On découvre que ma cousine Dorothée (6) est une femme fontaine
Récit érotique écrit par Romainro [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-08-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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On découvre que ma cousine Dorothée (6) est une femme fontaine
Hier je suis rentré d’une mission de 3 nuits en Ukraine. Entre le boulot sur place, les conditions moyennes mais surtout les 4 avions et 7 heures de voitures en 3 jours, je suis lessivé. J’arrive à l’aéroport de Toulouse à 23 heures, heureusement que Dorothée est venue me chercher. Une fois à la maison, je m’écroule pas comme je l’attendais en fait j’ai besoin de décompressé mais ma cousine est crevée et s’endort avant même que j’ai eu le temps de finir de me brosser les dents.
Je me pose au lit mais impossible de trouver le sommeil alors je me relève pour aller me fumer une clope dans le salon. J’allume mon ordinateur et j’en profite pour faire un tour sur notre site d’histoire préféré est lire les derniers commentaires que vous avez laissé. Je lis aussi les mails que j’ai reçu et je découvre un message d’une certaine Françoise (elle m’a demandé de changer son prénom), qui a beaucoup aimé mes histoires avec Claire. Elle me dit se reconnaitre en elle.
Son mail est assez long et je dois vous avouer que je lis qu’à moitié mais quand elle écrit qu’elle a baisé avec deux mecs en imaginant que c’était Julien et moi et qu’en plus elle a fait une video, ma lecture devient plus sérieuse. Je fais bien car elle m’envoie un lien pour regarder la vidéo. Evidement je clique dessus et je tombe sur une page perso d’un site de video porno très connu. La vidéo s’appelle « Et si je remplaçais Claire! ». J’appuie immédiatement sur lecture.
Une jolie brune d’une cinquantaine d’année, avec un ventre plat mais une poitrine généreuse est en train de sucer deux glands en même temps. Au moins on est directement dans l’action. Après les avoir sucer goulument l’un et l’autre, un des mecs la place en levrette sur un canapé alors qu’elle fait des gorges profonde au deuxième.Une fois qu’il lui a bien brouté le minou et qu’il s’est protégé, il la défonce vigoureusement.
Les deux mecs échangent de place, celui qu’il la baise lui masse la rondelle en même temps ensuite il la doigte avant de la sodomiser. Ma queue est de plus en plus raide et je ne peux m’empêcher de me branler surtout que je me rappelle qu’elle m’a dit avoir fait cette video en pensant à moi. Alors que Françoise a une bitte dans la chatte et l’autre dans le cul, elle fixe la caméra, j’ai l’impression qu’elle me regarde. Quand elle passe sa langue sensuellement sur ses lèvres, je n’en peux plus et arrose mon torse et mon ventre de 7 bonnes giclées de sperme, il faut dire que ça fait 5 jours que j’ai rien fait!
Je continue à regarder le petit film jusqu’à ce qu’elle avale complètement le sperme des deux mecs. Je reste comme ça quelques minutes à reprendre mes esprits puis je ferme mon ordinateur et vais à la salle de bain me rincer pour enlever le jus qui a commencé à sécher dans mes poils. Je vais directement au lit, il est déjà 2 heures du matin et heureusement que ni Dorothée ni moi ne travaillons demain comme ça je pourrai récupérer.
Après un grand trou noir, je vois le corps complètement nu de la belle Françoise assise sur mes cuisses. Elle caresse, à deux mains, ma tige qui est droite comme un piquet. Elle la fait rouler entre ses paumes puis pianote dessus avec ses dix doigts. Ses mains descendent sur mes couilles et les malaxe en même temps. Puis elle se met à me parler mais je ne comprend rien.
Plus ses mots deviennent clairs plus je reconnais la voix de Dorothée qui me dit:« Allez gros dormeur il est bientôt 15 heures, tu vas pas dormir cette nuit! »J’ai du mal à ouvrir les yeux et l’image est assez flou. Je me frotte les yeux et voit que ce n’est pas Françoise la brune mais Dorothée la blonde qui est assise sur moi. Elle est pas nu mais porte un petit short blanc et un marcel duquel déborde sa magnifique poitrine. Par contre ce qui correspond à mon rêve c’est que je bande et qu’elle me caresse.
Je ne peux résister à l’appel du « matin » et je tire sur son petit short pour dévoiler sa belle vulve uniquement orné d’un ticket de métro mais aussi pour l’attirer, à côté de moi sur le matelas. Je me redresse pour la déshabiller et que comme moi, elle se retrouve complètement nue. Je pose ma main sur son entrejambe et pendant que mon majeur se glisse entre ses grandes lèvres, je l’embrasse à pleine bouche. Elle se met immédiatement à mouiller.
Je ramasse bien son élixir pour encore mieux lui titiller le clito, elle gémit déjà comme une folle. Mon doigt roule son petit bouton et dès que je sens qu’il sèche, je le plonge dans sa grotte pour de nouveau l’humidifier. J’en profite pour bien titiller sa paroi interne alors que nos langues continuent à danser serrer l’une contre l’autre. Au bout de seulement quelques instant, elle immobilise ma main. Je sais exactement ce qu’elle veut alors je me relève pour venir sur elle.
Pour une fois je me suis trompé car, quand je l’enjambe elle se redresse est me gobe directement. Elle fait jouer sa langue mais aussi ses lèvres et ses dents avec ma tige. Je durci encore plus , surtout que maintenant ses deux mains malaxent mes couilles. Après quelques minutes de ce jeu, elle me recrache. Je continue mon mouvement pour m’allonger sur elle mais elle m’arrête de nouveau.
Ma cousine s’agenouille devant moi et se dresse pour enfermer ma queue, bien baveuse, entre ses seins. Elle les fait monter et descendre et à chaque fois que mon gland dépasse, elle en profite pour le lécher ou l’avaler. J’adore la branlette espagnole, surtout avec une poitrine comme la sienne. Comme elle est pas du tout réactive des seins, je réduis la durer de ce plaisir.
Alors que j’allais reprendre le dessus, Dorothée me plaque contre le matelas et viens me chevaucher. Je suis tellement raide et elle tellement mouillée qu’elle s’empale complètement. Elle commence un lent mouvement de montées et descentes sur ma tige. J’empoigne ses deux fesses pour lui donner le rythme mais aussi ressentir le mouvement de son cul quand il vient taper mes couilles. J’en profite pour lui donner quelques fessées car nous adorons tous les deux ça.
Quand je relâche mon emprise sur son postérieur, elle accélère le rythme de ses vas et viens. Elle ondule son bassin au rythme de ses petits cris qui se font de plus en plus sonore. Elle se redresse bien sur moi et se penche même en arrière pour venir me tâter les couilles. J’en profites pour lui malaxer le clito, par réflexe elle essaye de retirer ma main mais elle arrive pas à me déloger. Elle finit par céder et part dans une symphonie de plus en plus aiguë.
Après seulement quelques minutes, elle se penche bien en arrière, ce qui me donne l’occasion d’encore mieux m’occuper de son petit bouton. Ses mains se posent sur mes cuisses et elle se met à me griffer gentiment. Je sais que ça veut dire qu’elle va jouir alors avec ma main de libre, je l’attrape par la taille pour l’aider dans ses mouvements. En à peine quelques vas et viens supplémentaires, je sens sa grotte se contracter autour de moi. J’accentue encore plus les mouvements de mes deux mains pour bien l’accompagner dans la jouissance.
Quand elle commence à redescendre, elle s’affale sur moi et m’embrasse goulument. Je profite que nos lèvres se décollent pour lui signifier que je n’ai pas joui. Je l’entoure avec mes bras pour nous retourner mais j’arrive pas a faire les 180 degrés sans ressortir de sa chatte. Une fois qu’elle est sur le dos, j’attrape ses chevilles et soulève ses jambes pour les poser sur mes épaules. J’empoigne ma bitte et en la pointant vers son mont de Vénus je me rends compte que nos sexes sont encore plus luisant que d’habitude.
Je m’enfonce en elle avec une grande facilité et je me mets à la ramoner doucement pour que le plaisir reprenne un chemin montant. Dorothée se met rapidement à gémir et à s’agiter, elle qui n’a jamais cru au multi-orgasme, accepte maintenant d’apprécier cet avantage qu’ont les femmes. Plus ses miaulement sont profonds, plus j’accélère la cadence pour notre bonheur à tous les deux.
Je sais pas si c’est parce qu’elle sait que j’aime voir ma queue la pénétrer ou pour encore mieux me sentir contre ses parois internes mais ma cousine soulevé ses jambes. Elle les ramène, serrées, contre elle et les maintiens avec ses mains. Difficile de résister à un tel spectacle surtout que comme ça l’intérieure de mes cuisses claque encore plus ses fesses. Ses miaulement se transforme en rugissement. Je regrette pas de m’être branler hier soir avant de me coucher comme ça le plaisir dure encore plus longtemps.
Elle se met à fatiguer de la position et repose ses pieds sur le matelas. Je continue de la limer à différents rythmes alors qu’elle ne cesse de manifester son plaisir. Je me penche sur elle et pose ma langue sur le haut de son ventre. Je continue de la labourer, moins amplement mais plus sèchement, alors que ma bouche remonte sur sa poitrine. Après avoir embrasser ses tétons, je m’attarde sur son cou et Dorothée en frémit de bonheur. Enfin nos bouches finissent par se coller et nos langues s’agitent aux rythme de mes coups de reins.
Quand je me redresse, j’attrape ses chevilles au passage pour poser ses pieds sur mes épaules. Je la baise sur toute la longueur de ma tige jusqu’à voir, d’un côté, mon gland apparaitre entre ses lèvres intimes et de l’autre sentir mes couilles contre son cul. Mes mouvements s’accélèrent d’un coup tout comme ses gémissements. J’ai envie que cette fois l’orgasme soit simultané et comme je sens que la pression monte de mon côté, je me retire d’un coup.
Ma queue est dégoulinante et ses lèvres sont brillantes. Tout en maintenant ses jambes contre moi, je me renfonce en elle d’un coup sec. Je reste planté quelques instants et je ressors aussi furtivement que je suis rentré. Je sais qu’elle adore me sentir la pénétrer, je dois avouer que moi aussi, alors je réitère l’opération en essayant d’être à chaque fois plus percutant. J’ai l’impression qu’elle arrive rapidement au même stade que moi, je fais encore 3 ou 4 entrées et sorties remarquées puis je recule jusqu’à uniquement laissé mon gland en elle. Je soulève bien ses jambes et j’empoigne, à une main, ses deux chevilles.
Je la baisse qu’avec la tête de ma bitte mais de plus en plus sauvagement. Ma cousine se met à couiner, j’aime quand son côté vraiment cochonne ressort. Je m’agite comme un fou alors que je vois ses lèvres vibrer au rythme de mon limage. Elle pousse des petits cris très profond, je ne l’ai jamais entendu réagir comme ça et pourtant, sans me vanter, j’ai aucun mal à la faire grimper aux rideaux.
Ses nouveaux cris m’excitent encore plus, moi qui était sur le pont de non retour, je trouve une nouvelle force. Autre nouveauté, ma cousine pose ses mains sur son entrejambe, avec une elle écarte bien sa vulve, ce qui me donne une meilleure vue et de l’autre elle se caresse le clito. Je sens une explosion en moi mais pas au niveau des veines de ma queue.
Soudain le bruit, de mes vas et viens, devient très humides. Un liquide transparent se met à couler en continue de sa moule, j’ai littéralement l’impression de patauger. Je n’en reviens pas, ma cousine est une vraie femme fontaine même si, contrairement à celles que j’ai connu avant, elle ne gicle pas mais coule seulement. Elle se met à hurler de plaisir, son corps entier est pris de spasmes alors que je continue de la ramoner vigoureusement malgré son vagin qui vibre de partout.
Elle s’agite tellement qu’elle m’expulse de son con. Elle continue de couiner et couler bien que je la baise plus. J’empoigne ses fesses pour la soulever un peu puis j’attrape ma queue et je me plante d’un coup sec dans sa rondelle. Dorothée s’immobilise en poussant un petit cri. Je suis tellement lubrifier par son éjaculation que j’ai aucun mal à glisser dans son cul même s’il est très serré. Elle me demande d’arrêter mais j’ai trop envie de jouir. J’essaye d’être, malgré tout le plus délicat possible mais soudain elle me demande d’accélérer.
Je ne peux résister et me défoule en elle alors que son mont de Vénus se remet à couler. Ses entrailles se mettent à palpiter autour de moi, je ne vais plus tenir alors je décule complètement pour bien me replanter en elle. Alors que je ne suis pas complètement en elle, par la pression de ses parois internes je sens mes veines palpiter. Bien que j’ai déjà gicler la veille, j’envoie 4 beaux jets qui m’ont l’air bien fournis.
Je reste bien enfoncé en elle alors que je sens qu’elle dégouline toujours même si c’est pas aussi abondant que tout à l’heure. Je m’affale sur elle et nous restons l’un contre l’autre à reprendre nos respirations pendant de longues minutes alors que je sens ma bitte dégonfler mais toujours prisonnière de ses entrailles. Au bout de je ne sais combien de temps, je me redresse et décule définitivement. L’intérieur de sa chatte et très rouge ce qui ressort encore plus avec le côté extrêmement luisant de son entrejambe.
Je me dégage d’entre ses jambes et viens m’allonger à côté d’elle. Aujourd’hui est un grand jour, non seulement nous avons découvert que ma cousine et une femme fontaine mais en plus elle assume vraiment d’enchainer les orgasmes et aussi bien vaginal qu’anal. Maintenant il va falloir que j’envisage de lui faire tester les deux simultanément mais ça c’est pas pour tout de suite parce qu’il faut vraiment se remettre d’une telle baise….
Je me pose au lit mais impossible de trouver le sommeil alors je me relève pour aller me fumer une clope dans le salon. J’allume mon ordinateur et j’en profite pour faire un tour sur notre site d’histoire préféré est lire les derniers commentaires que vous avez laissé. Je lis aussi les mails que j’ai reçu et je découvre un message d’une certaine Françoise (elle m’a demandé de changer son prénom), qui a beaucoup aimé mes histoires avec Claire. Elle me dit se reconnaitre en elle.
Son mail est assez long et je dois vous avouer que je lis qu’à moitié mais quand elle écrit qu’elle a baisé avec deux mecs en imaginant que c’était Julien et moi et qu’en plus elle a fait une video, ma lecture devient plus sérieuse. Je fais bien car elle m’envoie un lien pour regarder la vidéo. Evidement je clique dessus et je tombe sur une page perso d’un site de video porno très connu. La vidéo s’appelle « Et si je remplaçais Claire! ». J’appuie immédiatement sur lecture.
Une jolie brune d’une cinquantaine d’année, avec un ventre plat mais une poitrine généreuse est en train de sucer deux glands en même temps. Au moins on est directement dans l’action. Après les avoir sucer goulument l’un et l’autre, un des mecs la place en levrette sur un canapé alors qu’elle fait des gorges profonde au deuxième.Une fois qu’il lui a bien brouté le minou et qu’il s’est protégé, il la défonce vigoureusement.
Les deux mecs échangent de place, celui qu’il la baise lui masse la rondelle en même temps ensuite il la doigte avant de la sodomiser. Ma queue est de plus en plus raide et je ne peux m’empêcher de me branler surtout que je me rappelle qu’elle m’a dit avoir fait cette video en pensant à moi. Alors que Françoise a une bitte dans la chatte et l’autre dans le cul, elle fixe la caméra, j’ai l’impression qu’elle me regarde. Quand elle passe sa langue sensuellement sur ses lèvres, je n’en peux plus et arrose mon torse et mon ventre de 7 bonnes giclées de sperme, il faut dire que ça fait 5 jours que j’ai rien fait!
Je continue à regarder le petit film jusqu’à ce qu’elle avale complètement le sperme des deux mecs. Je reste comme ça quelques minutes à reprendre mes esprits puis je ferme mon ordinateur et vais à la salle de bain me rincer pour enlever le jus qui a commencé à sécher dans mes poils. Je vais directement au lit, il est déjà 2 heures du matin et heureusement que ni Dorothée ni moi ne travaillons demain comme ça je pourrai récupérer.
Après un grand trou noir, je vois le corps complètement nu de la belle Françoise assise sur mes cuisses. Elle caresse, à deux mains, ma tige qui est droite comme un piquet. Elle la fait rouler entre ses paumes puis pianote dessus avec ses dix doigts. Ses mains descendent sur mes couilles et les malaxe en même temps. Puis elle se met à me parler mais je ne comprend rien.
Plus ses mots deviennent clairs plus je reconnais la voix de Dorothée qui me dit:« Allez gros dormeur il est bientôt 15 heures, tu vas pas dormir cette nuit! »J’ai du mal à ouvrir les yeux et l’image est assez flou. Je me frotte les yeux et voit que ce n’est pas Françoise la brune mais Dorothée la blonde qui est assise sur moi. Elle est pas nu mais porte un petit short blanc et un marcel duquel déborde sa magnifique poitrine. Par contre ce qui correspond à mon rêve c’est que je bande et qu’elle me caresse.
Je ne peux résister à l’appel du « matin » et je tire sur son petit short pour dévoiler sa belle vulve uniquement orné d’un ticket de métro mais aussi pour l’attirer, à côté de moi sur le matelas. Je me redresse pour la déshabiller et que comme moi, elle se retrouve complètement nue. Je pose ma main sur son entrejambe et pendant que mon majeur se glisse entre ses grandes lèvres, je l’embrasse à pleine bouche. Elle se met immédiatement à mouiller.
Je ramasse bien son élixir pour encore mieux lui titiller le clito, elle gémit déjà comme une folle. Mon doigt roule son petit bouton et dès que je sens qu’il sèche, je le plonge dans sa grotte pour de nouveau l’humidifier. J’en profite pour bien titiller sa paroi interne alors que nos langues continuent à danser serrer l’une contre l’autre. Au bout de seulement quelques instant, elle immobilise ma main. Je sais exactement ce qu’elle veut alors je me relève pour venir sur elle.
Pour une fois je me suis trompé car, quand je l’enjambe elle se redresse est me gobe directement. Elle fait jouer sa langue mais aussi ses lèvres et ses dents avec ma tige. Je durci encore plus , surtout que maintenant ses deux mains malaxent mes couilles. Après quelques minutes de ce jeu, elle me recrache. Je continue mon mouvement pour m’allonger sur elle mais elle m’arrête de nouveau.
Ma cousine s’agenouille devant moi et se dresse pour enfermer ma queue, bien baveuse, entre ses seins. Elle les fait monter et descendre et à chaque fois que mon gland dépasse, elle en profite pour le lécher ou l’avaler. J’adore la branlette espagnole, surtout avec une poitrine comme la sienne. Comme elle est pas du tout réactive des seins, je réduis la durer de ce plaisir.
Alors que j’allais reprendre le dessus, Dorothée me plaque contre le matelas et viens me chevaucher. Je suis tellement raide et elle tellement mouillée qu’elle s’empale complètement. Elle commence un lent mouvement de montées et descentes sur ma tige. J’empoigne ses deux fesses pour lui donner le rythme mais aussi ressentir le mouvement de son cul quand il vient taper mes couilles. J’en profite pour lui donner quelques fessées car nous adorons tous les deux ça.
Quand je relâche mon emprise sur son postérieur, elle accélère le rythme de ses vas et viens. Elle ondule son bassin au rythme de ses petits cris qui se font de plus en plus sonore. Elle se redresse bien sur moi et se penche même en arrière pour venir me tâter les couilles. J’en profites pour lui malaxer le clito, par réflexe elle essaye de retirer ma main mais elle arrive pas à me déloger. Elle finit par céder et part dans une symphonie de plus en plus aiguë.
Après seulement quelques minutes, elle se penche bien en arrière, ce qui me donne l’occasion d’encore mieux m’occuper de son petit bouton. Ses mains se posent sur mes cuisses et elle se met à me griffer gentiment. Je sais que ça veut dire qu’elle va jouir alors avec ma main de libre, je l’attrape par la taille pour l’aider dans ses mouvements. En à peine quelques vas et viens supplémentaires, je sens sa grotte se contracter autour de moi. J’accentue encore plus les mouvements de mes deux mains pour bien l’accompagner dans la jouissance.
Quand elle commence à redescendre, elle s’affale sur moi et m’embrasse goulument. Je profite que nos lèvres se décollent pour lui signifier que je n’ai pas joui. Je l’entoure avec mes bras pour nous retourner mais j’arrive pas a faire les 180 degrés sans ressortir de sa chatte. Une fois qu’elle est sur le dos, j’attrape ses chevilles et soulève ses jambes pour les poser sur mes épaules. J’empoigne ma bitte et en la pointant vers son mont de Vénus je me rends compte que nos sexes sont encore plus luisant que d’habitude.
Je m’enfonce en elle avec une grande facilité et je me mets à la ramoner doucement pour que le plaisir reprenne un chemin montant. Dorothée se met rapidement à gémir et à s’agiter, elle qui n’a jamais cru au multi-orgasme, accepte maintenant d’apprécier cet avantage qu’ont les femmes. Plus ses miaulement sont profonds, plus j’accélère la cadence pour notre bonheur à tous les deux.
Je sais pas si c’est parce qu’elle sait que j’aime voir ma queue la pénétrer ou pour encore mieux me sentir contre ses parois internes mais ma cousine soulevé ses jambes. Elle les ramène, serrées, contre elle et les maintiens avec ses mains. Difficile de résister à un tel spectacle surtout que comme ça l’intérieure de mes cuisses claque encore plus ses fesses. Ses miaulement se transforme en rugissement. Je regrette pas de m’être branler hier soir avant de me coucher comme ça le plaisir dure encore plus longtemps.
Elle se met à fatiguer de la position et repose ses pieds sur le matelas. Je continue de la limer à différents rythmes alors qu’elle ne cesse de manifester son plaisir. Je me penche sur elle et pose ma langue sur le haut de son ventre. Je continue de la labourer, moins amplement mais plus sèchement, alors que ma bouche remonte sur sa poitrine. Après avoir embrasser ses tétons, je m’attarde sur son cou et Dorothée en frémit de bonheur. Enfin nos bouches finissent par se coller et nos langues s’agitent aux rythme de mes coups de reins.
Quand je me redresse, j’attrape ses chevilles au passage pour poser ses pieds sur mes épaules. Je la baise sur toute la longueur de ma tige jusqu’à voir, d’un côté, mon gland apparaitre entre ses lèvres intimes et de l’autre sentir mes couilles contre son cul. Mes mouvements s’accélèrent d’un coup tout comme ses gémissements. J’ai envie que cette fois l’orgasme soit simultané et comme je sens que la pression monte de mon côté, je me retire d’un coup.
Ma queue est dégoulinante et ses lèvres sont brillantes. Tout en maintenant ses jambes contre moi, je me renfonce en elle d’un coup sec. Je reste planté quelques instants et je ressors aussi furtivement que je suis rentré. Je sais qu’elle adore me sentir la pénétrer, je dois avouer que moi aussi, alors je réitère l’opération en essayant d’être à chaque fois plus percutant. J’ai l’impression qu’elle arrive rapidement au même stade que moi, je fais encore 3 ou 4 entrées et sorties remarquées puis je recule jusqu’à uniquement laissé mon gland en elle. Je soulève bien ses jambes et j’empoigne, à une main, ses deux chevilles.
Je la baisse qu’avec la tête de ma bitte mais de plus en plus sauvagement. Ma cousine se met à couiner, j’aime quand son côté vraiment cochonne ressort. Je m’agite comme un fou alors que je vois ses lèvres vibrer au rythme de mon limage. Elle pousse des petits cris très profond, je ne l’ai jamais entendu réagir comme ça et pourtant, sans me vanter, j’ai aucun mal à la faire grimper aux rideaux.
Ses nouveaux cris m’excitent encore plus, moi qui était sur le pont de non retour, je trouve une nouvelle force. Autre nouveauté, ma cousine pose ses mains sur son entrejambe, avec une elle écarte bien sa vulve, ce qui me donne une meilleure vue et de l’autre elle se caresse le clito. Je sens une explosion en moi mais pas au niveau des veines de ma queue.
Soudain le bruit, de mes vas et viens, devient très humides. Un liquide transparent se met à couler en continue de sa moule, j’ai littéralement l’impression de patauger. Je n’en reviens pas, ma cousine est une vraie femme fontaine même si, contrairement à celles que j’ai connu avant, elle ne gicle pas mais coule seulement. Elle se met à hurler de plaisir, son corps entier est pris de spasmes alors que je continue de la ramoner vigoureusement malgré son vagin qui vibre de partout.
Elle s’agite tellement qu’elle m’expulse de son con. Elle continue de couiner et couler bien que je la baise plus. J’empoigne ses fesses pour la soulever un peu puis j’attrape ma queue et je me plante d’un coup sec dans sa rondelle. Dorothée s’immobilise en poussant un petit cri. Je suis tellement lubrifier par son éjaculation que j’ai aucun mal à glisser dans son cul même s’il est très serré. Elle me demande d’arrêter mais j’ai trop envie de jouir. J’essaye d’être, malgré tout le plus délicat possible mais soudain elle me demande d’accélérer.
Je ne peux résister et me défoule en elle alors que son mont de Vénus se remet à couler. Ses entrailles se mettent à palpiter autour de moi, je ne vais plus tenir alors je décule complètement pour bien me replanter en elle. Alors que je ne suis pas complètement en elle, par la pression de ses parois internes je sens mes veines palpiter. Bien que j’ai déjà gicler la veille, j’envoie 4 beaux jets qui m’ont l’air bien fournis.
Je reste bien enfoncé en elle alors que je sens qu’elle dégouline toujours même si c’est pas aussi abondant que tout à l’heure. Je m’affale sur elle et nous restons l’un contre l’autre à reprendre nos respirations pendant de longues minutes alors que je sens ma bitte dégonfler mais toujours prisonnière de ses entrailles. Au bout de je ne sais combien de temps, je me redresse et décule définitivement. L’intérieur de sa chatte et très rouge ce qui ressort encore plus avec le côté extrêmement luisant de son entrejambe.
Je me dégage d’entre ses jambes et viens m’allonger à côté d’elle. Aujourd’hui est un grand jour, non seulement nous avons découvert que ma cousine et une femme fontaine mais en plus elle assume vraiment d’enchainer les orgasmes et aussi bien vaginal qu’anal. Maintenant il va falloir que j’envisage de lui faire tester les deux simultanément mais ça c’est pas pour tout de suite parce qu’il faut vraiment se remettre d’une telle baise….
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