Mot salace, mot trompeur – Nouvelle version
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-03-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mot salace, mot trompeur – Nouvelle version
Mot salace, mot trompeur – Nouvelle versionDialogues Interdits, ou les conversations subversives et légères de deux personnages abordant tous les sujets sexuels, même les plus tabous. Une série d’histoires complètes, dont les épisodes peuvent se lire dans n’importe quel ordre.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
–––––––
— Ça y est, enfin ! Je l’ai fait, I did it !
— Quoi donc ?
— Je suis allé voir une prostituée.
— Ah. Hourra, sabrons le champagne. On dirait que ça te réjouit ?
— L’expérience manquait à mon tableau de chasse. Je sais, on n’est pas forcé de tout vivre. Pourtant, je suis content d’avoir vécu le trip.
— C’était bien ?
— Non en fait. Je suis satisfait par principe, pas pour le plaisir retiré.
— Raconte.
— Y’a rien à raconter. Hier soir je n’avais aucune partenaire, et super envie. Aller draguer je le sentais pas, j’étais un peu dans le brouillard, pas du tout prêt à assurer la conversation. Ni à entrer dans le jeu de séduction. Le bois de Vincennes n’était pas loin…— Combien ?
— À une dizaine de minutes en voiture, maxi, parce qu’il y avait pas de bouchons.
— Andouille ! Je te demande le tarif.
— Ça démarrait à vingt. J’en ai cherché une à quarante, en me disant naïvement que j’aurais deux fois mieux. Ou tout du moins une prestation pas trop mal.
— Une grosse africaine ?
— En cherchant bien on en trouve des fines. J’ai préféré une fille des pays de l’Est. Plutôt pas mal. Il y avait une camionnette, j’ai préféré qu’on prenne un peu l’air. Je me suis fait sucer avec capote en regardant le clair de lune, enfoncés dans la forêt.
— Sans la regarder elle ?
— Il faisait trop noir. Puis à cause de la terre elle n’était même pas à genoux, juste accroupie, ce qui est jamais bien fameux à voir. Ça a été je dirais, vite fait bien fait. Enfin, « bien fait »…. Efficace, quoi. Très mécanique. Une vraie machine, sans passion ni fougue.
— Lui en veut pas. Qui aurait une vraie envie de se farcir n’importe qui à n’importe quelle heure et chaque soir de la semaine. Le mythe de la prostituée qui aime ça… n’est rien qu’un mythe. Sauf pour certaines putes de luxe, peut-être, et encore.
— Ça m’a pas donné envie d’y revenir. Surtout, ça m’a fait repenser au plan à quatre qu’on s’est fait le mois dernier, tu te souviens ? Avec Martine et Célia.
— Ah ben merci bien.
— Attends ! Laisse-moi t’expliquer. Tu sais, quand Célia te pipait et que tu n’arrêtais pas de la traiter de petite pute…— Elle aime bien les paroles salaces… ça l’excite, elle les accueille comme des compliments.
— C’était tout sauf un compliment, je l’ai constaté hier soir. Trouve autre chose ! Je sais pas moi, « salope » par exemple. Parce que « pute », franchement c’est méchant. Une pute suce beaucoup moins bien qu’une copine.
— Tu penses que le terme a été galvaudé ?
— Et comment ! On dira que telle fille est une pute parce qu’elle adore les galipettes à répétitions. En fait, on devrait plutôt dire « pute » pour parler des mauvaises suceuses ou de celles qui couchent machinalement.
— Bon, la prochaine fois je la traite de pute de luxe.
Un nouvel épisode chaque samedi matin à 9 H et chaque mercredi soir à 20 H.
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— Ça y est, enfin ! Je l’ai fait, I did it !
— Quoi donc ?
— Je suis allé voir une prostituée.
— Ah. Hourra, sabrons le champagne. On dirait que ça te réjouit ?
— L’expérience manquait à mon tableau de chasse. Je sais, on n’est pas forcé de tout vivre. Pourtant, je suis content d’avoir vécu le trip.
— C’était bien ?
— Non en fait. Je suis satisfait par principe, pas pour le plaisir retiré.
— Raconte.
— Y’a rien à raconter. Hier soir je n’avais aucune partenaire, et super envie. Aller draguer je le sentais pas, j’étais un peu dans le brouillard, pas du tout prêt à assurer la conversation. Ni à entrer dans le jeu de séduction. Le bois de Vincennes n’était pas loin…— Combien ?
— À une dizaine de minutes en voiture, maxi, parce qu’il y avait pas de bouchons.
— Andouille ! Je te demande le tarif.
— Ça démarrait à vingt. J’en ai cherché une à quarante, en me disant naïvement que j’aurais deux fois mieux. Ou tout du moins une prestation pas trop mal.
— Une grosse africaine ?
— En cherchant bien on en trouve des fines. J’ai préféré une fille des pays de l’Est. Plutôt pas mal. Il y avait une camionnette, j’ai préféré qu’on prenne un peu l’air. Je me suis fait sucer avec capote en regardant le clair de lune, enfoncés dans la forêt.
— Sans la regarder elle ?
— Il faisait trop noir. Puis à cause de la terre elle n’était même pas à genoux, juste accroupie, ce qui est jamais bien fameux à voir. Ça a été je dirais, vite fait bien fait. Enfin, « bien fait »…. Efficace, quoi. Très mécanique. Une vraie machine, sans passion ni fougue.
— Lui en veut pas. Qui aurait une vraie envie de se farcir n’importe qui à n’importe quelle heure et chaque soir de la semaine. Le mythe de la prostituée qui aime ça… n’est rien qu’un mythe. Sauf pour certaines putes de luxe, peut-être, et encore.
— Ça m’a pas donné envie d’y revenir. Surtout, ça m’a fait repenser au plan à quatre qu’on s’est fait le mois dernier, tu te souviens ? Avec Martine et Célia.
— Ah ben merci bien.
— Attends ! Laisse-moi t’expliquer. Tu sais, quand Célia te pipait et que tu n’arrêtais pas de la traiter de petite pute…— Elle aime bien les paroles salaces… ça l’excite, elle les accueille comme des compliments.
— C’était tout sauf un compliment, je l’ai constaté hier soir. Trouve autre chose ! Je sais pas moi, « salope » par exemple. Parce que « pute », franchement c’est méchant. Une pute suce beaucoup moins bien qu’une copine.
— Tu penses que le terme a été galvaudé ?
— Et comment ! On dira que telle fille est une pute parce qu’elle adore les galipettes à répétitions. En fait, on devrait plutôt dire « pute » pour parler des mauvaises suceuses ou de celles qui couchent machinalement.
— Bon, la prochaine fois je la traite de pute de luxe.
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