Nourri Logé Baisé (02)
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Nourri Logé Baisé (02)
Nourri Logé Baisé (02)
La porte se fermait juste que je réagissais …
– Quentin ! Il est ou Quentin ? Je ne l'ai pas vu se lever. Me disais-je.
J'arrivais dans sa chambre, j'ouvrais doucement la porte en frappant sans faire trop de bruit.
– Et bien mon doudou, tu ne te lèves pas ? Tu sais les deux autres sont déjà partis.
– J'ai travaillé plus tard, hier j'ai travaillé de nuit. Me répondait-il.
– Tu veux que je te réveille à quelle heure ? Demandais-je.
– Hummm, bhmmm, je sais pas. Maintenant je veux un câlin !
Sa réponse m'amusait, je me glissais sous sa couette. Il me recevait dans ses bras. Lui il était très différent des deux autres, lui c'était un ours. Et à voir sa fourrure, c'était un grizzly. Mais sa fourrure était d'un incroyable douceur. Il bandait déjà, c'est vrai qu'il se réveillait et c'est vrai que j'étais là.
Je sentais ses mains qui glissait sur mon corps. Lui aussi était très musclé et très bien monté. Je glissais mes mains dans sa fourrure, elle était tellement douce. Seule sa barbe était un peu rêche mais ça c'est normal.
Il me tirait contre lui, je me blottissais contre lui et l'embrassais. Quentin est probablement le plus câlin des trois, ils sont tous les trois très viriles, Quentin ne manque pas de virilité mais il est plus câlin. C'est une homme d'une grande gentillesse.
On roulait l'un sur l'autre et la couette ne parvenait pas à tenir en place. On s'embrassait, pas seulement sur les lèvres, le lui donnais des baisers sur les épaules, sur les téton, en faisant des manière à cause des poils.
– Tu devrais retirer quelques poils doudou !
– Ah ça non ! Personne il ne touche pas à ma fourrure !
Je connaissais déjà la réponse mais quelquefois je tentais, un jour peut être c'est la douceur de sa peau que je toucherai et pas seulement la douceur de sa fourrure. Je lui donnais des baisers sur les tétons en le mordillant , il tremblait et rigolait en réponse. Je plongeait ensuite sous la couette et commençait à lui sucer la bite.
Elle était un peu moins longue que mes autres camarades mais elle était plus large. Il était trapu de la bite le petit. Il n'était pas petit non plus mais il était trapu sur tout le corps, et comme il était large, il semblait plus petit qu'il n'était.
J'avais du mal à prendre sa queue dans ma bouche mais j'utilisais une autre méthode. Je léchais son gland avec ma langue et le lui caressais avec la main. Bien lubrifié avec de la salive ça glisse tout seul et ses gémissements confirmaient qu'il aimait. Mais ça je m'en doutais.
Je lui caressais les couilles également, ça aussi il aimait et moi aussi. Il me laissait faire, il s'allongeait seulement sur le dos et ne faisait rien. Les orteils en éventail il me regardait, il relevait la tête, juste un peu.
Pendant de longues minutes à chaque fois que je relevais les yeux je voyais son sourire ravi. Il avait l'air content.
– Tu peux t'asseoir ? Me demandait-il .
J'ai compris ou il voulait en venir. Sa queue était bien ferme et bien droite. Je la lubrifiais mais pas avec de la salive, elle était bien large et la salive ne suffirait pas …
Je prenais position, toujours avec une certaine appréhension, surtout avec ce personnage. Les deux autres avaient une queue bien large et bien grosse mais lui l'avait à peine moins longue mais surtout vraiment très large.
Comme je vous le disais il était trapu de la bite, et pas que ? d'ailleurs.
Les pieds de chaque côté de son bassin, mon trou de balle posé contre le bout de sa bite, je m'installais, tremblant et j'appuyais.
La je vous jure que je ne serrais pas les fesses, surtout pas. J'avais été dilaté par nos deux camarades et je savais que ça allait passer mais je savais aussi que je le sentirais passer. Le pression augmentait au fur et à mesure que je m'appuyais, je poussais un peu et mon anus s'ouvrait. Je vous jure c'était violent.
Ma queue qui jusque là ne savait pas si elle devait manifester choisissait de se faire oublier. Je ne la sentais plus du tout, elle se réfugiait dans un recoin microscopique de sa cage, un coin que je ne connaissais pas moi-même.
Mon anus continuait à se dilater, c'était affolant, c'était génial, c'était effrayant mais j'adore ça ! Je sentais entrer en moi un masse énorme qui allait prendre toute la place et je continuais à m'empaler dessus.
– Allez, ça va passer, ça va passer ! Me disait-il.
– Ça passe, on est passé ! Répondais-je d'une voix crispée.
Millimètre après millimètre je sentais son membre viril glisser en moi et tout écarter pour se frayer un passage. Je ne savais plus ou j'en était quand j'ai senti la peau de son ventre s'écraser contre mes fesses. J'y étais.
Dans un dernier souffle, un dernier râle je me laissait tomber sur lui. Il m'attrapait alors les pieds et les tirait vers lui. Là, la situation m'échappait. Je ne contrôlais plus rien et j'aurais été bien incapable de me relever. Il commençait alors à bouger son bassin, lentement de haut en bas. Il n’imprimait un balancement que je suivais mais là moi je gémissais. Lui me regardait en me souriant. Il avait toujours l'air content !
Je suivais le mouvement et son énorme queue massait mes entrailles de droite à gauche, de haut en bas selon le mouvement qu'il lui donnait. Je tremblais comme un malade. Le dos bien cambré et la tête bien haute, comme si sa queue appuyait sur les amygdales.
Pourtant il y avait encore de la marge mais peut être pas tant que ça.
Je caressais son corps, il me caressait les cuisses et rapidement venait à s'amuser avec mes couilles. Il les tripotait avec plus ou moins de force sans me faire mal. C'était tout mon corps qui tremblait de plaisir, un plaisir intense, un plaisir trop fort, un plaisir qui faisait peur.
Au bout d'un long moment il me demandait de me relever et me lâchait les pieds.
– Tu te mets à quatre pattes, je vais t'enculer.
Sa queue était bien enfoncée en moi aussi je n'avais pas peur, je savais que la situation ne pourrait pas être pire.
Je me dégageais et prenait position sur le tapis. Il se relevait et s'installait derrière moi en position lui aussi. Il ne traînait pas et en quelques secondes il s'enfonçait dans mon cul. J'ai gueulé, mais là, c'était de plaisir, un plaisir intense, un plaisir total.
Il s'enfonçait et ressortait, je couinais de plaisir et respirais fort, et lui commençait à me limer le cul, là il prenait le contrôle, il y allait doucement Il était conscient qu'il pouvait faire mal, qu'il pouvait blesser. Il savait aussi que sa queue pouvait donner un plaisir de fou.
Il glissait et peu à peu mon cul se dilatait encore un peu plus, en tout cas c'est l'impression que j'avais. Rapidement j'étais pris de convulsion, il me retenais avec force. Oh pour ça il était fort, il était très costaud.
Il me tenait bien serré contre lui, se penchait sur mon dos et me caressait tout le corps avec ses bras de gorilles. Quelle force, et quelle douceur ! Je sentais les muscles qui me retenaient, ses mains qui me caressaient et me tripotaient. Il me relevait et s'enfonçait encore un peu, je serrais les dents.
Je me retrouvais sur les genoux, sa large queue bien plantée dans mon cul, le cul bien dilaté. C'était terrible, c'était bon.
Il poussait en avant, il poussait sur la droite, sur la gauche et me massait véritablement le cul. Il y allait avec une grande douceur, aucun mouvement brusque, que des mouvements lents et parfaitement contrôlés. Il poussait légèrement mais avec la taille de son membre, ça restait violent pour celui qui ne serait pas préparer à des sensations fortes.
Il ressortait lentement, toujours. Par moment il y avait une suite de mouvements rapides, rapide mais pas violents. Je tremblais et je gémissais, il me caressait le corps, comme pour me réconforter. Il me caressait le dos et me poussait en avant ou me tirait vers lui et me caressait le ventre. Il glissait alors une main sur ma cage à bite et me tripotait les couilles.
J'ai cru mourir, ce ne sont pas les même sensations avec lui qu'avec les deux autres mais. Celui là il élargit bien, ça ne glisse pas pareil, il faut la dose de gel et le temps de bien se dilater. Et même quand on en est là, il faut encaisser sa queue.
Je finissais par bien me détendre et c'est presque douloureusement que sa queue glissant lentement sur toute sa longueur dans mon cul. Elle ressortait, quel soulagement. Elle revenait bien à fond, et là, quel plaisir. Je gueulait tant c'était bon.
Quelques derniers coup de basin, il semblait perdre le contrôle, quelques coups violents il jutait dans mon cul, il poussait quelques cris, il jutait plusieurs fois avant de se retirer.
Il s'effondrait sur moi, me prenait dans ses bras, me caressait encore un peu en me donnant des baisers sur le dos puis se relevait rapidement …
– ET MAINTENANT … DOUCHE !
Je ne bougeais pas j'étais, comme … Retourné, anesthésié, pétrifié … Je ne sais pas comment dire mais au final, je ne bougeais pas et il me retrouvait au même endroit quand il revenait des sa douche, a part que j'étais retombé sur le coté …
– Alors, ça va pas mon titi ?
– Si ça va mon doudou mais là tu m'as déboîte la rondelle.
– Tu adores ça je sais. Maintenant on se lève, ça va aller, tu vas voir ça va aller …
J'avais récupéré, je passais rapidement dans la salle de bain pour me rafraîchir le cul. Là j'en avais besoin. Il m'avait fait jouir comme jamais … Remarquez c'est ce que je dis à chaque fois donc il ne faut pas trop écouter ce que je dis. Je n'avais pas juté mais quand j'ai un truc trop gros dans le cul, je n'arrive pas à éjaculé.
Je vous rassure, c'est pas comme ça tous les matins, pas plus de cinq ou six fois par semaine … Non je déconne …
Je retrouvais Quentin dans la cuisine et je lui servais son petit déjeuner. Il est câlin Quentin, à chaque fois que je passais à sa portée il en profitait pour me caresser, les fesses ou les couilles. Ce sont les partie qu'il préfère.
Ma queue ne se manifestait toujours pas. Pourtant on était le matin mais c'est vrai qu'avec un tel départ pour la journée.
– Tu as l'air de bien bander dans ta cage toi ? Me faisait remarquer Quentin.
– Non je ne bande pas …
je baissais les yeux et en effet ma queue prenait toute la place, mais ça ne me dérangeait pas, en fait j'avais une grosse molle, ma queue prenait bien toute la place mais il n'y avait aucune pression, elle restait toute molle. J'en profitais pour la réajuster. Je tirais sur la peau dans un sens ou dans l'autre. Je me sentais bien, bien dans ma cage, bien dans mon cul.
Quentin disparaissait dans sa chambre pour s'habiller. Je nettoyais la cuisine, là c'était rapide.
Il revenait, il avait passé son uniforme, là je sentais ma queue qui se réveillait. Il était sexy comme un dieu de l'amour avec son uniforme de la police, je ne pouvais résister et le prenais dans mes bras, en même temps j'attrapais ses menottes.
– On ne joue pas avec les outils de travail ! Me disait-il en me les reprenant.
Il me donnait un dernier baiser, j'ajustais son col et je le laissais partir, une larme à l’œil, il allait lui aussi gagner le pain quotidien qui nourrirait toute une petite famille … Pardon , là encore je me laisse aller et j'en fais trop. C'est tout moi ça.
J'avais prévenu il y a bien trois avantages !
La maison était à moi pour le reste de la journée. Il était encore tôt. Je commençais par faire le ménage et toutes les dures corvées. J'appuyais sur le bouton du lave vaisselle, je remplissais le lave linge et appuyais aussi sur le bouton. Le plus long, enfin pour moi c'est l'aspirateur … Enfin c'est fait tous les jours aussi, ça va vite.
Je préparais ensuite mon boulot à moi. A cette périodes je distribuais des prospectus publicitaire, il faut tout préparer à l'avance, ça prend du temps, il faut être organisé.
Un long moment plus tard, je rassemblais tout les documents et avec une petite charrette vers la sortie et c'est en passant devant un miroir que je me disais …
– Oups, il serait peut être utile que je m'habille moi, je vais pas sortir comme ça, je suis presque tout nu !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
La porte se fermait juste que je réagissais …
– Quentin ! Il est ou Quentin ? Je ne l'ai pas vu se lever. Me disais-je.
J'arrivais dans sa chambre, j'ouvrais doucement la porte en frappant sans faire trop de bruit.
– Et bien mon doudou, tu ne te lèves pas ? Tu sais les deux autres sont déjà partis.
– J'ai travaillé plus tard, hier j'ai travaillé de nuit. Me répondait-il.
– Tu veux que je te réveille à quelle heure ? Demandais-je.
– Hummm, bhmmm, je sais pas. Maintenant je veux un câlin !
Sa réponse m'amusait, je me glissais sous sa couette. Il me recevait dans ses bras. Lui il était très différent des deux autres, lui c'était un ours. Et à voir sa fourrure, c'était un grizzly. Mais sa fourrure était d'un incroyable douceur. Il bandait déjà, c'est vrai qu'il se réveillait et c'est vrai que j'étais là.
Je sentais ses mains qui glissait sur mon corps. Lui aussi était très musclé et très bien monté. Je glissais mes mains dans sa fourrure, elle était tellement douce. Seule sa barbe était un peu rêche mais ça c'est normal.
Il me tirait contre lui, je me blottissais contre lui et l'embrassais. Quentin est probablement le plus câlin des trois, ils sont tous les trois très viriles, Quentin ne manque pas de virilité mais il est plus câlin. C'est une homme d'une grande gentillesse.
On roulait l'un sur l'autre et la couette ne parvenait pas à tenir en place. On s'embrassait, pas seulement sur les lèvres, le lui donnais des baisers sur les épaules, sur les téton, en faisant des manière à cause des poils.
– Tu devrais retirer quelques poils doudou !
– Ah ça non ! Personne il ne touche pas à ma fourrure !
Je connaissais déjà la réponse mais quelquefois je tentais, un jour peut être c'est la douceur de sa peau que je toucherai et pas seulement la douceur de sa fourrure. Je lui donnais des baisers sur les tétons en le mordillant , il tremblait et rigolait en réponse. Je plongeait ensuite sous la couette et commençait à lui sucer la bite.
Elle était un peu moins longue que mes autres camarades mais elle était plus large. Il était trapu de la bite le petit. Il n'était pas petit non plus mais il était trapu sur tout le corps, et comme il était large, il semblait plus petit qu'il n'était.
J'avais du mal à prendre sa queue dans ma bouche mais j'utilisais une autre méthode. Je léchais son gland avec ma langue et le lui caressais avec la main. Bien lubrifié avec de la salive ça glisse tout seul et ses gémissements confirmaient qu'il aimait. Mais ça je m'en doutais.
Je lui caressais les couilles également, ça aussi il aimait et moi aussi. Il me laissait faire, il s'allongeait seulement sur le dos et ne faisait rien. Les orteils en éventail il me regardait, il relevait la tête, juste un peu.
Pendant de longues minutes à chaque fois que je relevais les yeux je voyais son sourire ravi. Il avait l'air content.
– Tu peux t'asseoir ? Me demandait-il .
J'ai compris ou il voulait en venir. Sa queue était bien ferme et bien droite. Je la lubrifiais mais pas avec de la salive, elle était bien large et la salive ne suffirait pas …
Je prenais position, toujours avec une certaine appréhension, surtout avec ce personnage. Les deux autres avaient une queue bien large et bien grosse mais lui l'avait à peine moins longue mais surtout vraiment très large.
Comme je vous le disais il était trapu de la bite, et pas que ? d'ailleurs.
Les pieds de chaque côté de son bassin, mon trou de balle posé contre le bout de sa bite, je m'installais, tremblant et j'appuyais.
La je vous jure que je ne serrais pas les fesses, surtout pas. J'avais été dilaté par nos deux camarades et je savais que ça allait passer mais je savais aussi que je le sentirais passer. Le pression augmentait au fur et à mesure que je m'appuyais, je poussais un peu et mon anus s'ouvrait. Je vous jure c'était violent.
Ma queue qui jusque là ne savait pas si elle devait manifester choisissait de se faire oublier. Je ne la sentais plus du tout, elle se réfugiait dans un recoin microscopique de sa cage, un coin que je ne connaissais pas moi-même.
Mon anus continuait à se dilater, c'était affolant, c'était génial, c'était effrayant mais j'adore ça ! Je sentais entrer en moi un masse énorme qui allait prendre toute la place et je continuais à m'empaler dessus.
– Allez, ça va passer, ça va passer ! Me disait-il.
– Ça passe, on est passé ! Répondais-je d'une voix crispée.
Millimètre après millimètre je sentais son membre viril glisser en moi et tout écarter pour se frayer un passage. Je ne savais plus ou j'en était quand j'ai senti la peau de son ventre s'écraser contre mes fesses. J'y étais.
Dans un dernier souffle, un dernier râle je me laissait tomber sur lui. Il m'attrapait alors les pieds et les tirait vers lui. Là, la situation m'échappait. Je ne contrôlais plus rien et j'aurais été bien incapable de me relever. Il commençait alors à bouger son bassin, lentement de haut en bas. Il n’imprimait un balancement que je suivais mais là moi je gémissais. Lui me regardait en me souriant. Il avait toujours l'air content !
Je suivais le mouvement et son énorme queue massait mes entrailles de droite à gauche, de haut en bas selon le mouvement qu'il lui donnait. Je tremblais comme un malade. Le dos bien cambré et la tête bien haute, comme si sa queue appuyait sur les amygdales.
Pourtant il y avait encore de la marge mais peut être pas tant que ça.
Je caressais son corps, il me caressait les cuisses et rapidement venait à s'amuser avec mes couilles. Il les tripotait avec plus ou moins de force sans me faire mal. C'était tout mon corps qui tremblait de plaisir, un plaisir intense, un plaisir trop fort, un plaisir qui faisait peur.
Au bout d'un long moment il me demandait de me relever et me lâchait les pieds.
– Tu te mets à quatre pattes, je vais t'enculer.
Sa queue était bien enfoncée en moi aussi je n'avais pas peur, je savais que la situation ne pourrait pas être pire.
Je me dégageais et prenait position sur le tapis. Il se relevait et s'installait derrière moi en position lui aussi. Il ne traînait pas et en quelques secondes il s'enfonçait dans mon cul. J'ai gueulé, mais là, c'était de plaisir, un plaisir intense, un plaisir total.
Il s'enfonçait et ressortait, je couinais de plaisir et respirais fort, et lui commençait à me limer le cul, là il prenait le contrôle, il y allait doucement Il était conscient qu'il pouvait faire mal, qu'il pouvait blesser. Il savait aussi que sa queue pouvait donner un plaisir de fou.
Il glissait et peu à peu mon cul se dilatait encore un peu plus, en tout cas c'est l'impression que j'avais. Rapidement j'étais pris de convulsion, il me retenais avec force. Oh pour ça il était fort, il était très costaud.
Il me tenait bien serré contre lui, se penchait sur mon dos et me caressait tout le corps avec ses bras de gorilles. Quelle force, et quelle douceur ! Je sentais les muscles qui me retenaient, ses mains qui me caressaient et me tripotaient. Il me relevait et s'enfonçait encore un peu, je serrais les dents.
Je me retrouvais sur les genoux, sa large queue bien plantée dans mon cul, le cul bien dilaté. C'était terrible, c'était bon.
Il poussait en avant, il poussait sur la droite, sur la gauche et me massait véritablement le cul. Il y allait avec une grande douceur, aucun mouvement brusque, que des mouvements lents et parfaitement contrôlés. Il poussait légèrement mais avec la taille de son membre, ça restait violent pour celui qui ne serait pas préparer à des sensations fortes.
Il ressortait lentement, toujours. Par moment il y avait une suite de mouvements rapides, rapide mais pas violents. Je tremblais et je gémissais, il me caressait le corps, comme pour me réconforter. Il me caressait le dos et me poussait en avant ou me tirait vers lui et me caressait le ventre. Il glissait alors une main sur ma cage à bite et me tripotait les couilles.
J'ai cru mourir, ce ne sont pas les même sensations avec lui qu'avec les deux autres mais. Celui là il élargit bien, ça ne glisse pas pareil, il faut la dose de gel et le temps de bien se dilater. Et même quand on en est là, il faut encaisser sa queue.
Je finissais par bien me détendre et c'est presque douloureusement que sa queue glissant lentement sur toute sa longueur dans mon cul. Elle ressortait, quel soulagement. Elle revenait bien à fond, et là, quel plaisir. Je gueulait tant c'était bon.
Quelques derniers coup de basin, il semblait perdre le contrôle, quelques coups violents il jutait dans mon cul, il poussait quelques cris, il jutait plusieurs fois avant de se retirer.
Il s'effondrait sur moi, me prenait dans ses bras, me caressait encore un peu en me donnant des baisers sur le dos puis se relevait rapidement …
– ET MAINTENANT … DOUCHE !
Je ne bougeais pas j'étais, comme … Retourné, anesthésié, pétrifié … Je ne sais pas comment dire mais au final, je ne bougeais pas et il me retrouvait au même endroit quand il revenait des sa douche, a part que j'étais retombé sur le coté …
– Alors, ça va pas mon titi ?
– Si ça va mon doudou mais là tu m'as déboîte la rondelle.
– Tu adores ça je sais. Maintenant on se lève, ça va aller, tu vas voir ça va aller …
J'avais récupéré, je passais rapidement dans la salle de bain pour me rafraîchir le cul. Là j'en avais besoin. Il m'avait fait jouir comme jamais … Remarquez c'est ce que je dis à chaque fois donc il ne faut pas trop écouter ce que je dis. Je n'avais pas juté mais quand j'ai un truc trop gros dans le cul, je n'arrive pas à éjaculé.
Je vous rassure, c'est pas comme ça tous les matins, pas plus de cinq ou six fois par semaine … Non je déconne …
Je retrouvais Quentin dans la cuisine et je lui servais son petit déjeuner. Il est câlin Quentin, à chaque fois que je passais à sa portée il en profitait pour me caresser, les fesses ou les couilles. Ce sont les partie qu'il préfère.
Ma queue ne se manifestait toujours pas. Pourtant on était le matin mais c'est vrai qu'avec un tel départ pour la journée.
– Tu as l'air de bien bander dans ta cage toi ? Me faisait remarquer Quentin.
– Non je ne bande pas …
je baissais les yeux et en effet ma queue prenait toute la place, mais ça ne me dérangeait pas, en fait j'avais une grosse molle, ma queue prenait bien toute la place mais il n'y avait aucune pression, elle restait toute molle. J'en profitais pour la réajuster. Je tirais sur la peau dans un sens ou dans l'autre. Je me sentais bien, bien dans ma cage, bien dans mon cul.
Quentin disparaissait dans sa chambre pour s'habiller. Je nettoyais la cuisine, là c'était rapide.
Il revenait, il avait passé son uniforme, là je sentais ma queue qui se réveillait. Il était sexy comme un dieu de l'amour avec son uniforme de la police, je ne pouvais résister et le prenais dans mes bras, en même temps j'attrapais ses menottes.
– On ne joue pas avec les outils de travail ! Me disait-il en me les reprenant.
Il me donnait un dernier baiser, j'ajustais son col et je le laissais partir, une larme à l’œil, il allait lui aussi gagner le pain quotidien qui nourrirait toute une petite famille … Pardon , là encore je me laisse aller et j'en fais trop. C'est tout moi ça.
J'avais prévenu il y a bien trois avantages !
La maison était à moi pour le reste de la journée. Il était encore tôt. Je commençais par faire le ménage et toutes les dures corvées. J'appuyais sur le bouton du lave vaisselle, je remplissais le lave linge et appuyais aussi sur le bouton. Le plus long, enfin pour moi c'est l'aspirateur … Enfin c'est fait tous les jours aussi, ça va vite.
Je préparais ensuite mon boulot à moi. A cette périodes je distribuais des prospectus publicitaire, il faut tout préparer à l'avance, ça prend du temps, il faut être organisé.
Un long moment plus tard, je rassemblais tout les documents et avec une petite charrette vers la sortie et c'est en passant devant un miroir que je me disais …
– Oups, il serait peut être utile que je m'habille moi, je vais pas sortir comme ça, je suis presque tout nu !
Fin
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
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