Monique au domaine de pont royal
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2021 dans la catégorie Plus on est
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Monique au domaine de pont royal
A l'orée de ses trente ans Monique venait de divorcer. Ayant refusé d'entrer dans une guerre de pension alimentaire (qui de toute façon en l'absence de tout enfant aurait été ridicule) elle avait décidé de faire une demande d'emploi au domaine de Pont Royal; elle y avait été recrutée comme serveuse à la cafétéria/brasserie du tennis club du domaine.
Le fait, amusant dans un premier temps, que toutes les serveuses soient habillées en joueuses de tennis (petite jupe et tee-shirt). Dans un second temps elle s'était aperçue que les regards des hommes étaient souvent attirés par la limite jupe-pli fessier lorsqu'elle se penchait en avant à une table.
C'étaient souvent des tables de deux ou de quatre couverts, avec une grande majorité de mecs.
Assez rapidement ses copines de travail lui avaient indiqué que c'était mieux de porter une culotte ou un string plutôt qu'un shorty.
De plus le trajet de quelques kilomètres en vélo lui offrait une relation pubis-selle intéressante, et elle arrivait souvent au travail avec l'entrejambe passablement excité.
Au début ce ne furent que des mains qui se posaient au-dessus du genoux, sur l'extérieur de la cuisse, pendant la prise des commandes.
Puis petit à petit, ces mains se posèrent sur l'intérieur de la cuisse, toujours légèrement au dessus du genoux. Il aurait été délicat de se mettre à protester devant une pratique qui semblait bien établie dans le club et qui ne semblait troubler personne.
Puis un jour ces mains se mirent à monter et à descendre, en un mot se mirent à caresser l'intérieur de la cuisse pendant les prises de commande. Elle en parla à ses copines de travail qui lui répondirent "c'est parce qu'ils t'aiment bien, tu verras les pourboires varient comme les positions des mains; et effectivement, elle ne pouvait pas se plaindre de la générosité des pourboires.
Au début du printemps la direction leur offrit des tee-shirts portant le logo "domaine de pont royal", mais dont l'échancrure du décolleté était très généreuse. L'une d'entre elles, au vestiaire déclara "c'est mieux sans soutien gorge", et c'est ce que la totalité des serveuses fit.
Monique avait une poitrine généreuse mais relativement ferme, ce qui fait que ses mouvements se traduisaient par des mouvements de ses seins qui se signalaient comme "bien vivants".
Effets du printemps et des jours qui augmentaient, les pourboires se mirent à augmenter également. Le travail était intense et souvent, excitée par les mains qui remontaient à l'intérieur de ses cuisses, c'était la selle de son vélo qui terminait le travail d'excitation sur ses grandes lèvres sur le chemin du retour (et elle veillait bien, en pliant plus ou moins les coudes sur son guidon, à gérer l'angle de son pubis et de l'avant de la selle) ... et puis un jour sur le chemin du retour elle eut son premier orgasme, c'était dans la longue descente où les vibrations provoquées par la route se transmettaient intégralement à son vagin, elle termina la descente la bouche ouverte dans un long gémissement de jouissance, et l'entrejambe trempée de cyprine; à partir de ce jour là, chaque fois en prenant son travail, elle pensait au retour et à l'hypothétique jouissance. Elle n'avait pas mis bien longtemps à s'apercevoir que plus l'excitation était présente pendant son service, plus facile et plus intense était l'orgasme sur le chemin du retour.
Elle n'hésitait pas à poser un sein sur l'épaule de l'homme à qui elle déposait une assiette devant lui, et même, si l'occasion s'y prêtait, transformer ce simple contact en effleurement, voire en frottement.
Et puis un jour un pouce d'une main parvint jusqu'à la zone pubienne, elle fit comme si rien n'était, mais elle était excitée au maximum et son vagin trempé de cyprine. Et l'orgasme sur le chemin du retour fut grandiose.
Elle était devenue "demandeuse" de ces contacts, et pour les provoquer elle portait des culottes/strings qui étaient de véritables oeuvres d'art (et qui lui coutait amplement le montant de ses pourboires) mais qui la conduisait à des orgasmes majestueux.
Puis à un moment, le hasard fit qu'il y eut un remplacement à faire à la cafétéria/brasserie du club de golf qui faisait partie du même domaine, c'est donc avec sa tenue de tennis woman qu'elle se retrouva au golf-club 'où il n'y avait pratiquement qu'une clientèle masculine, mais clientèle plus discrète, plus distante que celle du tennis club.
Les membres du club de golf furent charmés (et amusés) de voir cette jeune femme en tenue de tennis venir les servir (alors que la tradition était beaucoup plus austère)
Le gérant de la partie cafétéria du club de golf avait bien noté cet intérêt, et s'arrangea pour que ce soit Monique et ses jupes de tennis qui assure les remplacements côté "golf"
Monique pouvait constater que les mains étaient moins "aventurières" du côté des golfeurs, mais ceux-ci disposaient d'un "salon de rhé - fumoir" où ils pouvaient se retirer pour lire un journal ou fumer une pipe (une vraie pipe d'écume) après leur repas. Et là les pourboires n'avaient aucune commune mesure avec le côté tennis, et ceci sans se faire toucher la chatte.
Pourtant les mains baladeuses manquaient à Monique, alors elle s'arrangeait pour s'installer de temps en temps sur un siège haut, les chevilles croisées, offrant son entrejambe aux regards des golfeurs (qui avaient l'habitude de regarder des trous de loin) et elle s'excitait ainsi parfois avec autant d'intensité que sous les doigts des joueurs de tennis.
Un jour, alors qu'elle servait leurs cognacs à deux golfeurs dans leur fumoir, l'un des deux lui demanda "je viens de faire un pari avec mon camarade, accepteriez vous de m'embrasser ?"
Monique fut amusée par cette proposition grivoise dans ce cadre aussi austère; elle répondit "Bien sûr, pourquoi pas ?" et elle se pencha en avant pour lui faire un bisou, mais ce fut une bouche ouverte qui l'accueillit, alors sans se démonter sa langue alla à la rencontre de la langue vorace de son partenaire.
Pendant ce temps les mains de l'homme s'étaient emparées de ses deux seins et les caressaient avec volupté. Elle s'attarda de longues secondes dans cette bouche, lorsqu'elle se redressa, l'autre homme lui dit "vous venez de me faire perdre un pari considérable", puis se tournant vers son camarade lui lança "je te parie le double qu'elle va accepter de m'embrasser à mon tour!"; l'autre hilare s'exclama "pari tenu, maintenant qu'elle connait la nature du bisou!" et sans se démonter elle dit "je ne vois pas pourquoi je ferais des différences entre vous!", et elle se pencha vers le deuxième personnage en prenant l'initiative, elle, du baiser profond. Non seulement l'homme accueillit sa langue avec ardeur, mais il glissa une main entre ses cuisses, et un doigt s'introduisit sous la culotte, à la recherche de l'entrée de la grotte. Elle se contenta d'écarter les pieds pour faciliter la manoeuvre. Le doigt s'introduisit dans son vagin à la recherche du point G. Elle accentua son baiser puis se redressa, restant les pieds écartés alors que le doigt fouillait toujours son vagin.
"C'est agréable des paris comme ça, je suis favorable à ces jeux de hasard" leur dit elle "mais maintenant que vous m'avez excitée comme une puce, cela ne va pas être simple pour moi".
Ils lui dire qu'ils avaient la possibilité de la calmer si elle les accompagnait dans leur vestiaire. Les golfeurs disposaient de vestiaires individuels très confortables qu'elle ne connaissait pas, les deux hommes émoustillés par leur cognac et leurs paris la précédèrent.
Dés la porte franchie le premier se retourna pour l'embrasser à pleine bouche, le second pour ne pas être en reste, s'agenouilla derrière elle en retroussant la jupe. Il descendit le string à hauteur des genoux et glissa son nez et sa langue entre les fesses pour atteindre son anus.
Elle murmura entre deux embrassades, "baisez moi!"
Quelques minutes après elle était totalement nue, en position de l'enclume, un sexe de mâle dans son vagin et un dans sa bouche, très souvent les positions changeaient et tous ses orifices furent visités, tous sans préservatifs (les deux hommes n'avaient pas prévu l'évènement). Les orgasmes se succédèrent, les premiers signalés par des gémissements, puis les suivants le furent par des cris et le dernier, pour une double pénétration, par des hurlements.
Lorsqu'elle sortit de la zone des vestiaires elle avait du mal à marcher, titubant légèrement, ayant du mal à gérer l'écartement de ses cuisses.
Elle se rendit à l'évidence qu'elle ne pourrait pas rentrer en bicyclette; aux abords du parking elle croisa des joueurs de tennis qui la trouvant un peu "troublée" lui proposèrent de la raccompagner. Ces joueurs qui venaient de disputer un "double messieurs" (et qui donc étaient quatre) lui firent une place parmi eux et accrochèrent le vélo au-dessus du pare choc, sur la calandre avant.
Assez rapidement les mains de ses voisins de banquette se retrouvèrent sur ses seins et entre ses cuisses.
Bien que les langues de ses voisins occupent régulièrement sa bouche, les doigts qui titillaient son clitoris et pénétraient son vagin firent que des gémissements alertèrent les deux hommes assis à l'avant, aussi le conducteur prit la décision de se rendre à son propre domicile en lui proposant de prendre une douche.
A l'appartement, dès qu'ils furent nus tous les cinq, de fait ce fut un gang bang ininterrompu, au bout d'un moment elle n'était plus qu'une succession d'orgasmes. Elle se surprit à penser "je deviens folle, je ne sais plus ce que je fais", en réalité elle était plus passive qu'actrice. Ces quatre hommes, sportifs entrainés, arrivaient à prendre des positions impensables. Elle eut droit, bien sûr, à des doubles pénétrations, elle ne savait plus si elle éprouvait des orgasmes vaginaux ou des orgasmes anaux.
Régulièrement son clitoris, sollicité, lui rappelait la densité des orgasmes clitoridiens.
A un moment elle se mit à supplier Non, plus, c'est trop fort, c'est trop..." Mais les quatre hommes semblaient inépuisables, ils avaient tous éjaculé au moins une fois, mais une fois une belle érection retrouvée, ils étaient beaucoup plus résistants.
Elle ne pouvait plus savoir combien de fois son clitoris, son vagin ou son conduit anal lui avaient procuré un orgasme, mais elle se dit "je vais devenir folle, je vais mourir, c'est trop!"
Les quatre hommes étaient dans la salle de bain à se succéder sous la douche; Monique allongée sur le lit, les jambes écartées se mit à jouir toute seule, sans rien faire, uniquement en passant dans sa tête ce qu'elle venait de vivre.
"Ce n'est pas possible, je vais mourir..."
Le premier qui revint dans la chambre la trouva inanimée, il fit immédiatement le numéro des pompiers au téléphone.
Les pompiers furent accueillis par quatre hommes habillés qui les conduisirent à une femme inanimée, revêtue d'une robe de chambre.
Au bout d'un moment elle reprit connaissance, elle eut un peu de mal à se situer, elle entendit une voix lui dire: "restez calme, vous avez eu un malaise, voys êtes dans le camion des pompiers, on vous mène à l'hôpitel!"
Elle eut le temps de penser "oh oui, des pompiers, je n'en ai pas eu encore", et elle ouvrit grand sa robe de chambre sur ses seins; et l'un des pompiers s'exclama "je crois qu'elle va mieux!"
Le fait, amusant dans un premier temps, que toutes les serveuses soient habillées en joueuses de tennis (petite jupe et tee-shirt). Dans un second temps elle s'était aperçue que les regards des hommes étaient souvent attirés par la limite jupe-pli fessier lorsqu'elle se penchait en avant à une table.
C'étaient souvent des tables de deux ou de quatre couverts, avec une grande majorité de mecs.
Assez rapidement ses copines de travail lui avaient indiqué que c'était mieux de porter une culotte ou un string plutôt qu'un shorty.
De plus le trajet de quelques kilomètres en vélo lui offrait une relation pubis-selle intéressante, et elle arrivait souvent au travail avec l'entrejambe passablement excité.
Au début ce ne furent que des mains qui se posaient au-dessus du genoux, sur l'extérieur de la cuisse, pendant la prise des commandes.
Puis petit à petit, ces mains se posèrent sur l'intérieur de la cuisse, toujours légèrement au dessus du genoux. Il aurait été délicat de se mettre à protester devant une pratique qui semblait bien établie dans le club et qui ne semblait troubler personne.
Puis un jour ces mains se mirent à monter et à descendre, en un mot se mirent à caresser l'intérieur de la cuisse pendant les prises de commande. Elle en parla à ses copines de travail qui lui répondirent "c'est parce qu'ils t'aiment bien, tu verras les pourboires varient comme les positions des mains; et effectivement, elle ne pouvait pas se plaindre de la générosité des pourboires.
Au début du printemps la direction leur offrit des tee-shirts portant le logo "domaine de pont royal", mais dont l'échancrure du décolleté était très généreuse. L'une d'entre elles, au vestiaire déclara "c'est mieux sans soutien gorge", et c'est ce que la totalité des serveuses fit.
Monique avait une poitrine généreuse mais relativement ferme, ce qui fait que ses mouvements se traduisaient par des mouvements de ses seins qui se signalaient comme "bien vivants".
Effets du printemps et des jours qui augmentaient, les pourboires se mirent à augmenter également. Le travail était intense et souvent, excitée par les mains qui remontaient à l'intérieur de ses cuisses, c'était la selle de son vélo qui terminait le travail d'excitation sur ses grandes lèvres sur le chemin du retour (et elle veillait bien, en pliant plus ou moins les coudes sur son guidon, à gérer l'angle de son pubis et de l'avant de la selle) ... et puis un jour sur le chemin du retour elle eut son premier orgasme, c'était dans la longue descente où les vibrations provoquées par la route se transmettaient intégralement à son vagin, elle termina la descente la bouche ouverte dans un long gémissement de jouissance, et l'entrejambe trempée de cyprine; à partir de ce jour là, chaque fois en prenant son travail, elle pensait au retour et à l'hypothétique jouissance. Elle n'avait pas mis bien longtemps à s'apercevoir que plus l'excitation était présente pendant son service, plus facile et plus intense était l'orgasme sur le chemin du retour.
Elle n'hésitait pas à poser un sein sur l'épaule de l'homme à qui elle déposait une assiette devant lui, et même, si l'occasion s'y prêtait, transformer ce simple contact en effleurement, voire en frottement.
Et puis un jour un pouce d'une main parvint jusqu'à la zone pubienne, elle fit comme si rien n'était, mais elle était excitée au maximum et son vagin trempé de cyprine. Et l'orgasme sur le chemin du retour fut grandiose.
Elle était devenue "demandeuse" de ces contacts, et pour les provoquer elle portait des culottes/strings qui étaient de véritables oeuvres d'art (et qui lui coutait amplement le montant de ses pourboires) mais qui la conduisait à des orgasmes majestueux.
Puis à un moment, le hasard fit qu'il y eut un remplacement à faire à la cafétéria/brasserie du club de golf qui faisait partie du même domaine, c'est donc avec sa tenue de tennis woman qu'elle se retrouva au golf-club 'où il n'y avait pratiquement qu'une clientèle masculine, mais clientèle plus discrète, plus distante que celle du tennis club.
Les membres du club de golf furent charmés (et amusés) de voir cette jeune femme en tenue de tennis venir les servir (alors que la tradition était beaucoup plus austère)
Le gérant de la partie cafétéria du club de golf avait bien noté cet intérêt, et s'arrangea pour que ce soit Monique et ses jupes de tennis qui assure les remplacements côté "golf"
Monique pouvait constater que les mains étaient moins "aventurières" du côté des golfeurs, mais ceux-ci disposaient d'un "salon de rhé - fumoir" où ils pouvaient se retirer pour lire un journal ou fumer une pipe (une vraie pipe d'écume) après leur repas. Et là les pourboires n'avaient aucune commune mesure avec le côté tennis, et ceci sans se faire toucher la chatte.
Pourtant les mains baladeuses manquaient à Monique, alors elle s'arrangeait pour s'installer de temps en temps sur un siège haut, les chevilles croisées, offrant son entrejambe aux regards des golfeurs (qui avaient l'habitude de regarder des trous de loin) et elle s'excitait ainsi parfois avec autant d'intensité que sous les doigts des joueurs de tennis.
Un jour, alors qu'elle servait leurs cognacs à deux golfeurs dans leur fumoir, l'un des deux lui demanda "je viens de faire un pari avec mon camarade, accepteriez vous de m'embrasser ?"
Monique fut amusée par cette proposition grivoise dans ce cadre aussi austère; elle répondit "Bien sûr, pourquoi pas ?" et elle se pencha en avant pour lui faire un bisou, mais ce fut une bouche ouverte qui l'accueillit, alors sans se démonter sa langue alla à la rencontre de la langue vorace de son partenaire.
Pendant ce temps les mains de l'homme s'étaient emparées de ses deux seins et les caressaient avec volupté. Elle s'attarda de longues secondes dans cette bouche, lorsqu'elle se redressa, l'autre homme lui dit "vous venez de me faire perdre un pari considérable", puis se tournant vers son camarade lui lança "je te parie le double qu'elle va accepter de m'embrasser à mon tour!"; l'autre hilare s'exclama "pari tenu, maintenant qu'elle connait la nature du bisou!" et sans se démonter elle dit "je ne vois pas pourquoi je ferais des différences entre vous!", et elle se pencha vers le deuxième personnage en prenant l'initiative, elle, du baiser profond. Non seulement l'homme accueillit sa langue avec ardeur, mais il glissa une main entre ses cuisses, et un doigt s'introduisit sous la culotte, à la recherche de l'entrée de la grotte. Elle se contenta d'écarter les pieds pour faciliter la manoeuvre. Le doigt s'introduisit dans son vagin à la recherche du point G. Elle accentua son baiser puis se redressa, restant les pieds écartés alors que le doigt fouillait toujours son vagin.
"C'est agréable des paris comme ça, je suis favorable à ces jeux de hasard" leur dit elle "mais maintenant que vous m'avez excitée comme une puce, cela ne va pas être simple pour moi".
Ils lui dire qu'ils avaient la possibilité de la calmer si elle les accompagnait dans leur vestiaire. Les golfeurs disposaient de vestiaires individuels très confortables qu'elle ne connaissait pas, les deux hommes émoustillés par leur cognac et leurs paris la précédèrent.
Dés la porte franchie le premier se retourna pour l'embrasser à pleine bouche, le second pour ne pas être en reste, s'agenouilla derrière elle en retroussant la jupe. Il descendit le string à hauteur des genoux et glissa son nez et sa langue entre les fesses pour atteindre son anus.
Elle murmura entre deux embrassades, "baisez moi!"
Quelques minutes après elle était totalement nue, en position de l'enclume, un sexe de mâle dans son vagin et un dans sa bouche, très souvent les positions changeaient et tous ses orifices furent visités, tous sans préservatifs (les deux hommes n'avaient pas prévu l'évènement). Les orgasmes se succédèrent, les premiers signalés par des gémissements, puis les suivants le furent par des cris et le dernier, pour une double pénétration, par des hurlements.
Lorsqu'elle sortit de la zone des vestiaires elle avait du mal à marcher, titubant légèrement, ayant du mal à gérer l'écartement de ses cuisses.
Elle se rendit à l'évidence qu'elle ne pourrait pas rentrer en bicyclette; aux abords du parking elle croisa des joueurs de tennis qui la trouvant un peu "troublée" lui proposèrent de la raccompagner. Ces joueurs qui venaient de disputer un "double messieurs" (et qui donc étaient quatre) lui firent une place parmi eux et accrochèrent le vélo au-dessus du pare choc, sur la calandre avant.
Assez rapidement les mains de ses voisins de banquette se retrouvèrent sur ses seins et entre ses cuisses.
Bien que les langues de ses voisins occupent régulièrement sa bouche, les doigts qui titillaient son clitoris et pénétraient son vagin firent que des gémissements alertèrent les deux hommes assis à l'avant, aussi le conducteur prit la décision de se rendre à son propre domicile en lui proposant de prendre une douche.
A l'appartement, dès qu'ils furent nus tous les cinq, de fait ce fut un gang bang ininterrompu, au bout d'un moment elle n'était plus qu'une succession d'orgasmes. Elle se surprit à penser "je deviens folle, je ne sais plus ce que je fais", en réalité elle était plus passive qu'actrice. Ces quatre hommes, sportifs entrainés, arrivaient à prendre des positions impensables. Elle eut droit, bien sûr, à des doubles pénétrations, elle ne savait plus si elle éprouvait des orgasmes vaginaux ou des orgasmes anaux.
Régulièrement son clitoris, sollicité, lui rappelait la densité des orgasmes clitoridiens.
A un moment elle se mit à supplier Non, plus, c'est trop fort, c'est trop..." Mais les quatre hommes semblaient inépuisables, ils avaient tous éjaculé au moins une fois, mais une fois une belle érection retrouvée, ils étaient beaucoup plus résistants.
Elle ne pouvait plus savoir combien de fois son clitoris, son vagin ou son conduit anal lui avaient procuré un orgasme, mais elle se dit "je vais devenir folle, je vais mourir, c'est trop!"
Les quatre hommes étaient dans la salle de bain à se succéder sous la douche; Monique allongée sur le lit, les jambes écartées se mit à jouir toute seule, sans rien faire, uniquement en passant dans sa tête ce qu'elle venait de vivre.
"Ce n'est pas possible, je vais mourir..."
Le premier qui revint dans la chambre la trouva inanimée, il fit immédiatement le numéro des pompiers au téléphone.
Les pompiers furent accueillis par quatre hommes habillés qui les conduisirent à une femme inanimée, revêtue d'une robe de chambre.
Au bout d'un moment elle reprit connaissance, elle eut un peu de mal à se situer, elle entendit une voix lui dire: "restez calme, vous avez eu un malaise, voys êtes dans le camion des pompiers, on vous mène à l'hôpitel!"
Elle eut le temps de penser "oh oui, des pompiers, je n'en ai pas eu encore", et elle ouvrit grand sa robe de chambre sur ses seins; et l'un des pompiers s'exclama "je crois qu'elle va mieux!"
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Les avis des lecteurs
J’ai adoré. Très bien écrit . Et très excitant