Naturiste et l’hiver aussi

- Par l'auteur HDS Jpj -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Naturiste et l’hiver aussi Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Naturiste et l’hiver aussi
On était allées toutes les deux au ciné en sortant du boulot. Voir un film branché.
Je ne la connaissais pas bien car elle bossait dans un autre service. Mais on s’était rapprochées à la cantine. La cantine du boulot c’est bon pour les rapprochements.

Elle était grande et mince et elle me plaisait bien. Je n’avais jusqu’alors jamais eu vraiment d’attirance pour une fille, en tous cas pas d’attirance de sexe. Mais là c’était différent, je cherchais une copine de sorties de balades de fêtes d’été. Et j’ai trouvé cette fille dont j’aimais le bras à ma taille et la joie de vivre qui éclatait contre moi.

Après le ciné j’ai proposé qu’on aille à mon studio finir la soirée à discuter en buvant des fonds de bouteilles de vieux alcools oubliés, un peu éventés et une bouteille entamée de Viognier d’Ardèche. Finir des restes ensemble, comme connivence. Un quart de quiche oublié, des carottes et du céleri avec une sauce anchoïade, et puis des yaourts maison que je fabrique perso avec ma yaourtière électrique connectée.

En entrant on a posé nos godasses sous le perroquet et on était pieds nus sur le parquet point de Hongrie.
Elle a dit je vais ôter mes bas sinon ils seront filés avant fin de soirée.
Elle a posé un pied sur un tabouret et a défait les deux agrafes sur sa cuisse droite sous la robe. Elle a roulé le haut du bas et l’a ainsi descendu sur le mollet puis la cheville. Et elle a dégagé son petit pied de la maille fine pour accrocher le tore à l’une des patères, entre son manteau et ma grosse doudoune. Son pied était menu était joli. Petit pied pour une si grande fille … avec des ongles rouges méticuleusement soignés.

Et ce strip-tease de jambe s’est répété une seconde fois, à l’identique sous mes yeux tout épatés de voir que cette collègue de bureau, que je connaissais à peine, portait de vrais bas et non point des collants comme nous toutes. Et puis n’avait pas pudeur à se montrer pour les ôter.

Elle est venue vers moi, souriante. Et là je n’ai pas pu résister à la prendre par la taille pour découvrir sur ses hanches le porte jarretelles. Mes doigts parcourraient son corps à travers la robe pour deviner les contours de la fine dentelle.
Et elle riait de ma curiosité.
Et je suivais de mes charnus un des rubans jusqu’au bout, jusqu’à l’attache très évidente par son épaisseur, ma main courant sur sa fesse en palpation exploratrice. Sa fesse était dure, musclée.

Et elle riait en se collant contre moi.
Elle a dit, tu découvres là tous mes secrets.

Tu ne le sais pas mais je suis naturiste et l’été je passe mes vacances avec d’autres naturistes dans des villages héliomarins. Nous vivons tous nus en toute liberté.
Alors l’hiver je poursuis et ne porte aucun dessous. Mes seins sont fermes et petits, ils n’ont besoin de rien, même pour le sport.
Et surtout je garde ma cougourle toujours à l’air libre, je ne porte jamais de culotte et suis toujours vêtue de robe ou de jupe plutôt longues. Pour ne jamais risquer l’indiscrétion.

C’est la justification de ces bas et du porte jarretelles qui t’inspire tant. Je ne supporterais pas d’être enfermée. Mon bonheur de naturiste libre au soleil de l’été et de la mer se poursuit toute l’année durant, pour moi seule, sans que quiconque en sache.

Tu seras dorénavant ma seule collègue de travail dans la confidence.

J’étais épatée et ma main poursuivait sur sa fesse la recherche d’une culotte éventuelle qui viendrait infirmer son discours. Mais effectivement, on n’était pas en joke, elle disait vrai et ne portait aucun slip string shorty ou autre tanga.

Je suis restée discrète et n’ai pas voulu vérifier également l’absence de soutif bralette ou brassière. Je l’ai crue sur parole.
Cette grande fille saine et sportive vivait toute nue tous les jours que Dieu fait. Pour son plus grand bonheur.

Je me sentais bien engoncée, moi même, dans ma culotte et mon collant. Bien cruche, bien conne … en sus.

Vu que nous étions devenues un peu intimes et que c’était fin de journée, j’ai proposé de faire couler un bon bain bien chaud avec plein de mousse pour nous décontracter avant de picorer et de picoler.

Toute nue elle était magnifique, solide et bien fessue avec des seins en poire pointus et surtout uniformément bronzée sans l’infamante marque du maillot. Elle est entrée dans la baignoire et s’est glissée sous la mousse. J’avais pu apercevoir qu’elle était vêtue d’une touffe épaisse qui cachait ses secrets.

Pour ma part je suis toute dégagée, intégral. Je n’ai plus un poil sur le caillou. Et dans le cul non plus. Voilà longtemps que j’ai sacrifié à ce modernisme après quelques remarques désobligeantes d’amoureux de passage. Un peu cons, dirais-je aujourd’hui…
Aussi c’est moi qui étais un peu gênée au moment de me glisser à mon tour dans le bain d’exhiber devant cette fille si nature les cascades de villosités roses encadrées de mon papillon tout lisse.

Un bain à deux dans une grande baignoire olympique c’est sympa, surtout avec un garçon. Là, c’était ma première avec une fille. Mais cela ne me déplaisait pas plus, au contraire.

On avait emmêlé nos jambes, on était assises face à face et on se souriait. La chaleur de l’eau était agréable et la mousse se résorbait permettant maintenant de se voir en entier.

Je matais sa touffe à travers l’eau un peu trouble mais elle ne permettait pas d’apercevoir quoique ce soit de son intimité profonde.
Elle, en revanche, n’avait aucune vergogne à détailler ma moule, les yeux braqués sans complexes sur mon entrejambe.

Elle a dit, chez les naturistes on fait tout le temps observations anatomiques.
De façon étonnante il y a autant sinon plus de variations de vulve ou de bite que de visages.
En plus chez les gars il y a plusieurs états, repos, flapi, bandé et chaque fois une nouvelle variété. C’est chouette.

Elle a ajouté, je comprends que tu aies à coeur d’apporter à tes seins le secours d’une orthèse. Tu as des nibars magnifiques lourds et blancs avec mamelon gonflé et téton bandé.
Plus faits pour les mains des hommes que pour les lèvres des bébés.

Elle est sortie de l’eau après s’être longuement étrillée, de savon pour son corps et de shampooing pour sa touffe et les plis cachés de celle-ci.

Bien séchées nous avons revêtu des teeshirt larges et longs, de mecs, dont mes tiroirs regorgeaient.

Elle n’a pas eu de geste inapproprié, comme on dit aujourd’hui, et est restée bien prude bien sage. Et moi itou.
Sa touffe avait disparu sous le coton blanc et ma fente aussi de mon côté. On est allée à la cuisine rassembler dans un plateau les impédimenta de notre souper.
Elle a accepté mon hospitalité pour la nuit car je lui ai raconté avoir fait l’acquisition d’un king-size histoire de permettre des opportunités de garçons multiples.

J’ai coupé la musique.
Elle a ôté son teeshirt par le bas en dégageant ses épaules l’une après l’autre puis en faisant glisser le tube de coton jusqu’à ses pieds. Là encore je n’ai pu profiter de l’opportunité pour mater à fond tant sa touffe pubienne était épaisse.
J’ai fait de même mais plus conventionnellement en levant les bras entrainant l’étoffe des deux mains.
Et on s’est glissées dans le lit lumière éteinte.

Elle était très douce à serrer dans mes bras et nos jambes se sont à nouveau emmêlées comme dans la baignoire précédemment et j’y ai trouvé tendresse sincère et humide.

Elle a dit, demain c’est weekend on pourra faire grasse matinée.
J’ai dit, on ira bruncher au bistrot d’en bas, j’y ai des copains.

Elle m’a donné ses lèvres et je l’ai embrassée et on est restées chastement enlacées pour partager mutuellement nos chaleurs.

On est arrivées tout doucement à l’heure tendre des confidences de nuit sur oreiller.
J’ai raconté, moi quand je dors avec un garçon ce que j’aime c’est le dur sur ma cuisse sur ma fesse, le dur de garçon quoi…Elle rétorquait, moi le dur je l’aime dans ma main, je descends les peaux, c’est mouillé, je le sens palpiter, je serre…Et moi je pensais et lui murmurais à l’oreille, j’aime quand le dur glisse entre mes cuisses et s’immisce dans mon ventre et pousse jusqu’au fond jusqu’au col. Et le col s’ouvre et c’est bon quand ça gicle et m’éclabousse de chaud nappant tout mon être.

On était bien toutes les deux à se raconter des émois de filles, serrées l’une contre l’autre, avec nos ventres qui dégoulinaient de nos pensées chaleureuses.

Elle m’a dit, je n’ose pas te demander mais j’aimerais tant te bouffer la chatoune. Elle est si fraîche si nette. Permets moi de venir au fond de ton grand lit pourlécher tes peaux plissées et suintantes.
Et sans attendre permission elle était déjà sous la couette accroupie la tête entre mes cuisses écartelées, une main sur chaque genou, ses lèvres en cul de poule autour de mon bitmini à vif. Et puis sa langue comme petit sexe d’homme plongée dans mes intérieurs, aspirant goulûment mes sécrétions avec des petits bruits aquatiques couverts de mes ronronnements de bonheur.

Le bonheur c’est en moi qu’il est venu, de profond, et j’ai été arqueboutée sur mes coudes et mes talons écartés le ventre haut et les mains dans sa chevelure. Jamais un garçon ne m’avait fait cet effet.

Elle est revenue dans mes bras et nous avons été apaisées et aimantes et bien.

J’ai mis ma main sur sa touffe pour marquer mon accord à communion. Mes doigts découvraient sous la fine et dense pilosité des complexités troublantes et moites elles aussi. Je n’ai rien cherché, je ne cherchais rien. Mais son corps s’est mis à vibrer ses cuisses se sont refermées sur ma main sur mon poignet sur mon bras et serraient. Son ventre s’est doucement mis à vibrer à s’agiter… elle m’a serrée de ses bras et sa bouche est venue m’embrasser de palot baveux.
Elle a mordu mon épaule et j’ai crié. Elle a dit, laisse toi faire, mordre l’épaule de mon partenaire me fait mouiller et je coule de fontaine ardente dans mon ventre et c’est bon. Laisse toi faire ma morsure est légère elle est d’amour seulement.

Au matin nous n’avions rien dormi et erreintées sommes ensemble tombées dans les bras de Morphée.

Au brunch midi passé du bistro d’en bas on s’est pas trop intéressées aux copains du cru. Va savoir pourquoi.

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