Nudité mesurée, suite
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 207 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Nudité mesurée, suite
Nudité mesurée, suite
Résumé : une fille raconte à son amie ses vacances d’été d’il y a quelques années, au bord de la rivière en camping sauvage, en compagnie d’autres familles…
– Je peux me tromper : il me semble que c’était surtout parce qu’à force de la regarder ils en avaient mal aux yeux. Le reflet du soleil sur la peau, à la longue…– Tu aimais leur petit manège ?
– J’étais assez fascinée. Plus les jours passaient, plus la séduction se passait de mots, comme une pantomime.
– J’imagine comment ça a évolué… en tout cas pour les années qui ont suivi.
– Curieusement, ce ne sont pas ces garçons-là qui m’ont fait découvrir le sexe. Pas à moi. À elle, si. Comme tu te l’imagines, ils n’ont pas non plus attendu dix ans avant d’aller plus loin que de simples regards.
– Reprends là où tu en étais et raconte les étés d’après…– De mes treize à mes seize ans, les faits se sont de nouveau inversés. Et c’est bien sûr le cul qui a tout chamboulé.
– Comment tu savais qu’elle baisait avec eux ?
– Oh, facile. Ce petit rien dans le regard quand elle revenait, après s’être éclipsée je ne sais où avec l’un ou l’autre, ou deux à la fois.
– De quelle manière ça s’est inversé ?
– C’est tout simple : à présent, moi je prenais plaisir à ce qu’ils me voient nue, mais sans me baiser. Et je peux te dire qu’ils me mataient allégrement et avaient très envie de moi. Soudain, mon intérêt de me dévêtir était au moment où ils pouvaient me voir, et quand ils n’étaient pas là, si j’étais nue je me disais « quel gâchis… ».
– Tu passais ton temps à les allumer autrement dit. Et ta sœur passait le sien à éteindre les mèches enflammées à cause de toi.
– Oui grosso modo c’était notre fonctionnement. Elle, continuait à se montrer nue devant eux, seulement loin des regards indiscrets. Aux autres moments elle restait toujours vêtue. Je me demande qu’un truc. Pour un mec, une grosse baiseuse est une salope. Une allumeuse en est une aussi. Si on considère nos deux comportements, laquelle était la plus salope des deux ? Celle qui pompait ou celle qui se laisser désirer sans jamais pomper ? Je ne suis jamais arrivé à en être sûre…– Cherche pas à comprendre ! Avec les mecs, quoi qu’on fasse on est toujours des salopes à un moment donné, c’est juste qu’il y en a de plusieurs sortes. Pour eux à mon avis, tu étais devenue la source de tous les fantasmes. Une fille qui a été consommée n’intéresse plus autant le mec ! Il continue à la baiser tout en en désirant une autre. Je pense que pendant qu’elle les pompait, ils fermaient les yeux en t’imaginant à sa place.
– Cette année on y retourne. Dernière fois pour moi je pense, l’été prochain je serai assez grande pour partir sans maman, entre copines. Je ne sais pas encore si je sauterai le pas avec eux ou non. J’irai surtout m’assurer que la relève est là, et que les jeunes générations sont prêtes à reprendre le flambeau de ce petit jeu que j’adore.
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à partir de 7 H.
Résumé : une fille raconte à son amie ses vacances d’été d’il y a quelques années, au bord de la rivière en camping sauvage, en compagnie d’autres familles…
– Je peux me tromper : il me semble que c’était surtout parce qu’à force de la regarder ils en avaient mal aux yeux. Le reflet du soleil sur la peau, à la longue…– Tu aimais leur petit manège ?
– J’étais assez fascinée. Plus les jours passaient, plus la séduction se passait de mots, comme une pantomime.
– J’imagine comment ça a évolué… en tout cas pour les années qui ont suivi.
– Curieusement, ce ne sont pas ces garçons-là qui m’ont fait découvrir le sexe. Pas à moi. À elle, si. Comme tu te l’imagines, ils n’ont pas non plus attendu dix ans avant d’aller plus loin que de simples regards.
– Reprends là où tu en étais et raconte les étés d’après…– De mes treize à mes seize ans, les faits se sont de nouveau inversés. Et c’est bien sûr le cul qui a tout chamboulé.
– Comment tu savais qu’elle baisait avec eux ?
– Oh, facile. Ce petit rien dans le regard quand elle revenait, après s’être éclipsée je ne sais où avec l’un ou l’autre, ou deux à la fois.
– De quelle manière ça s’est inversé ?
– C’est tout simple : à présent, moi je prenais plaisir à ce qu’ils me voient nue, mais sans me baiser. Et je peux te dire qu’ils me mataient allégrement et avaient très envie de moi. Soudain, mon intérêt de me dévêtir était au moment où ils pouvaient me voir, et quand ils n’étaient pas là, si j’étais nue je me disais « quel gâchis… ».
– Tu passais ton temps à les allumer autrement dit. Et ta sœur passait le sien à éteindre les mèches enflammées à cause de toi.
– Oui grosso modo c’était notre fonctionnement. Elle, continuait à se montrer nue devant eux, seulement loin des regards indiscrets. Aux autres moments elle restait toujours vêtue. Je me demande qu’un truc. Pour un mec, une grosse baiseuse est une salope. Une allumeuse en est une aussi. Si on considère nos deux comportements, laquelle était la plus salope des deux ? Celle qui pompait ou celle qui se laisser désirer sans jamais pomper ? Je ne suis jamais arrivé à en être sûre…– Cherche pas à comprendre ! Avec les mecs, quoi qu’on fasse on est toujours des salopes à un moment donné, c’est juste qu’il y en a de plusieurs sortes. Pour eux à mon avis, tu étais devenue la source de tous les fantasmes. Une fille qui a été consommée n’intéresse plus autant le mec ! Il continue à la baiser tout en en désirant une autre. Je pense que pendant qu’elle les pompait, ils fermaient les yeux en t’imaginant à sa place.
– Cette année on y retourne. Dernière fois pour moi je pense, l’été prochain je serai assez grande pour partir sans maman, entre copines. Je ne sais pas encore si je sauterai le pas avec eux ou non. J’irai surtout m’assurer que la relève est là, et que les jeunes générations sont prêtes à reprendre le flambeau de ce petit jeu que j’adore.
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