Mon patron et ma femme
Récit érotique écrit par Omarrrr [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mon patron et ma femme
Mon patron n'essayait jamais vraiment de m’aider dans ma tache bien qu'il détenait une pile d’informations en forme de rapports et de recherches sur son ordinateur portable. La plupart du temps, il ne faisait que se tenir au courrant de l’évolution du travail, et s’attribuait le mérite de la réussite des projets, qu’il ait été impliqué ou pas. Il passait le clair de son temps à sa passion; les femmes. Bel homme, il laissait peu de femmes insensibles et au bureau on lui prêtait une quantité de conquêtes féminines et d’escapades amoureuses.
Un jour, alors que je rassemblais les données pour un projet de construction particulièrement important, je réalisais qu’il me fallait fignoler le tout avec des chiffres à partir des sondages effectués sur le sujet. Une fois de plus, mon patron était la seule personne à détenir ces informations. Je décidais qu’il me serait d’une aide précieuse d'accéder secrètement son ordinateur afin de pouvoir compléter le projet dans le temps. En même temps, les rapports que j’y trouverais me permettrais de mettre sur pied ma propre base de données pour d’autres projets à venir, ce qui serait intéressant dans l’optique d’une promotion dans mon travail dans le long terme.
Depuis quelques mois ma femme Sanjana insistait pour qu’on aille rendre visite à ses parents. Une fois de plus, le projet tombait au mauvais moment. Je lui suggérai de s’y rendre seule et promis de la rejoindre une fois la présentation terminée. L’aéroport se trouvait tout près de l’hôtel où mon patron et moi comptions séjourner pour mettre la dernière main à notre présentation; aussi je proposai à Sanjana de m’y accompagner.
Cette solution m’enchantait. Ma femme Sanjana tiendrait compagnie à mon patron pendant que moi j'irais fouiller dans son ordinateur. Le patron ne verrait pas d’inconvénient à ce que j’emmène ma femme; il n’était pas du genre à s’ennuyer en compagnie d'une belle femme. Cependant je choisis de ne rien dire à Sanjana au sujet de mes intentions. Je jugeai que l’initiative avait plus de chance d’aboutir si Sanjana pouvait agir naturellement, sans se soucier des risques que je m’apprêtais à encourir.
Au fil des mois, après une dure journée de travail, il m’arrivait de tenir ma femme au courrant des difficultés que je rencontrais au bureau. Il nous arrivait d’en parler des heures, et souvent les conversations au sujet de mon beau patron et ses succès avec la gente féminine occupaient l'essentiel de nos soirées.
Lorsque Sanjana et moi atteignâmes l'hôtel, il était déjà tard le soir. Mon patron était déjà arrivé une demi-heure avant et il vint à notre rencontre. Je lui présentai ma femme et partis aider à porter nos valises jusqu’à notre chambre d'hôtel. Le patron et moi avions réservé des pièces attenantes avec une porte communicante, ce qui m’arrangeait. Quelques instants plus tard je rejoignis Sanjana et nous prîmes congé de mon patron. Au moment d’arriver à notre chambre, je demandai à Sanjana son opinion sur mon patron. Elle dit « Tu avais raison, il est un flirt ».
« Pourquoi ? T’a-t-il dit quelque chose? » je demandai.
« Il m'a fait des éloges et a dit beaucoup que tu as de la chance d'avoir une femme aussi belle » répliqua Sanjana.
« Sur ce point, il se pourrait qu’il ait raison, » je répondis en la taquinant.
Le jour suivant, laissant Sanjana à elle-même, je rencontrai mon patron dans la salle de séminaire mise à notre disposition. On passa toute la matinée, puis toute l’après –midi à travailler. A la fin de la journée, lorsque notre session de travail toucha à sa fin, je proposai au patron de se joindre à ma femme et moi pour le dîner. Il accepta gracieusement, ce qui me réjouit au plus haut point. C’était l'occasion que j’attendais. Je rentrai à l'hôtel et demandai à Sanjana de se préparer pour la soirée.
Trente minutes après, nous étions assis à une table dans le restaurant de l'hôtel. Toute de suite je me m’excusai, prétextant devoir aller chercher la présentation de notre projet sur film pour le lendemain. Sanjana semblait ne pas trop apprécier cet arrangement, toutefois elle ne dit rien. Je la réconfortai en disant que cela ne prendrait pas plus de trente minutes ; ils n’avaient qu’à commander un cocktail, le temps qu’il arrive, je serais déjà de retour.
Bien sûr j’avais organisé avec l'hôtel pour aller prendre le film à ma place. Je me dirigeai donc directement vers notre chambre et par la porte communicante, accédai facilement à la chambre du patron. Je trouvai son ordinateur portable sur sa table de chevet et la fis fonctionner. Toutefois, à peine ai-je commencé à copier les dossiers sur ma disquette quand j’entendis des pas qui venaient vers la porte.
Agissant par réflexe, je pris le portable avec moi et me dirigeai précipitamment vers la salle de bains que je fermai derrière moi. Je laissai toutefois une petite ouverture pour que je puisse voir la personne qui allait entrer. Je fus fort étonné de voir que c’était mon patron accompagné de ma femme Sanjana. Ils devaient s'ennuyer à m'attendre dans le restaurant. J'étais curieux de savoir quel prétexte mon patron avait bien pu utilisé pour que Sanjana le suive jusqu’à sa chambre.
A travers la porte entrouverte je vis mon patron sortir un album de photos de sa valise et commencer à montrer à Sanjana des photos qu’il avait prises dans différents pays au cours de ses voyages. Sanjana rêvait plus que tout de voyager et je me rappelais en avoir parler au cours d’une conversation avec mon patron.
Je me sentais pris au piège : je ne pouvais pas sortir de ma cachette car je n'avais pas d'excuse d’y être. Je me résignai donc à les regarder alors même que mon patron aidait ma femme à admirer son album de voyage. De temps à autre, mon patron laissait glisser ses doigts qui se posaient sur ceux de Sanjana au moment où il tournait les pages de l’album avec elle.
Bien que Sanjana fit semblant de ne rien remarquer, je savais qu’elle en était consciente, elle comprenait ce qu’il cherchait à faire et cela la rendait nerveuse. Elle continua à feuilleter les pages restantes rapidement, le remercia poliment et se leva pour partir. De toute évidence, elle ne voulait pas l'encourager. Le patron se redressa en même temps qu’elle et essaya de l'intéresser avec un tableau sur le mur de la chambre d'hôtel. Ils échangèrent quelques mots, puis mon patron dit « Il ne sera pas encore arrivé. Nous pouvons continuer à l'attendre ici. »
Bien que visiblement mal à l’aise, Sanjana ne trouva pas quoi dire. Mon patron s'approcha d’elle et dit « Nous ne faisons rien de mal, n'est-ce pas ? »
Il posa sa main doucement sur ses bras en la regardant directement. Sanjana détourna son regard comme pour éviter ses yeux sur elle. Il continua à la dévisager et dit : « Quand une femme rougit, cela veut dire que soit elle est gênée ou elle est fâchée. Lequel êtes-vous maintenant? »
Sa voix était très légère, comme une caresse sur elle, et elle rougit encore un peu plus. Il approcha son visage plus près de la sienne et dit : « Cela vous gênerait-il encore plus si je vous embrassait? »
Sa dernière phrase eut pour effet de faire réagir Sanjana. Elle se retourna vers lui et arriva à dire " Vous …nous …nous ne devons pas faire cela. »
« Vous voulez entendre quelque chose que j'ai jamais dit à personne d’autre? »
« Quoi ? » lui demanda-t-elle.
« Ce matin quand je me suis réveillé, c’est à vous que j’ai pensé en premier, à vos jambes telles que je les ai vues hier à travers votre jupe… à l’envie soudaine que j’ai ressenti de les caresser, peu importe le moment ou le lieu. J’ai pensé à votre bouche, à vos lèvres …à la manière particulière que vous avez de prononcer délicatement chaque mot dans une phrase… à la couleur qui apparaît sur vos joues chaque fois que vous êtes embarrassée… comme maintenant »
Ses mots semblèrent la prendre par surprise. Il s'était rapproché d’elle, sa bouche se posant presque sur ses joues lorsqu’il lui parla. « Quand votre mari m’a demandé de dîner avec vous, je me suis rendu compte que c’était la dernière occasion que j’avais de vous voir une fois plus… de voir vos jambes lorsque vous monterez les escaliers… »
Elle était inclinée maintenant contre le mur, son visage tourné dans l’autre direction de lui. Le bout de son doigt suivait les contours de son visage.
Ils s’embrassaient maintenant avec fougue, totalement inconscient de tout autour d’eux. Le bruit qu'ils faisaient avec leur bouche s’entendait à travers la pièce.
Pendant un court instant je pensai devoir intervenir pour mettre fin à cette scène. Au fond de moi, cependant, je n'étais pas sûr de ce j’étais sensé faire. Je n'étais pas sûr d’avoir un certain contrôle sur ma femme. Je sentais que Sanjana pourrait ne pas m'obéir. Même si elle faisait, son corps ne le ferait pas. Elle non plus ne semblait en avoir contrôle. Son corps lui répondait à lui, fiévreusement. Je me résolus donc à regarder, n'ayant même pas le courage de détourner les yeux.
Mon patron embrassait maintenant la gorge de ma femme pendant que sa main caressait son corps de long en large, pour venir se poser sur son sein. Il baissa la tête et plantant un baiser sur le bout de son sein à travers son linge.
Personne n’entendit le coup sec sur la porte. En tout cas, pas tout de suite. Sanjana fut le premier à réagir. Elle sortit de son étreinte et s’éloigna quelques pas de lui, tout en reprenant son souffle. Mon patron se tourna vers la porte et l’ouvrit. Un garçon d'hôtel entra, portant deux cocktails sur son trolley. Ils devaient les avoir commandés pendant qu’ils m’attendaient au bas dans le restaurant. Le garçon d'hôtel plaça le trolley dans un coin de la chambre et partit.
Pour quelques secondes les deux restèrent sans bouger. Ma femme Sanjana avait retrouvé son calme et semblait gênée de s’être laisser aller. Elle commença à se diriger vers la porte mais mon patron se mit au devant d’elle. Il essaya de la retenir et tenant ses bras dans ses mains.
« Nous n'aurions pas dû faire cela, « lui dit-elle.
« Attends..., » lui répondit-il en plaidant.
Ses mains se glissèrent le long de son corps pour venir s’arrêter sur sa taille. Elle redressa sa tête et osa le regarder dans les yeux et dit : « Vous avez promis. »
Elle était maintenant adossée à la porte de la chambre.
« Juste cinq minutes, » plaida –t-il, en s'agenouillant devant elle. Il lui tenait toujours la taille et pressa son visage contre son corps. Lentement elle toucha ses cheveux et commença à jouer avec. Ses doigts se déplacèrent sensuellement sur ses sourcils, son nez jusqu’à ses lèvres.
Toujours agenouillé devant elle, il embrassa ses doigts et les pris tour à tour dans sa bouche. Ensuite, avec la plus grande délicatesse, il ouvrit la fente de sa robe, révélant la blancheur de ses jambes. Lentement il parcourut sa main sur son mollet et monta vers le haut, en prenant son temps. Ensuite il embrassa ses jambes, ses lèvres remontant le long de sa jambe, caressant et couvrant de baisers …de milliers de baisers.
Ma femme était toujours adossée à la porte, elle faisait de plus en plus d’effort pour garder son équilibre. Son corps entier frissonnait et sa bouche était légèrement ouverte. Soudain elle laissa échapper une plainte étouffée « aahhh... ».
Un tremblement traversa aussitôt son corps tout entier et sa gorge sembla palpiter.
Mon patron sembla prendre le gémissement de ma femme comme un signal. Il se redressa en la soulevant avec lui et la porta jusqu’au lit. Il entreprit de déboutonner sa chemise à lui pour révéler sa poitrine. Ensuit il commença à ouvrir la fermeture éclair de son pantalon. Pendant tout
ce temps Sanjana n’arrêta pas un seul instant de lui fixer des yeux.
Je sentis mon estomac se serrer. Cela ne pouvait pas arriver, pas à Sanjana, pas à ma femme dévouée. Elle ne se laissera pas faire, je pensais. Elle ne le fera pas.
Mon souffle faillit s’arrêter lorsque mon patron sortit son sexe. Sanjana s'était approché de lui, et baissant sa tête, le prit dans ses main et l'embrassa. Elle se laissa ensuite tomber sur le lit, ses yeux toujours posés sur lui. Elle lui avait laissé comprendre qu’elle s’offrait totalement à lui
Jamais je n’avais envisagé voir ma femme embrasser un pénis, même pas le mien. Je me rendis compte qu’elle devait l'avoir senti contre elle quand il l'embrassait contre le mur. Elle devait y avoir pensé à ce moment là. Elle devait en avoir eu envie.
Mon patron n’avait pas besoin davantage d’encouragement. Il prit la jambe de Sanjana et la caressa avec sa main de bas en haut jusqu’à sa cuisse, puis souleva sa robe pour révéler sa culotte. En un mouvement rapide il l'enleva pour avoir accès à sa chatte. Tout en embrassant sa jambe il la pris contre lui. Ensuite il tira Sanjana vers lui et dirigea son membre à l'intérieur d’elle. Il ne portait pas un préservatif. Elle ne sembla pas s’en soucier. Elle le voulait en elle; elle ne voulait pas qu'il s’arrête, même un instant.
Avec des mouvements légers, mon patron emmena le corps de ma femme à bouger à la cadence qu’il voulait. Quant à elle, son corps commençait à s’arquer en arrière à mesure que le plaisir montait en elle. Des gémissements s’échappaient de sa gorge.
La fente de sa robe était remontée au-dessus de ses genoux révélant ses jambes, impudiques, mais merveilleuses comme je ne les avais jamais vu. En fait, avec un pincement de douleur, je me rendit compte que Sanjana n’avait jamais été aussi désirable, aussi épanouie, aussi femme.
Soudain mon patron arrêta son mouvement et une vague sembla passer de son corps à celui de Sanjana. Elle se pencha encore plus en arrière. Ensuite mon patron commença à la pénétrer plus rapidement et longuement, entrant au plus profond d’elle à chaque fois. Les gémissements étouffés qui s’échappaient d'elle étaient maintenant plus bruyants, son souffle était plus court.
La vue de ma femme, si fière et respectueuse, jouissant de plaisir, les jambes écartées dans les bras de cet homme, était quelque chose à laquelle je n'étais pas préparé. Le corps que j’avais toujours tenu pour sacrée maintenant était envahi et exploité comme un vulgaire objet.
la suite a tres bientot
Un jour, alors que je rassemblais les données pour un projet de construction particulièrement important, je réalisais qu’il me fallait fignoler le tout avec des chiffres à partir des sondages effectués sur le sujet. Une fois de plus, mon patron était la seule personne à détenir ces informations. Je décidais qu’il me serait d’une aide précieuse d'accéder secrètement son ordinateur afin de pouvoir compléter le projet dans le temps. En même temps, les rapports que j’y trouverais me permettrais de mettre sur pied ma propre base de données pour d’autres projets à venir, ce qui serait intéressant dans l’optique d’une promotion dans mon travail dans le long terme.
Depuis quelques mois ma femme Sanjana insistait pour qu’on aille rendre visite à ses parents. Une fois de plus, le projet tombait au mauvais moment. Je lui suggérai de s’y rendre seule et promis de la rejoindre une fois la présentation terminée. L’aéroport se trouvait tout près de l’hôtel où mon patron et moi comptions séjourner pour mettre la dernière main à notre présentation; aussi je proposai à Sanjana de m’y accompagner.
Cette solution m’enchantait. Ma femme Sanjana tiendrait compagnie à mon patron pendant que moi j'irais fouiller dans son ordinateur. Le patron ne verrait pas d’inconvénient à ce que j’emmène ma femme; il n’était pas du genre à s’ennuyer en compagnie d'une belle femme. Cependant je choisis de ne rien dire à Sanjana au sujet de mes intentions. Je jugeai que l’initiative avait plus de chance d’aboutir si Sanjana pouvait agir naturellement, sans se soucier des risques que je m’apprêtais à encourir.
Au fil des mois, après une dure journée de travail, il m’arrivait de tenir ma femme au courrant des difficultés que je rencontrais au bureau. Il nous arrivait d’en parler des heures, et souvent les conversations au sujet de mon beau patron et ses succès avec la gente féminine occupaient l'essentiel de nos soirées.
Lorsque Sanjana et moi atteignâmes l'hôtel, il était déjà tard le soir. Mon patron était déjà arrivé une demi-heure avant et il vint à notre rencontre. Je lui présentai ma femme et partis aider à porter nos valises jusqu’à notre chambre d'hôtel. Le patron et moi avions réservé des pièces attenantes avec une porte communicante, ce qui m’arrangeait. Quelques instants plus tard je rejoignis Sanjana et nous prîmes congé de mon patron. Au moment d’arriver à notre chambre, je demandai à Sanjana son opinion sur mon patron. Elle dit « Tu avais raison, il est un flirt ».
« Pourquoi ? T’a-t-il dit quelque chose? » je demandai.
« Il m'a fait des éloges et a dit beaucoup que tu as de la chance d'avoir une femme aussi belle » répliqua Sanjana.
« Sur ce point, il se pourrait qu’il ait raison, » je répondis en la taquinant.
Le jour suivant, laissant Sanjana à elle-même, je rencontrai mon patron dans la salle de séminaire mise à notre disposition. On passa toute la matinée, puis toute l’après –midi à travailler. A la fin de la journée, lorsque notre session de travail toucha à sa fin, je proposai au patron de se joindre à ma femme et moi pour le dîner. Il accepta gracieusement, ce qui me réjouit au plus haut point. C’était l'occasion que j’attendais. Je rentrai à l'hôtel et demandai à Sanjana de se préparer pour la soirée.
Trente minutes après, nous étions assis à une table dans le restaurant de l'hôtel. Toute de suite je me m’excusai, prétextant devoir aller chercher la présentation de notre projet sur film pour le lendemain. Sanjana semblait ne pas trop apprécier cet arrangement, toutefois elle ne dit rien. Je la réconfortai en disant que cela ne prendrait pas plus de trente minutes ; ils n’avaient qu’à commander un cocktail, le temps qu’il arrive, je serais déjà de retour.
Bien sûr j’avais organisé avec l'hôtel pour aller prendre le film à ma place. Je me dirigeai donc directement vers notre chambre et par la porte communicante, accédai facilement à la chambre du patron. Je trouvai son ordinateur portable sur sa table de chevet et la fis fonctionner. Toutefois, à peine ai-je commencé à copier les dossiers sur ma disquette quand j’entendis des pas qui venaient vers la porte.
Agissant par réflexe, je pris le portable avec moi et me dirigeai précipitamment vers la salle de bains que je fermai derrière moi. Je laissai toutefois une petite ouverture pour que je puisse voir la personne qui allait entrer. Je fus fort étonné de voir que c’était mon patron accompagné de ma femme Sanjana. Ils devaient s'ennuyer à m'attendre dans le restaurant. J'étais curieux de savoir quel prétexte mon patron avait bien pu utilisé pour que Sanjana le suive jusqu’à sa chambre.
A travers la porte entrouverte je vis mon patron sortir un album de photos de sa valise et commencer à montrer à Sanjana des photos qu’il avait prises dans différents pays au cours de ses voyages. Sanjana rêvait plus que tout de voyager et je me rappelais en avoir parler au cours d’une conversation avec mon patron.
Je me sentais pris au piège : je ne pouvais pas sortir de ma cachette car je n'avais pas d'excuse d’y être. Je me résignai donc à les regarder alors même que mon patron aidait ma femme à admirer son album de voyage. De temps à autre, mon patron laissait glisser ses doigts qui se posaient sur ceux de Sanjana au moment où il tournait les pages de l’album avec elle.
Bien que Sanjana fit semblant de ne rien remarquer, je savais qu’elle en était consciente, elle comprenait ce qu’il cherchait à faire et cela la rendait nerveuse. Elle continua à feuilleter les pages restantes rapidement, le remercia poliment et se leva pour partir. De toute évidence, elle ne voulait pas l'encourager. Le patron se redressa en même temps qu’elle et essaya de l'intéresser avec un tableau sur le mur de la chambre d'hôtel. Ils échangèrent quelques mots, puis mon patron dit « Il ne sera pas encore arrivé. Nous pouvons continuer à l'attendre ici. »
Bien que visiblement mal à l’aise, Sanjana ne trouva pas quoi dire. Mon patron s'approcha d’elle et dit « Nous ne faisons rien de mal, n'est-ce pas ? »
Il posa sa main doucement sur ses bras en la regardant directement. Sanjana détourna son regard comme pour éviter ses yeux sur elle. Il continua à la dévisager et dit : « Quand une femme rougit, cela veut dire que soit elle est gênée ou elle est fâchée. Lequel êtes-vous maintenant? »
Sa voix était très légère, comme une caresse sur elle, et elle rougit encore un peu plus. Il approcha son visage plus près de la sienne et dit : « Cela vous gênerait-il encore plus si je vous embrassait? »
Sa dernière phrase eut pour effet de faire réagir Sanjana. Elle se retourna vers lui et arriva à dire " Vous …nous …nous ne devons pas faire cela. »
« Vous voulez entendre quelque chose que j'ai jamais dit à personne d’autre? »
« Quoi ? » lui demanda-t-elle.
« Ce matin quand je me suis réveillé, c’est à vous que j’ai pensé en premier, à vos jambes telles que je les ai vues hier à travers votre jupe… à l’envie soudaine que j’ai ressenti de les caresser, peu importe le moment ou le lieu. J’ai pensé à votre bouche, à vos lèvres …à la manière particulière que vous avez de prononcer délicatement chaque mot dans une phrase… à la couleur qui apparaît sur vos joues chaque fois que vous êtes embarrassée… comme maintenant »
Ses mots semblèrent la prendre par surprise. Il s'était rapproché d’elle, sa bouche se posant presque sur ses joues lorsqu’il lui parla. « Quand votre mari m’a demandé de dîner avec vous, je me suis rendu compte que c’était la dernière occasion que j’avais de vous voir une fois plus… de voir vos jambes lorsque vous monterez les escaliers… »
Elle était inclinée maintenant contre le mur, son visage tourné dans l’autre direction de lui. Le bout de son doigt suivait les contours de son visage.
Ils s’embrassaient maintenant avec fougue, totalement inconscient de tout autour d’eux. Le bruit qu'ils faisaient avec leur bouche s’entendait à travers la pièce.
Pendant un court instant je pensai devoir intervenir pour mettre fin à cette scène. Au fond de moi, cependant, je n'étais pas sûr de ce j’étais sensé faire. Je n'étais pas sûr d’avoir un certain contrôle sur ma femme. Je sentais que Sanjana pourrait ne pas m'obéir. Même si elle faisait, son corps ne le ferait pas. Elle non plus ne semblait en avoir contrôle. Son corps lui répondait à lui, fiévreusement. Je me résolus donc à regarder, n'ayant même pas le courage de détourner les yeux.
Mon patron embrassait maintenant la gorge de ma femme pendant que sa main caressait son corps de long en large, pour venir se poser sur son sein. Il baissa la tête et plantant un baiser sur le bout de son sein à travers son linge.
Personne n’entendit le coup sec sur la porte. En tout cas, pas tout de suite. Sanjana fut le premier à réagir. Elle sortit de son étreinte et s’éloigna quelques pas de lui, tout en reprenant son souffle. Mon patron se tourna vers la porte et l’ouvrit. Un garçon d'hôtel entra, portant deux cocktails sur son trolley. Ils devaient les avoir commandés pendant qu’ils m’attendaient au bas dans le restaurant. Le garçon d'hôtel plaça le trolley dans un coin de la chambre et partit.
Pour quelques secondes les deux restèrent sans bouger. Ma femme Sanjana avait retrouvé son calme et semblait gênée de s’être laisser aller. Elle commença à se diriger vers la porte mais mon patron se mit au devant d’elle. Il essaya de la retenir et tenant ses bras dans ses mains.
« Nous n'aurions pas dû faire cela, « lui dit-elle.
« Attends..., » lui répondit-il en plaidant.
Ses mains se glissèrent le long de son corps pour venir s’arrêter sur sa taille. Elle redressa sa tête et osa le regarder dans les yeux et dit : « Vous avez promis. »
Elle était maintenant adossée à la porte de la chambre.
« Juste cinq minutes, » plaida –t-il, en s'agenouillant devant elle. Il lui tenait toujours la taille et pressa son visage contre son corps. Lentement elle toucha ses cheveux et commença à jouer avec. Ses doigts se déplacèrent sensuellement sur ses sourcils, son nez jusqu’à ses lèvres.
Toujours agenouillé devant elle, il embrassa ses doigts et les pris tour à tour dans sa bouche. Ensuite, avec la plus grande délicatesse, il ouvrit la fente de sa robe, révélant la blancheur de ses jambes. Lentement il parcourut sa main sur son mollet et monta vers le haut, en prenant son temps. Ensuite il embrassa ses jambes, ses lèvres remontant le long de sa jambe, caressant et couvrant de baisers …de milliers de baisers.
Ma femme était toujours adossée à la porte, elle faisait de plus en plus d’effort pour garder son équilibre. Son corps entier frissonnait et sa bouche était légèrement ouverte. Soudain elle laissa échapper une plainte étouffée « aahhh... ».
Un tremblement traversa aussitôt son corps tout entier et sa gorge sembla palpiter.
Mon patron sembla prendre le gémissement de ma femme comme un signal. Il se redressa en la soulevant avec lui et la porta jusqu’au lit. Il entreprit de déboutonner sa chemise à lui pour révéler sa poitrine. Ensuit il commença à ouvrir la fermeture éclair de son pantalon. Pendant tout
ce temps Sanjana n’arrêta pas un seul instant de lui fixer des yeux.
Je sentis mon estomac se serrer. Cela ne pouvait pas arriver, pas à Sanjana, pas à ma femme dévouée. Elle ne se laissera pas faire, je pensais. Elle ne le fera pas.
Mon souffle faillit s’arrêter lorsque mon patron sortit son sexe. Sanjana s'était approché de lui, et baissant sa tête, le prit dans ses main et l'embrassa. Elle se laissa ensuite tomber sur le lit, ses yeux toujours posés sur lui. Elle lui avait laissé comprendre qu’elle s’offrait totalement à lui
Jamais je n’avais envisagé voir ma femme embrasser un pénis, même pas le mien. Je me rendis compte qu’elle devait l'avoir senti contre elle quand il l'embrassait contre le mur. Elle devait y avoir pensé à ce moment là. Elle devait en avoir eu envie.
Mon patron n’avait pas besoin davantage d’encouragement. Il prit la jambe de Sanjana et la caressa avec sa main de bas en haut jusqu’à sa cuisse, puis souleva sa robe pour révéler sa culotte. En un mouvement rapide il l'enleva pour avoir accès à sa chatte. Tout en embrassant sa jambe il la pris contre lui. Ensuite il tira Sanjana vers lui et dirigea son membre à l'intérieur d’elle. Il ne portait pas un préservatif. Elle ne sembla pas s’en soucier. Elle le voulait en elle; elle ne voulait pas qu'il s’arrête, même un instant.
Avec des mouvements légers, mon patron emmena le corps de ma femme à bouger à la cadence qu’il voulait. Quant à elle, son corps commençait à s’arquer en arrière à mesure que le plaisir montait en elle. Des gémissements s’échappaient de sa gorge.
La fente de sa robe était remontée au-dessus de ses genoux révélant ses jambes, impudiques, mais merveilleuses comme je ne les avais jamais vu. En fait, avec un pincement de douleur, je me rendit compte que Sanjana n’avait jamais été aussi désirable, aussi épanouie, aussi femme.
Soudain mon patron arrêta son mouvement et une vague sembla passer de son corps à celui de Sanjana. Elle se pencha encore plus en arrière. Ensuite mon patron commença à la pénétrer plus rapidement et longuement, entrant au plus profond d’elle à chaque fois. Les gémissements étouffés qui s’échappaient d'elle étaient maintenant plus bruyants, son souffle était plus court.
La vue de ma femme, si fière et respectueuse, jouissant de plaisir, les jambes écartées dans les bras de cet homme, était quelque chose à laquelle je n'étais pas préparé. Le corps que j’avais toujours tenu pour sacrée maintenant était envahi et exploité comme un vulgaire objet.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Encore une histoire débile décidément cet auteur y est abonné .on n emmène pas sa femme dans l antre d un obsédé sexuel ce type est un idiot congénitale. La plupart des maris casserait la figure à ce genre de patron qui ne respecte pas la femme de ses employés quitte à être licencié après mais en portant plainte au prud'homme pour lui faire cracher des dommages et intérêts. Ce genre de pratique de la part d un patron est maintenant puni sévèrement par la loi.