Muriel n’arrêtera jamais de m’étonner et c’est tant mieux

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Muriel n’arrêtera jamais de m’étonner et c’est tant mieux Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Muriel n’arrêtera jamais de m’étonner et c’est tant mieux
Après ce début de soirée assez mouvementé la suite est plus calme, autant qu’un moment en tête avec Muriel puisse être calme. Par contre la suite du week end l’est beaucoup moins surtout que le double gode à été très présent.

Le samedi, après le bonjour quotidien en amazone de ma bruxelloise, nous petit déjeunons au lit puis nous partons arpenter une partie de la ville. À force de venir voir Muriel je commence à bien connaître Bruxelles, il ne faut pas croire nous ne passons pas toutes nos journées au lit même si ça représente une grande partie de notre emploi du temps.
Cette fois elle m’emmène dans des quartiers beaucoup moins fréquentés par les touristes.

Nous buvons une bière dans un pub où elle connaît le barman, elle m’amène dans sa librairie préférée et nous croisons même son ex mari. En se baladant dans les petites rues nous passons devant l’hôtel qui a abrité nos premiers ébats (je m’en souviendrai longtemps il y avait des miroirs tout autour et au dessus du lit); ça me permet de mieux découvrir le vrai Bruxelles!

Nous marchons tranquillement, bras dessus bras dessous, depuis plusieurs heures quand nous passons devant une boutique qui m’interpelle. Je nous stop devant la vitrine où sont exposé différents masque en cuir. Le premier, de couleur chair est en forme de tête de cochon; il y a deux têtes de chien, une marron avec des oreilles longues et un petit museau et une noire qui ressemble à une gueule de doberman. Le dernier n’a pas de forme particulière, comme les autres il a deux trous au niveau des yeux et deux plus petits pour les narines mais au lieu d’avoir une fermeture éclair au niveau de la bouche il y a une brosse de toilettes.

Déjà que les masques en forme d’animaux ne m’excitent pas mais alors le dernier... Muriel rigole en voyant la tête interloquée, je lève la tête pour regarder la devanture mais il n’y a rien de particulier. Elle m’attrape la main et me tire vers l’entrée de sex shop hors norme, en tout cas pour moi, en me disant:
« Viens, j’ai une idée! »

Une fois à l’intérieur, je reste bouche bée devant tout ces objets que je n’aurai jamais imaginé pouvoir être sexuels. L’homme derrière la caisse est au téléphone, il nous sourit et nous fais un signe de la main alors que je me dirige vers un tuyau avec d’un côté des sangles et de l’autre un entonnoir. Franchement celui la je ne comprend pas, je reste interrogatif devant cet objet quand le vendeur raccroche et avec une voix un peu efféminée dit:
« Muriel, ma chérie, ça fait tellement longtemps que je ne t’ai pas vu! »
Donc en plus c’est une habituée de ce lieu!

Elle lâche mon bras, me chuchote à l’oreille:
« Pense à nos jeux humides! »,
et file rejoindre sa connaissance. Je la rejoins pour saluer son ami en imaginant Muriel avec les sangles autour du visage, le tuyau dans la bouche et l’entonnoir se tenant devant ma bite pour lui verser une généreuse dose de mon champagne qu’elle aime tant. J’adore nos jeux uros, c’est elle qui m’y a initié mais cette idée ne me fait pas spécialement bander.

Mon imagination est interrompue par la voix de ma bruxelloise
« Gérard je te présente mon homme, Romain »
Je lui tend la main mais il se penche vers moi pour me faire la bise et Muriel me précise:
« C’est l’ex de mon demi frère, tu te rappelles je t’en ai parlé! ».
Je ne me rappelle pas du tout mais je fais comme si de rien était. Ils discutent à voix basse entre eux du coup je retourne m’étonne encore plus avec ce que le genre humain peut inventer.

Au bout d’un trop long moment je retourne vers Muriel, qui a un sac à la main et je lui demande à ce que l’on bouge. Nous disons au revoir et juste avant de sortir, elle se retourne et me demande de patienter, elle veut reprendre du lubrifiant. Vu comme elle mouille des deux trous je ne vois pas à quoi ça va nous servir! Avant de franchir la porte elle s’adresse à son ami:
« Sérieusement tu m’appelles et tu passes boire l’apéritif demain à la maison ».

Une fois dehors elle me dit que c’est vraiment un très gentil garçon et qu’elle espère que ça ne me dérange pas qu’elle l’ai invité pour le lendemain. En vérité ça m’emmerde un peu, j’aurai bien aimé qu’on passe notre dernière soirée en tête à tête mais bon... surtout qu’en fait je suis plus curieux de savoir ce qu’elle a dans le sac mais j’obtiens uniquement comme réponse:
« Patience! »

Nous continuons notre balade, nous grignotons une barquette de frites sur le retour (je ne peux pas venir en Belgique sans déguster des french fries) et nous rentrons enfin à la maison.
Après un bon thé et une petite clope dans le jardin nous prenons une bonne douche ensemble. Nous nous caressons mutuellement sous le jet d’eau qui tombe et s’écoule sur nos corps. Muriel très soucieuse de l’hygiène me nettoie buccalement le corps en insistant sur mon sexe qui grandit de plus en plus dans sa bouche. Comme elle est accroupie devant moi les cuisses grandes ouvertes, j’en profite pour lui caresser les lèvres intimes du bout du pied. Malgré l’eau qui continue de couler sur nous je sens qu’elle mouille déjà bien.

Elle se relève pendant que j’attrape le savon, moi aussi très soucieux de sa propreté j’insiste bien entre ses fesses mais aussi au niveau de son sexe alors que ses mains après s’être baladé sur tout mon corps s’arrêtent sur mon cul. Elle plaque son corps contre le mien, mon sexe tendu se colle à son ventre et mes couilles frottent son clito. Nos deux mains savonneuses titillent la rosette de l’autre et alors que grâce au glissement du savon nous nous masturbons l’un contre l’autre nous nous sodomisons simultanément avec un doigt.

Mon corps est électrique mais je sens que le sien aussi. On pourrait continuer ainsi et je suis sur t’attendre l’orgasme mais gourmand comme je suis j’ai envie de plus alors je dessoude nos corps et j’ouvre le robinet afin que nous puissions nous rincer et surtout calmer nos ardeurs. Ce qui nous empêche pas de continuer à nous tripoter sous le jet d’eau mais aussi pendant que nous tentons de nous sécher.

Elle m’entraîne de force dans la chambre, me lance sur le lit et avant de venir me rejoindre elle sort de la chambre en me disant:
« Ne t’inquiète pas je reviens tout de suite »
et je vois son petit cul disparaître en m’imaginant qu’elle va revenir avec ses emplettes de tout à l’heure mais je la vois réapparaître, entièrement nu et juste avec quelques poils naissant au niveau du pubis, avec le double gode dans sa main. Ça tombe bien je voulais expérimenter d’autre chose.

Elle vient entre mes jambes que j’ouvre pour l’accueillir, elle pose le bout de sa langue sur mes couilles, qu’elle titille l’une après l’autre et remonte tout doucement le long de ma queue qui se dresse de plus en plus. Puis elle la fait tourner tout autour de mon gland avant de redescendre sur mon frein pour jouer avec un bon moment.
Ensuite elle gobe mon gland qu’elle aspire tout en faisant toujours tournoyer sa langue et enfonce ma tige lentement dans sa bouche en compressant ses lèvres tout autour.

Elle monte et descend depuis un moment en s’empalant toujours un peu plus sur moi jusqu’à me faire visiter sa gorge. Ses mains passent sous mes fesses, sa langue redescend vers mes couilles puis prend la direction de mon petit trou tout en continuant de soulever mon cul. Elle m’embrasse, me lèche et aspire ma rondelle entre ses lèvres. Sa langue en délimite les contours et se rapproche de plus belle du point d’entrée.

Le triangle de sa langue darde l’ouverture de mes entrailles alors que sa main caresse mes veines saillantes de ma queue dresser. Mes sphincters cèdent et laissent sa bouche me sodomiser à sa guise alors qu’elle me branle de plus en plus énergiquement. Elle continue d’assouplir ma rondelle, un de ses doigt vient rejoindre sa langue et lui aussi m’envahit lentement et profondément.

Puis sa bouche abandonne mon cul mais seulement pour gober rapidement ma bite et un deuxième doigt me perfore les entrailles. À trop s’occuper de mon gland, mon frein et ma prostate je risque de plus répondre de rien mais ses doigts, entre mes fesses, ralentissent jusqu’à s’immobiliser et me laisse un grand vide l’un après l’autre. En me gardant toujours en bouche elle attrape le sac du sex shop, je vais enfin découvrir sa surprise mais en fait elle en sort le tube de lubrifiant.

Elle enduit tout d’abord un des glands du gode, je pensais qu’il serait enfin pour mon cul mais elle se l’enfonce dans la chatte qui, la connaissant, doit déjà bien dégouliner. Elle tire sur mes jambes pour que mes fesses soient au bord du lit, s’accroupie pour maintenir le gode bien enfoncé en elle et tout ça sans que ma tige n’ait quitté ses lèvres. Puis elle recouvre 3 de ses doigts de gel avant de me les enfoncer, lentement et délicatement, dans les entrailles.

J’ai très envie de remuer le gode qu’elle s’est enfoncée dans la moule mais dans cette position impossible de l’atteindre et comme je sais qu’elle s’en occupe bien toute seule je profite de ce moment. J’adore sentir sa langue tournoyer autour de mon sexe, titiller mon gland et mon frein, mais aussi je savoure ses 3 doigts qui rentrent et sortent de mes fesses à différents rythme, effleurent ma prostate… elle m’emmène rapidement vers le septième ciel mais des que ma bite se met à palpiter dans sa bouche elle arrête tout.

Muriel retire délicatement ses doigts de mon cul puis le double gode qui est dans son sexe, nous nous replaçons au centre du lit mais en 69. Alors qu’elle a ma queue contre son menton, elle me titille la rondelle du bout du gode. Je me jette sur sa grotte inondée mais elle m’arrête et me demande de m’occuper de son cul. Je lui masse la rondelle du bout de la langue alors que je sens la mienne se faire envahir par une des deux extrémités de cette double bites en plastique.

Les sensations sont bonnes mais pas autant que lorsque qu’elle me prend avec le gode ceinture et que nos 2 corps buttent ou quand c’est un vrai sexe d’homme qui me sodomise. Mais ça me permet d’encore mieux m’occuper de ses fesses, qui sont très réceptives à me caresses puisque j’ai déjà 2 doigts qui coulissent entre elles et lui arrache des gémissements de plaisir.

La queue de silicone m’a entièrement rempli et maintenant Muriel la fait aller et venir en moi au même rythme qu’elle frotte contre ma peau son sexe qui ruisselle, je cale mes doigts, qui sont maintenant 3 dans son cul, à ses mouvements en moi. Même si elle ne s’occupe pas du tout de mon sexe je suis toujours aussi tendu et sensible.

Muriel me demande de retirer délicatement mes doigts et une fois que ses fesses sont libérées, son trou reste béant, elle empoigne ma queue fermement et vient se l’empaler, en me tournant le dos, directement dans le cul alors que le mien est toujours plein par ce long gode à deux gland. Quand ses fesses se posent sur mon pubis, je sens qu’elle tripote le sexe en plastique qui remue dans mes entrailles mais n’en sort pas.

Au bout d’un moment ou j’ai juste profiter des coups de gland sur ma prostate et des mouvement en moi, Muriel se retourne et me dit:
« Maintenant on baise doublement, tu m’encules et le gode qui va te faire jouir du cul va me jouir de la chatte. Maintenant laisses toi faire! »
Son invention sexuel n’arrêtera jamais de m’étonner!

Elle commence à se soulever très doucement puis elle se rassoit et en même temps je sens la bite en plastique faire à peu près les mêmes mouvements dans mes entrailles. Muriel doit le tenir au pli et le fait rentrer et sortir de sa grotte de la même façon.

Avec sa main de libre à certains moments elle me caresse les couilles alors que je lui griffe le dos comme elle aime tant. Mes gémissements de plaisir se mélangent à ces cris. Maintenant ses mouvement sont de plus amples. Heureusement que je ne suis pas dans une position où je peux voir la bite en plastique nous prendre tous les deux parce que rien que de voir ma queue la sodomiser accompagnés de toutes ses sensations de plénitude, je sens déjà l’orgasme qui approche.

Un peu trop curieux je me soulève le dos pour essayer de m’assoir, je prends appuie derrière moi avec ma main gauche et je fais passer la droite devant nous. Après avoir titillé ses grandes lèvres et ma rondelle, qui sont tous les deux perforées par son double gode, je pose ma main sur la sienne et j’augmente la vitesse et l’intensité de ses mouvements dans nos deux trous.

Une fois qu’elle gère bien le rythme seule et surtout parce que j’ai de plus en plus de mal à retenir mon orgasme, je monte ma main sur son clito que je commence directement par pincer. Elle hurle son plaisir et je gémis le mien avec.
A peine quelques secondes plus tard je sens ses sphincters se contracter autour de ma tige qui continue de la sodomiser à son rythme. Muriel me plante au fond de son cul et tout en jouissant elle se concentre à nous donner du plaisir avec la bite en plastique.

Je n’en peux plus, entre l'insistance à taper avec le gland en plastique ma prostate, ma bite compresser dans son petit cul et l’imagination du spectacle que je rate, je m’écroule sur le dos. Je plante mes ongles, trop courts, dans son dos et je me vide dans ses entrailles alors qu’elle m’inonde les cuisses tout en continuant les entrées et sorties dans nos orifices.

Après un long moment de plaisir intense, qui pour moi aurait pu durer avec plaisir bien plus longtemps, nous nous écroulons tous les deux avec toujours sa chatte et mon cul envahi par le gode et ma queue, qui commence à ramollir, entre ses fesses. Nous nous sommes endormi comme ça.
Je ne sais pas combien de temps après nous nous sommes réveillés, nous avons tous les deux un peu faim alors après une petite douche rapide et très sage, d’un autre côté si ses trous sont dans le même état que le mien un peu de repos ne nous feras pas de mal, je vais vite nous préparer un petit truc à manger.

Pendant le repas elle me tend enfin le sac du sex shop en me disant:
« C’est la première partie d’une surprise qui sera compléter demain. »
J’ouvre le sac et j’en sors un slip en cuir avec au milieu une fermeture éclair qui part du ventre et se termine au dessus des fesses.
Apres avoir remercié Muriel d’un bisou très langoureux, je me dépêche de finir de manger et pendant qu’elle débarrasse je vais essayer le slip.

Il est bien fait parce qu’à l’intérieur on ne ressent pas le fer de la fermeture éclair. Je me regarde dans le miroir, c’est la première fois que je porte se genre de slip et moi qui est surtout l’habitude de porter des boxers, ça me fait étrange de me voir ainsi. Muriel rentre dans la chambre alors que je m’admire toujours ne portant que ce morceau de cuir. Elle s’agenouille devant moi, ouvre tout doucement et entièrement la fermeture éclair ce qui me fait encore plus bander. Elle me caresses à deux mains les fesses et me suce divinement bien en restant devant le miroir. Je peux admirer sa pipe sous toutes les coutures, la seule chose que je n’arrive pas à voir c’est ses mains sur mon postérieur.

Je me vide dans sa bouche au bout d’une vingtaine de minutes, elle se lève pour m’embrasser et que l’on partage mon sperme et nous allons nous coucher. Je suis fatigué de la journée mais surtout de notre partie de jambes en l’air si intense et unique mais je ne peux m’empêcher d’imaginer la suite de sa surprise du lendemain. Je finis par m’endormir après avoir imaginé une multitude de possibilités mais avec Muriel il est impossible de prévoir ses idées sexuelles…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
C'est un peu compliqué toutes ces positions mais toujours aussi excitante a lire . Je sent même le slip rétrécire ou quelque chose gonfler dedans . Vite la suite je suis curieux de la lire



Texte coquin : Muriel n’arrêtera jamais de m’étonner et c’est tant mieux
Histoire sexe : Une rose rouge
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