Papy et la sauterelle (7)
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2021 dans la catégorie Plus on est
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Papy et la sauterelle (7)
Papy et la sauterelle
7- Manège à quatre
Le lendemain de cette visite surprise de Sylvie, la vendeuse de la boulangerie, Paul, en attendant les deux filles chez Antoine, lui relata la rencontre.
« Tu avais raison, mon vieux. Je n’en reviens pas.
Et tiens-toi bien : elle m’a conseillé de draguer sa patronne : -Tu vas devenir le chéri de ces dames… » Mais Maud et Leila frappaient à la porte.
Sitôt entrées et après les bises d’usage, Maud s’accroupissait devant Antoine et Leila rejoignait Paul sur le canapé. Se lovant contre lui, elle lui murmura à l’oreille : « Vous allez encore m’enculer, dites, Professeur. Je kiff trop !
-Oui, ne t’inquiète pas, ma puce. Moi aussi je kiff, comme tu dis. Mais nous avons tout notre temps. » Et relevant la jupe de Leila, il redécouvrit avec émotion sa délicate petite fente et entreprit de la lécher avec délice.
Maud n’était pas en reste. Elle léchait le gland d’Antoine tout en passant doucement la main sur les testicules et la verge bien raide. Antoine observait le couple voisin et il eut une envie : « Dites donc, les amis, que diriez-vous de changer un peu de partenaire ? Qu’en dis-tu, sauterelle ? Tu voudrais faire plaisir à Paul ?
-Pourquoi pas, Papy. Et toi, Leila, ça te tente ?
-Heu… oui, si vous êtes d’accord, Professeur ?
-Si tu veux, ma puce, si ça te fais plaisir. » Antoine et Maud vinrent rejoindre les deux autres sur le canapé, les deux filles entre les hommes. Avec le plus grand naturel, Maud se pencha sur la bite de Paul et entreprit de la sucer avec application. Plus intimidée, sa copine caressait celle d’Antoine, la branlait lentement, impressionnée par la taille de ce sexe en érection. Elle se demandait avec un peu d’inquiétude comment un tel engin s’introduirait dans sa chatte ; san parler de son cul. Maud chevaucha bientôt son partenaire et Antoine, une fois encore, fit une proposition : « Nous n’avons plus l’âge des acrobaties, mesdemoiselles. Pour plus de confort je propose que nous passions dans ma chambre. » Ainsi fut fait et ils se trouvèrent bientôt nus sur le lit de part et d’autre duquel deux miroirs avaient été installés, offrant une vue intéressante sur le théâtre des opérations.
Maud se glissa prestement entre les jambes de Paul pour une rapide fellation avant de s’accroupir au-dessus de lui et de guider l’introduction de son sexe dans sa chatte. Après quoi, les yeux dans les yeux de son nouveau partenaire, elle entreprit un lent va-et-vient de sorte que la pénétration soit chaque fois complète. Paul sentait avec volupté sa bite glisser le long des parois tiède du vagin accueillant. Il sentait qu’il ne pourrait certainement pas se retenir bien longtemps.
Allongée tout contre lui, Leila branlait Antoine qui la doigtait tandis qu’ils échangeaient un long baiser. Puis, roulant sur eux-mêmes, Antoine fit en sorte de se retrouver sur sa partenaire. Toujours un peu inquiète de la taille de ce sexe imposant, Leila ouvrit les cuisses afin d’en faciliter l’introduction. Mais Antoine était un homme expert et attentionné. Son pénis écarta délicatement les lèvres entrouvertes et progressa sans peine dans le vagin qui l’enserrait étroitement. Leila sentait le plaisir l’envahir, la submerger ; elle gémissait doucement : « Oh oui, Papy, c’est bon…Papy, oui, ouiiiii. »Elle jouit tandis que son sperme inondait son vagin. Antoine l’étreignit et l’embrassa de nouveau.
Ils reprenaient haleine tandis qu’auprès d’eux explosaient les cris de plaisir de Paul et Maud qui n’étaient pas restés en reste.
Après une courte pause, Leila sentit la vigueur revenir à la queue qu’elle caressait. Antoine lui souffla à l’oreille : « Mets-toi en levrette, petite. » Dès qu’elle sentit le doigt qui sollicitait sa rosette, elle comprit où il voulait en venir. Un frisson la saisit.
« Je crois que tu aimes ça, non ? murmura Antoine.
-Oh oui, mais… » Antoine, prévenant, avait tiré du tiroir du meuble de chevet un flacon d’huile de massage et en faisait couler sur la petite rondelle bistre, accentuant peu à peu la pression du doigt pour la décontracter. Leila, retenant son souffle, sentit le contact du gland, sa progression en elle, et puis ce fut la tempête. Le membre gonflé d’Antoine parut l’emplir, l’emporter ; elle accompagnait à grands coups de croupe les mouvements de son partenaire, elle ne savait plus ni où elle était, ni ce qui lui arrivait. Seul comptait son plaisir, si intense. Dans le miroir elle voyait l’homme qui la sodomisait et cela accentuait encore son excitation. Elle criait n’importe quoi : « Ah, vas-y ! Comme ça, encore. Oui, tu m’encules, je te donne mon cul, vas-y encore… » Maud et Paul regardaient ce déchainement avec intérêt. Paul glissa la main sous le ventre de Leila, atteignit la petite chatte qu’il aimait tant et titilla le clitoris. Pour la jeune fille, ce fut l’apothéose.
C’est Maud qui eut le mot de conclusion : « Eh bien on peut dire que vous ne manquez pas d’énergie pour votre âge, tous les deux ! De sacrés coquins, oui ! » Conclusion toute relative puisqu’elle entreprit aussitôt une nouvelle fellation qui eut pour effet immédiat de réveiller le membre un peu amolli de Paul.
Peu après les deux filles se retrouvaient dans la salle de bain.
« Ils sont trop, ces deux-là ! Et Antoine, il a juste une teb de ouf ! J’ai juste cru qu’elle pourrait pas entrer. (et après un instant de réflexion) Celle du Professeur elle a juste la taille qui va bien.
-C’est sûr, avec ta chatte miniature !
-Dis donc, meuf, elle te plait pas ma chatte ?
-Si, si. Tiens d’ailleurs, si je ne me retenais pas… -Espèce de lesbienne ! » Elles rejoignirent en riant les hommes au salon.
« Alors les filles, ça vous a plu ?
-Grave !
-Alors on se retrouve mercredi prochain.
-Bien sûr. »
7- Manège à quatre
Le lendemain de cette visite surprise de Sylvie, la vendeuse de la boulangerie, Paul, en attendant les deux filles chez Antoine, lui relata la rencontre.
« Tu avais raison, mon vieux. Je n’en reviens pas.
Et tiens-toi bien : elle m’a conseillé de draguer sa patronne : -Tu vas devenir le chéri de ces dames… » Mais Maud et Leila frappaient à la porte.
Sitôt entrées et après les bises d’usage, Maud s’accroupissait devant Antoine et Leila rejoignait Paul sur le canapé. Se lovant contre lui, elle lui murmura à l’oreille : « Vous allez encore m’enculer, dites, Professeur. Je kiff trop !
-Oui, ne t’inquiète pas, ma puce. Moi aussi je kiff, comme tu dis. Mais nous avons tout notre temps. » Et relevant la jupe de Leila, il redécouvrit avec émotion sa délicate petite fente et entreprit de la lécher avec délice.
Maud n’était pas en reste. Elle léchait le gland d’Antoine tout en passant doucement la main sur les testicules et la verge bien raide. Antoine observait le couple voisin et il eut une envie : « Dites donc, les amis, que diriez-vous de changer un peu de partenaire ? Qu’en dis-tu, sauterelle ? Tu voudrais faire plaisir à Paul ?
-Pourquoi pas, Papy. Et toi, Leila, ça te tente ?
-Heu… oui, si vous êtes d’accord, Professeur ?
-Si tu veux, ma puce, si ça te fais plaisir. » Antoine et Maud vinrent rejoindre les deux autres sur le canapé, les deux filles entre les hommes. Avec le plus grand naturel, Maud se pencha sur la bite de Paul et entreprit de la sucer avec application. Plus intimidée, sa copine caressait celle d’Antoine, la branlait lentement, impressionnée par la taille de ce sexe en érection. Elle se demandait avec un peu d’inquiétude comment un tel engin s’introduirait dans sa chatte ; san parler de son cul. Maud chevaucha bientôt son partenaire et Antoine, une fois encore, fit une proposition : « Nous n’avons plus l’âge des acrobaties, mesdemoiselles. Pour plus de confort je propose que nous passions dans ma chambre. » Ainsi fut fait et ils se trouvèrent bientôt nus sur le lit de part et d’autre duquel deux miroirs avaient été installés, offrant une vue intéressante sur le théâtre des opérations.
Maud se glissa prestement entre les jambes de Paul pour une rapide fellation avant de s’accroupir au-dessus de lui et de guider l’introduction de son sexe dans sa chatte. Après quoi, les yeux dans les yeux de son nouveau partenaire, elle entreprit un lent va-et-vient de sorte que la pénétration soit chaque fois complète. Paul sentait avec volupté sa bite glisser le long des parois tiède du vagin accueillant. Il sentait qu’il ne pourrait certainement pas se retenir bien longtemps.
Allongée tout contre lui, Leila branlait Antoine qui la doigtait tandis qu’ils échangeaient un long baiser. Puis, roulant sur eux-mêmes, Antoine fit en sorte de se retrouver sur sa partenaire. Toujours un peu inquiète de la taille de ce sexe imposant, Leila ouvrit les cuisses afin d’en faciliter l’introduction. Mais Antoine était un homme expert et attentionné. Son pénis écarta délicatement les lèvres entrouvertes et progressa sans peine dans le vagin qui l’enserrait étroitement. Leila sentait le plaisir l’envahir, la submerger ; elle gémissait doucement : « Oh oui, Papy, c’est bon…Papy, oui, ouiiiii. »Elle jouit tandis que son sperme inondait son vagin. Antoine l’étreignit et l’embrassa de nouveau.
Ils reprenaient haleine tandis qu’auprès d’eux explosaient les cris de plaisir de Paul et Maud qui n’étaient pas restés en reste.
Après une courte pause, Leila sentit la vigueur revenir à la queue qu’elle caressait. Antoine lui souffla à l’oreille : « Mets-toi en levrette, petite. » Dès qu’elle sentit le doigt qui sollicitait sa rosette, elle comprit où il voulait en venir. Un frisson la saisit.
« Je crois que tu aimes ça, non ? murmura Antoine.
-Oh oui, mais… » Antoine, prévenant, avait tiré du tiroir du meuble de chevet un flacon d’huile de massage et en faisait couler sur la petite rondelle bistre, accentuant peu à peu la pression du doigt pour la décontracter. Leila, retenant son souffle, sentit le contact du gland, sa progression en elle, et puis ce fut la tempête. Le membre gonflé d’Antoine parut l’emplir, l’emporter ; elle accompagnait à grands coups de croupe les mouvements de son partenaire, elle ne savait plus ni où elle était, ni ce qui lui arrivait. Seul comptait son plaisir, si intense. Dans le miroir elle voyait l’homme qui la sodomisait et cela accentuait encore son excitation. Elle criait n’importe quoi : « Ah, vas-y ! Comme ça, encore. Oui, tu m’encules, je te donne mon cul, vas-y encore… » Maud et Paul regardaient ce déchainement avec intérêt. Paul glissa la main sous le ventre de Leila, atteignit la petite chatte qu’il aimait tant et titilla le clitoris. Pour la jeune fille, ce fut l’apothéose.
C’est Maud qui eut le mot de conclusion : « Eh bien on peut dire que vous ne manquez pas d’énergie pour votre âge, tous les deux ! De sacrés coquins, oui ! » Conclusion toute relative puisqu’elle entreprit aussitôt une nouvelle fellation qui eut pour effet immédiat de réveiller le membre un peu amolli de Paul.
Peu après les deux filles se retrouvaient dans la salle de bain.
« Ils sont trop, ces deux-là ! Et Antoine, il a juste une teb de ouf ! J’ai juste cru qu’elle pourrait pas entrer. (et après un instant de réflexion) Celle du Professeur elle a juste la taille qui va bien.
-C’est sûr, avec ta chatte miniature !
-Dis donc, meuf, elle te plait pas ma chatte ?
-Si, si. Tiens d’ailleurs, si je ne me retenais pas… -Espèce de lesbienne ! » Elles rejoignirent en riant les hommes au salon.
« Alors les filles, ça vous a plu ?
-Grave !
-Alors on se retrouve mercredi prochain.
-Bien sûr. »
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