Papy et la sauterelle (6)
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Papy et la sauterelle (6)
Papy et la sauterelle
6-Commerce de proximité
Sylvie revint à la boulangerie toute émoustillée. Madame Jacquet étant seule, elle lui dit :
« Eh bien, monsieur Valois est en bonne compagnie.
-Il doit recevoir de la famille.
-J’ai plutôt idée que c’est une visite galante.
-Monsieur Valois, une visite galante ? Pensez-vous
-Une jeune fille en très petite tenue, ça m’en a tout l’air.
-C’est vrai qu’il est encore séduisant, monsieur Valois…
-Moi, je ne dirais pas non si…
-Allons Sylvie, voyons ! Un homme de son âge !
-En tous cas ça leur donne de l’appétit. Douze croissants ! »
Elles éclatèrent de rire.
Sylvie n’avait vu que Maud en petite culotte, mais de son côté, Antoine avait surpris l’œillade que la jeune employée avait adressée à son ami, et saisi l’allusion, l’offre de service assez explicite. Quand ils furent seuls il en fit la remarque :
« Je crois que tu as tapé dans l’œil de cette jeune boulangère.
-Pense-tu ! Je la connais depuis des lustres et…
-Et moi je te dis que tu as toutes tes chances. »
Sylvie était une femme encore jeune, approchant la quarantaine. Grande, taille fine sur des hanches larges et des fesses rondes moulées dans une jupe noire, corsage généreusement garni, cheveux ébouriffés d’un blond un peu trop blond, maquillage peu discret, seuls son sourire radieux, ses yeux rieurs et sa constante bonne humeur la sauvaient d’une vulgarité trop criante. Elle croquait la vie avec appétit et le récit de ses aventures sexuelles divertissait sa patronne qui prenait des airs faussement scandalisés en l’écoutant. Paul la connaissait en effet depuis qu’elle travaillait à la boulangerie où il prenait quotidiennement sa baguette. Et malgré la réflexion d’Antoine, il fut surpris, le mardi suivant, d’ouvrir sa porte à une Sylvie pimpante et souriante :
« Je vous apporte des croissants, monsieur Valois.
Je crois que vous les aimez, ajouta-t-elle avec un sourire malicieux.
-Oui, en effet, mais… Heu, je vous remercie… Mais entrez, je vous en prie. »
Sylvie referma la porte derrière elle et sans lui laisser le temps de se retourner elle se colla contre Paul.
« Vous aimez peut-être mieux les brioches, monsieur Valois. J’en ai deux belles, vous voulez les goûter ?
Avant qu’il ait réalisé ce qui lui arrivait, elle se pressait contre lui, l’embrassait fougueusement tandis que sous sa robe de chambre une main s’immisçait dans son pantalon de pyjama et tripotait avec entrain son pénis et ses testicules.
« On va dans ta chambre, Valois. »
C’était une injonction plutôt qu’une question, et il obtempéra.
Assis sur le lit encore défait, il la regarda faire glisser prestement sa jupe sur ses hanches et se débarrasser de sa petite culotte. Déboutonnant ensuite son corsage, elle lui mit sous le nez deux beaux seins ronds encore fermes :
« Alors, Valois, elles te tentent, ces brioches ? »
Ne jugeant pas nécessaire de répondre, Paul saisit la femme par les hanches, l’attira à lui et prit entre ses lèvres un des tétons offerts. Ils basculèrent sur le lit et Sylvie se mit en devoir de tirer le pantalon de pyjama sur les pieds de Paul.
« Oh mais dis donc, tu as une belle paire de couilles, mon coquin !. »
En un clin d’œil elle fut à genoux sur le lit, cuisses largement écartées au-dessus du visage de Paul. Il avait sous les yeux une motte parfaitement épilée, une chatte béante, les lèvres débordant en replis de chair rose de la vulve profonde, un clitoris plus pâle mais qui lui parut démesuré, pointant hors de son fourreau. Un bref instant il pensa au délicat petit abricot de Leila, mais Sylvie avait déjà plaqué son minou contre sa bouche :
« Bouffe-moi la chatte, Valois, mon cochon. »
Paul se mit en devoir de fouiller d’une langue gourmande cette vulve humide, cherchant à l’introduire au plus profond du vagin de la femme qui s’agitait au-dessus de lui. Plaquant les deux mains sur ses fesses, il les pétrit énergiquement tout en commençant à suçoter le long clito frémissant. Sylvie se trémoussait de plus belle :
« Ah oui, c’est ça, mon salaud, vas-y, continue… Ah, vieux cochon, oui, oui… »
N’y tenant plus après cette mise en train elle se laissa aller sur le côté, entrainant sur elle son partenaire.
« Viens vite me baiser, cochon ! »
D’abord un peu décontenancé par la vulgarité de ce langage cru auquel ne l’avait pas habitué sa femme non plus que la timide Leila, il tenta de se mettre au diapason :
« Attends un peu, ma salope, tu vas la sentir, ma bite ! »
Ce disant, il pénétra brutalement Sylvie et entreprit d’aller et venir en elle à grands coups de reins. Elle tressautait sous lui; criant presque à présent :
« Ah oui, oui, mon salaud, elle est bonne ta bite ! Vas-y, comme ça, vas-y… »
Paul était au comble de l’excitation. Il entrait et sortait avec aisance de cette chatte béante et dégoulinante. Sylvie l’encourageait, l’accompagnait en cambrant les reins. Puis elle le repoussa légèrement, replia les genoux sur sa poitrine, et toujours les cuisses largement ouvertes elle posa ses mains sur ses fesses pour les écarter :
« Allez, Valois, mets-moi la dans le cul, mon cochon. »
Paul qui quelques jours auparavant il n’avait jamais pratiqué la sodomie s’y voyait à nouveau invité. Dès que son gland se trouva au contact de l’anus de Sylvie celui-ci se dilata pour luiu offrir l’hospitalité, et Paul pensa qu’elle était coutumière de cette pratique. Sa queue s’introduisit sans peine dans le fondement de sa partenaire, plus serrée que dans le large vagin qu’elle venait de quitter, lui procurant ainsi un plaisir accru. La femme continua à l’encourager jusqu’à ce que l’orgasme la submerge et qu’elle s’affaisse, épuisée. Paul à son tour, après quelques derniers vigoureux coups de queue, éjacula dans un soupire.
Ils restèrent ainsi l’un sur l’autre quelques instants et puis Sylvie reprit ses esprits :
« He bien, Valois, vous cachez bien votre jeu ; vous êtes un sacré bon coup, petit coquin.
-Ravi que ça vous ai plu, Sylvie. Vous pourrez me rapporter des croissants quand vous voudrez. Ou plutôt des brioches…
-Vous devriez aussi en faire profiter la mère Jacquet.
-Madame Jacquet ? Je ne crois pas que…
-Tss tss…Ne vous fiez pas aux apparences, Valois. Je suis certaine qu’elle ne demanderait pas mieux.
Mais ce n’est pas tout ça, il faut que je redescende au magasin. Tu m’indiques la salle de bain ? »
Une fois seul, Paul se demanda si madame Jacquet, vraiment… Il avait l’impression d’être à l’aube d’une nouvelle vie sexuelle.
6-Commerce de proximité
Sylvie revint à la boulangerie toute émoustillée. Madame Jacquet étant seule, elle lui dit :
« Eh bien, monsieur Valois est en bonne compagnie.
-Il doit recevoir de la famille.
-J’ai plutôt idée que c’est une visite galante.
-Monsieur Valois, une visite galante ? Pensez-vous
-Une jeune fille en très petite tenue, ça m’en a tout l’air.
-C’est vrai qu’il est encore séduisant, monsieur Valois…
-Moi, je ne dirais pas non si…
-Allons Sylvie, voyons ! Un homme de son âge !
-En tous cas ça leur donne de l’appétit. Douze croissants ! »
Elles éclatèrent de rire.
Sylvie n’avait vu que Maud en petite culotte, mais de son côté, Antoine avait surpris l’œillade que la jeune employée avait adressée à son ami, et saisi l’allusion, l’offre de service assez explicite. Quand ils furent seuls il en fit la remarque :
« Je crois que tu as tapé dans l’œil de cette jeune boulangère.
-Pense-tu ! Je la connais depuis des lustres et…
-Et moi je te dis que tu as toutes tes chances. »
Sylvie était une femme encore jeune, approchant la quarantaine. Grande, taille fine sur des hanches larges et des fesses rondes moulées dans une jupe noire, corsage généreusement garni, cheveux ébouriffés d’un blond un peu trop blond, maquillage peu discret, seuls son sourire radieux, ses yeux rieurs et sa constante bonne humeur la sauvaient d’une vulgarité trop criante. Elle croquait la vie avec appétit et le récit de ses aventures sexuelles divertissait sa patronne qui prenait des airs faussement scandalisés en l’écoutant. Paul la connaissait en effet depuis qu’elle travaillait à la boulangerie où il prenait quotidiennement sa baguette. Et malgré la réflexion d’Antoine, il fut surpris, le mardi suivant, d’ouvrir sa porte à une Sylvie pimpante et souriante :
« Je vous apporte des croissants, monsieur Valois.
Je crois que vous les aimez, ajouta-t-elle avec un sourire malicieux.
-Oui, en effet, mais… Heu, je vous remercie… Mais entrez, je vous en prie. »
Sylvie referma la porte derrière elle et sans lui laisser le temps de se retourner elle se colla contre Paul.
« Vous aimez peut-être mieux les brioches, monsieur Valois. J’en ai deux belles, vous voulez les goûter ?
Avant qu’il ait réalisé ce qui lui arrivait, elle se pressait contre lui, l’embrassait fougueusement tandis que sous sa robe de chambre une main s’immisçait dans son pantalon de pyjama et tripotait avec entrain son pénis et ses testicules.
« On va dans ta chambre, Valois. »
C’était une injonction plutôt qu’une question, et il obtempéra.
Assis sur le lit encore défait, il la regarda faire glisser prestement sa jupe sur ses hanches et se débarrasser de sa petite culotte. Déboutonnant ensuite son corsage, elle lui mit sous le nez deux beaux seins ronds encore fermes :
« Alors, Valois, elles te tentent, ces brioches ? »
Ne jugeant pas nécessaire de répondre, Paul saisit la femme par les hanches, l’attira à lui et prit entre ses lèvres un des tétons offerts. Ils basculèrent sur le lit et Sylvie se mit en devoir de tirer le pantalon de pyjama sur les pieds de Paul.
« Oh mais dis donc, tu as une belle paire de couilles, mon coquin !. »
En un clin d’œil elle fut à genoux sur le lit, cuisses largement écartées au-dessus du visage de Paul. Il avait sous les yeux une motte parfaitement épilée, une chatte béante, les lèvres débordant en replis de chair rose de la vulve profonde, un clitoris plus pâle mais qui lui parut démesuré, pointant hors de son fourreau. Un bref instant il pensa au délicat petit abricot de Leila, mais Sylvie avait déjà plaqué son minou contre sa bouche :
« Bouffe-moi la chatte, Valois, mon cochon. »
Paul se mit en devoir de fouiller d’une langue gourmande cette vulve humide, cherchant à l’introduire au plus profond du vagin de la femme qui s’agitait au-dessus de lui. Plaquant les deux mains sur ses fesses, il les pétrit énergiquement tout en commençant à suçoter le long clito frémissant. Sylvie se trémoussait de plus belle :
« Ah oui, c’est ça, mon salaud, vas-y, continue… Ah, vieux cochon, oui, oui… »
N’y tenant plus après cette mise en train elle se laissa aller sur le côté, entrainant sur elle son partenaire.
« Viens vite me baiser, cochon ! »
D’abord un peu décontenancé par la vulgarité de ce langage cru auquel ne l’avait pas habitué sa femme non plus que la timide Leila, il tenta de se mettre au diapason :
« Attends un peu, ma salope, tu vas la sentir, ma bite ! »
Ce disant, il pénétra brutalement Sylvie et entreprit d’aller et venir en elle à grands coups de reins. Elle tressautait sous lui; criant presque à présent :
« Ah oui, oui, mon salaud, elle est bonne ta bite ! Vas-y, comme ça, vas-y… »
Paul était au comble de l’excitation. Il entrait et sortait avec aisance de cette chatte béante et dégoulinante. Sylvie l’encourageait, l’accompagnait en cambrant les reins. Puis elle le repoussa légèrement, replia les genoux sur sa poitrine, et toujours les cuisses largement ouvertes elle posa ses mains sur ses fesses pour les écarter :
« Allez, Valois, mets-moi la dans le cul, mon cochon. »
Paul qui quelques jours auparavant il n’avait jamais pratiqué la sodomie s’y voyait à nouveau invité. Dès que son gland se trouva au contact de l’anus de Sylvie celui-ci se dilata pour luiu offrir l’hospitalité, et Paul pensa qu’elle était coutumière de cette pratique. Sa queue s’introduisit sans peine dans le fondement de sa partenaire, plus serrée que dans le large vagin qu’elle venait de quitter, lui procurant ainsi un plaisir accru. La femme continua à l’encourager jusqu’à ce que l’orgasme la submerge et qu’elle s’affaisse, épuisée. Paul à son tour, après quelques derniers vigoureux coups de queue, éjacula dans un soupire.
Ils restèrent ainsi l’un sur l’autre quelques instants et puis Sylvie reprit ses esprits :
« He bien, Valois, vous cachez bien votre jeu ; vous êtes un sacré bon coup, petit coquin.
-Ravi que ça vous ai plu, Sylvie. Vous pourrez me rapporter des croissants quand vous voudrez. Ou plutôt des brioches…
-Vous devriez aussi en faire profiter la mère Jacquet.
-Madame Jacquet ? Je ne crois pas que…
-Tss tss…Ne vous fiez pas aux apparences, Valois. Je suis certaine qu’elle ne demanderait pas mieux.
Mais ce n’est pas tout ça, il faut que je redescende au magasin. Tu m’indiques la salle de bain ? »
Une fois seul, Paul se demanda si madame Jacquet, vraiment… Il avait l’impression d’être à l’aube d’une nouvelle vie sexuelle.
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