Muriel n’arrêtera jamais de m’étonner
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Muriel n’arrêtera jamais de m’étonner
Je vous ai souvent parler de Muriel la bruxelloise qui m’a fait découvrir pas mal de nouveauté. Mon travail me permet de souvent voyager en Europe, particulièrement dans les pays francophones. Du coup je demande toutes les missions en Belgique afin de voir ma Muriel le plus souvent possible.
Cette semaine je n’ai que 2 jours de travail mais à Anvers, alors je les place jeudi et vendredi afin de profiter de ma chausse pendant tout le week end. Vendredi dès que je finis mon dernière rendez vous je file à la gare et moins d’une heure après j’arrive chez Muriel.
Elle est égale à elle même joyeuse, câline et chaleureuse. Mais il y a quelque chose de different elle porte une jupe, ça fait bientôt un an que nous nous voyons au moins 2 fois par mois et je l’ai toujours vu en pantalon. Alors qu’elle est accrochée à mon cou et me couvre de bisous j’en profite pour caresser ses douces jambes.
Bien que j’ai très envie d’elle je suis crevé de ma semaine alors je lui propose de se poser un peu sur le canapé et en buvant un verre. Je vais poser ma valise dans la chambre et je m’affale dans le salon pendant qu’elle nous serre du whisky. Nous trinquons, nous embrassons avant et après la chaleur de la gorgée. Nos mains se baladent sur le corps de l’autre.
J’ai encore envie de boire alors je dessoude nos lèvres et attrape mon verre en lui demandant de mettre de la musique. Elle se lève et va vers la chaine mais sa démarche est étrange. Je baisse les yeux, elle est pieds nus donc ça ne vient pas des chaussures. Elle garde les cuisses serrées en marchant, j’espère qu’elle a pas mal à l’entrejambe parce que j’ai trop envie d’elle et sa bouche ne me suffira pas!
Sur le canapé aussi elle s’assoit bizarrement en fait elle est sur le côté, je suis de plus en plus intrigué par la situation. J’hésite entre partir l’explorer avec ma main ou lui demander. J’opte pour le dialogue et lui dit:« Tu te sens bien? » et je pose un baiser sur sa joue. Elle rougit et me répond:« Oui » et après un moment de silence elle ajoute: « Je me suis préparée pour toi, c’est tout! »Je ne comprends pas ce qu’elle essaye de me dire, j’espère que le long silence et ma drôle de tête vont la pousser à continuer ses explications mais elle attrape une petite serviette sur la table et la laisse tomber à terre. Puis en se levant elle me dit:« Je vais te montrer »Elle se penche en avant pour ramasser la serviette et quand elle se baisse sa jupe remonte et laisse découvrir le bas de son string noir. Sans y réfléchir je pose ma main droite sur sa fesse droite en la caressant je passe mon pouce sur sa ficelle, il y a une bosse!
Il y a un truc dur dans son string, du coup je relève un peu sa jupe, Muriel se penche un peu plus. De chaque côté de la ficelle noir je vois du violet dépasser. J’écarte la ligne noir pour voir ce que cette coquine a encore fait. Je découvre un gode planté entre ses fesses, mais en explorant mieux son entrejambe je vois que le gode est courbé et est aussi planté dans sa chatte.
La salope! Depuis une demi heure que je suis la, et même surement bien plus, elle a un double gode enfoncé dans ses deux trous. Pas besoin de starter, je bande tout de suite comme un âne.
Je remonte bien sa jupe sur sa taille et je baisse son string. J’attrape le gode au niveau du pli et je fais doucement aller et venir la double bite en plastique dans ses 2 orifices, elle se met immédiatement à gémir. Je fais une bonne dizaine d’aller retour mais maintenant j’ai envie de rentrer dans la danse alors j’appuies bien sur le noeud pour ne pas que le gode sorte et je lui demande de se déshabiller.
Alors qu’elle enlève son haut et sa jupe je pousse du pied la table basse pour qu’elle s’allonge sur le tapis. Une fois qu’elle est au sol je me déshabille à mon tour et je vais la rejoindre sur le tapis.
Je me place entre ses cuisses et pendant que je fais bouger le morceau de la bite en plastique qui est dans son sexe je m’occupe avec ma bouche de son clito. Je commence par le laper puis je coince son petit bouton entre mes lèvres et je l’aspire alors que je le titille du bout de la langue. En à peine quelques minutes ses gémissements deviennent des cris de jouissance et elle mouille tellement que ma main qui manipule le gode est bien humide.
Une fois que son orgasme redescend je retire doucement le gode qui est dans sa chatte et je le remplace immédiatement par ma queue qui ne demande que ça. Son sexe est déjà trempé et grand ouvert alors je rentre sans aucun problème d’un coup sec. Je la lime comme un fou, ses gémissements redémarrent. Après l’avoir ramoner pendant plusieurs minutes, je sors de son entrejambe dans un grand bruit.
J’attrape le gode que je fais un peu aller et venir dans son cul avant de replanter l’autre partie dans sa chatte. Mais je ne fais rentrer pas beaucoup plus que le gland en plastique.
J’empoigne ma queue et je lui caresse le clito et les lèvres intimes avec mon gland. Puis j’appuies sur le sexe en plastique avec le mien et je me fais un petit passage entre ses lèvres gonflées.
Je fais doucement rentrer mon gland en elle en me frottant contre le sexe en plastique que je sens très nervuré. J’enfonce lentement en elle ma queue et celle en plastique et je les rentre le plus profondément possible. Une fois que je suis au fond je m’immobilise pour lui laissant le temps de s’habituer à cette grosse intrusion. Certes il y en a 2 en latex mais Muriel à 3 bites en elle!
Je commence à aller et venir tout doucement en elle, je fais de tous petits mouvements. Elle se remet immédiatement à gémir mais aussi à encore plus mouiller ce qui me permet d’augmenter l’ampleur de mes mouvements en elle.
J’ai toujours adoré la baiser, mais là on est encore sur autre chose. Non seulement mes allers retours dans sa chatte trempée m’excitent mais aussi les frottements de mon sexe contre celui en plastique et surtout le spectacle de sa moule totalement dilatée et envahie par deux bites, dommage que je n’ai pas une vue sur son cul!
Au bout de plusieurs minutes je calme le rythme parce que je sens la jouissance approche, mais j’en veux encore plus. Je me retire tout doucement de sa grotte en me frottant bien contre ses lèvres et le gode. Une fois dehors je fais aussi sortir le sexe en plastique d’entre ses fesses en laissant l’autre partie entre ses cuisses. Mais Muriel empoigne le gode et le retire d’un coup sec de ses 2 trous. Pendant que j’attrape sur le canapé un coussin pour le glisser sous ses reins et lui soulever les fesses, elle suce toutes ses sécrétions, vaginales comme anales, qui sont sur le gode.
Avec mes deux mains j’écarte ses fesses et je pose mon gland sur sa pastille qui est grande ouverte et qui aspire immédiatement toute ma queue. Je suis complètement enfoncé dans ses entrailles, même si son cul est bien dilaté je reste un moment planté en elle. Sa bouche abandonne le gode et se l’insère elle même entre les cuisses. Je sens les veines du gode me caresser la bite à travers la fine membrane qui nous séparent.
Une fois que la bite en plastique a complètement envahie sa moule, il ne reste que 10 petits centimètres de plastique qui viennent se coller contre mon ventre. Je commence à lui limer le cul doucement.
Muriel à la particularité d’énormément aussi mouiller du cul donc je suis très rapidement à l’aise en elle et je peux accélérer et varier le rythme entre ses fesses. A chaque fois que je suis totalement planté en elle, je donne un petit coup avec mon ventre sur le gode pour faire un plus participer sa chatte, vu ses petits cris elle aime ça.
Aussi bien quand mes mouvements sont lents comme rapides, mon dernier coup de rein est plus sec pour faire participer le gode, mais la position n’est pas très confortable alors je lui fait soulever un peu plus les fesses. J’empoigne le gode et je le fais aller et venir dans sa grotte, en décaler mais au même rythme que ma queue dans son cul.
Ses gémissements se font de plus en plus fort, j’accélère de plus en plus le rythme. Sa moule et ses fesses dégoulinent de plaisirs. Muriel attrape mon avant bras posé sur sa taille et plante ses ongles dans ma peau. Je lui défonce le cul que je sens de plus en plus se contracter alors que je fais faire à la bite en plastique des mouvements plus petits mais tout aussi sec.
Ses gémissements sont de plus en plus aigus et forts, ses ongles se plantent encore plus dans ma peau ce qui devrait me faire mal mais il me donnent encore plus de plaisirs. Son petit anneau se serre énormément autour de mon sexe.
Je sens que je ne vais pas non plus tenir très longtemps alors je la préviens. Malgré la position, Muriel pose son autre main sur une de ses fesses et ses doigts très prêt de son petit trou pour me caresser la tige du bout des ongles à chacun de mes mouvements. Maintenant je sens littéralement son oeillet palpiter autour de mon sexe. Ses cris de plaisirs me font gonfler les couilles. Je sens mon jus monter jusqu’à mon gland, je me plante, ainsi que le gode, tout au fond et à l’aide d’une dernière contraction du cul de Muriel je me vide entièrement dans ses entrailles.
Nous restons un moment ainsi, totalement essoufflé. Ma queue commence à dégonfler, je reprends mes vas et viens très lent dans son cul afin de la déculer avec un dernier plaisir. Une fois que je suis dehors, Muriel retire d’un coup sec le gode. Quand nous nous relevons, un peu cassé par la position, je vois nos deux jus couler le long de ses cuisses.
Je ramasse le gode que je ne peux m’empêcher de sentir et même un peu le lécher. Puis je lui caresse l’intérieur des cuisses avec la bite en plastique afin de récolter nos deux jus que je lui donne à lécher. Une fois qu’elle a tout avalé nous nous affalons entièrement nus sur le canapé pour reprendre un peu de force.
Alors qu’elle est dans mes bras, je regarde le gode posé sur la table basse à côté de nos verres. Je me dis que ni la soirée ni le week end est fini et j’ai une idée de comment l’utiliser ensemble…
Cette semaine je n’ai que 2 jours de travail mais à Anvers, alors je les place jeudi et vendredi afin de profiter de ma chausse pendant tout le week end. Vendredi dès que je finis mon dernière rendez vous je file à la gare et moins d’une heure après j’arrive chez Muriel.
Elle est égale à elle même joyeuse, câline et chaleureuse. Mais il y a quelque chose de different elle porte une jupe, ça fait bientôt un an que nous nous voyons au moins 2 fois par mois et je l’ai toujours vu en pantalon. Alors qu’elle est accrochée à mon cou et me couvre de bisous j’en profite pour caresser ses douces jambes.
Bien que j’ai très envie d’elle je suis crevé de ma semaine alors je lui propose de se poser un peu sur le canapé et en buvant un verre. Je vais poser ma valise dans la chambre et je m’affale dans le salon pendant qu’elle nous serre du whisky. Nous trinquons, nous embrassons avant et après la chaleur de la gorgée. Nos mains se baladent sur le corps de l’autre.
J’ai encore envie de boire alors je dessoude nos lèvres et attrape mon verre en lui demandant de mettre de la musique. Elle se lève et va vers la chaine mais sa démarche est étrange. Je baisse les yeux, elle est pieds nus donc ça ne vient pas des chaussures. Elle garde les cuisses serrées en marchant, j’espère qu’elle a pas mal à l’entrejambe parce que j’ai trop envie d’elle et sa bouche ne me suffira pas!
Sur le canapé aussi elle s’assoit bizarrement en fait elle est sur le côté, je suis de plus en plus intrigué par la situation. J’hésite entre partir l’explorer avec ma main ou lui demander. J’opte pour le dialogue et lui dit:« Tu te sens bien? » et je pose un baiser sur sa joue. Elle rougit et me répond:« Oui » et après un moment de silence elle ajoute: « Je me suis préparée pour toi, c’est tout! »Je ne comprends pas ce qu’elle essaye de me dire, j’espère que le long silence et ma drôle de tête vont la pousser à continuer ses explications mais elle attrape une petite serviette sur la table et la laisse tomber à terre. Puis en se levant elle me dit:« Je vais te montrer »Elle se penche en avant pour ramasser la serviette et quand elle se baisse sa jupe remonte et laisse découvrir le bas de son string noir. Sans y réfléchir je pose ma main droite sur sa fesse droite en la caressant je passe mon pouce sur sa ficelle, il y a une bosse!
Il y a un truc dur dans son string, du coup je relève un peu sa jupe, Muriel se penche un peu plus. De chaque côté de la ficelle noir je vois du violet dépasser. J’écarte la ligne noir pour voir ce que cette coquine a encore fait. Je découvre un gode planté entre ses fesses, mais en explorant mieux son entrejambe je vois que le gode est courbé et est aussi planté dans sa chatte.
La salope! Depuis une demi heure que je suis la, et même surement bien plus, elle a un double gode enfoncé dans ses deux trous. Pas besoin de starter, je bande tout de suite comme un âne.
Je remonte bien sa jupe sur sa taille et je baisse son string. J’attrape le gode au niveau du pli et je fais doucement aller et venir la double bite en plastique dans ses 2 orifices, elle se met immédiatement à gémir. Je fais une bonne dizaine d’aller retour mais maintenant j’ai envie de rentrer dans la danse alors j’appuies bien sur le noeud pour ne pas que le gode sorte et je lui demande de se déshabiller.
Alors qu’elle enlève son haut et sa jupe je pousse du pied la table basse pour qu’elle s’allonge sur le tapis. Une fois qu’elle est au sol je me déshabille à mon tour et je vais la rejoindre sur le tapis.
Je me place entre ses cuisses et pendant que je fais bouger le morceau de la bite en plastique qui est dans son sexe je m’occupe avec ma bouche de son clito. Je commence par le laper puis je coince son petit bouton entre mes lèvres et je l’aspire alors que je le titille du bout de la langue. En à peine quelques minutes ses gémissements deviennent des cris de jouissance et elle mouille tellement que ma main qui manipule le gode est bien humide.
Une fois que son orgasme redescend je retire doucement le gode qui est dans sa chatte et je le remplace immédiatement par ma queue qui ne demande que ça. Son sexe est déjà trempé et grand ouvert alors je rentre sans aucun problème d’un coup sec. Je la lime comme un fou, ses gémissements redémarrent. Après l’avoir ramoner pendant plusieurs minutes, je sors de son entrejambe dans un grand bruit.
J’attrape le gode que je fais un peu aller et venir dans son cul avant de replanter l’autre partie dans sa chatte. Mais je ne fais rentrer pas beaucoup plus que le gland en plastique.
J’empoigne ma queue et je lui caresse le clito et les lèvres intimes avec mon gland. Puis j’appuies sur le sexe en plastique avec le mien et je me fais un petit passage entre ses lèvres gonflées.
Je fais doucement rentrer mon gland en elle en me frottant contre le sexe en plastique que je sens très nervuré. J’enfonce lentement en elle ma queue et celle en plastique et je les rentre le plus profondément possible. Une fois que je suis au fond je m’immobilise pour lui laissant le temps de s’habituer à cette grosse intrusion. Certes il y en a 2 en latex mais Muriel à 3 bites en elle!
Je commence à aller et venir tout doucement en elle, je fais de tous petits mouvements. Elle se remet immédiatement à gémir mais aussi à encore plus mouiller ce qui me permet d’augmenter l’ampleur de mes mouvements en elle.
J’ai toujours adoré la baiser, mais là on est encore sur autre chose. Non seulement mes allers retours dans sa chatte trempée m’excitent mais aussi les frottements de mon sexe contre celui en plastique et surtout le spectacle de sa moule totalement dilatée et envahie par deux bites, dommage que je n’ai pas une vue sur son cul!
Au bout de plusieurs minutes je calme le rythme parce que je sens la jouissance approche, mais j’en veux encore plus. Je me retire tout doucement de sa grotte en me frottant bien contre ses lèvres et le gode. Une fois dehors je fais aussi sortir le sexe en plastique d’entre ses fesses en laissant l’autre partie entre ses cuisses. Mais Muriel empoigne le gode et le retire d’un coup sec de ses 2 trous. Pendant que j’attrape sur le canapé un coussin pour le glisser sous ses reins et lui soulever les fesses, elle suce toutes ses sécrétions, vaginales comme anales, qui sont sur le gode.
Avec mes deux mains j’écarte ses fesses et je pose mon gland sur sa pastille qui est grande ouverte et qui aspire immédiatement toute ma queue. Je suis complètement enfoncé dans ses entrailles, même si son cul est bien dilaté je reste un moment planté en elle. Sa bouche abandonne le gode et se l’insère elle même entre les cuisses. Je sens les veines du gode me caresser la bite à travers la fine membrane qui nous séparent.
Une fois que la bite en plastique a complètement envahie sa moule, il ne reste que 10 petits centimètres de plastique qui viennent se coller contre mon ventre. Je commence à lui limer le cul doucement.
Muriel à la particularité d’énormément aussi mouiller du cul donc je suis très rapidement à l’aise en elle et je peux accélérer et varier le rythme entre ses fesses. A chaque fois que je suis totalement planté en elle, je donne un petit coup avec mon ventre sur le gode pour faire un plus participer sa chatte, vu ses petits cris elle aime ça.
Aussi bien quand mes mouvements sont lents comme rapides, mon dernier coup de rein est plus sec pour faire participer le gode, mais la position n’est pas très confortable alors je lui fait soulever un peu plus les fesses. J’empoigne le gode et je le fais aller et venir dans sa grotte, en décaler mais au même rythme que ma queue dans son cul.
Ses gémissements se font de plus en plus fort, j’accélère de plus en plus le rythme. Sa moule et ses fesses dégoulinent de plaisirs. Muriel attrape mon avant bras posé sur sa taille et plante ses ongles dans ma peau. Je lui défonce le cul que je sens de plus en plus se contracter alors que je fais faire à la bite en plastique des mouvements plus petits mais tout aussi sec.
Ses gémissements sont de plus en plus aigus et forts, ses ongles se plantent encore plus dans ma peau ce qui devrait me faire mal mais il me donnent encore plus de plaisirs. Son petit anneau se serre énormément autour de mon sexe.
Je sens que je ne vais pas non plus tenir très longtemps alors je la préviens. Malgré la position, Muriel pose son autre main sur une de ses fesses et ses doigts très prêt de son petit trou pour me caresser la tige du bout des ongles à chacun de mes mouvements. Maintenant je sens littéralement son oeillet palpiter autour de mon sexe. Ses cris de plaisirs me font gonfler les couilles. Je sens mon jus monter jusqu’à mon gland, je me plante, ainsi que le gode, tout au fond et à l’aide d’une dernière contraction du cul de Muriel je me vide entièrement dans ses entrailles.
Nous restons un moment ainsi, totalement essoufflé. Ma queue commence à dégonfler, je reprends mes vas et viens très lent dans son cul afin de la déculer avec un dernier plaisir. Une fois que je suis dehors, Muriel retire d’un coup sec le gode. Quand nous nous relevons, un peu cassé par la position, je vois nos deux jus couler le long de ses cuisses.
Je ramasse le gode que je ne peux m’empêcher de sentir et même un peu le lécher. Puis je lui caresse l’intérieur des cuisses avec la bite en plastique afin de récolter nos deux jus que je lui donne à lécher. Une fois qu’elle a tout avalé nous nous affalons entièrement nus sur le canapé pour reprendre un peu de force.
Alors qu’elle est dans mes bras, je regarde le gode posé sur la table basse à côté de nos verres. Je me dis que ni la soirée ni le week end est fini et j’ai une idée de comment l’utiliser ensemble…
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