Jumelles opposées - & autres Dialogues Interdits
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Jumelles opposées - & autres Dialogues Interdits
Quelques épisodes de "Dialogues Interdits", série d'histoires complètes ayant pour singularité de ne comporter aucune narration ni didascalie. Ecrits par Théo Kosma, d'après les confidences de Chloé. Pour tout savoir sur mon univers littéraire, RDV sur mon profil.
Jumelles opposées
— Aliyah et Assiya étaient toutes les deux infernales depuis la rentrée. Travaillées à fond par leur libido. Mais alors à un point !
— Dont acte ?
— Dont acte. Elles restaient discrètes, évasives. Mais… Je le sentais.
— Quoi, elles sentaient le sperme, la sueur ?
— Je te parle de ressenti enfin ! Leurs yeux brillaient trop quand elles rentraient à la maison.
— Yeux humides et pupilles dilatées ? Toutes rouges ? A boiter légèrement, à avoir du mal à s’asseoir ?
— Pas jusque-là non plus. Trop malines pour ça mes gamines ! Je le savais : depuis des mois qu’elles sentaient venir le truc, elles s’étaient faites toute une initiation. Pour préparer leurs corps. Si ! Sport, gymnastique, assouplissements, cardio. Tout pour avoir l’air de rien une fois le sexe terminé. Leur père y voyait que du feu.
— Sauf qu’un regard de maman…
— Oui. Dans les yeux, dans la voix, dans de petits détails…
— Tout ça t’inquiétait ?
— Aliyah et Assiya ont toujours été un peu des extrémistes passionnées. Quand elles sont dans une activité, un jeu, un loisir, une passion… elles s’y mettent à fond.
— Crainte qu’elles se fassent une méga collection de mecs ? Qu’elles prennent des risques ?
— Pas du côté des préservatifs, pour ça j’avais confiance. Mais si elles faisaient si vite le tour du sexe, elles pourraient être blasées et avoir envie de plus de piment. De toujours tenter des trucs de plus en plus fous.
— Je croyais qu’elles étaient un peu opposées en tout.
— Sauf que là, pour la première fois Aliyah et Assiya semblaient unies… par le sexe.
— Alors qu’est-ce que tu as fait ?
— Je les ai emmenées à un stage new age, un petit séjour d’une semaine. Une copine en était revenue, fraîchement divorcée… et m’avait confié que l’endroit était discrètement libertin.
— Hein ? C’était ça ton idée ? Leur donner l’occasion de vivre la chose à fond ? Pour espérer qu’elles soient… je sais pas… blasées de tout, même de l’ultra-sulfureux ?
— Oui, si elles baisaient tout le temps avec tout le monde et en toute configuration possible, tout deviendrait banal. Même le sexe à trois, de groupe, avec une fille, avec un vieux…
— Ouch ! Pari périlleux…
— Elles ont toujours été grisées par l’interdit. Il fallait effacer ça, et ces folles années soixante-dix étaient pour ça idéales.
— Tout ça par le biais de journées de yoga et de méditation ?
— Tous les chemins mènent à Rome n’est-ce pas ? Que veux-tu, en ces temps-là, le cul s’articulait souvent autour de ces prétextes. Certains séjours ressemblaient à de véritables orgies permanentes.
— T’avais pas froid aux yeux, c’est le moins qu’on puisse dire. Et t’étais prête à leur payer un remède de cheval ! Tu m’impressionnes.
— Vraiment ?
— Vraiment. Je connais aucune mère qui serait prête à séjourner avec ses filles en se disant qu’elles vont passer leur temps à avaler du sperme ou à en recevoir dans les yeux ou au fond de l’anus.
— Que veux-tu, faut ce qu’y faut.
— Et comment s’est déroulée la semaine alors. ?
— Bien vite, Aliyah et Assiya se sont aperçues de l’ambiance. Que l’air de rien y avait beaucoup de jeunes hommes, et beaucoup de possibilités avec eux. Des tas de petits recoins, discrets, un peu partout. Avec un signe secret : porte entrouverte, personne. Porte fermée, déjà occupé par… deux, ou trois, ou cinq personnes. Ou plus. De zéro à l’infini ! Enfin non, de deux à… au maximum qu’on puisse aller selon le nombre de mètres carrés, et le nombre de personnes consentantes et disponibles. Oui, ici le sexe classique était aussi banal que le sexe sulfureux. Voire même, le sexe à quatre ou cinq semblait presque plus banal que le sexe à deux !
— Et le sens de ta présence, dans tout ça ?
— On sait jamais. Je voulais rester dans les parages en cas de danger. Puis aussi, savoir que leur mère était pas loin et « ne se rendait compte de rien » les exciterait encore plus. Je t’ai dit : autant y aller à fond !
— Et donc… elles y sont allées à fond ?
— La mécanique qu’elles avaient toujours eu entre elles est revenue.
— Leur opposition ?
— Eh oui ! Pour Aliyah tout s’est passé comme prévu. Elle s’est s’éclipsée avec une personne ou deux, garçon ou non. Voyant que tout le monde le faisait, elle s’est bien vite lassée. Au troisième jour elle était redevenue sage, et l’est restée depuis. Pas à s’interdire de coucher bien sûr, mais sans plus aucun sexe effréné. Assiya par contre…
— N’a rien fait du tout ?
— Au contraire. Surenchère ! C’est là que le comportement opposé a joué. Elle a testé le plan à trois, à quatre. La partouze, l’orgasme multiple, la sodomie à répétition. Elle sentait le sperme de la tête aux pieds. A testé des plus jeunes, des vieux, des filles. Des nanas de mon âge. Depuis, je sais qu’elle continue à être une aventurière du cul. Tandis que sa frangine est sage. Chacune au comportement opposé… En un sens tu me diras, tout est rentré dans l’ordre.
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Sens premier, sens second
— Que je me bouge le cul ? Mais maman j’arrête pas ! Je dirais même, t’imagines pas à quel point.
— Quand tu danses en boîte et que tu passes la nuit avec tes amants oui ma chérie je m’en doute bien, d’ailleurs c’est l’idée je suppose. Non, je parle au sens figuré. Que tu arrêtes de te bouger le cul au sens premier du terme au-dessus d’un petit copain qui est en toi, et que tu te bouges pour ces examens qui approchent.
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Nouvelles habitudes
— Mon fils range les poubelles deux fois par semaine… alors qu’avant fallait toujours le tanner pour qu’il le fasse.
— A cause de quoi ?
— Les soirées bières. Il me prend pour une idiote.
— Tu fais quoi du coup ?
— Rien. Je vois son œil, son comportement : la consommation reste raisonnable. Je le crois pas dans l’excès.
— Maintenant que tu m’en as parlé, ça me fait penser que depuis peu ma fille râle plus jamais pour mettre une lessive en route, même qu’elle le fait de plus en plus souvent d’elle-même…
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S’y mettre par défaut
— Je pensais pas que tu te mettrais à l’anal. En tout cas pas avec lui.
— Pourtant, s’il y a bien un garçon qui était un bon candidat…
— Pourquoi ?
— Il en a une petite. Et peu épaisse. L’installer dans un trou étroit était le seul moyen d’avoir des sensations.
Jumelles opposées
— Aliyah et Assiya étaient toutes les deux infernales depuis la rentrée. Travaillées à fond par leur libido. Mais alors à un point !
— Dont acte ?
— Dont acte. Elles restaient discrètes, évasives. Mais… Je le sentais.
— Quoi, elles sentaient le sperme, la sueur ?
— Je te parle de ressenti enfin ! Leurs yeux brillaient trop quand elles rentraient à la maison.
— Yeux humides et pupilles dilatées ? Toutes rouges ? A boiter légèrement, à avoir du mal à s’asseoir ?
— Pas jusque-là non plus. Trop malines pour ça mes gamines ! Je le savais : depuis des mois qu’elles sentaient venir le truc, elles s’étaient faites toute une initiation. Pour préparer leurs corps. Si ! Sport, gymnastique, assouplissements, cardio. Tout pour avoir l’air de rien une fois le sexe terminé. Leur père y voyait que du feu.
— Sauf qu’un regard de maman…
— Oui. Dans les yeux, dans la voix, dans de petits détails…
— Tout ça t’inquiétait ?
— Aliyah et Assiya ont toujours été un peu des extrémistes passionnées. Quand elles sont dans une activité, un jeu, un loisir, une passion… elles s’y mettent à fond.
— Crainte qu’elles se fassent une méga collection de mecs ? Qu’elles prennent des risques ?
— Pas du côté des préservatifs, pour ça j’avais confiance. Mais si elles faisaient si vite le tour du sexe, elles pourraient être blasées et avoir envie de plus de piment. De toujours tenter des trucs de plus en plus fous.
— Je croyais qu’elles étaient un peu opposées en tout.
— Sauf que là, pour la première fois Aliyah et Assiya semblaient unies… par le sexe.
— Alors qu’est-ce que tu as fait ?
— Je les ai emmenées à un stage new age, un petit séjour d’une semaine. Une copine en était revenue, fraîchement divorcée… et m’avait confié que l’endroit était discrètement libertin.
— Hein ? C’était ça ton idée ? Leur donner l’occasion de vivre la chose à fond ? Pour espérer qu’elles soient… je sais pas… blasées de tout, même de l’ultra-sulfureux ?
— Oui, si elles baisaient tout le temps avec tout le monde et en toute configuration possible, tout deviendrait banal. Même le sexe à trois, de groupe, avec une fille, avec un vieux…
— Ouch ! Pari périlleux…
— Elles ont toujours été grisées par l’interdit. Il fallait effacer ça, et ces folles années soixante-dix étaient pour ça idéales.
— Tout ça par le biais de journées de yoga et de méditation ?
— Tous les chemins mènent à Rome n’est-ce pas ? Que veux-tu, en ces temps-là, le cul s’articulait souvent autour de ces prétextes. Certains séjours ressemblaient à de véritables orgies permanentes.
— T’avais pas froid aux yeux, c’est le moins qu’on puisse dire. Et t’étais prête à leur payer un remède de cheval ! Tu m’impressionnes.
— Vraiment ?
— Vraiment. Je connais aucune mère qui serait prête à séjourner avec ses filles en se disant qu’elles vont passer leur temps à avaler du sperme ou à en recevoir dans les yeux ou au fond de l’anus.
— Que veux-tu, faut ce qu’y faut.
— Et comment s’est déroulée la semaine alors. ?
— Bien vite, Aliyah et Assiya se sont aperçues de l’ambiance. Que l’air de rien y avait beaucoup de jeunes hommes, et beaucoup de possibilités avec eux. Des tas de petits recoins, discrets, un peu partout. Avec un signe secret : porte entrouverte, personne. Porte fermée, déjà occupé par… deux, ou trois, ou cinq personnes. Ou plus. De zéro à l’infini ! Enfin non, de deux à… au maximum qu’on puisse aller selon le nombre de mètres carrés, et le nombre de personnes consentantes et disponibles. Oui, ici le sexe classique était aussi banal que le sexe sulfureux. Voire même, le sexe à quatre ou cinq semblait presque plus banal que le sexe à deux !
— Et le sens de ta présence, dans tout ça ?
— On sait jamais. Je voulais rester dans les parages en cas de danger. Puis aussi, savoir que leur mère était pas loin et « ne se rendait compte de rien » les exciterait encore plus. Je t’ai dit : autant y aller à fond !
— Et donc… elles y sont allées à fond ?
— La mécanique qu’elles avaient toujours eu entre elles est revenue.
— Leur opposition ?
— Eh oui ! Pour Aliyah tout s’est passé comme prévu. Elle s’est s’éclipsée avec une personne ou deux, garçon ou non. Voyant que tout le monde le faisait, elle s’est bien vite lassée. Au troisième jour elle était redevenue sage, et l’est restée depuis. Pas à s’interdire de coucher bien sûr, mais sans plus aucun sexe effréné. Assiya par contre…
— N’a rien fait du tout ?
— Au contraire. Surenchère ! C’est là que le comportement opposé a joué. Elle a testé le plan à trois, à quatre. La partouze, l’orgasme multiple, la sodomie à répétition. Elle sentait le sperme de la tête aux pieds. A testé des plus jeunes, des vieux, des filles. Des nanas de mon âge. Depuis, je sais qu’elle continue à être une aventurière du cul. Tandis que sa frangine est sage. Chacune au comportement opposé… En un sens tu me diras, tout est rentré dans l’ordre.
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Sens premier, sens second
— Que je me bouge le cul ? Mais maman j’arrête pas ! Je dirais même, t’imagines pas à quel point.
— Quand tu danses en boîte et que tu passes la nuit avec tes amants oui ma chérie je m’en doute bien, d’ailleurs c’est l’idée je suppose. Non, je parle au sens figuré. Que tu arrêtes de te bouger le cul au sens premier du terme au-dessus d’un petit copain qui est en toi, et que tu te bouges pour ces examens qui approchent.
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Nouvelles habitudes
— Mon fils range les poubelles deux fois par semaine… alors qu’avant fallait toujours le tanner pour qu’il le fasse.
— A cause de quoi ?
— Les soirées bières. Il me prend pour une idiote.
— Tu fais quoi du coup ?
— Rien. Je vois son œil, son comportement : la consommation reste raisonnable. Je le crois pas dans l’excès.
— Maintenant que tu m’en as parlé, ça me fait penser que depuis peu ma fille râle plus jamais pour mettre une lessive en route, même qu’elle le fait de plus en plus souvent d’elle-même…
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S’y mettre par défaut
— Je pensais pas que tu te mettrais à l’anal. En tout cas pas avec lui.
— Pourtant, s’il y a bien un garçon qui était un bon candidat…
— Pourquoi ?
— Il en a une petite. Et peu épaisse. L’installer dans un trou étroit était le seul moyen d’avoir des sensations.
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