PETIT MAIS COSTAUD ép 2
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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PETIT MAIS COSTAUD ép 2
PETIT MAIS COSTAUD ép 2
Deux jours plus tard il m'a téléphoné. J'étais content de l'entendre, mon cul n'avait pas encore oublié notre rencontre. Il était libre tout l'après midi et me proposait qu'on se retrouve à la plage.
En début d'après midi je posais ma serviette à l'endroit prévu. Je faisais un trou dans le sable, une petite butte pour y poser mon dos. A la plage j'y vais toujours léger, j'installais mon parasol de plage un petit truc d'à peine plus de deux mètres d'envergure. Dans la glacière j'avais une grande bouteille d'eau, avec un gros glaçon dedans une bouteille de soda, deux gobelets et des gâteaux, enfin des trucs à manger . Un baladeur pour la musique. Mon téléphone, on ne sait jamais. Un E-book, avoir dix milles livres sous la main c'est toujours mieux que d'en avoir un seul. Un appareil photo, quelquefois il y a des trucs jolis à photographier et justement Ali y serait …
J'y arrivait avec sur moi un pantalon de toile légère, un chemise ample avec des fleurs dessus, oui je sais c'est kitch mais ça va bien avec la saison. Sur la tête un casquette en jean et une paire de lunette de soleil, bein oui je porte des lunettes donc il me les faut avec verres correcteur. Remarquez je vois très bien de prêt aussi pour les relations intimes j'en ai pas besoin mais bon j'en était pas encore là. Enfin j'avais juste le stricte minimum pour survivre un après midi au soleil.
Ah aussi, j'oubliais, j'avais un maillot de bain. Bein oui il faut me comprendre, je n'avais pas envie de me faire remarquer avec mon dispositif de chasteté sur moi, et comme il était invisible sous le maillot de bain ( ou presque ) je trouvais ça plus discret.
Je m'installais à l'hombre sous mon parasol, il faisait chaud, et il y avait une très légère brise qui ne parvenait pas à rafraîchir … Je gardais un œil sur la plage pour surveiller l'arriver d'Ali et j'attendais.
Au bout de trois minutes je trouvais le temps long. Il n'arrivait pas. Je m'impatientait. '' C'est long ! ''… '' Il va pas venir ! '' .
Le temps passait lentement, cinq minutes plus tard j'en pouvais plus, j'avais l'impression d'avoir déjà passé la moitié de l'après midi sur la plage aussi je ne vous dis pas quand il est enfin arrivé au bout de … Presque vingt minutes … J'étais désespéré, j'y croyais plus mais je n'en montrais rien !
Il était là, à mes pieds, il regardait tout autour de moi.
– Euh ! Tu ne m'avais pas dit que tu voyageais léger à la plage ?
– Bein quoi ? J'ai juste ce qu'il faut !
Lui il avait juste une casquette, son T-shirt qui pendait à sa ceinture, un bermuda des sandales et une serviette de plage sur l'épaule.
– Ah j'aurais du amener des jeux de plage …
Il éclatait de rire, jetais sa serviette à côté de moi et se laissait tomber dessus.
– Tu m'avais dit que tu garderais ton truc ! ( en regardant mon maillot de bain )– Mais je l'ai gardé !
– On ne le voit pas !
Il glissait discrètement une main pour me pincer doucement la queue.
– En effet, c'est vraiment discret ton truc, c'est toi qui l'a fait ?
Il se relevait et retirait son pantalon. Lui n'avait pas de maillot de bain et se retrouvait totalement à poil. Ma queue protestait, je la sentais se révolter dans sa cage mais rien ne paraissait. Au contraire le maillot de bain me donnait des formes avantageuses mais si ma bite voulait se faire remarquer rien ne se voyait, rien ne changeait !
– Tu t'installes à l'hombre à côté de moi ?
– Je pense que je vais bronzer un peu !
Je pouffais de rire, il rigolait lui aussi. J'admirais pour la deuxième fois cette peau magnifique au grain si fin, et cette couleur ébène qui lui allait si bien. J'admirais sa queue, elle était au repos, enfin peut être pas totalement et elle pendait lourdement devant lui, se balançait à chacun de ses mouvements.
La mienne, dans sa cage se faisait encore remarquer, mais uniquement à mon intention. Là ça faisait penser à une tentative de révolte, rapidement ça devenait inconfortable. Mais la frustration fait partie des sensations recherchées quand on porte ce genre de chose.
Ils s'installait juste à côté de moi, à l'hombre. Je m'approchais de lui et lui caressais le bras. Il tournait la tête vers moi et me donnais un baiser rapide, très rapide sur les lèvres. Nous étions en public …
On faisait connaissance, c'est vrai que la dernière fois on n'avait pas vraiment pris le temps de parler. Il habitait chez son frère, il venait de cette petite île à l'autre bout du monde, une petit île française dans un océan lointain, très lointain et avait ce petit accent de sa région, enfin un peu, juste un peu …
C'est sans le faire exprès que je lui caressait le torse, un téton. Ma main parcourait son corps jusqu'à son ventre et là il me retenait la main.
– Arrête s'il te plaît. J'ai pas de truc comme toi, et je crois que dans quelques instants ça va pas être discret.
Il se retournait pour s'allonger sur le ventre, il bandait déjà à moitié, il bandait mou là mais déjà ça prenait de la place. De nouveau ma queue protestait.
On n'a pas fait grand chose, on a parlé, on a somnolé, j'ai lu. On est allé se baigner, c'était excitant de le voir se promener ainsi sur la plage, entièrement nu avec cette grosse et longue bite molle qui se balançait lourdement devant lui. En sortant de l'eau elle prenait une taille plus raisonnable mais c'était tout de même du gros calibre.
Moi je gardais mon maillot de bain.
Partout des groupes nous regardaient. Enfin je pense que c'est surtout Ali qu'ils regardaient.
– Tu devrais enlever ton maillot de bain !
– Non je ne préfère pas !
– Enfin maintenant qu'on s'est baigné tu n'en a plus besoin, un maillot de bain c'est pour se baigner …
Je le regardais, pas vraiment convaincu …
– Mais toi tu n'en a même pas mis de maillot de bain !
– Si tu veux demain j'en emmène un. Je le mettrais juste pour me baigner …
Je levais les yeux au ciel, il rigolait.
– J'ai un peu peur de me faire trop remarquer si je montre mon dispositif.
– A côté de moi personne ne fera vraiment attention à toi !
– C'est pas totalement faux ça !
– Alors ?
– Nan !
On continuait à ne rien faire pendant plusieurs heures. Quand on se levait tout le monde nous regardait. Enfin tout le monde le regardait …
La plage se vidait, le soleil baissait lentement sur l'horizon, la chaleur baissait. J'étais allongé sur le ventre, c'était un de ces moments ou ma bite dans sa cage me laissait tranquille. Ali me donnait une claque sur la fesse …
– Allez debout on va faire un petit plongeon …
J'allais me relever.
– Et tu enlèves ton maillot de bain.
Je jetais un regard rapide tout autour de nous. C'est vrai que ça s'était bien vidé dans le coin. Je regardais Ali qui affichait un sourire coquin … Et je retirais mon maillot de bain.
On avançait d'un pas joyeux vers le bord de l'eau, je me sentais bien. Régulièrement je regardait ce que ça donnait du côté d'Ali, il bandait et il avait un large sourire. De nouveau ma queue manifestait. Ça devenait inconfortable cette histoire mais il faut bien se dire que dans le jeu de la chasteté un certain inconfort est recherché aussi, j'étais comblé, frustré et dans une situation peu confortable tant j'étais excité.
J'avais tellement envie de me prendre la queue d'Ali dans la bouche avant de me la prendre dans le cul comme l'autre jour que je ne remarquais pas ce groupe de trois hommes qui croisait notre chemin. Ils nous regardaient tous, et pour une fois depuis le début de la journée ce n'était pas seulement Ali qui était regardé.
On s'est amusé dans l'eau, comme il ne restait plus grand monde sur la plage on en a profité pour se faire un câlin, pour s'embrasser, pour se serrer l'un contre l'autre et se caresser.
Quand on est remonté au parasol, il bandait ferme, ma queue protestait ferme, j'étais frustré comme jamais et je ne pensais qu'à une chose … Me prendre la queue d'Ali dans le cul …
On s'allongeait, je me tournais vers lui et le prenais dans mes bras, il ne me repoussait pas, au contraire. Je le couvrais de baisers il me couvrait de caresses. Par moment on inversait, il m'embrassait alors plus qu'il ne me caressait.
Mes baisers se promenaient librement sur tout son corps, et descendaient rapidement vers sa queue. Je la prenais dans ma bouche, C'était toujours pas plus facile mais j'en avais tellement envie, depuis qu'il m'avait téléphoné, je me faisais une joie de le prendre dans mes bras. Depuis le début de l'après midi on s'était retenu, quelques petits câlins mais pas plus.
Ma queue hurlait de colère dans sa cage, j'étais au sommet de la frustration.
Il appuyait sur ma tête, il était un peu moins timide que la dernière fois. Il savait que je pouvais encaisser et maintenant il faisait comme un test, il testait mes limites.
Il donnait des petits coups de bassin, sa queue s'écrasait au fond de ma gorge, j'encaissais, non sans mal mais j'encaissais. Quand c'est moi qui avançais la tête, il appuyait alors avec une main placée sue ma nuque. On arrivait à se synchroniser, et j'en prenais plein la bouche.
Il restait très à l'écoute de mes réactions, si avec la main je le freinais avec force, il n'insistait pas et me laissait respirer. Si j'avalais sa queue avec vigueur alors il se lâchait et là c'est avec force que sa queue énorme s'écrasait contre ma glotte.
A plusieurs reprise mon visage s'écrasait contre son ventre et je ne vous dis pas mais, là j'ai dégusté. Il passait de mouvements rapides et violents à des mouvements amples, lents. Il me caressait doucement la joue avec tendresse puis peu après, il appuyait mon visage contre lui avec des mouvements de bassin violents …
J'encaissais, j'encaissais sans fin, j'encaissais sans plus comprendre ce qui se passait. Ma queue protestait, j'étais frustré, j'étais mal à l'aise, la cage ne me faisait pas mal mais presque …
Il se retirait complètement pour me laisser respirer et enfonçait sans prévenir sa queue de nouveau. Il n'a pas non plus prévenu quand il m'a juté à la figure, à cet instant je ne comprenait plus ce qui se passait, il a giclé plusieurs fois, il gémissait de plaisir. Moi j'étais hébété, je fermais les yeux, la bouche, les narines j'aurais bien voulu. Enfin là encore, j'encaissais.
Il se laissait retomber sur le dos.
– On nous a regardé j'ai l'impression !
Je tentais de regarder mais mes lunettes étaient couvertes de sperme et je ne voyais rien. Je reprenais mon souffle, il me fallait quelques minutes et prenais la direction de l'eau pour me laver la figure. Je croisais un mec qui rigolait en me voyant, juste avant d'arriver à l'eau, il avait du voir le spectacle lui aussi.
Au retour je remarquais deux mecs qui se branlaient, c'était d'eux que parlait Ali. L'un d'entre eux me faisait un signe de la main, un pouce en l'air, il avait un large sourire. Je lui répondais de la même manière, les deux pouces en l'air.
J'arrivais au parasol, Ali m'attendait avec un large sourire.
– Tu encaisses bien toi ! J'adore !
– Il va falloir rentrer.
– Tu me ramènes ?
– Bien sûr mais tu es venu comment ?
– C'est mon frère il m'a laissé au grand parking, si tu ne me ramènes pas je suis à pied.
– Et si je ne te ramenais pas chez toi ?
– Précise !
– Et si je te ramenais chez moi ?
– C'est une invitation ?
– On est en week-end, on le passe ensemble ?
– Ça marche.
On remontait de la plage, j'étais complètement retourné moi.
Je me sentais bien, très bien comme si j'avais joui, pourtant …
Là j'avais complètement oublié que j'avais une cage de chasteté, ma queue ne protestait plus, je me sentais pourtant toujours frustré, il me manquait quelque chose … Mais quoi ?
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Deux jours plus tard il m'a téléphoné. J'étais content de l'entendre, mon cul n'avait pas encore oublié notre rencontre. Il était libre tout l'après midi et me proposait qu'on se retrouve à la plage.
En début d'après midi je posais ma serviette à l'endroit prévu. Je faisais un trou dans le sable, une petite butte pour y poser mon dos. A la plage j'y vais toujours léger, j'installais mon parasol de plage un petit truc d'à peine plus de deux mètres d'envergure. Dans la glacière j'avais une grande bouteille d'eau, avec un gros glaçon dedans une bouteille de soda, deux gobelets et des gâteaux, enfin des trucs à manger . Un baladeur pour la musique. Mon téléphone, on ne sait jamais. Un E-book, avoir dix milles livres sous la main c'est toujours mieux que d'en avoir un seul. Un appareil photo, quelquefois il y a des trucs jolis à photographier et justement Ali y serait …
J'y arrivait avec sur moi un pantalon de toile légère, un chemise ample avec des fleurs dessus, oui je sais c'est kitch mais ça va bien avec la saison. Sur la tête un casquette en jean et une paire de lunette de soleil, bein oui je porte des lunettes donc il me les faut avec verres correcteur. Remarquez je vois très bien de prêt aussi pour les relations intimes j'en ai pas besoin mais bon j'en était pas encore là. Enfin j'avais juste le stricte minimum pour survivre un après midi au soleil.
Ah aussi, j'oubliais, j'avais un maillot de bain. Bein oui il faut me comprendre, je n'avais pas envie de me faire remarquer avec mon dispositif de chasteté sur moi, et comme il était invisible sous le maillot de bain ( ou presque ) je trouvais ça plus discret.
Je m'installais à l'hombre sous mon parasol, il faisait chaud, et il y avait une très légère brise qui ne parvenait pas à rafraîchir … Je gardais un œil sur la plage pour surveiller l'arriver d'Ali et j'attendais.
Au bout de trois minutes je trouvais le temps long. Il n'arrivait pas. Je m'impatientait. '' C'est long ! ''… '' Il va pas venir ! '' .
Le temps passait lentement, cinq minutes plus tard j'en pouvais plus, j'avais l'impression d'avoir déjà passé la moitié de l'après midi sur la plage aussi je ne vous dis pas quand il est enfin arrivé au bout de … Presque vingt minutes … J'étais désespéré, j'y croyais plus mais je n'en montrais rien !
Il était là, à mes pieds, il regardait tout autour de moi.
– Euh ! Tu ne m'avais pas dit que tu voyageais léger à la plage ?
– Bein quoi ? J'ai juste ce qu'il faut !
Lui il avait juste une casquette, son T-shirt qui pendait à sa ceinture, un bermuda des sandales et une serviette de plage sur l'épaule.
– Ah j'aurais du amener des jeux de plage …
Il éclatait de rire, jetais sa serviette à côté de moi et se laissait tomber dessus.
– Tu m'avais dit que tu garderais ton truc ! ( en regardant mon maillot de bain )– Mais je l'ai gardé !
– On ne le voit pas !
Il glissait discrètement une main pour me pincer doucement la queue.
– En effet, c'est vraiment discret ton truc, c'est toi qui l'a fait ?
Il se relevait et retirait son pantalon. Lui n'avait pas de maillot de bain et se retrouvait totalement à poil. Ma queue protestait, je la sentais se révolter dans sa cage mais rien ne paraissait. Au contraire le maillot de bain me donnait des formes avantageuses mais si ma bite voulait se faire remarquer rien ne se voyait, rien ne changeait !
– Tu t'installes à l'hombre à côté de moi ?
– Je pense que je vais bronzer un peu !
Je pouffais de rire, il rigolait lui aussi. J'admirais pour la deuxième fois cette peau magnifique au grain si fin, et cette couleur ébène qui lui allait si bien. J'admirais sa queue, elle était au repos, enfin peut être pas totalement et elle pendait lourdement devant lui, se balançait à chacun de ses mouvements.
La mienne, dans sa cage se faisait encore remarquer, mais uniquement à mon intention. Là ça faisait penser à une tentative de révolte, rapidement ça devenait inconfortable. Mais la frustration fait partie des sensations recherchées quand on porte ce genre de chose.
Ils s'installait juste à côté de moi, à l'hombre. Je m'approchais de lui et lui caressais le bras. Il tournait la tête vers moi et me donnais un baiser rapide, très rapide sur les lèvres. Nous étions en public …
On faisait connaissance, c'est vrai que la dernière fois on n'avait pas vraiment pris le temps de parler. Il habitait chez son frère, il venait de cette petite île à l'autre bout du monde, une petit île française dans un océan lointain, très lointain et avait ce petit accent de sa région, enfin un peu, juste un peu …
C'est sans le faire exprès que je lui caressait le torse, un téton. Ma main parcourait son corps jusqu'à son ventre et là il me retenait la main.
– Arrête s'il te plaît. J'ai pas de truc comme toi, et je crois que dans quelques instants ça va pas être discret.
Il se retournait pour s'allonger sur le ventre, il bandait déjà à moitié, il bandait mou là mais déjà ça prenait de la place. De nouveau ma queue protestait.
On n'a pas fait grand chose, on a parlé, on a somnolé, j'ai lu. On est allé se baigner, c'était excitant de le voir se promener ainsi sur la plage, entièrement nu avec cette grosse et longue bite molle qui se balançait lourdement devant lui. En sortant de l'eau elle prenait une taille plus raisonnable mais c'était tout de même du gros calibre.
Moi je gardais mon maillot de bain.
Partout des groupes nous regardaient. Enfin je pense que c'est surtout Ali qu'ils regardaient.
– Tu devrais enlever ton maillot de bain !
– Non je ne préfère pas !
– Enfin maintenant qu'on s'est baigné tu n'en a plus besoin, un maillot de bain c'est pour se baigner …
Je le regardais, pas vraiment convaincu …
– Mais toi tu n'en a même pas mis de maillot de bain !
– Si tu veux demain j'en emmène un. Je le mettrais juste pour me baigner …
Je levais les yeux au ciel, il rigolait.
– J'ai un peu peur de me faire trop remarquer si je montre mon dispositif.
– A côté de moi personne ne fera vraiment attention à toi !
– C'est pas totalement faux ça !
– Alors ?
– Nan !
On continuait à ne rien faire pendant plusieurs heures. Quand on se levait tout le monde nous regardait. Enfin tout le monde le regardait …
La plage se vidait, le soleil baissait lentement sur l'horizon, la chaleur baissait. J'étais allongé sur le ventre, c'était un de ces moments ou ma bite dans sa cage me laissait tranquille. Ali me donnait une claque sur la fesse …
– Allez debout on va faire un petit plongeon …
J'allais me relever.
– Et tu enlèves ton maillot de bain.
Je jetais un regard rapide tout autour de nous. C'est vrai que ça s'était bien vidé dans le coin. Je regardais Ali qui affichait un sourire coquin … Et je retirais mon maillot de bain.
On avançait d'un pas joyeux vers le bord de l'eau, je me sentais bien. Régulièrement je regardait ce que ça donnait du côté d'Ali, il bandait et il avait un large sourire. De nouveau ma queue manifestait. Ça devenait inconfortable cette histoire mais il faut bien se dire que dans le jeu de la chasteté un certain inconfort est recherché aussi, j'étais comblé, frustré et dans une situation peu confortable tant j'étais excité.
J'avais tellement envie de me prendre la queue d'Ali dans la bouche avant de me la prendre dans le cul comme l'autre jour que je ne remarquais pas ce groupe de trois hommes qui croisait notre chemin. Ils nous regardaient tous, et pour une fois depuis le début de la journée ce n'était pas seulement Ali qui était regardé.
On s'est amusé dans l'eau, comme il ne restait plus grand monde sur la plage on en a profité pour se faire un câlin, pour s'embrasser, pour se serrer l'un contre l'autre et se caresser.
Quand on est remonté au parasol, il bandait ferme, ma queue protestait ferme, j'étais frustré comme jamais et je ne pensais qu'à une chose … Me prendre la queue d'Ali dans le cul …
On s'allongeait, je me tournais vers lui et le prenais dans mes bras, il ne me repoussait pas, au contraire. Je le couvrais de baisers il me couvrait de caresses. Par moment on inversait, il m'embrassait alors plus qu'il ne me caressait.
Mes baisers se promenaient librement sur tout son corps, et descendaient rapidement vers sa queue. Je la prenais dans ma bouche, C'était toujours pas plus facile mais j'en avais tellement envie, depuis qu'il m'avait téléphoné, je me faisais une joie de le prendre dans mes bras. Depuis le début de l'après midi on s'était retenu, quelques petits câlins mais pas plus.
Ma queue hurlait de colère dans sa cage, j'étais au sommet de la frustration.
Il appuyait sur ma tête, il était un peu moins timide que la dernière fois. Il savait que je pouvais encaisser et maintenant il faisait comme un test, il testait mes limites.
Il donnait des petits coups de bassin, sa queue s'écrasait au fond de ma gorge, j'encaissais, non sans mal mais j'encaissais. Quand c'est moi qui avançais la tête, il appuyait alors avec une main placée sue ma nuque. On arrivait à se synchroniser, et j'en prenais plein la bouche.
Il restait très à l'écoute de mes réactions, si avec la main je le freinais avec force, il n'insistait pas et me laissait respirer. Si j'avalais sa queue avec vigueur alors il se lâchait et là c'est avec force que sa queue énorme s'écrasait contre ma glotte.
A plusieurs reprise mon visage s'écrasait contre son ventre et je ne vous dis pas mais, là j'ai dégusté. Il passait de mouvements rapides et violents à des mouvements amples, lents. Il me caressait doucement la joue avec tendresse puis peu après, il appuyait mon visage contre lui avec des mouvements de bassin violents …
J'encaissais, j'encaissais sans fin, j'encaissais sans plus comprendre ce qui se passait. Ma queue protestait, j'étais frustré, j'étais mal à l'aise, la cage ne me faisait pas mal mais presque …
Il se retirait complètement pour me laisser respirer et enfonçait sans prévenir sa queue de nouveau. Il n'a pas non plus prévenu quand il m'a juté à la figure, à cet instant je ne comprenait plus ce qui se passait, il a giclé plusieurs fois, il gémissait de plaisir. Moi j'étais hébété, je fermais les yeux, la bouche, les narines j'aurais bien voulu. Enfin là encore, j'encaissais.
Il se laissait retomber sur le dos.
– On nous a regardé j'ai l'impression !
Je tentais de regarder mais mes lunettes étaient couvertes de sperme et je ne voyais rien. Je reprenais mon souffle, il me fallait quelques minutes et prenais la direction de l'eau pour me laver la figure. Je croisais un mec qui rigolait en me voyant, juste avant d'arriver à l'eau, il avait du voir le spectacle lui aussi.
Au retour je remarquais deux mecs qui se branlaient, c'était d'eux que parlait Ali. L'un d'entre eux me faisait un signe de la main, un pouce en l'air, il avait un large sourire. Je lui répondais de la même manière, les deux pouces en l'air.
J'arrivais au parasol, Ali m'attendait avec un large sourire.
– Tu encaisses bien toi ! J'adore !
– Il va falloir rentrer.
– Tu me ramènes ?
– Bien sûr mais tu es venu comment ?
– C'est mon frère il m'a laissé au grand parking, si tu ne me ramènes pas je suis à pied.
– Et si je ne te ramenais pas chez toi ?
– Précise !
– Et si je te ramenais chez moi ?
– C'est une invitation ?
– On est en week-end, on le passe ensemble ?
– Ça marche.
On remontait de la plage, j'étais complètement retourné moi.
Je me sentais bien, très bien comme si j'avais joui, pourtant …
Là j'avais complètement oublié que j'avais une cage de chasteté, ma queue ne protestait plus, je me sentais pourtant toujours frustré, il me manquait quelque chose … Mais quoi ?
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