Mustapha, le premier amant de Radia, la suite

- Par l'auteur HDS Romainro -
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mustapha, le premier amant de Radia, la suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mustapha, le premier amant de Radia, la suite
Je suis une jeune mariée, mon mari est parti en voyage professionnel et m’a laissé à la maison. Je suis entourée du chauffeur, du jardinier mais aussi de la cuisinière mais je m’ennuie ferme. Au Maroc les sorties sans mon mari sont difficilement envisageables. Du coup hier quand Mustapha, le réparateur du lave vaisselle, est venu à la maison je n’ai pas réussi à résister. Après un début de soirée très chaud avec le réparateur, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

Je sens un corps contre le mien et des baiser dans mon dos qui remonte. Je me réveille mais n’ouvre pas les yeux, je profite de cette bouche qui remonte sur ma nuque et s’arrête sur mon oreille. Plus Mustapha m’embrasse plus j’apprécie ça, je crois même que je suis plus sensible à ce niveau.

Je sens sa queue grossir contre mes fesses et bien que légèrement encore endormie je sens que je commence déjà mouiller. Mon réparateur me met sur le ventre et grimpe sur moi avec douceur. Après avoir bien caler sa bite entre mes fesses, il gobe de nouveau mon oreille. J’en frissonne et je sens ma moule encore plus s’ouvrir.

Bien qu’il me fait un bien fou j’ai envie de sa bouche. Je tourne ma tête mais mes lèvres n’atteignent pas les siennes. Je me retourne et me retrouve face à mon première amant. Son sexe gonflé est contre le mien qui est trempée, j’attrape sa tête par derrière et colle nos bouches l’une contre l’autre.

Ma langue rentre dans sa bouche à la recherche de la sienne pour une danse folle. Il remue du bassin pour que nos sexes s’embrassent de la même façon. Je n’en peux plus j’ai envie de le sentir en moi, j’ouvre les yeux et remue du bassin à mon tour pour le faire rentrer en moi. Il comprend mon manège mais au lieu de jouer dans mon sens il se soulève.

Pendant qu’il glisse un coussin sous le bas de mes reins, je remarque que les rideaux sont toujours ouverts et qu’il fait encore nuit. Sa bouche retourne directement sur mon oreille, il a bien compris l’effet que ça me fait. Pendant ce temps sa main me caresse le cou, puis il descend sur ma poitrine. Il me titille le téton droit puis le gauche, j’aime bien mais je préfère de loin ce que sa langue fait au lobe de mon oreille.

Sa main continue son chemin et atteint mon ventre, je me dandine tellement le plaisir est bon. Je sens mon nectar couler le long de mes cuisses alors que ses doigts se rapprochent de mon mont de Vénus. Son autre main caresse mon visage alors que mon clito gonfle sous ses caresses.

Sa main glisse et il me pénètre directement avec deux doigts, je suis tellement mouillée et ouverte qu’il les rentre sans rencontrer aucune résistance. Il les fait aller et venir lentement en moi alors que sa langue titille chaque partie de mon oreille. Je n’en peux plus, quand il recroqueville ses doigts en moi, je sens tout mon corps s’irradier de plaisir.

Mes cris de jouissance sont tellement forts qu’ils résonnent dans le silence de la nuit. Mon corps se granule, j’ai chaud et froid en même temps, mon oreille devient tellement sensible que j’ai l’impression de jouir de là aussi. Ses doigts continuent de remuer en moi, j’ai l’impression que mon orgasme ne s’arrête jamais.

Mustapha ne me laisse même pas le temps de reprendre mes esprits qu’il grimpe sur moi sans lâcher mon oreille. Je sens sa grosse queue m’envahir, je suis tellement trempée que ça glisse tout seul. Il est totalement à l’aise donc me ramone tout de suite de manière brutale. J’écarte bien les jambes pour le sentir encore plus profondément en moi.

Il va et vient à un rythme bestiale, je mouille tellement qu’il glisse et sort complètement de ma chatte. Il s’enfonce en moi d’un coup sec, ce qui m’arrache un cri encore plus aiguë. Quelques instants après il ressort encore une fois et ce réintroduit tout aussi violemment. Maintenant il le refait régulièrement, juste pour le jeu.

Ca tombe bien j’adore jouer comme ça, alors pour le motiver à continuer je contracte au maximum mon vagin quand il rentre en moi. Du coup il ne fait plus que rentrer et sortir, je pousse sur mon bassin pour que son corps frotte aussi mon clito. Je fais tellement bien mon travail qu’après seulement 3 allers retours je le sens exploser en moi.

Chaque contraction titille les parois de mon vagin, je sens aussi ses veines appuyer un peu plus. Tant qu’il reste tendu, il me lime toujours mais j’ai besoin de plus pour jouir encore une fois. Je glisse une main entre nos corps pour m’occuper de mon petit bouton mais il m’arrête. Je le sens sortir de moi tout doucement en m’embrassant.

Sa bouche descend rapidement le long de mon corps jusqu’à atteindre ma moule noyer de désir. Il me bouffe l’entrejambe avec tellement de vigueur et ses doigts me font tellement de bien que je jouis rapidement à mon tour. Mon corps frissonne encore pendant qu’il m’embrasse un peu partout encore.

Sa bouche remonte de plus en plus vers mon visage, ses lèvres se collent aux miennes. Il a le goût de son sperme, j’ai encore un peu du mal avec ça mais son baiser est tellement torride que je le laisse faire. Trop rapidement il m’abandonne et file dans la salle de bain. J’entends l’eau de la douche couler alors que je suis toujours sur mon petit nuage.

Je commence à me caresser mais je préfère arrêter quand je l’entends revenir. Il est totalement habillé, il se penche vers moi pour m’embrasser. Maintenant son haleine à une odeur de menthe, je me demande bien quelle brosse à dent il a utilisé! Il m’explique qu’il est obligé de partir mais me demande s’il peut revenir me voir le lendemain dans la matinée.

Je lui dit que ça sera avec plaisir, je prends son visage entre mes mains et l’embrasse de nouveau. Je me lève, j’enfile mon peignoir et l’accompagne en bas, la cuisinière ne travaille pas demain mais le jardinier oui. Comme il ne rentre jamais dans la maison, j’indique à Mustapha une entrée de côté, que je laisserai ouverte pour lui.

Je le quitte en l’embrassant de nouveau et me dépêche de remonter dans ma chambre. J’ai la chatte en feu, je me jette sur mon lit, ouvre les jambes et je plonge deux doigts dans mon intimité. Alors que je les fait aller et venir en moi avec mon autre main je titille mon clito. Je me sens tellement ouverte que je rentre un troisième doigt mais je calme le rythme.

Je sens a regret la jouissance monter en moi, je calme encore plus le rythme pour encore profiter du moment. Mais c’est mon corps qui commande surtout que j’ai l’impression de sentir la grosse queue de Mustapha me pilonner. Pour encore plus pousser le vice j'imagine mon mari qui se branle en nous observant.

Je m’écroule sur mon lit et m’endors rapidement ivre de plaisir. Je me réveille par l’appel à la prière mais je me dépêches pour reprendre encore un peu de force. Malheureusement je ne dors que très peu, je finis par me lever. J’ai le sexe en feu alors je file sous la douche et me calme avec de l’eau froide.

Je descends prendre mon petit déjeuner, mais je reste debout vu que j’ai mal quand je m’assoie. Ensuite je vaque à quelques occupations mais j’ai rapidement plus rien à faire. Je remonte dans ma chambre avec un bon livre et au lieu de le lire je repense à ma soirée et ma nuit.

L’excitation reprend rapidement le dessus, j’écarte mes jambes, quand je pose mes doigts sur mes lèvres intimes je les sens très gonflées. Je ne les ai jamais senti comme ça, je me caresse délicatement mais bien que je commence à couler j’arrête rapidement à cause de la douleur. J’essaye de lire mais j’ai du mal à me consacrer.

Il ne faut surtout pas que je me caresse parce que j’attends le retour de Mustapha et je ne veux pas avoir mal pour profiter de sa belle bite le plus possible. Je me lève, enfile une culotte, un pantalon de jogging et je retourne au lit. Je m’allonge, ferme les yeux et m’endors beaucoup plus rapidement que je ne l’imaginais.

Comme cette nuit je suis réveillé par un corps contre moi et des bisous. J’ouvre les yeux pour vérifier que c’est bien mon réparateur et je l’embrasse à pleine bouche. Ses mains me caressent le corps et une d’elles descend rapidement vers mon entrejambe. Il la glisse sous mon pantalon et ma culotte et quand il atteint ma grotte, il est trop pressant et me fait un peu mal.

Je retire sa main et dessoude nos lèvres, je me lève, l’attrape par le bras et le tire avec moi jusqu’à la salle de bain. J’ouvre le robinet pour faire un peu chauffé l’eau pendant qu’il se dépêche de me déshabiller. Une fois complètement nue, je lui réserve le même traitement et alors que ses yeux ne quittent pas mes lèvres gonflées j’admire sa queue grossir d’envie.

Nous rentrons tous les deux dans la douche, je l’embrasse tendrement mais lui me retourne et me fait prendre appuie sur le mur avec mes mains. Je me cambre bien pour faire ressortir mon cul, il vient se coller derrière. Je sens sa bite raide plaqué contre mes reins alors que ses couilles me titille les fesses. Il se penche vers moi et recommence à me sucer l’oreille.

Je réagis immédiatement, malgré mes lèvres très gonflées je sens l’excitation envahir mon ventre. C’est fou comme une simple oreille peut faire de l’effet! Je me trémousse pour caresser son érection contre mon corps mais Mustapha se décolle rapidement. Il attrape l’éponge et commence par me laver la nuque. Ses mains descendent rapidement sur mon dos, il prend tout son temps et passe avec délicatesse sur chaque centimètre de peau.

Il atteint enfin mon postérieur, après avoir bien et longuement, savonné chacune de mes fesses mon réparateur passe l’éponge entre mes globes. Il s’arrête sur mon petit trou et reprend sa descende jusqu’a atteindre ma fente. J’écarte les jambes pour lui donner un meilleur accès mais il remonte et repasse sur ma rosette avec insistance.

A chaque fois qu’il reprend sa descente il va un peu plus loin sur ma chatte jusqu’à atteindre mon clito. Je ne ressens plus aucune douleur à ce niveau mais uniquement du plaisir. En plus il a laissé tomber l’éponge et se sont uniquement ses doigts qui s’occupe de moi alors que ses lèvres s’occupent de mon lobe. Je les sens venir titiller mon petit bouton, caresser mes lèvres intimes ou même rentrer en moi.

Je suis aux anges de ce traitement, je sens mes jambes trembler de plaisir. Ma respiration est de plus en plus saccadée, j’ai l’impression que tout mon corps est en exultation mais encore plus mon bas ventre. Je me cambre un peu plus pour qu’il est un meilleur accès à ma grotte quand je sens, je pense au moins 3 doigts, me ramoner vigoureusement.

Soudain Mustapha arrête tout, retire ses doigts un à un puis vient s’agenouiller devant moi. Il plaque ses mains sur mes fesses et me rapproche de lui. Alors que sa bouche dévore mon clito puis mes lèvres intimes, ses doigts me malaxe le postérieur. Plus sa langue se rapproche de ma grotte plus ses mains se dirige vers mon petit trou.

Mon réparateur me baise avec sa bouche alors que son index masse ma rondelle. C’est la première fois que je prends autant de plaisir par les fesses. Je plaque bien son visage contre mon pubis pendant que je recule mon postérieur pour que son doigt rentre en moi. Je me suis déjà titillé le trou du cul étant seule mais je n’y ai jamais rien rentré, c’est un grande première pour moi et je suis sûre que ce n’est pas une dernière.

Je sens que la jouissance approche et comme je ne sais pas si mon con pourra supporter plusieurs autres orgasmes je lui dis entre deux gémissements:« Prends moi »Mustapha donne quelques derniers coups de langue en faisant encore aller et venir son doigt dans mes entrailles. Je me retiens pour ne pas jouir alors je le soulève de force et l’entraine hors de la douche. Je ne peux pas attendre jusqu’au lit du coup je m’allonge sur le tapis de bain. J’écarte en grand mes cuisses pour lui offrir mon intimité qu’il commence à bien connaitre.

Il s’agenouille entre mes jambes et me caresse l’entrée de la grotte du bout du gland. Entre l’eau de la douche, sa salive et ma mouille aucun problème de sécheresse. Je n’en peux plus alors je lui redemande de me pénétrer mais au lieu de rentrer dans mon con, il se positionne entre mes fesses. Je ne me sens pas encore prête pour la sodomie alors je l’arrête immédiatement et lui explique:« C’est un peu trop tôt pour ça, je n’arriverai pas a accueillir ta queue, Viens dans ma chatte! »
Je joins les gestes à la parole, j’empoigne sa bite et je la rentre dans ma grotte trempée qui n’attend que ça. Il me pilonne d’abord doucement mais je suis tellement excitée, ouverte et humide qu’il augmente rapidement la cadence. Ses coups de reins sont tellement puissants que ses grosses couilles bien remplies me fessent, ce qui ne calme pas mon excitation.

Même si j’apprécie particulièrement ses fessées, j’en veux plus alors je le bloque bien contre moi. Je contracte mes muscles vaginaux pour l’empêcher de sortir et je nous fais rouler pour me retrouver sur lui. Je commence à le chevaucher comme une folle, je ne me rappelle avoir déjà été dans un tel état.

Je monte et descend le long de sa grosse tige comme une déchaînée. Je n’arrive plus à me contrôler, je sens un violent orgasme m’irradier le ventre. Plus je le fais aller et venir en moi plus l’explosion s’étend dans mon corps. Je sens des picotements de mes doigts de pieds à la pointe de mes cheveux qui se baladant d’avant en arrière avec mes mouvements.

Je le chevauche ainsi depuis 10 bonnes minutes pendant lesquelles mon orgasme ne s’arrête pas. J’ai beau contracter ma chatte autour de sa queue il ne jouit pas, son endurance m’impressionne. J’ai l’impression que mon cerveau va exploser de bonheur mais mes lèvres intimes ne suivent plus. Je m’assoies sur lui et ondule du bassin pour profiter des dernières vibrations.

Je n’en peux plus et sa queue est toujours tendue en moi, il me soulève délicatement pour ne pas me faire plus mal. Son sexe est luisant de mon nectar et sûrement de son précum. Mon réparateur m’allonge sur le dos et vient s’assoir sur mon petit ventre. Il attrape mes seins et emprisonne sa bite entre eux.

Il la fait aller et venir au milieu de ma poitrine, avec ma toute ma cyprine encore sur lui ça glisse tout seul. Mustapha monte son gland jusqu’à mes lèvres, je n’arrive pas à m’empêcher de le lécher. Je ne prends pas de plaisir avec mes seins mais je suis toujours sur mon petit nuage. Il gémit de plus en plus fort, ce qui me stimule à aussi jouer avec son frein. Je sens rapidement sa tige se contracter, par réflexe je le retire et ferme la bouche.

Mustapha lance de grosses giclées sur mon visage et dans mes cheveux, je sens même un jet rentrer dans ma narine et un autre se poser sur mes lèvres. L’odeur est trop forte pour moi, je ne suis pas encore prête à avaler. Il continue à aller et venir un moment entre mes seins, dès qu’il se lève je retourne sous la douche.

Je me rince d’abord le visage et les cheveux pour enlever son sperme de moi. Ensuite je mets l’eau sur froid et je calme mon entrejambe qui me brule de plus en plus. Mon réparateur vient me rejoindre, il se colle et se frotte à moi. Je sens qu’il recommence à bander mais pour la première fois j’en peux vraiment plus.

Une fois complètement propre, Mustapha se rhabille pour retourner travailler alors que je retourne dans mon lit. Une fois seule je ne mets pas longtemps à retomber dans les bras de Morphée.
Je n’arrête pas de rêver de la queue de mon réparateur et quand je commence à me réveiller, je pose ma sur ma chatte encore chaude mais toujours aussi humide de mes rêves érotiques.

J’aime mon mari, j’ai hâte de le retrouver, le sentir contre moi, faire l’amour avec lui… mais je crois que j’ai trouvé une bonne façon de m’occuper pendant son absence et je compte continuer à en profiter….

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