Offerte avec mon approbation 2/4 - histoire érotique

Bon, je vais faire court :
1) La chronologie de mes récits n'est plus respectée et je m'en excuse.
2) Mettez un préservatif !
3) J'espère que vous allez kiffer ce texte.

Je viens de retrouver une histoire que j'avais écrite il y a quelques temps.
Un fantasme ?
Une envie ?
Un rêve ?
Un projet d'avenir ?
J'en ai point la moindre idée !

Voici la suite de cette story :

Il se fait alors plus coopérant. Je n’ai aucun mal à baisser son futal, et à aller chercher cette bite dans son slip. J’en sors d’abord l’extrémité puis plonge ma main jusqu’aux roustons. J’enfonce mes doigts dans une toison abondante, douce et souple.
La chaleur de la journée y a laissé une certaine moiteur. Son sexe embaume juste ce qu’il faut. J’aime la queue qui a l’odeur du sexe, comme dit la chanson :"un nœud ça doit sentir un nœud".
Il ne faut pas, évidemment, que ça pue. Là, il est parfait. Je fais la remarque en approchant mes narines au plus près de cette merveille :

- Hmmmm, il sent bon l’homme excité !

Je fais rouler les couilles dans mes doigts que je passe entre les deux jambes. C’est presque humide. Je sors mes doigts et les lèche :

- Tu me plais décidément beaucoup garçon !

Puis je déballe entièrement le paquet laissant la bite sortir comme un ressort.

- T’as vu, il est vraiment pourvu comme un poney !
- Oui ma chérie, bouffe cette jolie queue ! Me lance mon mari.

Et je me mets à lui faire une magnifique fellation. Je prends bien l’engin, suce le gros gland bien découpé, passe ma langue et ma bouche sur toute la hampe et enfourne enfin le tout.
Pendant ce temps, il a commencé de lui même à enlever son T-shirt pendant qu’Aziz l’aidait à retirer complètement son slip et son pantalon.
Enfin je me relève et l’embrasse à pleine bouche, puis, tout en écartant mes jambes j’appuie sur la tête pour qu’il se baisse. Aziz a viré son propre survêt pour mettre son zob à l’air et se met à agiter son poignet.
Walid comprend évidemment ce qu’il a à faire et se met goulument à me bouffer la chatte.

- Et moins vite mon garçon, prends ton temps… Ecartes avec les doigts... voilà, maintenant titille lentement avec la langueeeee... Bien.... Hmmmm... Essaie de suçoter le clito... Aspire-le... Ouiii.... Comme ça, tu apprends vite... Maintenant descends ta langue et introduis la dans le trou.... C’est bon... Tu es douéééé... Aller je te laisse faire maintenant. Cris-je presque.

Je me laisse brouter le minou un instant avec délectation.

- Si tu veux que je te bouffe les couilles, il va falloir les raser !

Ce n’est pas une suggestion. Aziz le comprend et il ne met qu’une minute à trouver rasoir et la mousse. J’allonge mon nouveau joujou, lui passe une serviette sous le cul. Je me mets en 69 pour qu’il continue à me lubrifier la raie avec sa langue et je fais le nécessaire pour débarrasser les burnes de leur étouffante moumoute, mais je prends soin de laisser intact le pubis et les poils des cuisses qui m’excitent beaucoup.
Pendant ce temps il s’est un peu affranchi et, désormais, il fout ses doigts ma chatte, ou me caresse les seins quand il me mange à nouveau le cul.

- Allez, maintenant, montes-moi ! En me mettant en levrette.
- Attends, je te montre ! Dit Aziz en me pénétrant pour lui enseigner, s’il en était besoin, le chemin.
- À toi, ouais, comme ça... Non pas trop vite... Oui c’est bien comme ça !

Et Aziz prend du recul pour nous contempler.

- Putain ma chérie c’est bon. Il te grimpe bien. Tu es superbe. T’es contente ?
- Ouais, elle est bonne sa queue et il me tient bien là. C’est chaud !
- Tu aimes que je te regarde en me branlant ?
- J’aimerais mieux ta pine dans la bouche gros porc !
- Attends, attends, pas trop vite. Ça va venir.... J’ai une idée, je reviens...
- Tu vas où ?
- Attends tu vas voir... Walid, continue mais surtout prends ton temps. Jouis pas tout de suite !

Walid lui répond que, pour le moment, il gére.

- Non mais je voudrais pas que tu éjacules tout de suite, je veux être present.
- Je suis peut-être puceau mais il m’arrive de me branler de temps en temps devant des films de cul tout de même... Et en général, je tiens longtemps... C’est pas pour me vanter.
- Oui, mais là, c’est pas pareil ! Que je dis.
- C’est clair, ça excite plus... Mais je m’régale, puisque j’y suis, j’en profite.
- Tu aimes ? Demande ai-je.
- Putain c’est trop bon.
- Cool... Tu m’attends mec, Ok ? Je reviens. Dit Aziz.
- T’inquiète.

Et voila qu’Aziz disparait.
Seul avec Walid, celui-ci se lâche et me demande :

- Tu fais souvent ça ?
- Quoi ?
- Baiser avec un autre mec devant ton mari?
- C’est… Oui… la première fois !
- Sans déconner ? Et t’aime ça? C’est bien ce que je fais ?
- J’ai l’air de m’ennuyer là ?
- Non, non, mais je t’entends peu. Elle est pas bonne la quéquette de Walid ?
- Si elle est bonne... Vachement bonne même !
- Elle est bonne comment ?
- C’est un boooooon !
- Ah ouais ? Elle est bonne ma bite, tu aimes la sentir ? Tu la sens bien là ma queue ?
- Ouiiii , vas-y sers toi bien de ton manche là, bourres-moi... Ouiiii comme ça c’est bon.
- T’inquiètes salope. Tu la voulais ma queue ?... Hein, tu la voulais ? Tu veux de la bite fraîche, jamais servie ? Tu vas l’avoir lààààà. Putain c’que t’es bonne. Tiens prends mes coups de bite petite pute. T’es une petite pute toi, hein, tu n’as pas l’air comme ça mais t’es une petite pute... Et ton mec là, c’est un gros dégueulasse... Il te fourre aussi bien que moi ?

Et il se met à aller un peu plus vite et surtout plus fort au point de me faire claquer le cul. Je gémiss de plaisir. J’ai perdu toute notion du temps. C’est alors que j’entends.

- Ben putain, on s’emmerde pas ici ! C’est quoi ce bordel ?

Je relève la tête, un mec, plutôt costaud écarquille les yeux en nous matant. C’est à ce moment là que je me suis souvenue que Walid avait dit qu’il attendait un copain... Apparemment, il n’avait pas menti.
Nous nous sommes immobilisés tout les deux; Walid au fond de ma chatte, les cuisses écrasées sur mes fesses et moi appuyée sur mes deux bras, la tête tournée vers la porte.

- Ah putain, Mustafa !
- Ben qu’est-ce que vous foutez-là ?

Je m’entends lui répondre :

- A ton avis ? On attend le bus, connard !

Walid reprend, toujours immobile, les mains cramponnées à mes hanches :

- Je t’avais complètement oublié... !
- Ben je comprends... T’avais mieux à faire que de penser à moi... Tant pis, je suis venu pour rien, je vous laisse, amuses-toi bien...

Je l’interromps :

- Sûr que tu nous laisses ? T’as envie de me sauter aussi ? On voit ta queue raide sous ton pantalon... Allez, viens te faire sucer... Et toi derrière, t’endors pas... Ça mollit...

Mustafa ne se le fait pas dire deux fois. Il s’approche, baisse sa braguette, son futal, son boxer et en sort une magnifique queue circoncise, brune, d’un joli diamètre.
Après m’être assurée qu’il était clean, je me mets à le sucer.

- AHhh… putain elle pompe bien ta copine, Walid... Ouh ! J’croyais venir pour bosser sur notre mémoire mais on à mieux à faire... Ouais, c’est bon ça, allez, suces, suces, salope... Ah la vache... Merde....hoooo....

Je me délecte de ces deux bonnes pines d’autant que l’imprévu me les livre au naturel, dans leur jus de la journée avec la bonne odeur d’homme qui va avec.
Les deux gars se complimentent, s’encouragent... Walid peut-être un peu plus timidement.... Quand soudain Mustafa s’arrête...

- Heu, Walid, c’est qui le mec qui nous mate là ?

Walid s’immobilise une fois de plus et moi je lâche la belle bite pour tourner à nouveau la tête vers l’entrée.
Aziz, la queue en l’air nous regarde. tient le grand miroir de la salle de bain qu’il était allé démonter et il l’a ramené avec lui.
Je réponds à la place de Walid :

- Mustafa, je te présente mon mari !
- Ton mari ? En vrai ?
- Oui mon mari… Aziz… Voila Mustafa un pote de Walid qui, comme tu le vois, a une bonne queue.
- Génial… Salut Mustafa... !
- Euh salut, appelez-moi Mousse !
- Salut Mousse - Dit à nouveau mon homme avant d’ajouter - T’as vu ma chérie, je suis allé te chercher le miroir pour que tu puisses te voir quand tu te fais prendre par Walid... Mais avec Mousse devant ton nez, ça va pas servir à grand chose... Enfin pas pour le moment.... Bon… Hé bien… On reprend ?

Et les mecs se remirent à me piner.

- Dites les gars, ça vous dirait de changer de place ? Chérie mets-toi sur le dos. Mousse va t’enfoncer sa bonne queue. Tu pourrais prendre Walid entre les seins et moi dans la bouche.

Je me mets donc le cul sur le canapé, pour que Mouses puisse me pénétrer debout en n’ayant qu’à fléchir un peu les jambes. Walid, debout sur le canapé, offre sa bite à mes mamelles que je comprime autour de son zob et Aziz lui aussi debout me fais sucer alternativement son gland ou ses roustons.
Cependant, Aziz n’y trouve pas totalement son compte car Walid l’empêche de voir la bite de Mousse me fouiller la chatte.
Nous changeons donc de position :
Mousse prend en missionnaire et Walid se fit sucer. Aziz mate en se masturbant lentement et en caressant de temps à autre, mes gros nibards qu’il adore voir ballotter sous les chocs impulsés par les coups de hanches.
Mais Walid approche de la fin. Il gémit de plus en plus et, malgré les invitations d’Aziz pour qu’il se retienne, il éjacule violemment en poussant de tous petits cris. À ce moment sa pine se trouve juste au dessus de ma bouche. Je suis en train de branler fermement son membre pointé vers mon menton, tout en chatouillant le gland de l’extrémité de ma bouche. Il y a un premier jet assez court et peu puissant puis cinq ou six autres très vifs et très longs qui fusent jusque sur mon pubis.
Mousse qui n’en est visiblement pas à son coup d’essai sort sa pine de mon trou, ramasse avec le bout quelques larmes de jute et refourre ma chatte avec cette crème onctueuse.
Aziz exulte :

- Ouais, c’est bon ça... putain c’est très chaud... Allez chérie, suces bien Walid, ne perds rien !

Mustafa y va aussi de son commentaire :

- Oh putain, non seulement elle est bonne, mais en plus c’est une pute à jus.... J’peux lui juter sur la gueule aussi ?
- Faudra pas te gêner garçon. Tu vois qu’elle aime ça !
- Olala.. J’vais t’arroser toi, tu vas pas comprendre ce qu’il t’arrive. J’vais te faire le plein, tu vas en bouffer des litres... Olalala...

Walid, maintenant bien vidé et bite revenue à la normale s’est écarté. Il ne sait apparemment pas quoi faire et il disparait un bon moment. Il revient avec un boxer et nous regarde terminer avec l’air de s’emmerder un peu.
Aziz essaye de le remotiver :

- Allez, tu r’viens, ça te dit pas une double ?
- Si, si... mais là je bande plus...
- Moi j’veux bien, dit Mousse.
- Ah mais non, je voudrais la voir prise en sandwich entre vous ! Reprit Aziz
- Mais c’est pas grave, si j’te la prends dans l’cul ta meuf, et toi dans la chatte, tu vas quand même me voir. Tiens, je m’allonge, elle s’empale dessus et se couche sur moi. Je lui pétris les nichons et tu la saute debout en nous regardant... On t’a déjà pris dans l’cul ?
- Oui, oui, Aziz aime bien... Et toi, tu baises souvent en double ? Demande ai-je.
- Non c’est la première fois... Y’a longtemps que j’attends l’occase... Putain, ce soir c’est la fête à ma bite.

Nous n’avons pas mis longtemps à nous disposer tel qu’il l’a suggéré. Coincée entre les deux mecs je me fais démonter par mon mari qui me bourre avec une violence inhabituelle, stimulé par la bite de l’autre mec dans mon cul.

- Putain, c’est dingue comme je sens ta bite... C’est comme si elle touchait la mienne. Même pas besoin de bouger... Oh c’est trop bon... Walid, viens, j’t’assure, c’est le kif...

Aziz était aux anges :

- Tu aimes te prendre deux bites d’un coup ma chérie, hein tu aimes ça ?... T’aime quand il t’agrippe les nibards comme ça ? Vas-y toi, pince-lui les tétons… Ouaouh ! C’est trop bon… Putain je m’clate... J’vais jouir comme jamais.... Vires tes mains, j’vais lui juter sur les tétons !

En disant cela, il retire sa quéquette d’un coup et vient se mettre au dessus de ma poitrine juste à temps pour jouir dessus.
Loin d’enlever ses mains de mes seins, Mustafa les avaient maintenues pour bloquer les nichons en les serrant très fort l’un contre l’autre pour rapprocher au maximum les mamelons. Le sperme les recouvrit mais j’en ai aussi dans le cou, sur une joue et sur le menton.
Bien sûr, Mustafa en a les doigts couverts. Il me demande de le libérer, ce que je fais et il me fait mettre à genoux pour une cravate de notaire que le foutre lubrifie à loisir, pendant que Mousse me fait sucer ses doigts.
À force de se branler entre mes mamelles et que je l’aide des mains et de la bouche, il finit par gicler sa sauce en prenant soin de me viser directement dans la bouche, avec beaucoup d’adresse je dois dire et, quand elle est remplie de sperme, il y plonge son zob pour que je le décrasse.
J’y consacre beaucoup d’application.
Je suis plus que satisfaite. J’ai pris deux bons orgasmes avec de bonnes queues. Mon mari était comme un gosse à Noël devant un tas de cadeaux.
Avachi dans le canapé, Mousse se tripote la bite. Walid avait l’air plus indifférent.
Aziz demande :

- Alors les gamins, ça vous a plu ?

Mousse répond :

- Ahhh mais grave, grave, grave... Elle trop bonne ta meuf... Putain mon veinard... Mais moi, si j’en avais une comme ça à la maison, je reste chez moi pour te la niquer toute la journée. Et toi Walid ?
- À vrai dire je sais pas...
- Cela t’a pas plu... Insiste ai-je
- Si, si, c’était trop cool... Mais j’avais pas prévu de perdre ma virginité comme ça... Surtout avec des potes... J’sais plus trop quoi penser.
- Ah ben moi je sais, dit Mustafa : Des potes comme ça, c’est quand ils veulent. Vous pouvez compter sur moi.
- Bon, t’emballes pas non plus. On va pas en faire une habitude... Mais bon, si j’organise un gang bang un des ces quatre. Tu en es ? Dit Aziz.
- Plutôt deux fois qu’une.
- Et toi Walid ?
- J’sais pas, faudra voir...

Pour le gang bang que leur proposait Aziz, je ne suis évidemment pas au courant. Mais je suppose que l’idée le tourmentait déjà depuis un moment et que notre première expérience de ce soir l’a complètement désinhibé. L’idée de le contredire ne me vient même pas à l’esprit, au contraire....
Nous rentrons chez nous, sans nous rhabiller, un rapide coup d’œil sur le palier nous a ouvert le passage.
Aziz se dirige directement vers la chambre et se laisse tomber sur le lit, les jambes et les bras écartés :

- Ahh putain, c’était trop bon... Tu es vraiment la femme la plus extraordinaire qui soit !
- Cela t’as plu ? Demandai-je.
- T’es folle... C’était un truc de dingue !
- Et… C’est quoi ce « gang bang » ?
- Ça te plairait pas ?
- Si... Mais tu as déjà prévu quelque chose ?
- Non rien, mais avec ce que tu as fait ce soir, j’avais envie... J’vais m’en occuper sérieusement.
- Tu feras quand même attention à bien choisir les mecs.
- C’est clair. Il y a aura déjà au moins Mousse.... Après je vais voir.
- Ok, je vais me doucher...
- Non, reste... Toute l’odeur de sperme... Ça me donne l’impression que les mecs sont encore là. J’suis sûr que dans vingt minutes je bande à nouveau....
- Mouais... Je sais pas si ça vaut la peine d’attendre.
- S’te plait !
- Lol. Ramènes-la moi ta queue... J’ai encore une grande envie de bite...
- Cool ma chérie. Ce soir, encore la mienne et après, je t’en amènerai plein d’autres !

Il ne se passe rien de bien extraordinaire pendant plusieurs jours, à tel point que je me demande si Aziz n’avait pas prononcé des paroles en l’air, d’autant que notre petite séance lui avait redonné de la vigueur et qu’il me reprend maintenant presque tous les jours, souvent à l’improviste et dans les positions les plus inhabituelles et les pénétrations les plus virulentes jamais connues avec lui.
De plus, il mate moins souvent des films de culs mais ne s’en cache plus, surtout que, lorsque je le vois ainsi, la queue bien droite sortie de sa braguette, bien moulée sous le survêt, ou dans sa main en dehors du pyjama, je le rejoignais presque sans attendre.
Cependant, un soir que je suis dans la cuisine en train d’éplucher des carottes et qu’il rentre du boulot, il se met derrière moi :

- Bonsoir ma chérie, tu vas bien ?
- Oui mon amour, et toi ? Tu as passé une bonne journée ?
- Oui cool. J’ai eu la visite d’une T.O (agent de voyage) à gros seins, comme toi. Elle m’a donné une de ces gaules. Tiens… Tu sens ? J’en bande encore ?
- Oui, tu as l’air très excité. On va s’amuser ce soir.
- Pas ce soir, maintenant !

Et il se mit à me peloter les seins tout en écrasant au plus fort sa pine dans ma raie. Puis il saisit une des carottes épluchées, la plus grosse, et me la passa sous la mini- jupe.

- Fous-là dans ta chatte !

Quand je m’exécute, il baisse son pantalon, me fait prendre une légère pause pour baisser ma culotte et ma jupe, entrouvre mon bustier, relève on soutien-gorge et se met à me caresser comme un fou.
Quand j’ai bien joué avec la carotte, il me la prend, me l’enfonce dans le cul pour le préparer et, quand ce fut fait, il me la met dans la chatte et m’encule !

- C’est bon ça, hein... T’as pas l’impression d’avoir deux bonnes grosses queues là ?
- Si, d’ailleurs c’est pour quand le gang bang ? Tu m’en parles plus.
- Tiens, tiens, mais tu attends ça ma parole ? Tu veux te faire foutre par tout un groupe de mecs hein ma salope !
- Une promesse est une promesse !
- T’inquiète chérie... J’y travaille et bien même... Pour le moment... Mais concentre-toi sur ma bite là !

Je m’exécute, je laisse la carotte bien qu’elle cela m’est inconfortable bien qu’elle soit lubrifiée.
Aziz la saisit pour la lécher puis la bouffer tout en me ramonant comme un sauvage jusqu’à ce qu’il me jute dans la raie des fesses.
Il n’y a plus rien de remarquable pendant des jours puis des semaines... Ah, si !

Bientôt une suite... Promis !