Papy et la sauterelle (2)
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Papy et la sauterelle (2)
Papy et la sauterelle
2-Une heureuse rencontre
La rencontre avait été fortuite et providentielle. Deux mois auparavant, alors qu’elle venait de glisser le flacon de parfum dans la poche de son blouson et se dirigeait vers la sortie sans achat, elle se figea quand une main se posa sur son épaule.
« Pas de panique, jeune fille, ce n’est pas la police.
Mais la sécurité de ce magasin est efficace et je crains bien de n’être pas le seul à t’avoir repérée. Passe-moi ce que tu as dissimulé et suis-moi tranquillement. » Elle osa enfin tourner les yeux vers lui. C’était un homme assez âgé, calme et souriant. Rassurant, pensa-t-elle ; il lui rappelait son grand-père. Elle lui donna le flacon et le suivit sans mot dire. A la caisse, il en régla le montant avec ses propres achats et ils sortirent.
« Merci, monsieur, parvint-elle enfin à dire.
-Ne me remercie pas ; je n’aurais pas voulu qu’une aussi jeune et jolie voleuse soit pincée par les vigiles.
-Alors si j’avais été vieille et moche, vous n’auriez rien fait ?
-Si tu avais été vieille, tu aurais été plus discrète et tu ne te serais pas faite remarquer. L’expérience vient avec l’âge, répondit-il en riant.
Mais si tu tiens à me remercier, allons prendre un verre. » Elle lui emboita le pas et lorsqu’il ne fit pas mine de s’arrêter au premier café, elle lui en fit la remarque.
« J’habite à deux pas, répondit-il simplement. » Elle n’était pas sotte et se douta qu’il pouvait avoir une idée derrière la tête, mais d’autre part il avait l’air plutôt rassurant et elle ne le voyait pas lui sauter dessus et la violer. Sa curiosité l’emporta.
Elle s’attendait à un intérieur un peu vieillot et encombré de bibelots, comme chez ses grands-parents, mais le salon était au contraire meublé sobrement et avec goût. De nombreux livres un peu partout, deux tableaux modernes témoignaient du salon d’un homme cultivé.
Il la pria de s’assoir, se servit un cognac et lui proposa un jus de fruit qu’elle accepta. Elle attendait la suite, étrangement calme et détendue. Il l’observait en silence, puis : « Je ne souhaite pas que tu me remercies, mais simplement que tu me fasses plaisir : seulement si tu es d’accord, bien entendu. » Nous y voilà, se dit-elle.
« Qu’est-ce que je peux faire pour ça ?
-Voudrais-tu ôter ton jeans, j’aimerais t’admirer.
-Juste me regarder ? demanda-t-elle avec un petit rire.
-Cela, ça dépendra uniquement de toi, jeune fille, dit-il à son tour. » Non sans un peu d’appréhension malgré tout, mais son excitation et sa curiosité l’emportant, elle se décida. Elle n’avait jusque-là eu de rapports sexuels qu’avec des copains de son âge et se demandait ce qu’un vieux bonhomme comme celui-là pouvait encore faire. Elle ôta ses baskets et dans une parodie de striptease fit lentement glisser son jeans à ses pieds. Puis après un tour sur elle-même elle baissa peu à peu sa petite culotte, dévoilant son pubis à la courte toison de fins poils blonds et son petit abricot fendu d’une fente nette et régulière au regard de l’homme qui, souriant, l’observait sans mot dire. Puis le plus naturellement du monde, celui-ci se débarrassa à son tour de son pantalon, baissa un peu son caleçon et elle put ainsi constater que son sexe, bien qu’encore à peine en début d’érection, promettait d’être plus volumineux que ceux qu’elle avait pu connaitre auparavant.
Debout devant lui, pratiquement nue hormis son T-shirt, elle restait immobile, soudain intimidée et un peu désemparée.
« Tu as de jolis jambes longues et fines, dit-il enfin après s’être assis sur une chaise. Allez, ne crains rien, sauterelle, approche. » Il la fit mettre debout, lui tournant le dos, ses jambes écartées de part et d’autre des siennes et passant les mains sous son T-shirt il vint les appliquer sur ses deux minuscules bichons.
« Ils sont trop petits, dit-elle sur un ton d’excuse.
-Ils sont mignons comme tout, sauterelle. » Lorsqu’après en avoir saisi les pointes il les fit rouler entre ses doigts, de délicieux frissons la parcoururent. Elle se mit à ronronner doucement. Elle sentit ensuite une main descendre lentement jusqu’à son pubis, passer entre ses cuisses, se poser sur sa motte. D’un doigts ile en suivait le sillon, accentuant peu à peu la pression pour s’y introduire progressivement. Elle ronronnait toujours, frémissait, sa chatte s’ouvrait, de plus en plus humide, sous les caresses expertes.
Soudain, sans crier gare, il atteignit et titilla son clitoris. Ce fut un tsunami. Elle fut submergée, emportée par un plaisir encore jamais éprouvé. Sans plus attende, il lui saisit les hanches et l’attira sur lui. Elle sentit son sexe à présent raide et ferme franchir les lèvres de sa vulve, glisser dans son vagin pris de contractions rapides jusqu’au fond de sa chatte. Elle ne put retenir un long cri de plaisir, puis un râle ininterrompu tant qu’il la fait monter et descendre sur sa bite. Puis ce fut un autre cri au paroxysme de l’orgasme. Le sperme jaillit dans son vagin, accompagné du grognement de jouissance du vieil homme. Il s’enlaça de ses deux bras et tous deux reprirent leur souffle sans bouger. Enfin elle se tourna et ils échangèrent un long baiser, puis il lui indiqua la salle de bain.
Lorsqu’elle en revint, il était rhabillé, lui avait resservi un jus de fruit et réchauffait un second cognac entre ses mains. Ils parlèrent de choses et d’autres ; c’était surtout lui qui l’interrogeait, curieux.
Quand elle fut sur le point de s’en aller, il affirma plus qu’il ne demandait : « Tu as eu un bel orgasme, il me semble.
-Oh là là oui, grave, papy. » Ce qualificatif lui était venu spontanément et elle rougit. Il éclata de rire : « Compte tenu de ce qui s’est passé, je ne suis pas certain que ce terme soit parfaitement approprié ! Mais pourquoi pas, allez, va pour papy.
Au revoir, sauterelle. A mercredi prochain. »C’était une affirmation sans réplique. Et le début des rendez-vous du mercredi après-midi.
2-Une heureuse rencontre
La rencontre avait été fortuite et providentielle. Deux mois auparavant, alors qu’elle venait de glisser le flacon de parfum dans la poche de son blouson et se dirigeait vers la sortie sans achat, elle se figea quand une main se posa sur son épaule.
« Pas de panique, jeune fille, ce n’est pas la police.
Mais la sécurité de ce magasin est efficace et je crains bien de n’être pas le seul à t’avoir repérée. Passe-moi ce que tu as dissimulé et suis-moi tranquillement. » Elle osa enfin tourner les yeux vers lui. C’était un homme assez âgé, calme et souriant. Rassurant, pensa-t-elle ; il lui rappelait son grand-père. Elle lui donna le flacon et le suivit sans mot dire. A la caisse, il en régla le montant avec ses propres achats et ils sortirent.
« Merci, monsieur, parvint-elle enfin à dire.
-Ne me remercie pas ; je n’aurais pas voulu qu’une aussi jeune et jolie voleuse soit pincée par les vigiles.
-Alors si j’avais été vieille et moche, vous n’auriez rien fait ?
-Si tu avais été vieille, tu aurais été plus discrète et tu ne te serais pas faite remarquer. L’expérience vient avec l’âge, répondit-il en riant.
Mais si tu tiens à me remercier, allons prendre un verre. » Elle lui emboita le pas et lorsqu’il ne fit pas mine de s’arrêter au premier café, elle lui en fit la remarque.
« J’habite à deux pas, répondit-il simplement. » Elle n’était pas sotte et se douta qu’il pouvait avoir une idée derrière la tête, mais d’autre part il avait l’air plutôt rassurant et elle ne le voyait pas lui sauter dessus et la violer. Sa curiosité l’emporta.
Elle s’attendait à un intérieur un peu vieillot et encombré de bibelots, comme chez ses grands-parents, mais le salon était au contraire meublé sobrement et avec goût. De nombreux livres un peu partout, deux tableaux modernes témoignaient du salon d’un homme cultivé.
Il la pria de s’assoir, se servit un cognac et lui proposa un jus de fruit qu’elle accepta. Elle attendait la suite, étrangement calme et détendue. Il l’observait en silence, puis : « Je ne souhaite pas que tu me remercies, mais simplement que tu me fasses plaisir : seulement si tu es d’accord, bien entendu. » Nous y voilà, se dit-elle.
« Qu’est-ce que je peux faire pour ça ?
-Voudrais-tu ôter ton jeans, j’aimerais t’admirer.
-Juste me regarder ? demanda-t-elle avec un petit rire.
-Cela, ça dépendra uniquement de toi, jeune fille, dit-il à son tour. » Non sans un peu d’appréhension malgré tout, mais son excitation et sa curiosité l’emportant, elle se décida. Elle n’avait jusque-là eu de rapports sexuels qu’avec des copains de son âge et se demandait ce qu’un vieux bonhomme comme celui-là pouvait encore faire. Elle ôta ses baskets et dans une parodie de striptease fit lentement glisser son jeans à ses pieds. Puis après un tour sur elle-même elle baissa peu à peu sa petite culotte, dévoilant son pubis à la courte toison de fins poils blonds et son petit abricot fendu d’une fente nette et régulière au regard de l’homme qui, souriant, l’observait sans mot dire. Puis le plus naturellement du monde, celui-ci se débarrassa à son tour de son pantalon, baissa un peu son caleçon et elle put ainsi constater que son sexe, bien qu’encore à peine en début d’érection, promettait d’être plus volumineux que ceux qu’elle avait pu connaitre auparavant.
Debout devant lui, pratiquement nue hormis son T-shirt, elle restait immobile, soudain intimidée et un peu désemparée.
« Tu as de jolis jambes longues et fines, dit-il enfin après s’être assis sur une chaise. Allez, ne crains rien, sauterelle, approche. » Il la fit mettre debout, lui tournant le dos, ses jambes écartées de part et d’autre des siennes et passant les mains sous son T-shirt il vint les appliquer sur ses deux minuscules bichons.
« Ils sont trop petits, dit-elle sur un ton d’excuse.
-Ils sont mignons comme tout, sauterelle. » Lorsqu’après en avoir saisi les pointes il les fit rouler entre ses doigts, de délicieux frissons la parcoururent. Elle se mit à ronronner doucement. Elle sentit ensuite une main descendre lentement jusqu’à son pubis, passer entre ses cuisses, se poser sur sa motte. D’un doigts ile en suivait le sillon, accentuant peu à peu la pression pour s’y introduire progressivement. Elle ronronnait toujours, frémissait, sa chatte s’ouvrait, de plus en plus humide, sous les caresses expertes.
Soudain, sans crier gare, il atteignit et titilla son clitoris. Ce fut un tsunami. Elle fut submergée, emportée par un plaisir encore jamais éprouvé. Sans plus attende, il lui saisit les hanches et l’attira sur lui. Elle sentit son sexe à présent raide et ferme franchir les lèvres de sa vulve, glisser dans son vagin pris de contractions rapides jusqu’au fond de sa chatte. Elle ne put retenir un long cri de plaisir, puis un râle ininterrompu tant qu’il la fait monter et descendre sur sa bite. Puis ce fut un autre cri au paroxysme de l’orgasme. Le sperme jaillit dans son vagin, accompagné du grognement de jouissance du vieil homme. Il s’enlaça de ses deux bras et tous deux reprirent leur souffle sans bouger. Enfin elle se tourna et ils échangèrent un long baiser, puis il lui indiqua la salle de bain.
Lorsqu’elle en revint, il était rhabillé, lui avait resservi un jus de fruit et réchauffait un second cognac entre ses mains. Ils parlèrent de choses et d’autres ; c’était surtout lui qui l’interrogeait, curieux.
Quand elle fut sur le point de s’en aller, il affirma plus qu’il ne demandait : « Tu as eu un bel orgasme, il me semble.
-Oh là là oui, grave, papy. » Ce qualificatif lui était venu spontanément et elle rougit. Il éclata de rire : « Compte tenu de ce qui s’est passé, je ne suis pas certain que ce terme soit parfaitement approprié ! Mais pourquoi pas, allez, va pour papy.
Au revoir, sauterelle. A mercredi prochain. »C’était une affirmation sans réplique. Et le début des rendez-vous du mercredi après-midi.
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