Relations de bon voisinage (suite)
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2022 dans la catégorie Pour la première fois
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Relations de bon voisinage (suite)
Relations de bon voisinage (suite)
Céline Dutertre n’avait rien d’une cougar. Au contraire ses amants étaient généralement plus âgés qu’elle et ce moment passé avec Sylvain une exception. Elle avait cédé à une impulsion devant l’embarras touchant du jeune homme et avait voulu lui offrir ce moment exceptionnel. Elle-même avait été dépucelée par un homme beaucoup plus âgé qu’elle et en gardait un souvenir merveilleux. Robert était un vieil ami de ses parents, elle l’avait toujours connu et il n’avait jamais eu le moindre geste déplacé. Homme séduisant, bon vivant, aimant plaisanter, on lui avait connu de nombreuses relations féminines plus ou moins éphémères. Ce printemps-là, Céline et ses parents avaient passé le week-end dans sa maison de campagne normande. Le samedi après-midi était pluvieux. Céline avait plaisanté avec Robert, faisant mine de l’aguicher, mimant tour à tour les séductrices et les sainte-nitouche innocentes, provocant l’amusement général.
Mais en début de nuit elle ne fut pas vraiment surprise qu’une ombre se glisse dans sa chambre et lui demande à mi-voix si elle dormait. Pour toute réponse elle alluma sa lampe de chevet et sourit à Robert qui vint s’assoir près d’elle sur le lit. Il lui déclara simplement qu’il avait envie d’elle ; elle lui sourit toujours sans mot dire. Il quitta sa robe de chambre et se glissa nu auprès d’elle. Il la prit dans ses bras et l’embrassa. Elle sentait contre sa cuisse, à travers le fin tissu de sa chemise de nuit, la fermeté du membre en érection. Elle se laissa caresser, gémit doucement quand un doigt titilla délicatement son petit bouton ; elle était prête et quand il vint sur elle et lui demanda si elle était d’accord, c’est dans un souffle qu’elle répondit oui. Robert était délicat. Il entra en elle très lentement. Elle ressentit une brève douleur, presque immédiatement suivie d’une vague de plaisir encore jamais éprouvé. Son vagin était en proie à une succession de contractions qui étreignaient la verge dont les allées et venues semblaient suivre la cadence. Elle s’était agrippée à Robert, et puis, terrassée par l’orgasme, elle avait poussé un cri et s’était détendue. Lui s’était retiré et elle avait senti le sperme tiède mouiller son ventre et sa toison. Ils étaient ensuite restés un long moment côte à côte, silencieux, puis il lui avait demandé si elle avait aimé ça. Elle avait répondu oui ; elle était sincère et s’était promis de faire l’amour le plus souvent possible.
Sylvain n’avait plus qu’une idée en tête : revoir sa voisine. Le lendemain, pendant les cours, il y pensait, se promettait de se précipiter chez elle en rentrant du lycée. Mais le moment venu sa timidité le paralysa et il ne réussit pas à se décider.
Le jour suivant, un mercredi, il était seul chez lui, sa mère était à son travail, il n’avait pas cours et tournais en rond dans l’appartement. Enfin, en début d’après-midi, prenant son courage à deux mains, il se décida. Il sonna une fois, puis une seconde fois. Sans résultat. Dépité, il réalisa n’avoir pas envisagé un seul instant qu’elle ne soit pas là !
Il avait alors fait les cent pas du salon à l’entrée, guettant l’ascenseur, espérant qu’il s’arrête à cet étage. Enfin, le cœur battant, l’œil collé à l’œilleton, il l’avait vu arriver.
Surexcité, il s’était astreint à attendre encore dix minutes et était retourné sonner. Céline a ouvert : « Tiens, voilà mon jeune voisin. Je me demandais si tu reviendrais me voir-Je ne vous… te dérange pas ?
-Pas du tout, entrez donc, jeune homme.
Assieds-toi, je vais nous chercher à boire » Il a pris place sur le canapé. Elle revient avec deux verres et du jus d’orange, s’assoit dans le fauteuil, face à lui. Malicieusement elle parle de choses et d’autres, l’interroge sur ses distractions… Elle s’amuse à le faire languir. Enfin elle se lève, se penche sur lui et l’embrasse.
« Je suppose que tu n’es pas venu seulement pour papoter, chaton. Mets-toi donc à l’aise, mon chéri. » Elle-même ôte son sveet, son soutien-gorge, fait glisser sa jupe et enfin son string à ses pieds. Sylvain, après un instant d’hésitation, se dévêt à son tour. Elle l’embrasse à nouveau en caressant son sexe qui n’avait pas attendu cette sollicitation pour se mettre au garde-à-vous. Puis elle bascule sur le dos, jambes repliées, cuisses largement ouvertes : « Viens vite, viens me lécher, mon chaton. » Fasciné, il contemple cette chatte ouverte, les lèvres plissées, le clitoris dressé, en attente de sa langue. Il se penche, pose timidement la bouche sur la vulve humide. Céline appuie sur sa tête, le presse de la lécher. Il aime l’odeur de ce sexe, mélange de parfum et de senteurs marines. Il se met à laper avidement, introduisant sa langue de plus en plus loin dans l’intimité de son amante. Elle frémit, parcourue de frissons, l’encourage à poursuivre : « C’est bien, chaton, continue… oui, c’est ça, mon chat, oui… » D’instinct, il prend le clitoris entre ses lèvres, l’aspire, le suçote. Céline se cabre, respire bruyamment, pousse un long gémissement. Elle jouit. Elle attire sur elle le jeune garçon : « Prends-moi, je t’en prie, baise-moi, chaton, baise-moi ! » Au comble de l’excitation il tâtonne, introduit enfin maladroitement son gland entre les lèvres frémissantes de Céline, la pénètre un peu trop brutalement. Il sent le vagin de sa voisine étreindre étroitement sa bite, lui imprimer des pressions saccadées. Elle accompagne ses coups de reins par des mouvements de hanches, l’encourage encore. Un nouvel orgasme l’emporte tandis que lui, par jets abondants, déverse son sperme au plus profond de sa chatte.
Ils reprennent peu à peu leur souffle. Il est resté sur elle, le visage au creux de son cou. Elle lui caresse tendrement les cheveux : « Bravo, mon petit chat. Tu as été parfait et j’espère que tu es satisfait.
-Oh oui ! C’était… c’était… » Elle rit, se lève et se dirige, nue, vers un meuble bas, revient avec une bouteille de whisky et deux nouveaux verres : « On a bien mérité ça, n’est-ce pas, chaton. » Mais avant de remplir les verres, elle se penche, pose un baiser sur le sexe de Sylvain, puis le prend en bouche. Très vite il bande à nouveau. Tout en louant intérieurement la capacité de récupération de la jeunesse, elle poursuit sa fellation jusqu’à ce qu’elle sente le sperme se répandre dans sa bouche.
Elle se redresse, rit à nouveau et conclue : « Après ce petit supplément, cette fois nous pouvons boire ! A tes exploits, mon petit chat ! »
Céline Dutertre n’avait rien d’une cougar. Au contraire ses amants étaient généralement plus âgés qu’elle et ce moment passé avec Sylvain une exception. Elle avait cédé à une impulsion devant l’embarras touchant du jeune homme et avait voulu lui offrir ce moment exceptionnel. Elle-même avait été dépucelée par un homme beaucoup plus âgé qu’elle et en gardait un souvenir merveilleux. Robert était un vieil ami de ses parents, elle l’avait toujours connu et il n’avait jamais eu le moindre geste déplacé. Homme séduisant, bon vivant, aimant plaisanter, on lui avait connu de nombreuses relations féminines plus ou moins éphémères. Ce printemps-là, Céline et ses parents avaient passé le week-end dans sa maison de campagne normande. Le samedi après-midi était pluvieux. Céline avait plaisanté avec Robert, faisant mine de l’aguicher, mimant tour à tour les séductrices et les sainte-nitouche innocentes, provocant l’amusement général.
Mais en début de nuit elle ne fut pas vraiment surprise qu’une ombre se glisse dans sa chambre et lui demande à mi-voix si elle dormait. Pour toute réponse elle alluma sa lampe de chevet et sourit à Robert qui vint s’assoir près d’elle sur le lit. Il lui déclara simplement qu’il avait envie d’elle ; elle lui sourit toujours sans mot dire. Il quitta sa robe de chambre et se glissa nu auprès d’elle. Il la prit dans ses bras et l’embrassa. Elle sentait contre sa cuisse, à travers le fin tissu de sa chemise de nuit, la fermeté du membre en érection. Elle se laissa caresser, gémit doucement quand un doigt titilla délicatement son petit bouton ; elle était prête et quand il vint sur elle et lui demanda si elle était d’accord, c’est dans un souffle qu’elle répondit oui. Robert était délicat. Il entra en elle très lentement. Elle ressentit une brève douleur, presque immédiatement suivie d’une vague de plaisir encore jamais éprouvé. Son vagin était en proie à une succession de contractions qui étreignaient la verge dont les allées et venues semblaient suivre la cadence. Elle s’était agrippée à Robert, et puis, terrassée par l’orgasme, elle avait poussé un cri et s’était détendue. Lui s’était retiré et elle avait senti le sperme tiède mouiller son ventre et sa toison. Ils étaient ensuite restés un long moment côte à côte, silencieux, puis il lui avait demandé si elle avait aimé ça. Elle avait répondu oui ; elle était sincère et s’était promis de faire l’amour le plus souvent possible.
Sylvain n’avait plus qu’une idée en tête : revoir sa voisine. Le lendemain, pendant les cours, il y pensait, se promettait de se précipiter chez elle en rentrant du lycée. Mais le moment venu sa timidité le paralysa et il ne réussit pas à se décider.
Le jour suivant, un mercredi, il était seul chez lui, sa mère était à son travail, il n’avait pas cours et tournais en rond dans l’appartement. Enfin, en début d’après-midi, prenant son courage à deux mains, il se décida. Il sonna une fois, puis une seconde fois. Sans résultat. Dépité, il réalisa n’avoir pas envisagé un seul instant qu’elle ne soit pas là !
Il avait alors fait les cent pas du salon à l’entrée, guettant l’ascenseur, espérant qu’il s’arrête à cet étage. Enfin, le cœur battant, l’œil collé à l’œilleton, il l’avait vu arriver.
Surexcité, il s’était astreint à attendre encore dix minutes et était retourné sonner. Céline a ouvert : « Tiens, voilà mon jeune voisin. Je me demandais si tu reviendrais me voir-Je ne vous… te dérange pas ?
-Pas du tout, entrez donc, jeune homme.
Assieds-toi, je vais nous chercher à boire » Il a pris place sur le canapé. Elle revient avec deux verres et du jus d’orange, s’assoit dans le fauteuil, face à lui. Malicieusement elle parle de choses et d’autres, l’interroge sur ses distractions… Elle s’amuse à le faire languir. Enfin elle se lève, se penche sur lui et l’embrasse.
« Je suppose que tu n’es pas venu seulement pour papoter, chaton. Mets-toi donc à l’aise, mon chéri. » Elle-même ôte son sveet, son soutien-gorge, fait glisser sa jupe et enfin son string à ses pieds. Sylvain, après un instant d’hésitation, se dévêt à son tour. Elle l’embrasse à nouveau en caressant son sexe qui n’avait pas attendu cette sollicitation pour se mettre au garde-à-vous. Puis elle bascule sur le dos, jambes repliées, cuisses largement ouvertes : « Viens vite, viens me lécher, mon chaton. » Fasciné, il contemple cette chatte ouverte, les lèvres plissées, le clitoris dressé, en attente de sa langue. Il se penche, pose timidement la bouche sur la vulve humide. Céline appuie sur sa tête, le presse de la lécher. Il aime l’odeur de ce sexe, mélange de parfum et de senteurs marines. Il se met à laper avidement, introduisant sa langue de plus en plus loin dans l’intimité de son amante. Elle frémit, parcourue de frissons, l’encourage à poursuivre : « C’est bien, chaton, continue… oui, c’est ça, mon chat, oui… » D’instinct, il prend le clitoris entre ses lèvres, l’aspire, le suçote. Céline se cabre, respire bruyamment, pousse un long gémissement. Elle jouit. Elle attire sur elle le jeune garçon : « Prends-moi, je t’en prie, baise-moi, chaton, baise-moi ! » Au comble de l’excitation il tâtonne, introduit enfin maladroitement son gland entre les lèvres frémissantes de Céline, la pénètre un peu trop brutalement. Il sent le vagin de sa voisine étreindre étroitement sa bite, lui imprimer des pressions saccadées. Elle accompagne ses coups de reins par des mouvements de hanches, l’encourage encore. Un nouvel orgasme l’emporte tandis que lui, par jets abondants, déverse son sperme au plus profond de sa chatte.
Ils reprennent peu à peu leur souffle. Il est resté sur elle, le visage au creux de son cou. Elle lui caresse tendrement les cheveux : « Bravo, mon petit chat. Tu as été parfait et j’espère que tu es satisfait.
-Oh oui ! C’était… c’était… » Elle rit, se lève et se dirige, nue, vers un meuble bas, revient avec une bouteille de whisky et deux nouveaux verres : « On a bien mérité ça, n’est-ce pas, chaton. » Mais avant de remplir les verres, elle se penche, pose un baiser sur le sexe de Sylvain, puis le prend en bouche. Très vite il bande à nouveau. Tout en louant intérieurement la capacité de récupération de la jeunesse, elle poursuit sa fellation jusqu’à ce qu’elle sente le sperme se répandre dans sa bouche.
Elle se redresse, rit à nouveau et conclue : « Après ce petit supplément, cette fois nous pouvons boire ! A tes exploits, mon petit chat ! »
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