un chacun et que ceux qui refusent de faire cette pirouette intellectuelle sont des handicapés des neurones.
Je m'attendais à la fin à ce que tu joignes une photo de ...
Mais non! Tu as triché! Ce ne sont pas les tiennes, et féminines en plus!
Mais non! Tu as triché! Ce ne sont pas les tiennes, et féminines en plus!
salut a toi tres belle histoire vite la suite bisous
Très finement et agréablement raconté, mais attention: Danger ! J'ai eu un mari narcissique du reflet de ses fesses, au point de se désintéresser complètement des miennes !!